Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitywhere the fun ain't got no end ❉ RHISA - Page 2
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where the fun ain't got no end ❉ RHISA

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WHERE THE FUN AIN'T GOT NO END.
Que je te paie à manger, ça peut passer, mais le massage par contre c'est vraiment à négocier. J'arquais un sourcil à sa réponse, l'observant retirer carrément son short et poser son sac au sol. Ok il fait quoi là ? Pas de massage égale pas d'accord, pas de deal. Non mais il ne semble pas vouloir l'entendre de cette manière puisqu'il finit par ouvrir la porte de la douche et en moins de temps qu'il n'en fallut pour que je m'en rende compte, il m'attrapai par la taille, pour me porter. Je comprenais rien à ce qui se passait là. Mais lâche moi ! dis-je, donnant ses coups de poings (de nans soyons d'accord) dans son dos. Mais il va pas bien !  Tu mérites vraiment une punition pour essayer de me corrompre à ce point. Je fronçais les sourcils. Une punition ? Mais qu'est-ce que... Ouais là je ne crois pas qu'il parlait de me taper sur les doigts non, et je le compris bien quand je sentais ses tapes sur mes fesses. Euh ok, il m'inquiétait là, sur qui j'étais tombé encore ? Il me relâchai finalement, et je me retrouvais face à face avec lui. Il arborait ce sourire aussi inquiétant, énervant et terriblement sexy à la fois. Alors, on négocie toujours ? Mes interrogations toujours en tête sur ses intentions, je ne répondis rien, me contentant de lui jeter un regard confus. Et finalement il s'approchai de moi, pour m'embrasser. Je restais surprise, ce gars était juste une montagne de surprise à lui tout seul. Je pouvais pas me retirer de son emprise et c'était à se demander si je le voulais. Faut dire que j'allais peut être pas me plaindre du gars que j'avais collé à moi, là maintenant. Et pourtant, c'était flippant. Il se reculai finalement d'un coup. Je le fixais, reprenant mes esprits. Il faisait chaud, très chaud en plus. Je sais pas si c'était que l'effet de la douche sincèrement. Mais cet imbécile, oui je peux l'appeler comme ça, rattrapa son sac et il sortit. Comme ça, genre, comme s'il sortait de son appart. Je restais sur le cul, à quel moment tu fais un truc comme ça et tu t'en vas ? Non mais non j'étais pas d'accord. Non j'étais vexé là. Je repassai la tête par la porte, le voyant entrer dans une autre douche. Je pouvais pas rester comme ça, je devais me venger. J'avais pas le choix. J'enfilais donc mon débardeur, histoire de pas me retrouver à poil et me dirigeai là bas. Je réfléchis quelques minutes, et maintenant que j'étais sur que c'était dans cette douche qu'il se trouvait, j'entrais dans celle d'à coté. Le haut des douches n'allait pas jusqu'au plafond et l'idée me vint direct en tête. Ni une ni deux j'attrapais la paume de douche et réglait la température au plus froid possible. Je testais, c'était gelé, parfait. J'entendais toujours pas son jet douche alors c'était l'occasion parfaite. Je m'agrippais sur la pointe des pieds, pour faire passer la paume de douche de l'autre côté et j'envoyais le jet. J'ose même pas imaginer la sensation, uurghhh. Et avec de la chance, j'aurais trempé ses affaires. Et il avait encore rien vu. J'étais vexé et d'humeur très taquine, j'allais bien me venger.  
