the first time i see you (ciaran)

the first time i see you

ciaran et poppy

Oui je mourrais d’envie de le prendre dans mes bras, de poser mes lèvres sur les siennes, jusqu’à en perdre haleine, comme-ci il allait devenir ma nouvelle source d’oxygène. J’avais besoin de le sentir prêt de moi, sans le voir se décider à s’éloigner de moi. Je le fixais, mordait ma lèvre inférieure, le dévorait des yeux, manquait de perdre mon souffle, à chaque fois qu’il entre-ouvrait les lèvres. Je lui avouais finalement que je mourrais d’envie de l’embrasser, depuis le moment où j’avais posé mon regard sur lui. J’avais littéralement l’impression de fondre, alors que mon cœur loupa un nouveau battement, et que le souffle court, je l’observer se lever. Est-ce qu’il allait partir parce qu’il m’avait trouvé trop débile ? Non. Je le vois s’approcher de moi, alors que mon regard est incapable de lâcher le sien, alors qu’il se penche légèrement vers moi, à quelques centimètres de mes lèvres. Mon pouls s’accéléra également, alors qu’il me fixe intensément, et qu’il me demande si j’en ai toujours envie. Oh oui, j’en avais toujours envie, et encore plus maintenant, que je le sentais si proche de moi, alors que son souffle caressait ma peau. Oui… Je murmurais doucement, alors que mes lèvres frôlait presque les siennes. Je ne voulais pas d’une aventure avec lui, je voulais quelque chose de plus profond, de sincère. Je le voulais, pour moi, sans jamais vouloir le partager avec qui que ce soit.

Est-ce que ça allait trop vite ? Est-ce qu'on ferait mieux de se taire et de jouer aux indifférents ? Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Quand je dis que la vie est courte, c'est vrai, et je n'ai pas envie de gâcher une seule seconde que je partage avec Poppy. On se dit qu'on se plait, et qu'on aurait aimé se rencontrer avant, comme si nous étions connectés et comme si nous avions exactement la même vision des choses en ce qui concerne l'un l'autre. Et c'est quand elle m'avoue son envie de m'embrasser que je ne peux pas rester stoïque. Tout me hurle de courir vers Poppy, sans réfléchir, et c'est ce que je fais. J'ai à peine entamé ma bière que je me lève pour la rejoindre, alors que je me penche tout près de son visage, et c'est très difficile de résister pour lui demander si elle est certaine de vouloir m'embrasser. On se connait depuis à peine vingt minutes, et pourtant.. Après qu'elle m'ait clairement dit oui, il ne m'en faut pas davantage pour poser mes lèvres sur les siennes. C'est tellement naturel que ça en devient troublant. Je n'ai jamais ressenti de telles émotions avec un simple baiser, mais autant dire que là, c'est carrément dingue. Une de mes mains vient se nicher dans le creux de sa nuque, tandis que je romps le contact après quelques secondes, fixant son regard en souriant. « T'es belle, je m'en lasse pas. » Et god, j'ai encore envie de t'embrasser, comme si c'était une drogue.

the first time i see you

ciaran et poppy

Poser mes lèvres sur les siennes, c’est tout ce dont j’avais envie. J’étais obsédée par ça, depuis la première fois où j’avais posé mes lèvres sur les siennes. Reste prêt de moi à jamais. Je l’observais alors se redresser, alors que mon cœur menaçait de sortir de ma cage thoracique. Il approcha son visage du mien, alors que je déglutissais légèrement, hochant positivement la tête quand il me demanda si j’en avais toujours envie. En réalité, j’en mourais toujours d’envie, et j’avais envie de profiter de chaque secondes en sa compagnie, comme-ci chaque minute pouvait être la dernière. Il posa alors ses lèvres sur les miennes, sans même se faire prier. Je répondis doucement à son baisé, alors que j’avais l’impression de scellé une relation qui venait tout juste de commencer et qui n’était pas prête de terminer. Il passa une main derrière ma nuque, et je fermais les yeux, alors que je me rendais compte que j’aurais pu l’embrasser encore des heures. Il rompit finalement le contact, et je restais quelques secondes les yeux fermés, comme pour me remettre de mes émotions, alors que je posais de nouveau mes prunelles sur lui. J’aimerais que jamais ce moment ne se termine… Je l’observais alors que je me disais que je mourrais d’envie de l’embrasser de nouveau.

