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Jackie ☼ You do such damage, how do you manage?

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Jour 15

You do such damage, how do you manage?

Heure : 12:45 i
Lieu : Avion en partance de Wellington à destination de Boston
Contexte : Aidan rentre du summer Camp et va se retrouver avec une voisine qui va beaucoup l'arranger
Participants : Jackie-Elie Stevensen et Aidan L. Norrington




Le Spring Break était à présent terminé et l'heure était venue de rentrer. Un long voyage attendait les habitants de Cambridge et Aidan s'y était résigné. Ces derniers temps l'avion était devenu sa deuxième maison et il était préparé à de longues heures de voyage. Il était content de son séjour, globalement le Spring Break avait tenu ses promesses hormis deux ou trois choses, enfin une en particulier. Son accrochage avec Jackie. Il ne savait pas trop quoi en penser, mais les choses s'étaient passées comme ça, il ne pouvait plus rien y faire, et surtout il ne comprenait parfois pas la Blonde. Il cala les écouteurs dans ses oreilles et ferma les paupières, déjà prêt à sombrer alors que l'avion n'avait pas encore décollé. Il sentit une silhouette prendre place à côté de lui, il n'ouvrit pas l'oeil, de toute manière il ne connaissait pas cette personne pour la bonne raison qu'il voyageait seul. Le parfum qui vint à ses narines était toutefois étrangement familier. Il entrouvrit un œil, le cœur quelque peu affolé. « Tu me poursuis pour me tuer dans mon sommeil c'est ça ? » lance-t-il un peu froidement tout en écartant un des écouteurs de son oreille.  Il manquait plus que ça.
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You do such damage, how do you manage?
La chaleur s'évaporait petit à petit, la fraîcheur de l'avion me ramenait à cette douce réalité. « douce » quel bel euphémisme. Le spring break prenait fin et il était temps de rentrer à la maison. Quelque peu déçut de quitter ce paradis pour retrouver la galère qui se cachait derrière ma routine. J'avançais le long du couloir, mon sac à la main, cherchant mon siège. Je lançais de rapide coup d'oeil aux personnes que je croisais. Des personnes que j'avais eu le loisir de côtoyer et d'autres que je ne connaissais pas. Mon billet indiquait le siège B95 avant que je ne redresse la tête pour regarder les indications. Mon regard se stoppa sur lui, Norrington. Mes yeux se levèrent légèrement, agacer de constater que mon voyage allait tout sauf tranquille. Je n'avais pas envie de lui parler, envie de le voir. Allez donc savoir pourquoi... J'approchais doucement de ma place avant de finalement relever la tête et faire comme si de rien était. Je mis mon sac dans le compartiment qui se situait juste au-dessus de moi avant de m'asseoir lourdement sur mon siège. L'avion n'avait jamais été mon truc, mais que voulez-vous quand vous voulez découvrir d'autre pays, vous n'avez pas le choix. Je pris ma bouteille d'eau et sortis un caché. J'avais besoin de me relaxer et Aidan était tout sauf relaxant bien au contraire. Je ne le regardais pas, feignant l’indifférence « Tu me poursuis pour me tuer dans mon sommeil, c'est ça ? » je ne le regardais pas, j'ouvris ma bouteille et lui fis : « la vie ne tourne pas autour de toi, Aidan ! » dis-je en accentuant les dernières lettres de son prénom. Rares étaient les fois où je l'appelais par son prénom. Il le savait et j'étais ravie de pouvoir lui balancer ce genre de réflexion à la figure. « Tu peux dormir tranquillement, je ne te tuerais pas ! » dis-je en affichant un mince sourire. J'avalais m'ont caché avant de finalement fermer les yeux.
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Finalement Aidan est pris à son propre piège. A vouloir feindre l'indifférence , le coup porté n'est que plus meurtrier quand la jolie Blonde à ses côtés choisit la même parade. Sans doute qu'il l'a éconduit brutalement la dernière fois, mais c'est tout ce que son orgueil et surtout sa volonté de se préserver lui avaient crié. A trop vouloir préserver son honneur, sans doute qu'il avait froissé le sien, mais le mal était fait et étrangement, il ne le regrettait pas. Sa mâchoire se crispe néanmoins à la seule sonorité de son prénom prononcé de ses lèvres revanchardes. Mais l'ancien Lowell se drape dans ce jeu de nonchalance auquel il s'adonne depuis tant de temps, plutôt mourir que de se désarmer. « Ah bon ? Alors qu'est-ce que tu fais là ? » rétorque-t-il moqueur avant de se tourner vers le hublot. Il tourna toutefois ses prunelles rapidement vers l'intruse, l'observant ainsi prendre un cachet. « Tant mieux, parce que j'ai pas envie de finir dans les gros titres comme la victime d'une tueuse psychopathe et en plus junkie. » Il a un rictus et s'enfonce profondément dans son siège et s'apprête à remettre l'écouteur dans son oreille. Le voyage promet d'être long.

