Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJackie ☼ You do such damage, how do you manage? - Page 2
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Jackie ☼ You do such damage, how do you manage?

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Les explications venaient finalement. Aidan voulait des révélations et il allait être servi. Sa mâchoire se crispe sous l'effet du coup qu'il reçoit et de la mère Dragon. Ses billes claires se perdent soudainement aux parois sans âme de la carlingue qui les ballade jusqu'à Boston. Quoi faire de tout ça ? Son regard se décide finalement à revenir sur Jackie. « Pourquoi tu ne m'as rien dit ? » En vérité, mille questions se bousculaient dans son crâne d'oiseau et c'est comme si il éprouvait des difficultés à leur laisser libre court.« Je suis parti finalement, alors tu risquais quoi ? » Et surtout pourquoi avait-elle écouté sa mère, franchement cette femme était aussi démoniaque que destructrice. Son père faisait figure d'enfant de chœur à côté. A moins qu'il ne soit au courant lui aussi, ça l'aurait peut-être arrangé qu'il abandonne sa carrière d'artiste. Tout ça ressemblait )à du beau gâchis et parviendraient-ils encore à recoller les morceaux alors qu'Aidan n'arrivait pas à choisir entre ressentiment et tristesse.
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You do such  damage, how do you manage?
La vérité et les confidences n'avaient jamais été mon truc. J'avalais ma salive et bidouillais mon accoudoir en attendant une réponse de la part du jeune peintre. S'était étrange mais je ne sentais aucun soulagement. La vérité retentissait et je me sentais toujours aussi frustré. J'affichais une grimace avant d'entendre la voix du professeur. « Pourquoi tu ne m'as rien dit ? » mes yeux se rivèrent une nouvelle fois vers le jeune peintre. « Parce que jusque-là tu n'as pas l'air d'avoir besoin de moi. Je veux dire, tu as tellement... évoluer. Tu as tout ce que tu souhaitais, tu vis de ta passion. Je suis partie et tu as réussi... » dis-je en haussant les épaules. Le plus dur avait été de constater que ma mère avait eu raison. Difficile de faire face à cette réalité. L'hôtesse de l'air passait dans les couloirs. Indiquant qu'un service allait être mis en place. « Je suis parti finalement, alors tu risquais quoi ? » je croisais mes bras contre moi avant de poser ma tête sur le dossier. Je la pivotais légèrement vers le professeur et lui fis : « Je ne voulais pas être un obstacle dans ta vie Norrington... je ne savais pas où tu étais mais je savais que tu allais revenir un jour. J'ai préféré ne rien dire mais j'en ai marre aujourd'hui que tu me vois comme la fille que je ne suis pas. » j'affichais une grimace avant de demander un verre d'eau à l'hôtesse. « je suis une garce s'est inévitable mais je ne suis certainement pas comme ma mère. » dis-je avant de finalement me lever. « J'ai besoin de marché » dis-je avant d'aller à l'arrière de l'avion pour me dégourdir les jambes.
