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Briny (+) Strip poker party, oh yeah !

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Décidément, j'allais devoir calmer mon côté impulsif. J'avais peut être poussé le bouchon un peu trop loin, mais c'était mon caractère. Quand je me sens agressée, je suis obligé de répliquer aussitôt. Mais cette fois-ci, je le regrettais amèrement. Voir des larmes couler sur ses joues, c'était désagréable dans le fond. Je me sentais pas bien, comme si un objet était appuyé tout conte ma poitrine, l'oppressant de tout son poids. D'une certain manière j'étais soulagée, elle n'était pas partie et elle ne semblait ne pas vouloir quitter le creux de mon cou. D'une nature égoïste, j'étais prêt à la retenir malgré son avis, bien que pour le coup, cela fasse psychopathe. Posant mon nez dans ses cheveux, humant son odeur de shampoing, je me laissais finalement aller dans la tendresse. Je ne pouvais me résoudre à la perdre, surtout maintenant, après autant d'effort. « Disons que t'es chiante, mais j'aime cette partie de toi. Et ça ne m'a jamais embêté. » Dis-je en soupirant, fermant quelques secondes les yeux. Pour moi, mes mots n'étaient pas une attaque mais bien un compliment. J'étais peut être un peu maladroit dans mes paroles mais je suis nul pour trouver les bons mots. « Briny, je suis pas quelqu'un de très patient généralement.. J'ai juste besoin de savoir si on part pas dans des sens opposés ou bien si nous voyons les même choses. Est-ce que je dois t'attendre ? » Oh c'est tellement gênant ! Heureusement qu'elle n'avait pas les yeux rivés sur moi à cet instant puisque je sentais une douce chaleur me monter au visage. J'étais tout de même entrain de lui faire comprendre que je voulais quelque chose. Pas tout de suite, je crois que j'ai besoin de me remettre de toutes ses émotions, mais juste pour savoir. Abandonner définitivement ou garder un réel espoir. Je gâchais surement le moment, mais c'était plus fort que moi, je devais être fixé sur notre sort. Elle pouvait très bien me voir comme un simple ami. Un ami qu'on peut embrasser. Bon, ça ressemble plus trop à un ami, mais étant donné que les femmes sont assez compliqués, je préférais mettre les choses au clair tout en restant tout de même dans le vague. Elle relevait alors son regard vers moi, bredouillant quelques conneries concernant ses hormones. J'haussais un sourcil, un fin sourire planté sur le visage. Ce qu'elle pouvait être têtue comme un âne parfois. « Tu restes alors ? » Demandais-je en caressant le tissu de sa robe dans le dos, à l'aide de mon pouce.
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Tu étais incapable de dire quoi que ce soit, la gorge nouée, le souffle court. Tes larmes semblaient s'être taries, du moins pour le moment. Tu ne savais pas à quoi et surtout à qui tu faisais face.  Le Charlie Colérique laissant place à celui que tu préfèrais le plus, le Charlie doux et sensible qui faisait craquer ton petit coeur. Si tu avais pu imaginer auparavant que votre relation deviendrait aussi complexe. Si tu avais pu imaginer que tu ressentirais un jour ce genre de chose, et qui plus est, pour lui, tu te serais probablement rigolé à la figure. Tu ne savais pas vraiment ce que vous étiez, et si un "vous" existait.  C'était ce que tu redoutais de plus à son égard, qu'il te jette comme une malpropre, et c'était surement pour cette unique raison que tu tentais de ne pas trop t’attacher à lui. De peur d'être blessé, de voir ton âme se meurtrir et ton coeur finir en cendre. "Tu m'aimes parce que je suis chiante?" dis-tu dans un chuchotement avant de lâcher un petit rire tellement tout cela était absurde.  