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L'indifférence et la nonchalance reprenaient petit à petit le dessus. Le résultat en était médiocre. Je ne le regardais pas, déterminé à l'ignorer pendant la durée du vol. Le destin se jouait une nouvelle fois de nous et tout ceci commençait à être agaçant. Souffrir, voilà à quoi j'étais destinée. L'erreur n'était pas ici mais elle avait été faite depuis bien longtemps. Je me mis dans le fond de mon siège fermant légèrement les yeux. « Ah bon ? Alors qu'est-ce que tu fais là ? » j'ouvris instantanément mes yeux, refermé sur moi-même. Je ne laissais rien paraître même si à cet instant l'agacement prenait un peu plus de place. « Je suis là comme tout le monde, je rentre chez moi. Tu t'attendais à ce que je prenne la voiture peut-être ? » dis-je froidement alors que je lui jetais un rapide coup d'oeil sur le côté. Le plus dur dans tout cela, s'était que je le connaissais. L'autodestruction s'était notre truc et ça l'avait malheureusement toujours été. « Tant mieux, parce que je n'ai pas envie de finir dans les gros titres comme la victime d'une tueuse psychopathe et en plus junkie » je levais les yeux et finis par tourner mon visage vers lui. « Ce n'est pas de ma faute si tu choisis mal tes connaissances. » dis-je en plissant légèrement les yeux et en affichant cette fois-ci un sourire espiègle. « te tuer ? Non... Dois-je te rappeler que je ne pense qu'à moi ? aah non tu dois t'en souvenir. » dis-je en lui faisant un clin d'oeil avant de me remettre droite dans mon siège. Ses paroles m'avaient blessé même si j'essayais de ne pas le montrer mais à ce stade la rancoeur était difficile à contenir.
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Bien sûr qu'il l'agace et c'est là tout ce qu'il cherche, car quitte à souffrir autant qu'elle souffre un peu elle aussi. Elle vient se pointe, lui balance des pointes de désir au visage pour mieux s'emparer de son âme une fois de plus, et l'entraîner où ? Dans la noirceur, le doute, voire pire l'indifférence. Alors il a peut-être préféré la vendre au diable, cette encombrante. Ses paupières glissent doucement sur elle-même comme pour sceller le serment qu'il se fait à lui-même. « Avoue que l'avion est tout de même grand pour que tu te retrouves à côté de moi. » Sa voix est douce, presque fataliste. Pourquoi se retrouve-t-elle à côté de lui ? La question est légitime et il ne sait pas si il doit attribuer la réponse au destin ou aux manigances féminines. Dans l'esprit de Demoiselle Stevensen, va savoir les idées tordues qui parfois passent. Voilà d'ailleurs qu'elle lui balance un peu de sa rancœur au visage, c'est légitime il donne le coup, elle pare l'attaque et il n'en attend pas moins d'elle. « C'est vrai. » rétorque-t-il tandis qu'une amertume cerne ses traits. « Au moins j'aurais la vie sauve. » Sa voix se fait nonchalante, traînante, à quoi bon être vivant pour l'être dans cet état ? Mais ça, il ne va pas lui dire à la jolie Blonde. Que de la savoir juste à côté de lui relève du supplice, qu'avec elle à ses côtés la comédie est vraiment pénible à jouer. Le silence s'installe, oppressant, et l'artiste entend sa voix intérieure, qui hurle, hurle de sons étouffés de tout ce qu'il n'a pas su. Dire, revendiquer, avouer. L'air s'échappe de ses lèvres hésitantes, comme un aveu. Il baisse la garde le malheureux. « Pourquoi tu as fait ça Jackie ? » Ses pupilles azurées se tournent vers la Provocante. Parce qu'il n'explique toujours pas son comportement, et pourquoi elle continue de jouer avec lui en sachant pertinemment qu'elle lui fait du mal. Elle ne peut pas être ce qu'elle paraît, non, il a toujours été persuadé du contraire, même si ses actes prouvent le contraire. Norrington s'entête à ne pas se fier aux apparences.
