Je pensais naïvement touché au graal sans me fouler malheureusement pour moi la jeune femme en avait décidé autrement. Son but ? Visiblement en profiter tout comme moi, le problème c'était qu'à cet instant, elle prenait un peu trop le dessus sur la situation. J'étais n'étais pas un adepte de ce genre de situation puisque j'avais une habitude, celle de tout contrôler et de tout négocier. Un massage ? J'avais trop la flemme et j'étais fatigué après une journée passé devant un soleil étouffant sans le moindre vent possible. Et je ne comptais pas me laisser faire, après tout elle ne savait pas sur qui elle venait de tomber, et je pouvais parier qu'elle ne se doutait pas du tout se trouver devant un adepte du SM. (
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Que je te paie à manger, ça peut passer, mais le massage par contre c'est vraiment à négocier. Posant mon sac par terre, j'enlevais alors mon short, étant tout de même en boxer afin d'être prêt à rentrer dans cette douche. J'ouvrais alors la porte en grand, posant ma main sur sa taille afin de l'a soulever et de l'a poser sur mon épaule droite. J'entrais alors dans l'espace réduit en posant mon sac du pied, avant de refermer la porte derrière nous. A présent que nous étions seuls dans cette douche et qu'elle était coincée, plus rien ne pouvait m'arriver. Et pour preuve de son insolence à me défier, j'avais fini par lui faire deux petites tapes bien mérité sur son derrière presque nu, vêtu seulement d'un bout de tissu.
Tu mérites vraiment une punition pour essayer de me corrompre à ce point. Dis-je alors en l'a faisant finalement redescendre, réduisant dans un même temps l'espace de la pièce mais encore plus entre nous deux. Elle veut jouer, alors elle va jouer, on va s'marrer. Je posais alors mes mains sur le mur, des deux côtés de sa tête, en plissant les yeux.
Alors, on négocie toujours ? Demandais-je un sourire narquois sur les lèvres, je l'as regardais alors dans les yeux sur de moi avant de me coller à elle et de l'embrasser. Directe, sans rien dire, juste parce que j'étais légèrement agacé de la situation et surtout parce que j'avais chaud, très chaud. Écrasant mes lèvres contre les siennes, j'avais fini par poser mes mains sur son fessier que j'agrippais de manière vigoureuse avant de tout lâché. Genre un petit coup de pression, du profit et je me reculais légèrement haletant. Je passais alors la porte, prenant mon sac au passage et m'arrêtant cette fois-ci en cherchant une autre douche de libre. Comme ça, sans raison, juste pour me provoquer une sensation et crée chez la jeune femme de la frustration.