Tu humais le creux de son coup, passant tes mains autour de son torse. Tu t'accrochais à lui pendant que tu le pouvais encore, tu t'accrochais à lui comme de peur de le perdre. L'idée de ne plus jamais le revoir était insupportable. Elle te torturait quotidiennement, à chaque fois que son regard évitait le tien, à chaque fois qu'il y'était indifférent. Comment allais-tu faire? Qu'est ce que tu allais devenir si tu devais renoncer à lui? Tu ne serais que le pâle reflet de toi même. Et alors que de telles pensées parcouraient ton crâne, tu te demandais depuis quand tu t’attachais autant à un homme. Surtout Charlie. Tu le revoyais encore les premiers jours de cours à t'embêter, et sortir des blagues perverses toutes les deux secondes. À une époque tu l'envoyais balader avec une telle facilité, une telle légèreté que tu te demandais comment tu avais pu faire pour te retrouver piéger dans cette situation. Est ce que tu l'aimais? Non. Est ce que tu ressentais quelque chose lorsque tu étais avec lui? Définitivement. "Je...Je...Je ne sais pas." avouais-tu, alors que tu sentais son coeur battre si fort contre sa poitrine. "Tu me fais rire. Tu me fais pleurer. Tu me fais crier. Et parfois tout ça en même temps." Tu parlais d'une voix douce, tentant de mettre des mots sur ce que tu ressentais pour lui. Il n'y avait plus de future. Il y avait juste lui et toi, prisonnier de l'instant présent. Tu n'avais pas envie de penser à ce qui vous attendait, tu avais tellement peur de voir ses barrières se reconstruire entre vous. Tu plantais cette fois-ci tes ongles dans sa peau, soupirant. C'était tellement difficile. Alors tu préfèrais simplement lui prendre une main et la déposer sur ta poitrine, contre ton coeur. Au moins tu réalisais surement un de ses rêves, qu'il puisse te toucher le sein. "Tu le sens? C'est parfois ce que tu me fais ressentir. Mais parfois il ne bat pas aussi vite et je me sens vide de l'intérieur. Je sais que je t'ai pris beaucoup de temps et je sais que tu voudrais plus mais pour le moment je ne sais pas si j'en suis capable. Je suis une épave et en amour je suis tout simplement un danger. Je préfères donc te demander, est ce que tu es près à me donner du temps?" Ton regard se relevait enfin, rencontrant le sien. Tu laissais tes orbes noisettes se plongés dans les profondeurs de son regard, te laissant submerger par leur beauté et leur mystère. Il t'envoutait un peu plus à chaque instant. Au fur et à mesure que le temps passait, ton obsession pour lui et le désir que tu lui vouais étaient renforcés, mais pas seulement, non, ils s'intensifiaient, ils s'emparaient de ton cœur et ça te faisait peur, mais tu venais d'être honnête et tu savais que tu n'avais pas le droit de lui en demander plus. "Je suppose, enfin si tu veux toujours de moi." Tu plaçais une mèche de tes cheveux derrière tes oreilles gêné. Avec tout ce que tu venais de lui dire tu ne savais plus où te mettre.
