the first time i see you (ciaran)

the first time i see you

ciaran et poppy

Oui c’était ça, on avait l’impression qu’on connaissait la personne d’en face depuis des années, comme-ci nous avions toujours été proches, et que rien ne pourrait nous séparer sur Terre. Vision probablement utopiste, mais je trouvais ça tellement beau, tellement romantique, tellement parfait. Jamais je n’avais ressentie ce genre de sensation, et finalement j’étais heureuse de voir que ce que je ressentais, était réciproque. Enfin, je crois ? Je frissonnais quand ses mots sortirent de sa bouche, alors que je tournais de nouveau mon regard vers lui. Nos chemins étaient peut-être destinés à se croiser, qu’aujourd’hui… Je souriais alors doucement. Mais moi aussi, je me demandais comment j’avais fais pour ne pas être tombé sur lui, ou même croiser son regard qu’une seule fois. Nous arrivons au café, alors qu’il me tira une chaise pour que je puisse m’installer, mon cœur loupa un battement, devant tant de galanterie. Je m’installais alors que je redressais une nouvelle fois mes prunelles vers les siennes Hum, j’suis pas vraiment forte en devinette. Tu n’as pas l’allure d’un Eliot, ni même d’un Lowell, les Cabot sont un groupe exclusivement féminin, et je ne t’ai jamais croisé à la Dunster. Je dirais soit Winthrop, soit Mather, ou même Quincy. Je souriais alors doucement, me demandant si je voyais juste ou pas.

C'est tellement plaisant de voir que mon attirance pour elle est réciproque. Ses paroles me font doucement sourire, car oui, c'est peut-être le cas. J'aurais aimé al rencontrer avant, car j'ai l'impression que le temps passe trop vite, c'est bien connu. Et si je la revoyais encore et encore ? A quoi ça servirait de prendre encore plus de temps ? A rien. Mon sourire ne s'estompe pas une seule seconde et mon regard ne quitte pas le sien, je suis envoûté, ça doit être ça. Je m'accoude sur la table, m'approchant donc un peu plus d'elle, comme si je ne pouvais pas faire autrement. « Tu crois ? » Moi, en tout cas, j'ai envie d'y croire. Mais croire à quoi ? Que nos chemins ne peuvent plus se séparer à partir d'aujourd'hui ? Je l'espère. Quand elle joue aux devinettes en ce qui concerne la maison dans laquelle je suis, je ne peux pas m'empêcher de sourire. Elle est vraiment adorable c'est dingue, mais du coup, je me dis que je ne suis pas un gars pour elle. Je ne suis pas un gentil garçon en temps normal, bien que l'envie de lui faire du mal est inexistante. « Quincy ? C'est la première fois qu'on me l'a fait celle là. » dis-je en lâchant un petit rire, me reculant pour m'appuyer sur ma chaise. Je sors une clope de mon paquet pour ensuite la poser entre mes lèvres et l'allumer. « Je suis chez les Mather. » concluais-je enfin. Je ne pense pas que c'est une grande surprise pour Poppy, ça se voit quand même ?

the first time i see you

ciaran et poppy

Croiser le chemin de Ciaran que maintenant, semblait être comme une évidence. Même si j’aurais aimé le rencontrer bien avant, ça me surprenait que mon regard n’avait encore jamais croisé le sien. Assise alors sur ma chaise en face de lui, je souris avec naturel, alors que je pose mes avant-bras sur la table, et que je joins mes mains ensembles. Et j’aurais aimé qu’ils se croisent bien plus tôt. Je n’avais pas envie de mentir non plus avec lui, je voulais être sincère et dire ce que j’avais sur le cœur. Il me rendait dingue, il me faisait fondre, cet effet qui me faisait était juste incroyable. Je riais alors légèrement quand il parla des Quincy, visiblement il ne faisait pas partie de cette maison, mais bizarrement je n’étais pas surprise, je sentais dans le fond, qu’il ne faisait pas partie de cette maison. Je le voyais alors sortir une cigarette de son paquet, pour finalement la poser entre ses lèvres. Mon sourire se fit plus faible, alors que je me reculais légèrement sur ma chaise à mon tour. J’en aurais mis ma main à couper… Je souriais légèrement amusé, alors que je mordais une nouvelle fois ma lèvre inférieur, signe que je nageais en pleine perplexité. Non ça ne me dérangeait pas le moins du monde qui soit Mather, en réalité, il aurait pu être dans n’importe quelle maison, que je l’aurais accepté.

