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PENELOPE➽ Toutes les grandeurs de ce monde ne valent pas un bon ami.

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Penelope Johanna Dorner
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Penelope devait être de ces enfants qui choisissent l’heure la plus inadéquate pour se décider à pointer le bout du nez, quitte à sortir leurs parents du lit s’il le faut. C’est ainsi qu’un lundi 20 février, Charlie Dorner se réveilla aux aurores, supportant les jérémiades de celle qu’il surnommait toujours affectueusement Susie, son épouse depuis plus de trois ans. Suzanne se lamentait, soupirait, hurlait, pleurait, reniflait, lui assurait que ses entrailles se déchiraient de l’intérieur. Charlie laçait ses chaussures à la hâte, remuait ciel et terre à la recherche de ses clefs de voiture. Si bien qu’après lui, on eut pu jurer qu’une tempête était passée par là. Derrière lui sa Suzie se trainassait, un seul pied chaussé et l’autre qui glissait sur le lino imitation parquet du salon. Ils ne surent jamais comment, néanmoins ils parvinrent à atteindre leur petite Coccinelle Volkswagen bleu ciel de 1973. Bien qu’elle ait émis une légère plainte au démarrage, leur fidèle automobile les conduisit à bon port à l’hôpital Pierre Rouquès. Où feu le bienheureux docteur Fernand Lamaze mit au point la méthode de l’accouchement sans douleur en 1952. Or, nous étions en 1995 et Suzanne Dorner qui venait vraisemblablement d’atteindre son terme, s’apprêtait à donner naissance à son premier né, qu’elle ne savait pas encore être une petite fille. Bientôt, Suzanne hurlait pour que l’on daigna bien vouloir lui faire sa piqure magique devant effacer ou tout du moins atténuer la douleur, un "sortilège" plus connue sous le nom de péridurale. Malheureusement pour elle, l’issue de cet accouchement se faisait trop proche et l’enfant ne tarderait plus à arriver, rendant l’anesthésie tout simplement inutile d’après les infirmières. Madame Dorner maudit cet "extraterrestre" qui lui tirait les pires cris de souffrance, et qui se montrait bien trop prompt à venir au monde. Pourtant quand une petite voix faiblarde surgie de nulle part parvint à ses oreilles, tout fut pardonné. Il était cinq heures du matin, le soleil ne tarderait pas à se lever sur la ville de Paris. Et Penelope Johanna Dorner venait de pousser son tout premier cri sous le regard attendri de deux jeunes parents qui l’aimaient déjà d'un amour inconditionnel. Penelope faisait le bonheur de Charlie et Suzanne, tous les trois formaient à présent une famille pleine de projets. L’enfant grandissait bien comme il le faut. Elle passait la plupart de ses journées au côté de son artiste de mère, dont le petit appartement familial servait également d’atelier. Penelope évoluait donc au milieu des tubes de peinture et des pinceaux, ce qui ne serait pas sans conséquence sur son avenir. Et lorsqu’elles ne restaient pas claquemurées, mère et fille s’en allaient faire le tour de bon nombre de musées ou se posaient tout simplement dans un parc. Charlie demeurait tout le jour dans son cabinet d’avocats, mais il rentrait toujours à temps pour le dîner. C’était là leur quotidien. Et bien qu’on puisse le trouver répétitif, celui-ci leur convenait tout à fait. Une vie normale, voilà ce à quoi ils aspiraient ensemble. Pourtant, il fallut bien arriver à la terrible heure de la séparation. Nous étions en septembre 1997, Penelope s’apprêtait à effectuer sa rentrée en petite section de maternelle dans l’école du quartier. La mère ne voulant lâcher son bébé qui hurlait à la mort, il fallut compter sur l’intervention de la jeune maîtresse pour les séparer. L’épreuve s’avéra si difficile pour Suzanne, que toute la première année sa fille  n’alla à l’école que le matin. Madame Dorner finit cependant par comprendre qu’elle ne pourrait garder sa fillette près d’elle éternellement. Si bien que pour sa seconde année, Penelope put rester à l’école toute la journée. C’est à l’âge de quatre ans que l’enfant exprima son souhait de suivre des cours de dessin. Qu’à cela ne tienne, Suzanne s’empressa de l’inscrire dans l’une des meilleures écoles de dessin de la ville. Ainsi, tous les mercredis Penelope se rendait à sa séance hebdomadaire.  