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 Le pire dans tout ça, c'est qu'elle se trompait sur toute la ligne. Il n'était pas mieux depuis son départ, depuis leur rupture. Au contraire, sa réussite en arts avait été la seule bouée à laquelle il avait pu se raccrocher, comme une nuance de dorée au milieu du chaos. Elle ne se doutait pas à quel point elle pouvait se tromper. Combien de fois avait-il désiré son retour ? Qu'elle lui avoue une raison qui puisse expliquer sa distance soudaine mais il avait l'amère impression qu'elle venait trop tard. « Cela ne m'aurait pas empêché de réussir que tu restes. » avoue-t-il d'une voix bien plus froide qu'il ne voudrait. Il ne peut s'empêcher d'y verser un ton de reproche alors qu'elle pensait bien faire. Mais comment a-t-elle pu les sacrifier pour le bon-vouloir de sa mère ? Il la pensait plus fort que ça. Il ne sait plus quoi répondre à ses aveux, qui sont si francs qu'il lui est étrange de voir Jackie si vulnérable. Elle ne supporte pas d'ailleurs et en profite pour s'éclipser. Il reste ainsi pantois, quelques minutes, il ne sait pas vraiment avant que la culpabilité ne vienne s'insinuer dans sa tête.  Elle ne supportera pas une nouvelle humiliation, un nouveau rejet et il prend conscience. Il se lève, raide, ses prunelles observent les anonymes en quête d'une lueur de blond. L'Artiste déambule finalement le long du couloir longiligne pour se retrouver finalement au fond de l'avion où se terre la Cabot. « Comment aurais-tu pu représenter un obstacle alors que j'évoluais dans une mer sans fond ? » Ses dents entaillent sa lèvre de façon éphémère. Il n'a pas l'habitude non plus de se dévoiler. « Promets-moi que tu ne laisseras plus jamais ta mère décider pour toi. » Sa voix est rauque, son regard brillant. Il faut que cette diablesse cesse son emprise sur elle, autrement rien ne sera jamais possible. « Pour nous. » articule-t-il finalement avec difficulté.
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Mes secrets venaient d'être poser sur la table et pourtant je ne me sentais pas sereine. La culpabilité me rongeait toujours autant et ma frustration était toujours aussi présente. Pour tout vous dires, je ne savais plus quoi faire pour y remédier. La solution m'était parue si évidente. La vérité avait le mérite d'être connu pour ses bien faits. Pourquoi ne le ressentais-je pas ? Aidan semblait tout aussi perdu que moi... voir même légèrement froid. Je ne m'attendais pas à ce qu'il me prenne dans les bras. Non, j'avais bien conscience que quelque chose s'était brisé. Du moins s'était la sensation qu'il donnait. Le temps avait du faire les choses, je ne voulais pas l'entendre. Me faire rejeter avait été une chose mais je ne voulais pas entendre ses paroles meurtrières. « Cela ne m'aurait pas empêcher de réussir que tu restes » peut-être que oui, peut-être que non. Aujourd'hui, je ne savais pas bien ce qu'il fallait croire. J'étais complètement paumée. Résigner à ne pas pouvoir m'enfuir, je partie rapidement me dégourdir les jambes. J'avais besoin de bouger, j'avais besoin de me retrouver loin de tout sa. Et j'avais surtout besoin m'aérer l'esprit. Je détestais l'avion et encore plus aujourd'hui. J'avais besoin d'air. J'avais l'étroite impression d'être prisonnière. Je me posais dans un coin, attendant que quelqu'un sorte des toilettes. Lorsque mon regard croisa une nouvelle fois celui du jeune peintre. Il s'approcha et fit : « Comment aurais-tu pu représenter un obstacle alors que j'évoluais dans une mer sans fond ? » mon regard se stoppa sur le jeune peintre. Surprise de le voir débarqué avec une telle franchise. Je croisais mes bras contre moi avant qu'il ne dise à nouveau. « Promets-moi que tu ne laisseras plus jamais ta mère décider pour toi. » mon regard détaillait son visage, analysant les traits de son visage avant qu'il n'ajoute pour finir : « Pour nous. » mes sourcils se froncèrent légèrement. « Tu ne part pas en courant ? » dis-je en restant droite devant lui avant de finalement pencher la tête sur le côté. « Je te le promets...» n'osant pas m'approcher plus de lui. Je finis par approcher d'un pas et lui fis : « tu n'as pas peur que je finisse par te tuer ? » dis-je avant de sourire légèrement. La porte des toilettes s'ouvrit subitement. Mon regard se dirigea vers l'inconnu avant de revenir sur Aidan et sur les hôtesses de l'air. Je levais les yeux avant de prendre Aidan par le tee shirt et l'amener dans les toilettes de l'avion. Je fermais la porte derrière nous et lui fis : « Il y a toujours un nous ? »