Bon, au moins je sais que c'est réciproque maintenant. Et autant dire que je suis comme un dingue. J'aimerais l'embrasser, là, tout de suite, mais je ne suis pas sûr que ce soit approprié. D'accord, Poppy vient de m'avouer qu'elle aurait aimé me rencontrer avant, mais est-ce qu'elle en est au point de me sauter dessus elle aussi ? J'en sais rien. Moi oui en tout cas. Alors qu'elle pose également ses bras sur la table, je nous trouve étonnement proche d'un coup, et c'est très plaisant. Un peu trop peut-être. J'ai l'impression que son corps attire le mien. « Tu m'en vois ravi. » répondis-je alors, un sourire aux lèvres. Je n'aurais jamais pensé me retrouver dans une telle situation, mais maintenant que ça arrive, je ne sais pas du tout comment agir. Dieu merci, les mots sortent tous seuls et je ne reste pas figé entrain de baver devant la jeune femme. « Tu devrais venir y faire un tour, c'est cool. » Bah quoi, la Mather c'est le lieu de l'amusement, y'a pas à chier. Et puis, j'habite là-bas aussi, au moins elle connaît mon adresse à présent. Alors que je suis toujours entrain de rêvasser, le serveur arrive pour prendre notre commande. Je laisse Poppy commander en premier et annonce mon choix juste après. « Une bière s'il vous plaît. » Sur ce, le serveur repart, et c'est tant mieux. J'ai pas envie de la partager, allez savoir pourquoi.

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ciaran et poppy

Cette proximité que nous avions tous les deux, alors que nous venions à peine de nous rencontrer, je trouvais ça charmant, intriguant, romantique, beau. Je pose mes avant-bras sur la table, alors que je joins mes mains ensembles, ne lâchant pas des yeux le jeune homme qui est en face de moi. Je souriais légèrement en coin, quand je lui disais que j’aurais aimé le croiser bien plus tôt, c’est vrai après tout, j’avais cette aisance à parler avec lui, je me comportais naturellement alors que je sentais que mon cœur loupait plusieurs battements à chaque fois qu’il disait quelque chose. J’y penserais à l’occasion. Je souriais d’avantage, alors que je me disais que j’étais rarement aller à la Mather House, sauf si ce n’était pour voir des amis, et dans le fond, je ne connaissais pas vraiment l’endroit. Mais il y vivait, et je me promettais de faire un tour prochainement. Mon regard s’orienta vers ses lèvres, alors que je mordais ma lèvre inférieure, m’adossant finalement sur le dossier de ma chaise. Le serveur arriva et me sortit de ma rêverie, alors que je portais mon attention sur lui. Un monaco s’il vous plait. Je souriais alors quand il commanda une bière, avant de reposer mon attention sur Ciaran. Le souffle court, je me perdais dans mes pensées, alors que je reposais mon regard sur lui. Toi… Toi t’es beau… Je penchais al tête sur le côté, alors que je secouais négativement la tête. Qu’est-ce que j’ai dis ? J’arquais un sourcil alors que je détournais le regard.

Elle peut être certaine que je m'en souviendrai, je ne vais pas oublier un truc pareil. Je pourrais l'inviter tous les jours chez moi si elle le désirait. Je ne suis déjà pas très assidu en ce qui concerne les cours, mais maintenant que je connais l'existence de Poppy, ça ne va pas arranger les choses. Alors que je suis toujours entrain de fumer tranquillement, observant évidemment son visage à chaque occasion, le serveur brise la bulle dans laquelle nous étions. Hmm, on va dire que c'est pour la bonne cause. Une fois qu'il repart pour aller nous chercher nos boissons, je reporte rapidement mon regard vers Poppy. Et là, elle me fixe intensément avant de dire qu'elle me trouve beau. J'ai l'impression qu'elle n'a pas fait exprès de sortir ça en réalité, mais ça me fait sourire, et surtout plaisir. Quand elle se rend enfin compte de ce qu'elle vient de dire, je ne peux pas m'empêcher de rigoler. Elle est adorable. Je me rapproche à nouveau, m'accoudant contre la table. J'ai d'ailleurs énormément envie de prendre ses mains dans les miennes mais je me retiens. « Ah oui ? » Je arque un sourcil, amusé, bien que ça me flatte beaucoup. Et puis, elle est tellement mignonne quand elle est gênée. « Mais je crois que la plus belle ici, c'est toi. » Et y'a pas photo. C'est vrai, je ne vois qu'elle, et pas une autre. Pourtant, ce sont pas les filles qui manquent dans le coin.