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Bon j'allais passer pour le pervers de base à l'embrasser d'un coup, mais c'était la seule manière que je connaissais pour créer de la frustration chez les jeunes femmes. Je n'avais pas été plus loin et je ne me le serai pas permis. Le problème c'est qu'avec un personnalité adepte au SM, parfois, le naturelle revenait au galop et montrant en plus un côté sadique que personne ne me connaissait. Mes ardeurs alors calmé, j'étais dans ma cabine en tenue de bain et allumait l'eau chaude pour me rafraîchir. Des soupirs d'aises et de contentement se faisait entendre puisque j'étais plutôt détendu. Sortant mon gel douche parfumé, je commençais tranquillement à me laver le torse en sentant une douleur désagréable au niveau de mon dos quand un jet  glaciale s'invitait sur ma tronche pendant que j'avais les yeux fermés. Hein ? Ouvrant les yeux subitement, je voyais une pomme de douche dépassé au dessus du petit mur séparant la douche voisine. Qui cela pouvait être. J'éteignais ma douche, et encore tout savonneux, je me précipitais dans la douche d'a côté. La porte ouverte me laissait un accès libre et sur qui je tombais ? La jeune Brésilienne au sang chaud visiblement. Elle osait me défier ? Ça va finir mal. Je dois reconnaître que tu as du cran, bien plus que je ne l'imaginais. J'allais tout de même l'a félicité pour sa tentative d'emmerde, non ? J'aimais les caractères qui changeaient de l'ordinaire et encore plus quand c'était un bout de femme pas trop grosse et prête à se battre pour sauver sa dignité. C'était mignon. Mais bon, fallait bien que je lui rende l'appareil. J'avançais vers elle en maîtrisant tout d'abord l'objet entre ses mains qui pouvait m'être dérangeant. J'éteignais l'eau, pour par la suite m'occuper de ma petite proie visiblement vexé du peu d'attention que je lui portais. Mais en général, je suis plutôt vilain avec les filles dans ton genre. Calme down Mason, on se calme, fait pas peur à la petite avec ton air d'homme viril et prêt à lui tomber dessus. Et sans prendre de gant, tout à coup, je me collais à elle, fléchissant quelques secondes les genoux pour attraper ses cuisses et l'a soulever tout en me logeant entre celles-ci. Relevant la tête vers elle, j'étais à quelques centimètres seulement de ses lèvres mais pour le moment je préférai l'observer, qu'elle montre sa réaction face à mes actes. On fait encore la maligne là ? Demandais-je en montrant un sourire narquois, je m'amusais bien là. Du moins jusqu'à ce que la porte s'ouvrir et que deux touristes nous regarde intrigués, voir choqués. Je ne me démontais pas, j'étais loin d'être pudique comme gars. Ils allaient bien finir par se tirer en plus à moins qu'ils soient intéressés.
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Moi et mes idées farfelues, on s'entendait à merveille. Et sincèrement, j'étais fière d'avoir trouver cette petite vengeance. C'était petit et un peu enfantin sûrement, mais ça l'énerverait forcément. Autant que moi j'avais pu l'être; Tu plantes pas quelqu'un comme ça juste après l'avoir embrassé, comme ça sans prévenir. Surprenant le gars. Mais super sexy aussi. J'étais donc là, les bras en l'air tenant la paume de douche pour  inonder la douche du jeune homme. Finalement, j'essayais d'entendre une quelconque réaction mais nada. Enfin jusqu'à ce que je vis la porte de la douche s'ouvrir, pour laisser apparaître Rhys, c'est comme ça qu'il s'appelait. Je dois reconnaître que tu as du cran, bien plus que je ne l'imaginais. Quoi ? J'avais vraiment la tête d'une fille qui se laissait faire ? J'étais doublement vexé là, mais je laissais rien paraître. Tu sauras que je suis pas le genre à me dégonfler comme ça. déclarai-je, fièrement. Oh non jamais. Encore moins face à un homme. Il s'approchai finalement de moi, et j'eu un mouvement de recul quand il attrapa la paume de douche pour me la retirer des mains. Un instant j'avais hésité à lui renvoyer dans la figure mais là, je crois que j'aurais signé mon arrêt de mort. Qui sait que de quoi ce mec était capable ? Il semblait pas être le gars qui se laisse marcher sur les pieds. Tout comme moi. Mais en général, je suis plutôt vilain avec les filles dans ton genre.  J'haussais un sourcil, les filles dans mon genre ? Quoi les filles qui supportent pas l'humiliation et qui riposte ? Au final, il n'y en a pas des masses. Beaucoup de filles sont soumises, et c'est peut être pour ça que je m'entends mieux avec les mecs. Finalement, pour la deuxième fois en un quart d'heure que je connais ce gars, il se collait à moi avant de me soulever, pour que je me retrouve les jambes de chaque côté de ses hanches. On fait encore la maligne là ? J'allais pas me laisser démonter. J'étais loin d'être une fille qui se laissait impressionner part tout ça, non du tout. Même si à cet instant, son visage à seulement quelques centimètres du mien réussissait à me déstabiliser. Ses yeux.. il avait des yeux magnifiques, un regard qui transperce. En les fixant un peu plus, ça le rend intimidant. Il l'est quand même un peu. Te laisse pas avoir Jeisa. Résiste. Quoi ? Tu ripostes toujours comme ça ? demandais-je un sourire en coin. Je posais mes mains autour de son cou, pour pas les laisser pendre partout. Laisse moi deviner... Tu vas encore m'embrasser c'est ça ? dis-je, haussant un sourcil. Provoquer moi ? Pas du tout. Le prends pas mal, mais t'es un peu... prévisible... dis-je en insistant sur les deniers mots. Je sais pas à quoi je jouais, mais je jouais. Je sais pas non plus ce que j'attendais, mais les choses m'amusaient alors pourquoi je m'arrêterais. Et forcément il fallait un problème dans la situation. Deux personnes, sûrement un couple, nous regardait, interloqués. Je les regardais, attendant qu'ils bougent mais non ils restaient plantés là. J'étais blasé, ils venaient de me couper dans mon élan. Vous voyez pas que vous dérangez ? dis-je, en battant des cils. En d'autres termes, barrez vous de là. Je me fichais de ce qu'ils pensaient actuellement, et je me gênais pas pour leur dire clairement que leur présence était indésirée.
