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Impression de déjà-vu (+ Adam)

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J’arrivais enfin à l’hôtel, enfin j’essayais d’y arriver parce qu’avec tout l’alcool que j’avais dans mon sang, cela commençait à devenir compliqué. J’avais eu la très bonne idée de me rendre dans un bar afin d’engloutir un maximum de cocktails pour je ne savais quelle raison. Peut-être pour oublier mes sentiments, que pour être honnête, je ne comprenais pas vraiment et que je n’essayais même pas de comprendre. Parce que c’était tellement plus facile de ne pas y penser. Et puis bon c’était le Spring Break alors j’avais le droit de faire ce que je voulais, même arriver complètement sèche jusqu’à mon hôtel, sans me justifier. Je prenais l’ascenseur avec difficulté puisque j’avais plus l’impression d’embarquer dans une navette spatiale que dans une machine à monter les étages. Au final, je me retrouvais par chance devant la porte de ma chambre, mais bien évidemment je ne trouvais pas mes clefs. Je commençais à ruminer le nez dans mon sac. Putain mais elles sont où… Non, vraiment, là c’était trop. Elizabeth était je ne sais où, encore avec son Roméo, et donc elle ne pouvait me sauver, je ne voulais pas la déranger, imaginez si elle était en train de copuler avec Mr Capulet, quoique c’était Juliette Capulet non ? Je ne savais même plus mes classiques, super !
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Une énième soirée a trop boire, c'était presque devenu une routine en période de Spring Break. Tu ne sais plus il était quelle heure quand tu avais décidé de quitter cette soirée. Tu avais galéré à rentrer à l'hôtel, titubant sur la route du retour. Enfin, après tu ne sais combien de minutes de marche, tu avais atteint le fameux hôtel, tu avais pris l'ascenseur, espérant que tu appuies sur le bouton du bon étage de ta chambre. Finalement les portes s'ouvrent et ton regard est attiré par cette silhouette qui t'était familière. Han Dixie, qui galéré à ouvrir la porte de votre chambre, heureusement que tu étais l'homme de la situation et que tu avais toujours tes clés sur toi. Tu t'approches alors de la jeune femme mais en fait qui n'était pas ta copine, mais l'alcool te faisait croire que c'était elle. Arrivé près d'elle, tu poses ta main sur son épaule pour attirer son attention avant que la blonde se retourne. La première chose qui te frappe c'est que... la jeune femme ait les seins plus petits que d'habitude, l'alcool te jouait vraiment des tours ce soir, mais tu en étais totalement inconscient. Mais ma chérie tu as encore oublié tes clés ? tes lèvres viennent frôler les siennes, et tes mains se glissent sur la poitrine de la blonde pour vérifier la taille de ses seins. Bah ouais t'étais son copain, et tu te devais de faire ce genre de vérification. Puis finalement tu viens glisser ses quelques mots taquins à l'oreille de ta petite amie -qui était en fait Caly- Mais moi j'connais la clé de ton jardin secret... ok c'est officiel, tu avais beaucoup trop bu.
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C'était vraiment la galère, impossible de trouver mes clefs dans ce foutoir qu'était mon sac à main. Je cherchais, enfin j'avais l'impression de bien chercher même si je devais essayer de rester debout avant tout. Puis, je voyais une silhouette masculine s'approcher de moi, il était vraiment pas mal ce mec, genre vraiment. J'avais la tête qui tournait, mais impossible de passer à côté de ses beaux yeux bleus... Ah mais c'était mon mec, enfin je croyais... puisqu'il m'appelait « ma chérie », je devais avoir oublié à cause de l'alcool. Sacrés cocktails ! Je ne perdais pas seulement mes classiques mais mes connaissances sur ma propre vie. Mais oui mon coeur. Ça passait bien non ? Ouais, ça passait bien, genre je suis crédible, je me souviens de toi. De toute manière ça ne pouvait qu'être mon mec, il était trop canon pour appartenir à une autre fille. Il déposait ses lèvres sur les miennes et je lui rendais son baiser, mêlant ma langue à la sienne dans un échange passionnel. L'alcool faisait vraiment des ravages et participait à beaucoup d'échanges de microbes, c'était beau. Ou sale, au choix. Puis, il déposait ses mains sur mes seins... J'allais lui pincer les fesses avant de me retourner afin de le plaquer contre le mur du couloir. Caly était toujours un bonhomme, et oui, même bourrée. Ah ouais, montre moi ça pour voir ? Je me mordais la lèvre oubliant mes clefs. Merde quoi, c'était mon mec.