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La soirée commencée sous les meilleurs hospices avait finalement viré dans une situation des plus énervantes avant de se calmer, sur une note douce. J'étais certes impatient, peut être trop pour elle. Je n'étais pas habitué, révélant alors mon petit côté capricieux. Dans le fond, j'étais encore un gosse qui voulait tout de suite ce qu'il désirait. Qui voulait tout de suite son jouet. Sauf qu'avec Brynn, elle ne ressemblait rien à un jouet et elle avait le don de me dire non, et violait presque ce mot avec moi à force de le répéter. J'étais face à un mur et ce genre de beauté froide, j'avais l'habitude d'en faire qu'une bouchée. Je suis un con. C'est vrai. Le problème c'est que cette fois-ci ça ne marche pas et bizarrement, contrairement à ce que je pensais, ça me donne encore plus envie de courir derrière elle. Un peu à la manière d'un âne avançant grâce à une carotte. Au lieu de l'a rendre folle de moi, c'est moi qui l'était. Et n'étant pas familier avec ce genre de chose, je me sentais largué. A la ramasse et proche du supplice. Celui de me prendre le plus gros stop de ma carrière amoureuse. Un non, qui me foutrait le coeur en l'air. Parce qu'après tout, plus je passais de moment avec elle, et plus les morceaux de mon coeur s'éparpillaient dans ses mains. Nos disputes, rares mais intenses ravivaient un peu plus la relation que nous entretenions et nos étreintes d'après guerre, m'attendrissais. Depuis quand je me sens faible face à une femme qui pleure ? J'en ai rien à faire en générale. Pourquoi je me retenais de me jeter sur elle alors que j'en ai tellement envie ? Je me prive tout seul. "Tu m'aimes parce que je suis chiante?" Brynn est une sacrée emmerdeuse quand elle le veut, non ? Au moment où je préfère juste oublier tout les mots que j'ai prononcé, elle me demande de nouveau si je l'aime parce qu'elle est chiante ? Non je l'aime pas. Pas du tout même. D'ailleurs sur ses mots, elle se mise à rire. Un rire cristallin qui résonnait à mes oreilles comme une douce mélodie. « Tu y vas avec qui au bal de fin d'année ? » Esquive total et fluide, non ? Passer sur un sujet de fille, ça marche en général, non ? Faîtes que si bon dieu. Face à mon mini dialogue des plus ouverts et gênant, si, si, je m'étais légèrement écarté de la jeune femme comme pour mettre une certaine distance, une barrière. Mes sentiments, il m'appartenaient, et je n'aimais pas qu'ils m'échappent et encore moins en faire part. C'est assez déstabilisant, inquiétant même. C'est à ce moment-là qu'elle prit ma main tendrement en l'a posant sur sa poitrine. What ? Si c'est sa manière de me dire qu'elle veut finalement qu'on couche ensemble, c'est bizarre non ? J'en sais rien mais me sauter dessus ça aurait suffit. D'ailleurs à palper discrètement sa poitrine, je remarquais qu'il y avait du monde au balcon. Quoi ? Faut bien que je pense à autre chose que ses yeux bleus posés sur moi et sa mine sérieuse. Je savais plus où me mettre. Mais vraiment. Enlevez moi cette putain d'angoisse qui me mord le ventre avidement. J'ai la frousse de sa réponse. Et à sa réponse, j'étais sur le cul. Pas physiquement, mais presque. Sa manière de tourner les phrases, sa complexité dans l'amour et le mot magique pas prononcé. Je soupirai de soulagement en souriant bêtement. « Ouais. » Ouais ? C'est tout ce dont tu réponds ? Wilcox réveille toi ! « Putain, qu'est-ce que tu me fais pas faire. » Dis-je en ruminant, avant de prendre le plat et de le poser sur le lit et de me rendre jusqu'à ma valise. Prenant un jogging et un tee-shirt, je lui lançais, l'un à ses pieds et l'autre en plein visage en lui lançant « Alors viens, il se fait tard. » Dis-je alors en riant quelques secondes en voyant sa tête quand le tissue avait touché en pleine face son visage. Je visais bien, même quand je ne regardais pas. C'est la classe à la Wilcox.