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ciaran et poppy

Ouais j’étais totalement subjuguée par lui, j’étais incapable de détacher mon regard du sien, alors que je me laissais observer chaque trait de son visage, en espérant l’imprimer dans mon esprit, comme-ci, j’allais être incapable de penser à quelqu’un d’autre. Je posais mon regard sur le serveur qui prenait enfin notre commande. Il venait de nous interrompre, mais il partit rapidement, alors du coup je m’en fichais pas mal, alors que je reportais mon attention sur Ciaran, comme-ci ça faisait trop longtemps que je n’avais pas vu son visage. Je me sentais étonnement bien à ses côtés, une sensation de sureté et de bien être que je n’avais jamais réellement sentie. Et là, sans réellement savoir ce que je venais de dire, je lui avouais que je le trouvais beau, alors que je semblais enfin comprendre ce que je venais de dire. Je grimaçais légèrement, alors que j’arquais un sourcil perplexe. Je rougis alors qu’il disait que la plus belle ici c’était moi. Je suis désolée, je sais pas pourquoi j’ai dis ça… C’est sortit tout seul. Je souriais doucement alors que mordant ma lèvre inférieure, j’observais le serveur qui nous ramena nos boissons. Je lui souriais légèrement, en lâchant un « merci », alors que je posais de nouveau mes prunelles dans celle de Ciaran. Je sais pas pourquoi… Mais j’ai l’impression de te connaître depuis des années. Je ne relâchait pas mon regard du sien, alors que je pris doucement mon verre entre mes doigts.

La situation est vraiment étrange, et pourtant, j'aime cela. Le fait que l'on puisse se dire tout et n'importe quoi, comme si on se connaissait depuis des années, c'est très plaisant. J'apprécie aussi le fait qu'elle me trouve beau, car autant dire que j'avais peur d'être le seul à être en extase pour le coup. Elle se mordille la lèvre, gênée, et je la trouve encore plus belle qu'elle ne l'est déjà. « Mais si tu sais pourquoi. » Car elle n'a pas pu s'en empêcher, tout simplement. De mon côté, je ressens la même chose, j'ai le besoin de lui dire ce que je ressens à chaque minute. Et pourtant, dieu sait à quel point je ne suis pas comme ça habituellement. Le serveur revient alors avec nos bières, dans laquelle je bois une gorgée, esquissant un petit sourire aux paroles de Poppy. « C'est peut-être le cas, dans une autre vie. » Bah ouais, si ça se trouve, on était fous amoureux dans un monde parallèle. Je ne crois pas du tout à ça en temps normal, grand scientifique que je suis, mais cette journée est tellement irréelle que ce ne serait même pas choquant que ce soit le cas.

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ciaran et poppy

Je n’avais pas envie de m’éloigner de lui, l’observer pendant des heures, allait probablement devenir l’une de mes nouveaux passe-temps. Je souriais en coin alors qu’il me disait que je savais pourquoi. C’est vrai, que je savais pourquoi je l’avais dis, j’en avais envie, et je n’avais rien envie de lui cacher, alors je disais ce qui me passait par la tête, sans vouloir faire attention aux répercutions. C’est vrai. Je souriais légèrement, alors que je détournais le regard, mordant ma lèvre inférieure. Je ne me sentais plus gênée, bien au contraire, j’étais parfaitement à l’aise, malgré les regards insistants qu’il pouvait avoir sur moi. Je me demandais s’il ressentait exactement ce que je pouvais ressentir à son égard. C’est exactement, ce que je me disais. Je souriais d’avantage, alors que j’avais envie de croire au coup de foudre que je venais d’avoir à son égard. Je m’approchais alors d’avantage, les mains sur la table, alors que je plongeais mon regard dans le sien, pour finalement m’y perdre. Tu vas peut-être, trouver ça incroyablement bizarre, ou même déplacé. Mais pourtant, depuis que j’ai posé mon regard sur toi, je meurs d’envie de t’embrasser… Je mordis ma lèvre inférieure, cette fois-ci légèrement gênée par ce que je venais de lui dire. Mais je le pensais, et puis j’avais cette impression que je n’arrêtais pas de fixer ses lèvres, comme-ci les miennes était irrévocablement attirées par les siennes.

Je profite de cette matinée complètement hors du temps, et ça fait un bien fou. Ne pas se prendre la tête, ne penser qu'à soi et à la personne en face, c'est vraiment quelque chose que je fais rarement. Quoi que me prendre la tête, ça arrive très peu, je suis toujours dans les nuages en général. Si je fumais un joint là maintenant, je pense que je verrais Poppy et moi dans un autre monde, m'imaginant tout et n'importe quoi. Déjà qu'il m'en faut pas beaucoup pour planer et créer toutes sortes de scénarios dans ma tête, mais là, j'ai carrément plein d'histoires à inventer sur nous deux. Les mots qui suivent me font totalement perdre pied. Elle a vraiment dit ça ? Elle veut vraiment que je lui saute dessus devant tous les clients ? Ça doit être ça ouais. Je décide alors de me lever, sans rien dire au début, ne lâchant pas ses prunelles. Mon pouls s'accélère, et une fois arrivé devant Poppy, je la toise d'en haut avant de m'approcher légèrement. Puis plus franchement, me penchant toujours plus près de son visage. Alors que je suis à quelques centimètres seulement de ses lèvres, je la fixe intensément, comme si j'allais la dévorer sur place. « T'en as toujours envie ? » Si ça ne tenait qu'à moi, je l'aurais déjà embrassé fougueusement devant tout le monde, rien à foutre.