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Je ne suis pas comme ça. Je ne me jette pas sur les femmes à peine rencontré comme ça, sans raison ou sous prétexte qu'elle est arrogante. Mais j'imagine que la chaleur de la Nouvelle Zélande m'avait un peu trop fait tourner la tête. Je me perdais aussi peut être dans ma folie que je ne pouvais pratiquement jamais sortir de moi. Le vrai Rhys, le sadomasochiste aimant infliger une douleur douce mais succulente. Je crois juste que j'étais entrain de me perdre en croisant la séduction et ce jeu qui me plait tant. Un déclic intervenu au moment où ses deux vieux touristes nous regardaient en nous trouvant certainement idiots. Jeisa semblait d'un avis tout trouvé en leur gueulant clairement dessus afin qu'ils partent mais vu leur tête, ils ne devaient pas parler anglais. J'avais une petite idée. La jeune femme toujours accroché à moi, puisque je l'a soulevais me taquinait et j'irai presque dire qu'elle avait réellement un caractère très vicieux. Elle me défiait même. L'a faisant finalement passé sur mon épaule afin de pourvoir l'a transporter, et me retournait avant de saluer les touristes avec un sourire poli pour par la suite sortir des douches publiques. Je ne comptais pas partir loin, j'avais encore mes affaires dans ce bâtiment et sans mon sac, je ne pouvais rentrer à l'hôtel. J'avais récupéré entre temps ma serviette posé entre les deux douches qui allait me servir à tout autre chose. Non pas à un meurtre comme on pourrait le croire, seulement à une petite vengeance bien mérité. En voyant une douche ouverte qu'on utilisait sur la plage afin de se rafraîchir et d'enlever le sable dérangeant sur les parties de notre corps, je l'as ramenais sur le sol en entourant sa taille de ma serviette. Collant par la suite son corps à la douche, je fis un beau noeud tout en serrant afin qu'elle ne se libère pas aussi facilement. Prévisible ? A qui le dis-tu ? Et si tu penses que je vais t'embrasser de nouveau, très bien. La prochaine fois si on s'embrasse c'est que tu m'auras supplier. Autant dire que vu son caractère, on allait pas voir ça tout de suite mais je croyais aux miracles. Par la suite, j'allumais la douche, appuyant sur un bouton temporaire permettant à la pomme de douche de sortir de l'eau plutôt fraîche et d'en badigeonner son corps entier. C'est très sexy. Elle est mignonne mouillée. Une douche froide, c'est pas mal pour rafraîchir les idées par moment. Un sourire ironique apparaissait son mon visage et c'est peu à peu seulement que je m'accroupissais à hauteur de ses genoux. Je me retenais d'embrasser ceux-ci mais laissait ma main se balader sur sa jambe jusqu'à remonter à la ficelle de son bas de maillot de bain. Si je tire, qu'est-ce qu'il se passera ? Demandais-je en total sadique que je suis.