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Elle était toujours aussi belle ta copine. Tu avais toujours été persuadé de ça. Et elle savait toujours aussi bien embrassé. Son baiser, votre baiser fougueux, tu donnes des milliers de frissons. L’alcool avait vraiment le don de multiplier toutes tes sensations à la puissance mille. Violement la jolie blonde te surprend en te plaquant contre le mur. Un sourire en coin naquit sur tes lèvres qui finissent à embrasser de nouveau ta copine, car oui sous l’alcool qui coulait dans les veines, tu croyais que Caly était ta bien aimée. Puis ses mains malines viennent pincer tes fesses, la coquine, elle ne changeait pas dans ses habitudes. Eh bien... tu commences à lui dire en un murmure comme s’il s’agissait d’un secret. Tes mains viennent déboutonner son pantalon Comme ça. tu prends de nouveau le dessus en la plaquant contre le mur et descendre son bas pour y découvrir une adorable culotte léopard. Mmmm.. tu aimais quand elle portait ces sous vêtements et l’envie est trop forte que tu viens embrasser de nouveau avec passion ta petite amie.
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Mon cher et tendre m’embrassait une nouvelle fois et je faisais glisser mes mains dans ses cheveux, laissant tomber mon sac à main sur le sol du couloir. Il ne servait à rien de toute manière ce sac de malheur puisque je n'avais pas réussi à trouver mes clefs. En parlant de clefs, il me disait qu’il connaissait la clef de mon jardin de secret et malgré tout l’alcool qui coulait dans mes veines, j’étais encore capable de capter le sous-entendu. C'était toujours aussi passionnel entre lui et moi, je m'en souvenais. Il venait déboutonner mon pantalon et je me laissais faire, en me mettant fesses à l’air il découvrait mon magnifique string léopard. Je me mordais la lèvre, l’embrassant une nouvelle fois, il me plaquait à son tour contre le mur et je prenais appui dessus pour passer ma jambe autour d’Adam. Enfin, je ne savais pas que c'était Adam que j'étais embrasser, sinon, je n'aurais pas commencé à faire ça, surtout qu'actuellement, il était en couple avec une de mes ennemies. Je faisais glisser mes mains dessous son tee-shirt afin de lui retirer quelque chose à mon tour. Tu ne vas pas me déshabiller dans le couloir quand même chéri ? demandai-je un grand sourire aux lèvres. Je déposais une nouvelle fois mes lèvres contre les siennes.
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Votre danse s’intensifiait, entre baisers, caresses et déshabillage (a). Tu avais commencé par mon bas, pour y découvrir sa culotte léopard. Ca te plaisait quand ta copine portait des sous vêtement comme ça pour toi. Elle te donnait encore plus envie. Et tu étais tellement saoul que tu te rendais même pas compte que la blonde en face de tes yeux, n'étaient même pas ta bonne copine. Trop de blondes dans ta vie, tu t'embrouillais vite entre Dixie, Grace et Caly. Tu rejettes la faute sur ce foutu alcool. Voilà c'était lui fautif. Une fois le bas de la jolie demoiselle enlevé, c'est au tour de ton t-shirt. La coquine, tu savais que tes tablettes de chocolat lui avaient manqué. La preuve en image. Elle s'accroche encore plus à toi, enroule sa jambe autour de ton bassin. Et te glisse ses quelques mots contre tes lèvres entre deux baisers Tu ne vas pas me déshabiller dans le couloir quand même chéri ? tu regardes à gauche plus à droit, haussant les épaules Tu ne sais pas de quoi je suis capable mon amour. tu dis un air taquin.
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J’étais en string dans les couloirs de l’hôtel, tout allait bien. Je ne pouvais m’empêcher de sourire au jeune homme sûrement à cause de l’alcool. Cet alcool qui m’empêchait de voir clairement que c’était mon ex et non mon mec actuel, mais ça c’était un autre problème. Je ne voyais rien si ce n’est sa petite tête qui voulait m’embrassait, chose que je ne pouvais refuser bien évidemment. Je croyais que c’était mon copain. Je venais de lui retirer son tee-shirt et je promenais mes mains sur son dos lorsque je glissais ma jambe autour de lui. Je l’embrassais une nouvelle fois, mordillant légèrement sa lèvre supérieure. J’étais prête à le déshabiller sur place mais ma conscience me criait de ne pas faire ça. Enfin ce qui me restait de conscience bien évidemment. Non, je te veux rien que pour moi chéri, tu as les clefs de ta chambre ? demandai-je dans un baiser afin de déboutonner son pantalon. J’étais pressée, c’était mon chéri, j’avais envie de l’embrasser encore et encore, et j’avais surtout envie de me retrouver dans un lit avec lui.
