terminé (hot) austin ∞ tu m'as manqué, mais juste.. " un peu " ♥

Depuis le début de notre histoire, personne n'a vraiment été d'accord. Dans le sens où mes parents ont toujours eu peur pour moi et mon petit cœur. Même s'ils sont très amis avec la mère de mon bouclé, ils ont toujours vu Austin comme un mauvais garçon qui m'embarque très souvent dans des conneries assez.. Imaginatives. Certes, il faisait toujours en sorte que je n'ai rien, mais ils savaient qu'ensemble, je me laissais entraîner dans des plans très foireux. Pas une seule fois avec lui je ne m'étais sentie en danger. Je lui avais donné une confiance aveugle depuis notre rencontre et ça n'avait – malheureusement, pour mes géniteurs – pas changé. Après notre rupture, c'était différent, mais voyez bien que depuis que l'on s'est revu ici, je n'arrivais pas à me séparer de lui. Il est comme un aimant auquel je suis attirée contre ma volonté. Bon, il faut dire que je ne me plains pas d'être en sa compagnie et que même ici, beaucoup de personnes m'ont prévenu qu'être avec lui.. Ce serait juste du suicide émotionnel. Mon petit ami n'avait jamais eu une réputation des plus sages avec la fête, la drogue, les filles et l'alcool. Un mélange dont je ferme les yeux pour ne pas finir paranoïaque triplé d'une jalousie maladive, d'une impulsivité dangereuse pour finir à m'autodétruire sentimentalement parlant. Alors je le laissais vivre sa vie comme il le désire, sachant qu'il me dirait s'il ferait un écart de conduite. Je le savais assez franc pour ça. Il était fidèle et même si la fête ne l'aidait pas à se tenir à carreaux, j'espérais qu'il ne me fasse pas trop de mal. Que si un jour il veut voir ailleurs ou s'amuser sans compter, qu'il me quitte avant. C'était un principe essentiel à mes yeux. La douleur que je ressentirais à cette fin entre lui et moi n'avait pas besoin d'être évoqué avant qu'elle n'arrive.

En attendant, mon corps tout entier hurlait à mon merveilleux copain de me faire l'amour, mais monsieur Da Silva semblait vouloir prendre son temps et me faire perdre la tête. Ses doigts dans ma culotte entraînaient des longs frémissements d'envie. Mon corps se tendait en sentant appuyer contre mon sexe et j'en voulais tellement plus à ce moment-là. Néanmoins, je ne bronchais pas, sachant que si je râlais, il serait capable de me faire languir encore plus longtemps. Une chose était certaine, je savais que même si un jour je ferais ma chieuse, il ne me punirait pas en me privant de son sexe. Je le connaissais trop bien pour savoir qu'il aimait coucher avec moi et que ses doigts n'étaient que là pour me rendre encore plus accro à lui. Salopard ♥. Mon dernier sous vêtement disparut alors que j'écartais mes cuisses pour le laisser entrer ses doigts en moi. Un long gémissement passait entre mes lèvres à ce moment-ci. J'avais envie de lui et l'attente devenait compliqué à garder pour moi. Mes lèvres frôlaient les siennes, gémissant son prénom chaudement, alors que mon corps ne se privait pas pour se calquer sur les mouvements de ses doigts. Je suis tombée de lui sans le vouloir, ça n'a jamais été facile, mais une chose est certaine : Même si un jour cela doit s'arrêter, j'aurais été heureuse avec lui et il m'aura donner plus que de l'amour. Tellement plus.

Mes doigts en elle, j’aimais l’à voir ainsi. Elle était canon ma copine. Je la titillais, voyant que ça l’à mettait dans tous ses états. Habituellement j’y allais directement, d’ailleurs les préliminaires ce n’était pas trop mon truc, mais en voyant son état, j’avais bien envie de remettre cela à chaque fois que j’aurais envie d’elle. C’était bon à savoir. Je finissais par enlever mes doigts pour enfin enlever son bas, la regardant à présent nue. Me mettant sur les genoux, je déboutonnais mon jean afin de le retirer, ainsi que mon t-shirt, laissant alors apparaître mes nombreux tatouages, notamment notre tatouage en commun qui nous restera pour le restant de notre vie à part si nous venions à nous séparer en très mauvais terme, j’imagine qu’on se le ferais retirer au laser, mais j’osais espérer ne pas en arriver là.

Ecartant ses jambes, je finissais par pénétrer en elle. Pas de la façon la plus délicate possible certes, car je n’étais pas du genre romantique et tout. J’étais Austin Da Silva, pas Roméo, mais elle avait l’air d’aimer ça. Son corps tout entier me crier de lui faire l’amour. Mes lèvres parcouraient chaque parcelle de son corps, soufflant doucement sur nombril avant de remonter à sa poitrine en titillant sur ses tétons qui semblaient déjà bien durcies. Passant ma langue tout autour, je souriais en l’entendant gémir. Je voulais qu’elle cri mon prénom, qu’elle prenne son pied comme jamais pour qu’elle se souvienne de ce genre de moment lorsque je ne serais pas à ses côtés. Pour qu’elle sache qu’il n’y aura que moi dans son monde. J’étais fier et heureux d’être son monde (a)