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Contrairement à d'autres, je n'étais pas gênée mais alors absolument que des inconnus nous tombent dessus dans cette situation. Je savais qu'il ne se passait rien de très.. gênant dirons nous entre lui et moi, donc je ne sentais aucune gêne. Cela aurait peut être été différent s'il s'était réellement passé quelque chose. Mais visiblement, les deux personnes ne semblaient pas comprendre ce que je leur disais et j'eu simplement le temps de soupirer et lever les yeux au ciel, quand je me sentais passer au dessus de l'épaule de Rhys. Oh non pas encore ? Il va me transporter de cette manière partout ou quoi ? Stop. Je peux marcher seule. Reste à savoir si je l'aurai suivie si j'avais su ce qui m'attendait. Bien évidemment que non, c'est bien pour ça qu'il ne m'avait pas gentiment proposé de le suivre. Au moins là j'aurai pu m'échapper. Non sans essayer de me dégager, je me retrouvais à l'extérieur, un peu en retrait de la plage. Je me sentais à nouveau au sol mais encore une fois, je ne réussissais pas à me défaire de son emprise puisqu'il m'avait attaché à une douche. Quoi ? C'est une blague ? Prévisible ? A qui le dis-tu ? Et si tu penses que je vais t'embrasser de nouveau, très bien. La prochaine fois si on s'embrasse c'est que tu m'auras supplier. Oh bon sang, j'étais dans la merde jusqu'au cou là. Tu peux encore rêver ! Détache moi, maintenant ! Il aurait pu accepter, mais non cela aurait été trop facile et je commençais à me dire que là je n'allais pas réussir à me détacher seule. Il avait bien serré. Et j'étais là, attachée à une douche sur la plage et comme si on ne pouvait pas faire pire, il allumait le jet, dont l'eau était vraiment froide. Et j'avais aucun moyen de me bouger de là, aucun moyen de m'en prendre à lui. Une douche froide, c'est pas mal pour rafraîchir les idées par moment. J'avais l'eau qui dégoulinait sur mon visage, mes cheveux, tous mon corps. Genre, comme si je faisais un carwash. Sauf que non, c'était loin d'être le cas. Si je tire, qu'est-ce qu'il se passera ? dit-il, accroupis devant moi, sa main juste vers mon bas de maillot de bain. Non.. il oserait pas. Non, c'était trop publique comme endroit, il ne pourrait pas. Du moins je l'espérais, vraiment. T'es mort si tu fais ça, donc tu n'en sauras rien. Bien sûr je lâchais pas mon arrogance, bien que je savais que cela ne m'avantageait pas dans la situation dans laquelle j'étais. Je te jure que si tu fais ça ! Je cherchais une menace assez pesante pour le faire changer d'avis, mais bizarrement, je n'en trouvais pas. Il avait totalement l'avantage mais je jure qu'une fois que ce ne serait plus le cas, j'allais me venger, très fort même.
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Elle me menaçait. Et bizarrement, c'était succulent à entendre. J'aimais attacher mes proies mais encore plus les entendre ou bien se débattre. C'était dans mes pratiques et je trouvais ça d'autant plus excitant en pleine air. Mais pour le moment, c'était juste histoire de s'amuser et de la punir de son arrogance si rarement présent chez une femme en ses temps. En général ce sont des vagins sur patte mais visiblement, la jolie Jeisa n'était pas de ce bord là. Et ça m'arrangeais, ça rendait le jeu encore plus intense et récréatif qui plus est. Finalement je tirai légèrement la ficelle, sans pour autant que le tissu tombe et fini par embrasser doucement à cette endroit précis. Me relevant par la suite, le soleil commençait à décliner et par chance pas grand monde se trouvait sur la plage. Je l'a détachais finalement en mettant fin au jeu que j'avais crée pour l'a laisser partir en courant. J'étais pas là non plus pour la violer et mes gestes étaient assez déplacé comme ça. C'est bon, je me suis bien amusé mais ça suffit pour aujourd'hui. Encore heureux d'avoir fait ta connaissance Jeisa. Jolie brésilienne. J'espère qu'on se recroisera un de ses jours. Je reprenais ma serviette, et pendant que son attention se portait sur les endroits où celle-ci l'avait serré, je ne pouvais m'empêcher de tirer sur la ficelle de son haut de maillot de bain. Souriant, je déguerpissais rapidement vers les douches afin de récupérer mes affaires. Je remballais le gel douche et ma serviette dans mon sac à dos et en profitais pour boire une petite gorgée d'eau. Je grimaçais alors soudainement en sentant le tiraillement des coups de soleil dans mon dos, j'allais devoir demander à quelqu'un de me passer de la crème en arrivant. Sinon, c'était une nuit horrible qui m'attendais. Une fois dehors, j'avais en tête de faire un dernier tour de la plage avant de rentrer réellement à l'hôtel. Histoire de s'aérer la tête et de me détendre. J'avais été mis sous pression et après chaque moment intense de ce genre j'avais besoin de marcher. Surpris de ne plus voir la jeune femme dans le coin, je supposais que par peur du malade que j'étais elle avait finalement pris les jambes à son cou pour s'éloigner de moi. Ce que je comprendrai. Rejoignant le rivage, je faisais profiter à mes pieds de la fraîcheur de l'eau. Finalement je n'avais pas pris de douche, et c'était très désagréable de sentir tout ce sable encré dans mon maillot de bain, de mes pieds jusqu’à la pointe de ma chevelure. Une frisson me parcourait alors l'échine, me faisant frissonné. Quelle merveilleux paysage.