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 Il y a des moments dans la vie où il faut savoir rendre les armes. Aidan s'abandonne tout entier à l'impulsion du moment, il s'agrippe aux lambeaux de sa relation avec Jackie. Parce que sa seule certitude réside au fait que si il la laisse filer une fois de plus entre ses doigts, son orgueil ne le pardonnera pas. Alors, quel risque ? De toute les façons, il n'y réfléchit plus vraiment quand il la retrouve à l'arrière de la carlingue. Les mots jusque là capricieux se frayent un chemin avant même qu'il ne les élabore dans sa tortueuse cervelle et il a le sentiment de n'être plus qu'un corps. Ses mains soudainement moites, son cœur tambourinant, l'air qui brûle au passage ses poumons. Il se sent tellement bien, tellement... vivant. Et c'est comme une réanimation lorsqu'il perçoit ce regard de Jackie. C'est d'ailleurs curieusement qu'elle lui parle en cet instant de le tuer, il a plutôt l'impression de l'inverse, mais entre ses mains, il se sent parfois pantin, la vérité est là mais il finit par l'accepter. « Je ne peux pas partir en courant, je n'ai pas pris de parachute. » admet-il avec un sourire moqueur. Il n'y a bien que Aidan pour faire de l'humour dans ce moment si particulier, et pour se saisir de ses paroles pour aborder métaphoriquement le sens premier de son existence.  La Frêle l'empoigne par le col après un regard circulaire alentour et les deux jeunes gens se retrouvent dans les toilettes de l'avion. Glamour dans les films certes, un peu moins en réalité. Le Peintre sent le siège venir mordre ses mollets, et il est presque collé à la Belle Cabot. « Dans ce cas, promets-moi de m'achever rapidement. Même si tu as un goût prononcé de la torture, tu me dois bien ça. » reprend-t-il sérieusement sans ciller.  Ses deux mains se plaquent autour des hanches de la jeune femme, et pour seule réponse l'Ancien Lowell vient poser ses lèvres sur celles de l'Espiègle, d'abord doucement puis plus passionnément. « C'est toi qui décide cette fois. » admet-il avec un léger sourire aux lèvres. Si elle est prête à lui pardonner sa conduite de la fois passée, alors ils pourraient peut-être y songer.


hs: et j'ai oublié de te dire que j'adooooooooore ton ava, le côté naturel est top :loukas:
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« Je ne peux pas partir en courant, je n'ai pas pris de parachute » je penchais la tête sur le côté avant d'afficher un mince sourire. La légèreté du peintre était la bienvenue, même si elle était osée. Le sérieux n'avait jamais été notre fort et ce semblant de légèreté m'apportait une sorte de réconfort. Après plusieurs secondes d'hésitation et dans un mouvement rapide, je pris le jeune peintre avec moi dans les toilettes refermant derrière moi la porte. Je me tournais ensuite vers le jeune peintre pour le regarder. L'avion n'avait vraiment rien pour lui. Les toilettes n'étaient pas idéales mais elles avaient au moins le mérite de nous donner un peu d'intimité. « Dans ce cas, promets-moi de m'achever rapidement. Même si tu as un goût prononcé de la torture, tu me dois bien ça. » mes lèvres s'élargissaient doucement avant de finalement sourire pleinement. Mes épaules se levèrent machinalement avant que je ne dise : « en fait, j'ai déjà réfléchi à ton sort. Tout à l'heure je pensais à t'empoisonner » dis-je en grimaçant légèrement. S'était impressionnant de voir comme les sentiments pouvaient se bousculer en quelques minutes. Les mains du peintre se posèrent enfin sur mes hanches et nos corps se retrouvèrent petit à petit. Mon corps se colla contre celui du peintre et mes mains s'enroulèrent autour de sa nuque avant que le peintre ne dépose ses lèvres contre les miennes. Mon souffle se stoppa, appréciant cette vieille proximité dont je pouvais de nouveau goûter. Mes lèvres prolongèrent se baiser. Un baiser tant de fois rêver. Le nœud dans mon ventre semblait s'être dissipée. Mon front se colla contre celui du peintre. « C'est toi qui décides cette fois. » j'affichais un sourire avant de me pincer les lèvres. Mon visage se décolla de celui du jeune peintre. « tu m'as manqué Norrington... » dis-je en le regardant sincèrement. J'approchais doucement mes lèvres des siennes et lui dis : « Tu n'as pas intérêt à me repousser... » dis-je en rigolant avant de l'embrasser une nouvelle fois. J'avais pour la première fois. J'avais pour la première fois depuis cinq mois, l'impression de respirer de nouveau.
