(leo) + si tu n'es pas content mange un freedent.

Purée mais ce mec avait vraiment le don de te mettre hors de toi. Tu avais envie d'lui dire d'aller bien se faire foutre parce que tu étais venu l'aider &tout &tout en mode trop sympa de la vie, mais tu ne disais rien le fusillant du regard. En vrai si tu avais eu les pouvoirs de scott dans Xmen le mec serait déjà mort grace à tes yeux lasers. Et franchement si Léo se transformait un jour en zombie tu lui éclaterais avec plaisir la cervelle. Trop de violence en toi sérieux. Inspire. Expire. En mode femme enceinte. "C'est toi la consolation, moi j'suis le premier prix. " boudas-tu comme une petite fille, n'arrivant même pas à concevoir que la langue d'Orlane est pu toucher celle de Léo voir pire d'ailleurs. Tu aurais limite préférer vivre dans ton ignorance. "Mais genre vous êtes en couple now? Vous allez avoir des mioches qui font cacas partout?" ajoutas-tu d'un ton sarcastique. Ouai elle avait du faire ça en mode désespéré personne ne m'aime alors j'prends le mec le plus mooooche que j'trouve et j'fais crack crack pour me remonter le moral. Tu voyais que ça comme explication. D'ailleurs il faudrait que tu lui en parles, genre te tenir pas informé c'était pas très cool de sa part. Et pour le coup l'autre thon des plages avait réussi à te sentir mise à l'écart. Et c'est d'ailleurs là que ce grooos gfghkgjkg balança tes magnifiques louboutins à la mer. DES LOUBOUTINS. Okay man tu es mort. "Tu n'as pas osé faire ce que tu viens de faire?" dis-tu ta voix montant d'un octave. Telle une furie tu te jetas sur lui, tentant de le plaquer sur le sol. Mais bon tu avais bien moins de force, alors tu ne réussis qu'à lui descendre son bas de maillot de bain.

Non mais ce qu'elle avait pas compris, c'est qu'elle était peut-être le 1 million, un millionnaire chaque jour, mais lui il était la cagnotte exceptionnelle du vendredi 13 de l'Euromillion. Ça va il était gentil, c'est un joli compliment non ? Jamais satisfaite ces filles de toute manière. Leo répondit à la remarque de la blonde péroxydée par un sourire faux-cul comme pas vu ailleurs. Puis ensuite il fut lui-même un peu choqué. Ok il aimait Orlane très fort, ils avaient bien profité mais jamais de la vie ils se mettraient ensemble, trop de problèmes. « NAAAAN ça va pas ou quoi ? Elle mérite mieux, je suis déjà top niveau mais elle est au-dessus ça c'est clair. » Leo s'était emparé des tongs à talons de la jeune femme – ou Louboutins c'est pareil roh la la toutes ces histoires pour rien – avant de les jeter au large, il s'imaginait un mini Jack et une mini Rose en train de courir sur les chaussures pour rejoindre le point le plus haut avant de couler, en mode Titanic taille chaussure. « Si j'ai osé. » dit-il fièrement avant qu'elle ne lui saute dessus, assez naïve pour croire qu'il allait tomber. À la place elle fit tomber son maillot. Le jeune homme se débattit pour relever son maillot de bain. « MAIS T'ES MALADE ! Tu veux voir tu demandes, on en discute, ça va pas bien dans ton micro cerveau ? »