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Aussi étrange que ce soit, j'étais pas paniquée à l'idée qu'il puisse le faire, mais plutôt perplexe, énervée. En faite, je me demandais surtout si il allait oser le faire. Certes, il n'y avait plus grand monde sur la plage à cette heure-ci, mais il ne me connaissait pas après tout. Ce serait plutôt osé comme acte. Et je dois sincèrement reconnaître que quand j'ai senti ses doigts tirer doucement sur la ficelle, sans défaire pour de bon le noeud, j'ai bien cru qu'il allait le faire. Et là j'avais pris un coup de chaud. Je ne sais pas comment j'aurais réagi s'il l'avait fait, mais il en aurait pris pour son grade je crois. C'est même sûr. Il se relevait finalement, me libérant de l'emprise de la serviette. Il avait bien serré et c'était un soulagement de me sentir libérée. C'est bon, je me suis bien amusé mais ça suffit pour aujourd'hui. Encore heureux d'avoir fait ta connaissance Jeisa. Jolie brésilienne. J'espère qu'on se recroisera un de ses jours. Je ne répondis rien, toujours un peu perturbé par ce qui venait de se passer. Je posais mes mains sur mon ventre pour le frotter un peu alors que la serviette m'avait bien serré, quand je sentis mon haut de maillot de bain se desserrer. Immédiatement, j'eu le réflexe de le retenir de tomber avec mes mains, en me retournant ensuite. Espèce de... Mais non trop tard, il s'était éclipsé. Il ne devait pas être parti bien loin, ses affaires étaient encore dans les douches. Le temps de rattacher mon maillot de bain et de reprendre mes esprits, jetant un oeil au passage si personne n'avait assisté à cela. Je m'étais faite avoir comme un agneau. Un pauvre petit agneau. Et j'avais horreur de ça, j'avais le pressentiment qu'il avait gagner et ça ne me plaisait pas. Je fis alors le tour pour retourner jusqu'à ma douche, espérant que personne ne m'ai rien volé. Finalement, je me douchais, puisque c'était bien là le but au tout départ. Avant que ce Rhys ne débarque là. Un fois propre, j'enfilais une petite robe de plage violette que j'avais emmené, et quittai les douches. Une fois à l’extérieur, j'entrepris le chemin vers l'hôtel, quand j'aperçu une silhouette au loin, au bord de l'eau. C'est simple, il n'y avait personne aux alentours alors il était facile de trouver qui c'était. Comme si je n'en avais pas vu assez, je décidai de me rapprocher. J'avais encore de goût amer de la défaite, et c'est probablement ce qui me poussais à rejoindre le jeune homme. Je dois avouer que t'es doué. J'ai bien cru que tu allais le faire. dis-je, en arrivant à sa hauteur. Pourquoi j'étais revenu déjà ?