Les années passèrent, la fillette fit son entrée à l’école primaire, brillant par la régularité de ses excellents résultats. Penelope atteignit finalement l’âge de onze ans. Été 2006, la nouvelle venait de tomber, la petite famille allait devoir quitter le pays pour gagner les États-Unis. Longtemps ce projet avait été repoussé, Suzanne invoquant sans cesse le bien-être de leur fille qui devait passer avant tout le reste. Mais son américain de mari ne pouvait plus attendre. Charlie avait obtenu une place toute ce qu’il y a de plus respectable dans un cabinet de Boston. Et sa mère se trouvait bien mal, atteinte d’un cancer incurable. Monsieur Dorner tenait à ce que sa fille fasse la connaissance de sa grand-mère, elle qui n’en avait jamais eu l’occasion jusque-là. C’est ainsi que les Dorner dirent définitivement au revoir à la France et débarquèrent en Amérique au beau milieu du mois d’août. Et si Charlie retrouva vite ses marques au sein de sa ville natale, sa femme et sa fille peinèrent à s’adapter à ce nouveau paysage et cette culture qui leur était étrangère. Penelope intégra un collège privé comprenant l’option art, ce qui était non négociable pour elle. L’adolescente devait se dépatouiller avec son anglais qui restait encore très limité, même si son niveau se défendait très largement pour une petite française. Penelope forma son propre cercle d’amis, ce qui l’aida considérablement à se faire à cette nouvelle vie. Elle renouait à présent avec un pan de sa famille qu’elle n’avait jamais eu l’occasion de côtoyer. Suzanne tâchait de se montrer forte et courageuse, mais elle ne parvint jamais tout à fait à adopter ce nouveau pays. C’est au lycée que Penelope acheva de s’épanouir. La jeune fille n’avait plus qu’une idée en tête, intégrer la meilleure université qui soit. Elle y travaillait avec acharnement, intégrait tous les groupes possibles et imaginables, s’adonnait à diverses activités extrascolaires. Mademoiselle Dorner montait un dossier en béton. Où qu’elle aille, Penelope ne passait jamais inaperçu, son accent français trahissait ses origines. On la moquait ou on l’adorait pour cela. Si bien qu’elle apprit à s’armer contre les mauvaises langues. Bon nombre de ses camarades prenaient son sérieux pour du dédain et de l’arrogance. La brunette ne se fit donc pas que des amis, bien au contraire. Et lorsqu’elle se sentait gagnée par l’un de ses récurrents coups de cafard, Penelope trouvait toujours du réconfort auprès de sa fantasque de mère.  Toutes deux partageaient une passion pour la peinture, et s’y exerçaient ensemble. Suzanne était la plus à même de la comprendre, la France leur manquait à toutes les deux. Pour autant, Penelope n’en était pas moins proche de son père qui se révélait être un véritable papa poule. Lorsque la jeune fille souffla sa seizième bougie et obtint son permis de conduire, ses parents lui offrirent leur fameuse Coccinelle Volkswagen bleu ciel de 1973. D’accord, il ne s’agissait pas de l’une des indétrônables Chevrolet, qui semblait être le fournisseur automobile officiel de son lycée.  Mais Penelope l’adorait, lui trouvant un charme certain. Était-il nécessaire de préciser qu’elle avait toujours eu penchant pour les vieilles choses. En juin 2013, Penelope décrocha son diplôme de fin d’études. Sortant major de sa promotion, elle eut l’immense honneur de prononcer le premier discours  de sa vie lors de la cérémonie de fin d’année. Quelques mois plus tard, la jeune femme intégra l’université Harvard, suivant des cours d' Histoire de l'art pour majeur et d'Histoire pour mineure. C’est à cette occasion qu’elle quitta le cocon familiale pour démarrer sa vie d’étudiante.  Penelope se trouve actuellement en seconde année, âgée de 20 ans.
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