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Il se surprend à sentir sa respiration haletante alors qu'ils viennent d'échanger ce baiser. Dire qu'il l'a imaginé pendant des mois est un euphémisme, il avait toutefois pas envisagé qu'il puisse un jour devenir réalité. Mais c'est différent des autres fois, il y a comme un apaisement à présent. « Le plus doux des poisons. » reprend-t-il avant de goûter une nouvelle fois les lèvres de sa Blonde. Il a un petit rire avant de déclarer. « Je ne te savais pas si romantique pour me choisir la fin de Roméo à l'agonie de sa Juliette. » Il se recule à présent d'elle, comme pour mieux la regarder. Ils sont montés à bord de cet avion en nourrissant à l'égard de l'autre une haine viscérale, et c'est à présent comme oublié. La vie aime faire preuve d'ironie souvent. « J'ai décidé de ne plus te repousser à partir du moment où je t'ai suivi au fond de cet avion. » rétorque-t-il doucement. Il l'embrasse en riant dans le cou, puis laisse ses mains remonter le long de ses hanches, mais il va rester sage pour le moment. « Jackie, je peux te poser une question ? » demande-t-il tout à coup d'une voix solennelle dans laquelle pointe néanmoins un accent d'amusement. « Acceptes-tu d'abandonner nos parents ? » Et il prend sa main dans la sienne avant de relever son regard sur son doux visage, vous savez ce genre de regard de gentil garçon vulnérable dont lui seul a le secret.
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Sentir la présence du jeune peintre avait des effets bienfaiteurs sur ma personne. Une sorte de retour à la réalité, mon souffle gardait un certain rythme comme délivrer de ce cauchemar qui avait tout de même duré plusieurs mois. La vérité avait ses bien fait. « Le plus doux des poisons » mes lèvres retrouvèrent de nouvelle celle de l'ancien Lowell avant qu'il ne dise « Je ne te savais pas si romantique pour me choisir la fin de Roméo à l'agonie de sa Juliette » je me mis à rire. Un rire mélodieux avant que je ne lui dise : « J'ai révisé mes classiques, et il faut croire que le manque te pousse au romantisme Norrington. » dis-je en hochant la tête avant de grimacer légèrement en regardant les toilettes qui se trouvaient juste à côté de nous. « Heureusement pour eux, ses toilettes nous rappellent à la réalité » dis-je avant de sourire un peu plus. Il se recula légèrement, mon regard se faisait insistant essayant de percevoir l'état actuel du jeune peintre. « j'ai décidé de ne plus te repousser à partir du moment où je t'ai suivi au fond de cet avion » ma tête se pencha sur le côté affichant un léger sourire. Me faire rejeter avait été difficile, plus que difficile finalement. J'avais dû apprendre à noyer ma blessure. Le contact de ses lèvres me rassura une nouvelle fois, cette blessure n'était plus que souvenir. « je suis contente que tu l'es faits » dis-je sincèrement. Mes yeux se fermèrent doucement, mon corps était en éveillé comme heureux de retrouver celui qu'il désirait temps. « Jackie, je peux te poser une question ? » mes yeux se rouvraient doucement, regardant le jeune homme. Je hochais la tête de haut en bas avant qu'il ne poursuive. « Acceptes-tu d'abandonner nos parents ? » je me mis à sourire. Voilà une excellente idée, qui allait sans doute pouvoir arranger bien des choses. Ma main entrelaçait celle du jeune peintre avant que je ne lui dise : « avec plaisir, oublions-les, on n'a pas besoin d'eux et ils n'ont sans doute pas besoin de nous non plus » dis-je en bougeant ma tête avant de venir l'embrasser une autrefois. Mes mains se postèrent dans le cou de l'ancien Lowell avant de descendre sur son torse. « L'avion s'est vraiment nul » dis-je en me pinçant la lèvre.