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Ces mois loin de Cambridge n'avait finalement rien donné, mes efforts s'étaient envolés en quelques minutes pendant cette journée. Un baiser, une envie et voilà que j'avais récolté ce qui me pendait au nez depuis plusieurs mois. Maintenir l'effort voilà ce qui était le plus dur dans cette histoire, ignorer l'appel au secours qui hurlait en moi. Je m'interdisais bien des choses et aujourd'hui comme toujours j'en souffrais en silence. « Avoue que l'avion est tout de même grand pour que tu te retrouves à côté de moi » ma mâchoire se crispa quelques secondes. Le destin se montrait parfois cruel. S'était agacé de voir comme cet homme avait de l'emprise sur moi. Je ne le regardais pas avant de finalement soupirer. Je pris mon sac et sortis mon billet d'avion avant de me tourner vers lui pour lui tendre le billet « ne croit surtout pas que je suis ici parce que je le veux. » dis-je en assistant pour qu'il prenne le billet avant de finalement lui plaquer le billet sur le torse avant de me remettre dans mon siège. Le voyage allait être long, très long, trop long peut-être. Le jeune peintre rétorqua « C'est vrai » j'avalais ma salive essayant de ne plus faire attention à lui obstiner à rester aussi distante et froide. « Au mois j'aurais la vie sauve » mon regard se faisait distante tout aussi glaciale que mes paroles. Je tournais légèrement la tête ne trouvant finalement rien à redire. Voilà où nous en étions. Toute cette proximité, tout ce bon sens me manquait.
Ma gorge était serrée, mes yeux commençaient à me piquer. Instinctivement, je fermais les yeux simulant une envie pressante de dormir. S'était finalement pour mieux gérer cette situation qui m'atteignait bien plus que je ne le laissais paraître. « Pourquoi tu as fait ça Jackie ? » ma tête se tourna sur le côté fixant le jeune peintre cette fois-ci. « Arrête... arrête tout de suite. » dis-je en le fixant. « N'essaye pas aujourd'hui de comprendre ce qui a pu me pousser à faire sa pas après ce que tu as dit... » dis-je en respirant un peu plus vite avant de finalement continuer : « Tu savais que cette danse était dangereuse, on le savait tout les deux ! » dis-je en serrant la mâchoire avant de finalement sentir l'avion bouger vers la piste de décollage.
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Elle lui tend son billet pour prouver la véracité de ses dires, le Nonchalant n'y prête qu'un œil distrait, peu engagé à écouter un argumentaire inutile. Les faits sont là. Elle plaque finalement le bout cartonné contre sa poitrine et il n'a pas d'autres choix que de le recouvrir de ses mains. Le hasard a finalement décidé pour eux, et il doit avoir un certain sens de l'humour pour jouer comme ça avec les deux malheureux. La tourmente s'abat et expie et c'est par la colère qu'elle répond. Une colère sourde, insidieuse qui ne demande qu'à exploser mais Aidan ne veut pas y prêter attention. L'avion se met en route et amorce sa course vers la rampe de décollage. Machinalement, l'Ancien Lowell abaisse sa nuque contre le dossier de son siège et ferme les yeux quelques instants. Pourquoi lui dit-elle ça ? Où est la petite Peste de Cabot en cet instant ?« Tu aurais dit quoi à ma place ? Ne me fais pas croire que tu aimes adopter la soumission quand on te maltraite. » prononce-t-il abruptement. Elle n'a pas de quoi jouer la victime quand elle est le bourreau à ses yeux. Non vraiment pas. Bien entendu qu'il savait ce jeu dangereux, cette danse lascive et synonyme de brasier entre eux, mais ce n'est pas comme si il pouvait quoi que soit. Contrairement à elle. Ses dents martèlent le chair de sa lèvre, de peur de dire des mots regrettables peut-être ? Mais trop tard. « Je te rappelle que c'est toi qui a décidé de mettre fin à notre relation. Je n'y suis pour rien là-dedans alors ne me fais pas porter le chapeau. C'est toi qui ne sait pas ce que tu veux Jackie. Moi je sais. » articule-t-il en plantant ses prunelles glacées aux siennes, comme pour mieux provoquer la jeune femme.