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C'était bizarre tout de même, toi qui d'habitude te montrais si discrète sur tes sentiments, tu venais de faire un monologue au jeune français. Tes mots étaient sortis avec une telle légèreté de ta bouche que tu en étais surprise. Le plus étrange dans tout ça c'est que tu te sentais bien, comme si tu venais de t'enlever un poids sur la poitrine. Pour une fois tu t'étais montré sincère avec le rouge, et même si ta réponse ne lui plaisait certainement pas, tu n'avais rien de mieux à lui offrir. Tu ne souhaitais pas lui mentir, ni te comporter froidement à son égard. Tu voulais simplement rester là dans ses bras, sentir son odeur et sa peau douce contre la tienne. Tu voulais que ce moment perdure ainsi pour toujours, pour l'éternité. Ta niaiserie te faisait peur, te dégoûtait. Elle était où la biatch qui te caractérisait tant? Hého c'était pas le moment de prendre des vacances, parce que c'était un peu ton bouclier contre les invasions de truc comme l'amour qui te donnait envie de vomir. Alors tu fus plus que soulager lorsque Charlie s'écarta de toi. Soulager de voir cette distance apparaître à nouveau entre vous, tu te sentais plus en sécurité comme ça, seule. "Probablement avec mon ami imaginaire. J'sais pas trop...en faîte je n'y avais pas réfléchi." Tu affichais une moue dubitative. D'habitude c'était ton truc ce genre de chose, mais pour une fois tu n'y avais pas accordé une mini pensée. "Gosh mais c'est bientôt, mais quelle robe j'vais mettre? purée j'suis à deux doigts de faire une crise d'angoisse." Ouai pour de vrai. Tu avais genre riiien à te mettre c'était la catastrophe assuré comme truc. "Tu veux venir avec moi? Fin non laisse tomber....j'veux dire tu es un winthrop...j'sais même pas ce que tu fous là avec moi alors que toutes les filles voudraient être avec toi...fin pas moi...fin si...fin j'crois que je m'enfonce quoi. Mais bon j'suis pas vraiment une fille donc ça compte pas." Bon okay briny ta gueule là, parce que ça devenait clairement hyper gênant. Et le rouge te montait clairement aux joues.  Breeef, malgré tout ce que tu venais de dire au jeune homme, ce dernier se contenta d'un okay qui te laissait perplexe. En même temps les mecs n'étaient pas vraiment connu pour leur sens de faire la conversation c'était un peu comme les hommes de cro magnons moins ils en dites mieux ils se portent. "Quoi tu vas t'plaindre parce que tu as touché mon néné? Sérieux dude va falloir ce que tu veux dans la vie." Tu te foutais ouvertement de sa figure, mais en même temps après toutes ces paroles si sérieuse ça allégeait l'atmosphère.  D'ailleurs le rouge semblait d'être une humeur taquine te balançant un jogging à tes pieds, ainsi qu'un t-shirt sur la figure. C'est qu'il savait lancer le petit. "Ouai ouai j'arrive monsieur wilcox." Tu roulais les yeux vers le plafond, commençant à te déshabiller dans la chambre en mode c'est une plage nudiste. "Bon tu regardes pas hein." Faisant aussi vite que tu le pouvais, tu retiras avec douceur ta robe ainsi que ton soutien gorge, avant d'enfiler les vêtements que Charlie venait de te donner. "Peut-être que tu veux que je dorme pas avec toi...j'veux dire avec les anglais qui ont débarqués &tout &tout." Un petit sourire timide s'étirait sur le coin de tes lèvres ne sachant pas ce que tu devais faire.
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Nous venions de passer un moment intime, propre à nous deux et c'est dans ce genre de moment que je comprend pourquoi nous sommes si éloignés et si proches en même temps. Nous ne regardions pas encore dans la même direction, et la distance était encore trop immense entre nous. J'étais de plus égoïste a ne penser qu'à ce que je voulais, que je la voulais. J'étais tellement aveugler ma mes souhaits que j'avais oublié ce qu'elle, elle désirait. Je me sentais un peu stupide et je me prenais une claque en pleine gueule tout seul. Je ne m'attendais pas à ce genre de révélation, surtout venant de moi même. J'étais besoin d'y réfléchir seul mais pour le moment, il était plus important de m'occuper de la jeune femme qui allait dormir ici, et dans mon lit qui plus est. J'avais deviné qu'elle ne devait pas avoir de vêtements de rechange, c'est pourquoi je ne lui avais même pas posé la question, préférant l'a d'avancer. Mine de rien je commençais peu à peu à l'a connaître et visiblement prévoir n'était pas l'une