À force d'entendre du caca pareil tu commençais sérieusement à devenir sourde. Il faut dire que le mather se faisait tellement des compliments à lui même que tu te demandais s'il allait genre avoir des chevilles Sumo. Au moins il admettait tout de même qu'Orlane était trop bien pour lui, pour le coup et surement pour la seule fois de votre vie vous étiez d'accord sur ce point. N'empêche que tu étais toujours surprise d'apprendre que ton oréo de la vie avait osé le faire avec lui, le sdf des plages alors qu'elle aurait pu avoir n'importe qui d'autre. Pire tu ne pensais pas qu'elle était aussi volatile, même si tu commençais à être un peu perdu dans toutes ses histoires. "Ouai bah n'empêche que j'espère que vous vous êtes protégé la toootale parce que j'ai pas envie de me retrouver avec un mini toi qui chiale et qui fait caca de partout." Bon c'est à partir de là que tout avait un tout petit peu -beaucoup- dégénéré. À la base des bases tu avais seulement eu envie de le plaquer au sol pour qu'il comprenne qu'il avait eu tort de te défier. Toi aussi tu voulais avoir ton moment rugby time quoi. Sauf que forcément rien ne s'était déroulé comme tu l'avais souhaité puisque tu venais tout simplement de lui descendre son maillot de bain dévoilant bah ce qu'il avait à dévoiler. "De toute façon il y a vraiiiment rien à regarder." pouffais-tu de rire,en regardant ce qu'il avait entre les jambes en mode tu faisais comme chez toi. Cela te rappelait presque un épisode d'une série comique dans le genre new girl ou une fille appelé Jess voulait sortir avec un mec ayant un miiiiicro knacki.

Ah elle l'ouvrait moins sa grande bouche de canard miss peroxyde depuis qu'elle savait ce que sa très chère et tendre Orlane avait fait crac crac boum boum avec son Leo détesté. Elle se prenait en pleine face comme une débutante au paint-ball, ma foi ce n'était pas le jeune homme qui allait s'en plaindre, il avait toujours été très fort à la bataille navale, et là c'était touché-couléleschaussures. « Cela aurait été un gain pour l'humanité mais on a préféré se protéger et ne pas prendre le risque de donner naissance à des enfants trop beaux trop parfaits, ils auraient été harcelés à cause de leur perfection naturelle. » Leo songea après coup que Brynn aurait été une baby-sitter plutôt mauvaise et qu'ils avaient bien fait de ne pas procréer, ils n'avaient même pas du personnel sur qui compter. Puis, parce qu'elle en mourrait d'envie depuis leur première rencontre, la Cabot lui baissa le maillot, découvrant tout son attirail, en profitant pour se rincer l’œil. Rapidement, Leo rangea tout ça, fusillant la blonde du regard. « Oh s'il te plaît, c'est surtout que tu es impressionnée, c'est la première que tu vois, t'as vu que des trucs en plastique avant. Je suis désolé si t'es frustrée mais je vais pas t'aider à te détendre. »

Sérieux ce mec en avait pas marre de parler toutes les deux secondes, d'ouvrir sa bouche pour t'asphyxier au passage? Nan mais un peu de respect, ce n'était pas trop demandé quand même? Puis encore heureux qu'il n'avait pas conçu un gosse, parce que le pauvre mioche serait grave mal parti dans la vie. Même avec super Oréo comme môman. "Mais oui c'est évident. Moi j'pense juste qu'il aurait fini en taule à force de tuer des gens, apparemment les gênes de psychopathes c'est vachement transmissible donc au final tu sauvais des vies on va dire." C'était presque un compliment, mais après il allait finir comme le mec de Fonzy qui a tu ne sais pas combien d'enfant à force de donner sa petite graine pour se faire du fric. D'ailleurs tu faillis t'étouffer avec sa salive en entendant ses paroles, genre il pensait vraiment que ses parties intimes t'intimidaient? Bon okay tu en avais pas vu tant que ça dans ta vie mais quand même. Puis bon sorry mais comme tu venais de lui signaler il n'y avait pas grand chose à regarder de ce coté là so. Roulant encooore les yeux vers les étoiles tu le regardais en mode "really?". "Ouai ça doit être ça, j'suis tellement impressionner que j'en perds mon vocabulaire. Maintenant j'peux mourir j'ai vu tout ce qu'il y avait à voir sur cette terre, du grand dieu Léo CrottePuante." Après lui avoir lancé un petit sourire en mode groupie des one directions à l'eau précieuse tu te relevais. "Bon j'peux me casser ou ça se passe comment genre tu peux plus te passer de moi?" demandas-tu en rigolant. Surtout que maintenant tu allais devoir rentré pied nu la grosse poisse. "Et j'veux que tu me ramènes sur ton dos, sinon j'pourrais abîmer mes magnifiques pieds so." Princesse un jour, princesse toujours.