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Son rire résonne doucement dans la petite cabine lorsqu'elle évoque justement le lieu où ils se trouvent. « On est quand même doués pour se réconcilier dans des chiottes. » Et surtout c'était carrément moins glamour que dans les fantasmes. Il prend la main de la Cabot quand elle accepte finalement d'abandonner leurs vieux. Un sourire se peint sur ses traits, il vaut mieux rire du malheur, car leurs parents ont fait beaucoup de mal finalement. « Ils vont sans doute être décontenancés sans souffre douleur et puis finalement on a des chances qu'ils s'en prennent à l'autre. » L'espoir fait vivre dirons-nous, même si le père d'Aidan était un angelot comparé à la mère de Jackie. Il a un petit regard malicieux quand elle dit que l'avion est nul, c'est certain puisque ce type d'endroit commande une certaine distance entre eux. C'est d'ailleurs à cet instant que l'hôtesse frappe à la porte en demandant si tout va bien. « Je crois qu'on va devoir y aller. » lui murmure-t-il doucement avant de l'embrasser encore une fois. Il ouvre ensuite la porte et adopte sa mine désolée. « J'ai du accompagner ma Camarade, elle ne se sentait pas bien et en tant que futur médecin, je ne voulais pas la laisser seule, on ne sait jamais. » Bien entendu, l'hôtesse gobe son tissu de mensonges et il entraîne Jackie à leur place en la tenant par la main. C'est certain les gens vont les prendre pour des fous mais peu importe c'est eux après tout.
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« On est quand même doués pour se réconcilier dans des chiottes » je me mis à sourire avant de plisser légèrement des yeux. La situation avait des airs d'ironie comme si le destin se moquait de nous. J'approchais avant d'enrouler mes mains autour de son cou. « Faut croire oui, en même temps ça favorise le rapprochement, tu trouves pas » dis-je en grimaçant un peu avant de me mettre à rigoler. Les toilettes avaient beau être un lieu peu glamour mais au moins sa petite surface m'avait permis d'être aussi proche que possible du jeune peintre. « Ils vont sans doute être décontenancés sans soufre douleur et puis finalement on a des chances qu'ils s'en prennent à l'autre » je hochais la tête, il avait sans doute raison. Ma mère avait toujours besoin de s'en prendre à quelqu'un. Privée de son souffre douleur, il ne serait pas impossible qu'elle s'en prenne au père d'Aidan. J'affichais un sourire et finis par rapprocher ma bouche de la sienne. « On s'en fiche de toute façon » dis-je avant de l'embrasser. Dur à croire mais il fallait que j'apprenne à vivre sans elle, à l'oublier puisque jusque-là elle ne m'avait apporté que des ennuis. Ce n'avait jamais été une nouvelle mais disons qu'il avait été dur pour moi de lâcher cette espérance qu'un jour, elle devienne comme les autres. Je me pinçais légèrement la lèvre avant d'entendre frapper à la porte des toilettes. « Je crois qu'on va devoir y aller. » je me mis à rire avant de prolonger son baisée une dernière fois. La porte s'ouvrit et Aidan s'excusa auprès de l’hôtesse en lui baragouinant quelques belles paroles. Main dans la main, nous retournions à notre place. Une fois installé, je me penchais légèrement vers le peintre et lui fis : « Tu penses qu'un professeur ou bien un futur médecin a le droit de s'infiltrer en cachette dans la chambre d'une cabot ? » dis-je avant de sourire pleinement et de lui faire une grimace.
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