de ses meilleurs qualités. A ma question, j'étais assez surpris de savoir qu'elle n'y avait même pas réfléchit. A croire que Brynn oubliait parfois la beauté et l'apparence. En voyant qu'elle se reprenait avec sa mini crise pour savoir ce qu'elle allait bien pouvoir porter ce jour la, je me moquais ouvertement d'elle. On reconnaît bien une Cabot. Oû bien même une princesse puisque c'est ce qu'elle était. Chose que j'oubliais fréquemment puisqu'elle semblait si accessible, et surtout parce qu'elle ne portait pas une couronne sur la tête. Comparé à elle, j'étais un simple roturier. Un naze en d'autre terme, non ? Fauché qui plus est. Je n'avais jamais posé de question sur sa famille en y repensant. Le vide s'emparait de moi tout à coup. En réalité je ne connaissais pas grand chose d'elle, mise a part qu'elle sait faire comme Zidane, qu'elle ne joue pas au poker, qu'elle adore être coquette et s'amuser. Je rêve ou tu essaies de m'inviter ? Demandais-je en remarquant soudainement son ton maladroit, presque gêné. Une Briny tout aussi intéressante et amusante. Etant déjà torse nu, j'enlevais alors mon short avant de me rendre sur mon lit, m'allongeant tranquillement dedans. Je me plains pas, pas du tout même. C'est juste que je sais pas, tu me prends par surprise parfois. Répondis-je en m'instalant confortablement tandis que je ramenais vers moi la nourriture qui me faisait de l'oeil depuis tout à l'heure. Non je regarde pas. Dis-je en fermant les yeux, tout en prenant une des fourchettes. Une fois qu'elle eut fini, je ré-ouvrais les yeux en ayant en tête de parler sérieusement. Un peu d'elle, de sa famille, rattraper ce que je ne savais pas sur elle. Non c'est bon  t'es pas la première fille avec qui je dors et qui à ses règles. Répondis-je en pensant à mes deux soeurs qui dans ce genre de situation souffrait le martyr, les pauvres. Dis moi, tu me parles jamais de ta famille, t'as une soeur, ça je sais, mais le reste ? Qui est Brynn ? Demandais-je en mangeant une bouchée de nouille en ne l'attendant pas. J'avais trop faim et notre dispute l'avait finalement ouvert l'appétit.
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Même si tu ne savais toujours pas ce que tu ressentais à son égard, exprimant autant de l'amour que du dégoût, tu fus surprise par ta propre audace. Comme quoi tu pensais tout savoir sur toi, mais non tu arrivais encore à te surprendre. Si d'habitude tu aurais attendu patiemment que le jeune homme fasse un pas jusqu'à toi et t'invite à la soirée, surement son intention de départ, tu avais décidé de le prendre de court. Tu voulais lui montrer qu'il comptait tout de même pour toi, suffisamment pour vouloir t'afficher en public à ses cotés. Après ça pouvait très bien être en tout amitié ou autre. Tu te mordillais la lèvre inférieur, les joues légèrement rosies. C'était tout de même très embarrassant, et le français semblait vouloir simplement t'enfoncer un peu plus. "Ça dépend...tu veux y aller ou pas?" répondis-tu du tac au tac. Namého déjà que c'était toi qui posait la question, il n'avait cas répondre par oui ou par non soit la réponse la plus facile. Parce que dans l'histoire c'était toi qui prenait le risque de te prendre un vent, et pas lui finalement. "Et c'est une bonne chose ou pas?" Tu fronçais les sourcils pensive, affichant une petite moue dubitative. Tu ne savais pas vraiment comment tu étais censé le prendre. Bref après t'être rapidement changé, tu t'asseyais en tailleur sur son lit, observant d'un regard amusé monsieur manger ses nouilles. Toi tu n'avais clairement pas faim. "Okay...tu sais que quand tu le dis comme ça c'est un peu bizarre." Tu te moquais gentiment, bien décidé à prendre ses propos sur le ton de la rigolade. Pas besoin de t'attarder sur le pourquoi du comment, tu n'avais vraiment pas besoin d'imaginer d'autres filles avec lui. Règles ou pas règles.  "Hum...pourquoi cet intérêt soudain pour le sujet? Je te propose un truc...je te dis une chose sur moi et toi tu dois me dire un truc sur toi de valeur similaire okay?" Parler de toi n'était clairement pas trop ton truc, alors si vous étiez deux à raconter votre vie ça irait déjà mieux. "Pour répondre à ta question j'ai deux demi frères. Finn, mather & Haytam, dunster. Ouai mon père était un chaud lapin." expliquais-tu timidement. Ils étaient tous les deux les opposés de toi, que ça soit Finn toujours dans l'extrème ou Haytam et sa belle gueule.