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Difficile de garder un semblant de nonchalance, cette situation n'avait pas le mérite d'exister selon moi. Blesser, j'avais opté pour l'indifférence seulement l'ignorée était presque impossible. Mon subconscient me criait de lui faire face alors que ma raison elle me poussait à fuir. Fuir une nouvelle fois mais cette fois-ci pour aller où ? Je n'avais aucune porte de sortie cette fois-ci. Et ma seule option restait de lui faire face. « Tu aurais dit quoi à ma place ? Ne me fais pas croire que tu aimes adopter la soumission quand on te maltraite. » je plissais des yeux avant de les planter sur le jeune peintre. L'avion s'arrêta une dernière fois préparant son décollage. Je me retournais vers lui « Tu te fiches de moi ?! Parce que être blessé s'est fait preuve de soumission maintenant. Tu sais très bien que je ne le suis pas alors me provoque pas...» dis-je en tournant la tête. La peur de l'avion semblait s'être envolé laissant place à la colère. Au moins, le jeune peintre me faisait oublier mon anxiété. Mon visage se retourna une nouvelle fois lorsque le jeune professeur fit : « Je te rappelle que c'est toi qui as décidé de mettre fin à notre relation. Je n'y suis pour rien là-dedans alors ne me fais pas porter le chapeau. C'est toi qui ne sais pas ce que tu veux Jackie. Moi je sais. » je levais les yeux au ciel avant de renchérir immédiatement. « Et allez s'est reparti... oui, je t'ai quitté mais réfléchi deux secondes ! Tu n'as jamais cherché à savoir pourquoi, à voir plus loin que ce que tu sais déjà. Et t'inquiète pas j'ai bien compris que tu savais ce que tu voulais » dis-je en le fusillant du regard avant de finalement être plaqué dans mon siège. L'avion commençait sa course. Je posais mes mains sur les accoudoirs, les serrant fermement avant de regarder les yeux vers le peintre. « Je ne t'ai pas embrassé pour faire joli... »
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Ses doigts se replient sur le velours de l'accoudoir alors qu'il sent l'avion se relever vers le ciel. Il veut être partout sauf là où il se trouve en cet instant, et pourtant il n'a pas le choix, et il est presque soulagé même de crever finalement l'abcès. Même si il n'est pas certain que cela les mènera quelque part. « Justement, c'est ce que je te dis, ne me reproche pas de m'être révolté, tu aurais fait pareil. » siffle-t-il entre ses dents tout en fermant de nouveau les yeux. De se savoir juste à côté d'elle et qui plus est attaché le révolte tout bonnement. Elle insinue qu'il y a une autre raison à leur rupture. Il s'en ait douté mais le doute a pris le dessus et alors il n'a pas voulu savoir la vérité. Son orgueil l'a porté loin et conforté dans l'incompréhension. Il soupire, défaitiste presque. Comme le boxeur qui est mis chaos par un coup dont il n'attendait rien. Sa nuque amorce la rotation et son visage fait de nouveau face au profil de Jackie. « Alors pourquoi ? » Il se redresse alors que le Commandant de bord annonce qu'ils sont parvenus à l'altitude de croisière et que les passages peuvent détacher leur ceinture. « Comme tu vois, j'ai tout mon temps. » Sa voix est aussi douce qu'abrupte, puisqu'est venu le temps des explications, voyons ce qu'a à dire la Demoiselle pour sa défense.

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« Justement, c'est ce que je te dis, ne me reproche pas de m'être révolté, tu aurais fait pareil » j'affichais une grimace avant de finalement tourner la tête. Aidan n'avait pas tort, j'aurais réagi pareil. Il le savait et je le savais. Le plus dur dans ses circonstances, s'est que le mystère n'avait presque aucun sens en sa compagnie. Ça l'avait toujours été. Je fermais également les yeux essayant d'oublier pendant quelques instants la présence du jeune peintre. L'avion continuait son ascension, ma gorge se nouait face à la pression. « Alors pourquoi ? » mon visage se tourna une nouvelle fois vers lui. Face à la vérité voilà où je me retrouvais. Une situation qui allait être gênante et épuisante. Je le savais et je le sentais. L'avion se redressa et la voix du commandant retentit dans l'appareil avant que le jeune peintre ne détache sa ceinture « comme tu vois, j'ai tout mon temps. ». Je me mis à soupirer avant de retirer ma ceinture. Je me tournais légèrement vers le jeune peintre et lui fis : « si tu y tiens, allons-y » dis-je en le regardant dans les yeux avant de reprendre ma respiration. « Je ne t'ai pas quitté parce que j'en avais envie... » dis-je en portant ma main sur le front. « ma mère est venue me voir... j'étais persuadée que c'tait une visite de courtoisie seulement non. Elle m'a fait choisir... » dis-je en faisant une grimace et avant de me remettre droite. Je ne regardais pas le peintre et lui fis : « je pouvais pas rester avec toi... je pouvais pas rester avec toi en sachant que j'allais te priver de tes études, de la peinture et tout ce que tu aimes. Je pouvais pas. Alors oui, tu peux me détester autant que tu veux pour t'avoir fait du mal mais tu peux pas dire que je pense qu'à moi » dis-je en le fixant cette fois-ci du regard. « alors oui, en t'embrassant, je me suis comporté comme une égoïste. J'ai pensé à moi et moi seule mais tu ne peux pas me le reprocher. Oui parce que tu as beau m'énerver au plus au point, j'arrive pas à t'enlever de ma tête... OK !» dis-je en faisant de grand geste avant de finalement soupirer sans le regard.
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