Leo leva les yeux au ciel, il n'avait rien d'un psychopathe, il aurait cru Brynn plus intelligente … enfin moins conne, parce qu'elle n'avait rien dans la cervelle, on va pas revenir dessus c'est assez évident. Orlane pourrait sûrement témoigner pour expliquer à sa débile de meilleure amie qu'il savait être parfaitement doux et soigneux lorsqu'il le voulait. « Je pense que leur première victime aurait été toi, d'un côté c'est dommage qu'on ait pas procréer, on aurait débarrasser la Terre d'un de ses plus vils nuisibles. Brynn Glucmachin nuisible numéro un, juste devant les rats et les vers de terre. » Pas la peine de le remercier, il était adorable de nature, un don à la naissance ni plus ni moins. Et comme si ça suffisait pas, Barbie version Lidl eut besoin de se rincer l’œil, baissant son caleçon, il était certain que c'était un message du subconscient de la Cabot. En même temps, il la comprenait, il aurait bien aimé être une femme pour ressentir tout le pouvoir qu'il devait exercer sur la gente féminine. Elles rêvaient toute de vivre ça un jour, c'est évident. « Tu devras te contenter de ça évidemment, je sais pas si t'as compris mais je vais pas dans les imitations comme toi, j'aime les vraies femmes, pas les pré-ado en manque de Leo. » Il leva les yeux au ciel, secouant une dernière fois le sable qu'il avait dans les cheveux avant de la regarder en chien de faïence. « Bah écoute tu fais ce que tu veux non t'es assez grande ? » Elle n'avait qu'à se casser, ça lui faisait ni chaud ni froid. Il aurait du se douter qu'elle allait lui demander ça. Mais étant donné qu'elle était venue l'aider, il se dit rien s'approcha du démon. « Ben vas-y monte alors, et essayes de te faire légère même si je doute que ce soit possible ça. »

Tu soupirais. Tu en pouvais plus de lui, genre vraiment vraiment beaucoup, il te donnait tout simplement envie de te tuer. Boire la tasse ce n'était pas siii mal comme fin de vie. "Ah ah ah très drôle j'suis morte de rire." De toute façon tu allais devenir immortelle juste pour te préparer à cette éventualité. Mais sérieusement tu te demandais comment il faisait pour débiter autant de conneries à la seconde, à croire que son cerveau ne se mettait jamais sur pause pour soufflé un peu. "Ouai en gros tu veux les grosses moches comme susan boyle j'ai compris." Tu levais le pouce en l'air, te jurant intérieurement que dès que tu rentrerais chez toi tu lui créerais un compte sur meetic. Peut-être qu'il tomberait amoureux de Gertrude 70 ans, un petit bidou, du poil sur les nénés qui recherche désespérément l'amuuuuur telle une vache de l'amour est dans le près. Bref, ayant marre de trainer tes grosses fesses dans le sable qui commençait à te démanger, tu lui annonças ton désir de partir. Tu ne cherchais pas tellement son approbation mais c'était beaucoup plus un constat. "C'était juste pour t'avertir, j'voudrais pas que quand j'ai le dos tourné des petites racailles de cinq ans t’entèrent à nouveau dans le sable." Duh soit pas débile mec. Il fallait vraiment tout lui expliquer à celui là, parce que toi tu n'irais pas le rerechercher non. Même que surprenant l'autre truie des mers accepta ta demande de monter sur son dos. Tu sentais le mauvais coup arrivé, aussi gros qu'une maison mais tu opinais de la tête. "Arrête j'vais rougir en entendant tous ses beaux compliments" dis-tu avant de monter telle une grosse larve sur son dos te faisant la plus looourde possible.