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Assit en tailleur sur mon lit, les pieds nus sous les couvertures, au chaud alors qu'il faisait bien assez chaud, je mangeais comme pour m'éviter de dire des conneries. Disons que ça m'occupais la bouche et l'esprit et pour le coup c'était pas mal comme tactique. Trop d'émotion en même temps. Et les émotions en général ça me donne envie de manger. Avalant une dernière nouille, je levais un sourcil à sa demande. Elle ne me demandera jamais avec les mots qu'il faut, à croire qu'elle était un peu handicapé des mots avec moi. Le pire c'est que je suis persuadé que face à un autre homme elle serait tellement plus cool et décontracté. « Moi je veux. Mais visiblement le problème c'est pas moi pour le coup. Toi tu veux ? Avec moi ? Enfin, tu veux m'accompagner ? » Je prenais mon courage à deux mains et l'invitait à mon tour officiellement, au moins, l'un de nous deux ce soir aura sût tenir un doigt d'honneur à la honte, le gêne qui nous rongeait à cet instant. Je voyais bien son visage devenir peu à peu rouge, tout comme le mien en ayant prononcé mon envie d'y aller avec elle, ou du moins d'une manière détournée. Pendant un petite moment j'ai cru qu'on était deux adolescents stupides en manque d'un peu de chance pour bouger les choses. Voyant la jeune femme se pointer dans tes vêtements, ton odeur, tu avais presque envie de rendre les armes et d'être tendre avec elle. Avec mes vêtements sur elle, c'était comme si elle m'appartenait dans un sens, comme si un bout de tissu avait beaucoup plus de chance que moi pour le coup. « Bah c'est pas très bizarre. » Dis-je tout naturellement en haussant les épaules, ne voyant pas du tout le hic dans mes paroles. A vivre qu'avec des femmes, j'avais oublié que cela pouvait être assez bizarre en ayant un avis extérieur. Face à sa proposition j'acquiesçais en posant ma boîte de nouille devant moi. Pourquoi pas, c'était une sorte d'arrangement. « Je vois.. Pour le chaud lapin, on se comprend. Mon père, cet espèce de con à mise enceinte ma mère avant de se tirer. Du coup, j'ai une jumelle, et deux demi-soeurs. Un bordel en gros. J'imagine qu'on est tout les deux abonnés aux familles recomposés. A toi. » Dis-je en me rapprochant alors un peu plus près de la jeune femme, en face, rangeant alors définitivement la boîte par terre. Je ne lui avais pas proposé et c'était pas très cool de ma part mais je savais que si elle voulait quelque chose elle aurait pépié depuis longtemps. Je posais alors mes mains sur ses mollets en caressant sa peau avec douceur. « Si tu veux t'allonger et qu'on éteigne les lumières pour ne pas avoir à me regarder ou bien si tu as sommeils n'hésite pas. » Je savais qu'on allait se livrer un peu plus et j'avais bien envie de m'allonger et de l'a tenir dans mes bras. De sentir sa peau contre la mienne et son odeur envahir mon espace vital. Je devenais presque un tendre, un espèce de pauvre type atteint d'une maladie d'amour mais son contact devenait de plus en plus primordiale.