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J'avais sûrement été trop loin, surtout que je ne connaissais pas vraiment la jeune femme, et bien qu'elle me plaise ce genre d'acte ne donnait guère envie de me revoir en général. Mais mon côté dominant s'était très rapidement révélé devant elle, sans que je puisse rien y faire. Le naturel qui revient au galop, j'imagine. Je regardais une dernière fois le paysage tout en pensant à ce que j'allais faire en revenant, prendre une bonne douche, et surtout me préparer pour ce soir, si une fête était en prévision. Je laissais doucement l'eau salée rejoindre mes orteils, profitant de ce moment de calme jusqu'à ce qu'une voix féminine vienne perturber le calme, que seul les vagues perturbaient. Je me retournais alors en voyant une fois de plus Jeisa, cette fois-ci vêtue d'une robe violine lui allant à la perfection. Faut croire que finalement mon petite jeu ne lui faisait pas peur, du moins pas assez pour qu'elle revienne finalement me voir. Je souriais en entendant que je l'avais surprise, et je dois avouer que j'aimais vraiment donner ce genre d'émotion. Je suis comme même pas un violeur. Répondis-je en fronçant légèrement les sourcils, essayent d'être de bonne foi même après ce qu'elle avait vu de moi. Je me demandais bien pourquoi elle était revenue, la raison ? Avait-elle aimé ? Ce serait une première pour moi. A moins que tu veux finalement passer à l'acte. Répondis-je le sourire en coin, amusé tout à coup de la tournure que prenait la journée.
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Tout le monde savait que j'étais une très mauvaise perdante, que je détestais la défaite. Je n'aime pas me faire avoir même si malheureusement pour moi, cela arrive parfois. Et en l'occurrence, là, je me suis faite avoir. On avait été quitte pendant un moment qui n'avait finalement pas duré, puisqu'il avait parfaitement pris l'avantage après. Et je n'avais rien eu le temps de riposter donc oui, j'avais été frustré. Alors allez savoir comment je me suis retrouvée à retourner vers lui quand je l'ai aperçu sur la plage, en sortant des douches. J'aurais pu juste rentrer à l'hôtel mais non, mon côté aventurière si je puis dire prenait le dessus. Je suis comme même pas un violeur. Je fronçais les sourcils à sa remarque. J'ai jamais dis que tu l'étais. Du moins, t'en a pas la tête. dis-je en haussant les épaules. Enfin je crois qu'ils ne ressemblent pas à ça, comment on peut les reconnaître de toute façon ? Qui sait, peut être que Rhys était un psychopathe. On saura jamais. A moins que tu veux finalement passer à l'acte. Je souriais à ses paroles, même si je ne savais pas vraiment sur quel ton les prendre. Je ne suis pas si facile que ça tu crois quoi. déclarai-je avec un clin d'oeil. Naïve peut être, mais pas fille facile non. Encore heureux. Non c'est juste que j'ai un sentiment de défaite tu vois. dis-je en fronçant les sourcils. C'était une raison débile, mais pourtant elle l'était. La seule et unique raison. Le soleil n'allait pas tarder à se coucher, en en jugeant à la couleur rosée, orangée dans le ciel. C'était un magnifique paysage.
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Finalement, nous discutions tranquillement après un passage à vide pourtant très intéressant et excitant. Je ne l'avais pas effrayé et bizarrement c'était agréable de savoir que je n'étais pas un monstre dans ce genre de moment. Oui, c'est tel que je me définissais par moment, quand je montrais le vrai côté, le mec un peu sadomasochiste qui aimait bien faire du mal et que sa victime le supplie. Maintenant que la tentation et l'amusement étaient passés, je culpabilisais de mon comportement si soudaine avec elle. Mais m'excuser c'était une toute autre affaire. « Les violeurs n'en n'ont jamais la tête. » J'ai tellement vu de reportage la dessus que je pouvais lui nommer d'homme ordinaire changeant de comportement sans raison. « Facile ? Coucher avec un mec le premier soir, ça ne veut pas dire être une femme facile, juste qu'elle a des envies. » J'étais pour les femmes libres, après tout un homme couchant à tout va en lui dit rien, alors laissons tranquille la gente féminine. Ce ne sont pas des salopes, elles sont juste libres. Et ça me convenait plutôt bien à moi. « On peut toujours tout compliqué par la suite. » Répondis-je en souriant, montrant ma belle dentition toute blanche. Les femmes aimaient se genre de relation, en raffolait même. Et en général ça donnait des situations du genre qu'une femme aime deux mecs en même temps et ne sait pas lequel choisir. C'est tout de même détestable d'un point de vu masculin. « Je pense que je vais rentrer, je te raccompagne ? » Demandais-je sans la moindre arrière pensée, pour une fois tout ce que je voulais c'était d'être gentleman.

HJ:
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