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Ta copine qui était en faite pas la tienne, mais t’y voyais que du feu au moment présent, était de plus en plus pressée. Tu ressentais son ardeur au travers de ses baisers. Sa possessivité quand elle te glisse ses doux mots qui arrivent à tes oreilles. Son envie quand elle s’attaque à ton bas. Toi aussi tu allais bientôt finir comme elle (sauf que t’avais pas de strip léopard huhu). Tu sens ton pantalon bientôt glisser le long de tes jambes. Tu vas me rendre fou là chérie.. tu dis en un murmure contre ses lèvres. Pourtant tu n’avais pas envie qu’elle s’arrête. Tu ne voulais pas la lâcher, tu ne voulais pas rompre votre contact, tu ne voulais pas chercher ses clés, t’avais envie d’elle maintenant et tout de suite. Ce couloir est pourtant désert pourquoi rater une telle occasion ? c’était plutôt excitante comme situation et tu avais encore plus envie d’elle. Elle ne pouvait pas dire non à ce regard que tu lui lançais. Tu viens capturer de nouveau ses lèvres avec passion, tandis que tes mains s’amusent à caresser les jolies courbes de la jeune femme avant de venir titiller l’élastique de sa culotte.
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J’avais pas très envie de faire ça dans un couloir mais il ne me laissait pas le choix le petit. Je l’embrassais encore et encore… j’allais le rendre fou, c’était lui qui allait me rendre folle plutôt. Le retrouver comme ça dans un couloir… Je le sentais attraper ma petite culotte et je souriais bêtement, je n’allais pas résister longtemps, vraiment pas. Tu as raison, mais si quelqu’un nous voit… tant pis. Je lui enlevais son tee-shirt, enfin je voulais mais c'était déjà fait, très bien. Du coup j’enlevais mon haut, c'est-à-dire mon soutien-gorge puisqu'il ne me restait que ça et je le jetais quelque part, qu’importe où il atterrissait ce n’était pas mon problème. À présent, j’étais presque nue - seule ma petite culotte trônait fièrement sur mon corps - et lui aussi, je le regardais d’un air interrogateur. Mais tu es sûr que tu n’as pas les clés ? Quand même… J’aimais bien mon copain mais m’exhiber dans un couloir de cette manière… bizarrement ça me rappelait quelque chose mais impossible de remettre une image dessus, ni une idée concrète, étrange. Je l’embrassais une nouvelle fois laissant mes mains se balader sur son corps, s’approchant sûrement trop près de son caleçon.
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Tu as raison, mais si quelqu’un nous voit… tant pis. Tant pis. tu répètes en un murmure les mots de ta bien aimée. Bien trop occupé pour l'instant par ces baisers qu'elle te faisait par milliers. T'en pouvais plus, t'avais envie d'elle maintenant, au diable la chambre et le lit. T'avais envie d'innover aujourd'hui, de tenter l'inédit, l'interdit. Et tant pis si des âmes sensibles vous surprenez, il fallait pas se balader à cette heure-ci dans les couloirs de l'hôtel, mais dormir paisiblement. Ecoutez Adam, la voix de la sagesse. Bon à présent, récapitulons la situation. Ta chérie, était super entreprenante et elle avait pris soin d'enlever chacun des vêtements qui couvrait ton corps musclé. Il manquait plus que l'ultime vêtement qui se faisait désirer. Tu savais au fond de toi, qu'il n'allait pas faire long feu. Question de temps. Entre des baisers, tes mains se baladent sur les jolies courbes de la blonde. T'adorais son corps nu, toujours aussi parfait.. même si, t'avais l'impression que ses boobs étaient plus petits que d'habitude. Etrange. Ca devait être l'effet de l'alcool. Mais tu es sûr que tu n’as pas les clés ? Quand même… t'as le temps de répondre qu'elle reprend de nouveau d'assaut tes lèvres. La coquine, tu sens ses mains s'approchaient dangereusement de ton boxer. Ton sourire s'étire sur tes lèvres C'est que tu vois le problème chérie.. mes clés elles sont dans mon pantalon que tu as jeté là bas. tu dis avec une fausse moue déçue avant de l'embrasser et de dévier tes baisers dans le creux de son cou. Et sans prévenir, par surprise, tes mains se faufilent sur le royal popotin de ta chère et tendre, qui finit à poil. Au revoir petite culotte.
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