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Tu observais Charlie timidement, te demandant comment vous faisiez pour rendre à chaque parole cette conversation encore plus gênante qu'elle ne pouvait être. Tes joues étaient déjà bien rose, et tu n'arrêtais pas d'éviter son regard ne sachant plus du tout ou te mettre. Voilà c'était aussi pour ça que tu n'aimais pas être en sa compagnie, car il était le seul à te faire sentir si faible. Si toi tu t'étais montré beaucoup plus vagues sur tes intentions, le français se montrait bien moins implicite posant la question qui vous brûlait à tous les deux les lèvres.  Prenant quelque seconde pour réfléchir, tu ne disais rien. "Non." Réponse plutôt clair, simple, précise. Tu relevais le regard l'observant froidement. Finalement la réponse t'était venue toute seule, passant rapidement la barre de tes lèvres comme lorsqu'on veut enlever un pansement le plus vite possible pour qu'il fasse moins mal.  Bref, tu fus contente de passer à autre chose lui révélant quelques brides d'information sur qui tu étais, tentant de te montrer moins froide. Une princesse comme les autres, un peu chiante aussi. En même temps avec une famille comme la tienne se n'était pas non plus ta faute. Tu fus agréablement surpris d'apprendre que Charlie avait plusieurs soeurs, ce qui expliquait peut-être pourquoi il était aussi à l'aise après que tu lui avais annoncé que tu avais tes périodes rouges. Tu avais presque envie de les rencontrer juste pour voir si elle ressemblait un tant soit peu à leur frère. "Heu...parfois je parle à mes seins tu vois comme des potos imaginaires. Le gauche je l'ai appelé John et l'autre Jess et parfois j'aime bien les faire parler entre eux. À toi." Okay il allait vraiment te prendre pour une groooosse folle de la vie là. Mais bon c'était lui qui voulait apprendre à te connaitre, donc voilà cela faisait parti du lot d'information que tu utilisais pour te décrire. Tu n'avais même pas honte, affichant un sourire fière.  Puis de toute façon tu en avais rien à faire de ce qu'il pensait voilà. Parce qu'un jour il allait bien être content de pouvoir toucher John et Jess so il pouvait se garder tout commentaire pour lui. "Heu okay...j'vais éteindre les lumières, ça sera peut-être moins gênant." Te levant, tu sautillas jusqu'à interrupteur pour éteindre ce dernier, avant de rejoindre à tâton Charlie. C'est que tu voyais pas grand chose dans le noir quand même et que tu n'avais malheureusement pas la vue aussi aiguisé que celle d'un félin. Touchant sur ce que tu pensais être sa cuisse tu te couchas sur le lit, mais bon tu n'étais pas certaine de savoir si tu étais à l'endroit à l'envers. Tu commençais à toucher partout autour de toi pour voir où il était par rapport à toi. Tu étais un peu un boulet quand même, mais tu n'avais pas la lumière d'un portable pour t'éclairer. "Charlie tu es où?" chuchotais-tu, parce que même si le lit ne faisait pas la taille d'un stade de foot, un peu d'aide ne serait pas de refus.
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Je me sentais en confiance à ses côtés, un peu plus qu'il y a quelques minutes. A quoi bon s'engueuler sérieusement ? On était tellement mieux à se regarder ainsi ? Sans forcément se rentrer dedans pour mettre certaines choses sur la table, non ? Parlant tout à coup du bal, je venais de lui proposer de m'accompagner, et dieu sait que je suis bien difficile pour faire ce genre de chose puisqu'un bal, ça n'avait rien d'existant pour moi. Si je faisais ce geste, c'était pour qu'elle le remarque et me réponde qu'elle en serait très heureuse d'ailleurs. Malheureusement on ne vit pas dans le monde des bisounours et encore moins dans le monde de Charlie. Brynn n'avait même pas réfléchit qu'elle me stoppa grandement avec son Non froid et presque dédaigneux. Vexé, je me braquais totalement en me promettant d'y aller avec une autre jolie femme rien que pour l'a faire chier. J'avais compris le message et je n'irai pas avec elle. Là c'est une promesse. Si elle n'avait pas encore fait connaissance du Charlie rancunier, elle le toucherai bientôt du bout des doigts. Je ne relevais pas son ton désagréable, préférant m'empoisonner d'une rancune sans nom. Je m'en fou, elle le payera. Montrant alors ma tête des mauvais