Il faut croire que la vie ne cesse de nous présenter de belles surprises, et pour tout avouer, avoir rencontré Poppy est parfait à mes yeux. Je n'aurais pas pu rêver mieux, car honnêtement, je ne pense pas pouvoir revivre ça une deuxième fois dans ma vie. Un coup de foudre pareil, ça n'existe qu'une fois non ? Est-ce que j'ai fait la rencontre de mon âme soeur ? J'en sais rien. Il faudrait déjà que je crois à ce genre de trucs, et autant dire que ce n'est pas gagné. Quoi que là, avec cette situation, je pourrais être porté à adhérer à cette idée. Je ne me rends pas encore compte que je viens de l'embrasser, et pourtant, je n'ai pas hésité longtemps avant de poser mes lèvres sur les siennes. Ce n'est pas de ma faute si Poppy m'attire comme jamais personne ne m'avait attiré. Et puis, ce n'est pas aussi comme si elle ne m'avait pas poussé à faire cela. Même si j'ai rompu notre baiser pour la regarder, je laisse ma main derrière sa nuque, toujours très proche de son visage. « J'arrive pas à savoir ce qui m'arrive. » dis-je en esquissant un sourire, comme pour lui confier ce que je ressens à l'heure actuelle. J'aimerais pouvoir expliquer tous ces sentiments qui se bousculent dans ma tête, mais je ne pense pas en être capable pour le moment.

the first time i see you

ciaran et poppy

Ce sont des étoiles filantes, lumière tout à fait spectaculaire venue des cieux, un fugace aperçue de l’éternité qui disparaît en un éclair. C’était une belle citation qui parlait d’Amour. Celle d’un film niais, qui réunit des amours de vacance, destinés à être ensembles. Depuis que mon regard s’était posé sur Ciaran, j’avais l’impression d’être littéralement accro à lui et pourtant dans le fond, je ne connaissais rien de sa personnalité, ni même qui il était. Mais je m’en fichais, le seul truc qui m’obsédée littéralement, c’était de le revoir après cette journée, plusieurs fois. Ses lèvres sur les miennes, je frissonnais légèrement alors que je sentais sa main se glisser dans ma nuque. Son visage est proche du mien, alors que je plonge mes prunelles chocolat sur lui. Mon cœur rata un nouveau battement, alors qu’il me disait qu’il ne savait pas ce qui lui arrivait. Je secouais doucement la tête. C’est comme-ci… Nous n’étions plus maîtres de notre corps, et de nos actions… Je souris alors tendrement, alors que je réoriente une nouvelle fois mon regard vers ses lèvres, que je pourrais embrasser pendant des heures, sans jamais m’en lasser. Mais qu’est-ce qu’il m’arrivait ?

J'étais complètement ailleurs, perdu dans mes pensées, entrain de rêver de tout et n'importe quoi. Je suis obnubilé par cette jeune femme en face de moi, et je n'arrive pas détacher mon regard de son visage de poupée. Et dire qu'on se connait depuis à peine une heure, mais on s'est déjà embrassés, comme si nous étions aimantés par une force indescriptible. Toujours aussi proche d'elle, je lui avoue que je ne sais pas trop sur quel pied danser actuellement. Cette situation m'échappe tellement.. « Je suis toujours maître de mes actions. » répondis-je à Poppy, un sourire aux lèvres, alors que je venais lui donner un autre baiser. Même si je suis perdu dans ma tête concernant la jeune femme, je suis maître de ce que je fais. J'ai envie de l'embrasser, plus que n'importe quoi, et je n'attends pas plus pour agir encore et encore. Ce contact me fait battre le coeur à la chamade, exalte mes sens et me rend fou. C'est vraiment insensé, mais je n'y prête pas attention, je préfère profiter de ce moment unique.