jours, je l'as laissais parler d'elle et c'est avec une surpris indescriptible qu'elle me racontait pour sa poitrine. J'étais tellement sur le cul, que mes sourcils s'étaient haussés et la bouche s'était légèrement ouverte. Mon dieu que cette femme est folle. On avait touché le fond. J'arrivais pas à croire qu'elle avait prit cette initiative plutôt amusante pour le coup. Le fou rire s'emparait alors de moi, ne pouvant m'arrêter. Brynn avait peut être le sens de l'humour finalement. Reprenant mes esprits je calmais mes ardeurs en me replongeant dans les confidences. « C'est très surprenant dis donc. Hum.. Je dors toujours nu la nuit parce que j'ai vraiment chaud à part quand je dors avec quelqu'un. » Plutôt banale comparé à la jeune femme, mais je ne pouvais rivaliser face à une telle imagination. Et puis j'étais un type vraiment ordinaire. Rien de bien amusant. Acceptant d'éteindre les lumières la jeune femme revenait alors à l'aveuglette. Et manque de bol pour elle, je n'avais pas pris mon téléphone près de moi, et même en cherchant dans mon lit, je ne trouvais rien y ressemblant. Alors qu'elle revenait, appuyant sa main sur mon dos, je relevais alors la tête cognant alors celle-ci contre celle de la jolie blonde. « Aïe. » Bon au moins elle m'avait trouvé, non ? Un bon point ? On n'arrivait pas à ce voir, mais se toucher c'était la meilleure solution pour se comprendre. Pensant être en face d'elle, je lui attrapais les poignets en esseyant de positionner ma tête vers son visage. « Je suis là. » Dis-je alors comme un idiot et surtout comme si elle n'avait pas sentit le coup que je venais de lui porter.
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Vous n'alliez pas vous mentir, ta réponse aussi surprenante que déroutante n'avait pas semblé plaire au Winthrop. Dans un sens tu arrivais presque à le comprendre, puisque tu avais jusqu'à présent envoyé tous les signes pour que la réponse à sa question soit positive avant de subitement te rétracter. Oui ce n'était pas cool de ta part, mais il n'y avait que les cons qui ne changeaient pas d'avis. Le jeu était donc une véritable bouffée d'air, te permettant ainsi de faire comme si de rien était. Mieux valait adopter cette attitude que de vous engueuler pour la énième fois. En tout cas tes révélations très sérieuses semblaient beaucoup faire rire le français, qui n'avait même pas la délicatesse de le cacher. "Hé on ne se moque pas hein. Puis je le savais déjà que tu dormais tout nu, après t'avoir vu tout nu dans la mer et pratiquement à poil dans ton appart, j'ai bien compris que tu étais naturiste. J'suis blonde mais pas débile. J'veux un autre truc." Si tu arborais un ton catégorique, tes yeux pétillaient de malice. Tu n'étais pas né de la dernière pluie, et il était hors de question que le jeune homme s'en sorte si facilement. Le rejoignant dans le noir, tu lui avais arraché un petit aie lorsque tu pris son dos pour sa cuisse, et même si c'était une réaction très méchante et puéril le tout te fis bien ricaner. Avant de comprendre que c'était vos deux têtes qui venaient de s'entre choquer, laissant une trace lancinante dans ta tête. C'est qu'il avait la tête dur ce con. Avec ça tu allais clairement finir défigurer. Mais bizarrement la douce proximité qui venait de s'installer entre vous, te faisait presque oublier cette douleur qui te tenaillait l'esprit. Tu le sentais. Il était juste en face de toi. Tu pouvais presque sentir son souffle contre ta peau.  D'un geste timide tu positionnas ta main sur sa joue, tentant de voir ses yeux dans la noirceur de la chambre. Sa peau était douce et brûlante. Si cela n'avait tenu qu'à toi, tu te serais abstenue de dire quoi que ce soit, tu te serais contenter de l'embrasser. Sa bouche. Sa respiration régulière, son souffle chaud, les palpitations de son cœur, ses yeux... Surtout ses yeux. Il te faisait chavirer. Il te troublait, t'envoutait, t'émerveillait. Tu avais l'impression de pouvoir te perdre dans les profondeurs de son regard, de pouvoir t'y noyer sans opposer de résistance. Alors finalement c'était peut-être mieux que tu sois momentanément aveugle, ça te permettait de rester dans un sens toi même. Forte. Fière. Toi et ton caractère de merde.
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