the first time i see you

ciaran et poppy

Oui j’avais cette impression de nager dans une toute autre dimension, et pourtant cette sensation me faisait du bien. J’avais l’impression de vivre, et pour la première fois depuis longtemps, de réussir à respirer. Ciaran me sortait de cette apnée dans laquelle je m’étais plongé, et même si je ne le connaissais que depuis quelques minutes, j’avais cette impression de ne pas pouvoir m’échapper de lui. Je souriais alors doucement suite à ses mots, alors qu’il vint me donner un nouveau baisé, qui me fit louper, une fois de plus, un battement de cœur. Quelle douleur agréable, et sentir ses lèvres sur les miennes, j’aimerais ressentir cette sensation pendant des années et des années, s’il m’en était capable. Je réponds à son baisé avec passion, comme-ci je faisais ça depuis une éternité, puis je recule doucement mon visage du sien. Il y a cette soirée, chez un ami, samedi. Tu… Enfin tu voudrais venir ? Je mordais ma lèvre inférieure, anxieuse. Je lui proposais qu’on se revoit plus tard, et j’espérais de tout cœur que sa réponse sera positive. Même si attendre samedi, relèvera d’un défi intense pour moi. Je n’avais pas non plus envie de lui montrer une fille désespérée, mon but n’était pas de le faire fuir, bien au contraire.

Je n'hésite pas. Je n'hésite plus. En fait, je crois que je n'arrive pas du tout à me contrôler par rapport à mes gestes ou mes actes. Si je l'embrasse, c'est que c'est plus fort que moi. Elle m'attire tellement que je ne peux pas me permettre de poser le pour et le contre. Tout ce que je désire, c'est de rester en sa compagnie et de profiter de ces moments un maximum. Peut-être que tout sera terminé une fois que nous partirons chacun de notre côté, mais il faut avouer que j'ai un peu de mal à y croire. Quand Poppy me rend mon baiser un peu plus fougueusement, je sens que mon rythme cardiaque s'accélère et autant dire que ça fait longtemps -voire jamais- que je n'ai pas ressenti une telle sensation. La jeune femme rompt doucement cet échange et je ne peux pas m'empêcher de lui sourire à nouveau. Je arque un sourcil quand elle m'invite à une soirée de l'un de ses amis. « Oh je suis flatté. » dis-je alors, me reculant de cette proximité déconcertante. Je ne cesse pas de la regarder bien entendu, elle est tellement belle. « Mais oui je suis disponible. » Et c'est avec un immense plaisir que je l'accompagnerai. Au moins, ce sera l'occasion rêvée pour la revoir.

the first time i see you

ciaran et poppy

Le sentir prêt de moi c’est tout ce que je désirais, même si je venais tout juste de le rencontrer. Est-ce que j’étais folle ? J’en avais bien peur, mais je n’y pouvais rien, j’étais irrévocablement attirée par lui. Comme un aimant, cherche son double pour se coller à lui. Nous étions deux aimants qui étaient destinés à se rencontrer. Je ne voyais pas comment il pouvait en être autrement. Je lui rends son baisé avec une timide fougue, alors que je pourrais respirer contre ses lèvres, comme-ci il commençait peu à peu à devenir mon oxygène. Je lui proposais de sortir ce weekend, et j’attendais patiemment qu’il me dise s’il le voulait ou pas, sachant que je mourrais d’envie de le revoir après ça. Je souriais alors doucement, quand il avoua qu’il se sentait flatté, puis je mordis ma lèvre inférieure, passant une main dans mes cheveux, afin de replacer une mèche rebelle. « C’est parfait alors. On se retrouve là-bas ? » Oui je demandais, parce que ça se trouve, il voulait faire le gentleman et venir me chercher à la Dunster House (sait-on jamais).

C'était vraiment une rencontre hors du commun, et je ne me remettais toujours pas de la tournure de la situation. J'avais vu Poppy dans la rue, et j'avais été dans l'incapacité de détourner mon regard de son visage d'ange. A partir de là, je n'avais pas pu me résoudre à la laisser partir et je l'avais invité pour boire un verre. On s'était embrassés.. et gosh, ce moment avait été juste parfait. Je ne sais pas ce que je ressens. Je suis complètement déboussolé mais j'aime cette sensation. L'inconnu c'est tellement excitant. Et je veux bien sauter à pieds joints dans cet inconnu avec Poppy, sans réfléchir. Une fois assis en face d'elle, je la fixe sans aucune gêne, la trouvant de plus en plus belle au fil des secondes. « Je peux venir te chercher si tu préfères. » proposais-je alors, un sourire accroché aux lèvres. J'ai une belle voiture, alors autant en profiter, et puis c'est toujours plus galant d'aller chercher la fille dans son immeuble. D'ailleurs, je me demande bien où elle vit. « Du coup tu vis à la Dunster ? » Comme elle m'avait dit qu'elle faisait parti de la maison, c'est fort possible qu'elle ait posé bagage là-bas.