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Briny (+) Strip poker party, oh yeah !

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« Euuuh, tu va certainement pas te marier avec lui. Je suis désolé, j'interviendrais quand le curé dira qu'une personne peut intervenir. Ou alors je repars avec sa femme actuelle. Elle est pas mal la Beckham. » Répondis-je en haussant les épaules, me rappelant un moment le visage de cette femme brune. C'est vrai qu'elle était magnifique, mais à tout les coups elle se foutait du botox dans le visage. Et malheureusement, j'aime pas les femmes plastiques, je préfère le naturel. La beauté naturel, tellement plus intéressante. Ça évite la surprise au réveil. « Arrête, tu sais très bien que je te toucherai jamais, et encore moins avec de la chantilly. » Répondis-je en souriant. Je ne l'a toucherai jamais sans son consentement. Bien sûr. Je m'étais fixé cette règle et j'étais le premier surpris de voir que je l'a respectais à merveille. En général je me jette sur les jeunes femmes qui me plaisent et bien évidemment je n'ai pas de geste me repoussant. Enfin, ça c'était avant que je m'intéresse à elle. Que je me dévoue à son attention. Quand j'y repensais, je trouvais ça juste fou. J'avais changé s'en mettre rendu compte. Après Dixie, je cherchais juste à me faire plaisir, et finalement, j'avais changé d'avais. Peut être que je veux former un couple pour la première fois, que j'ai envie d'une chaleur au réveil le matin, de caresse le soir installé dans le canapé devant la télévision. J'étais entrain de rêvé peu à peu de me fixer, de vouloir une pause dans le foutoir que j'avais mis dans ma vie. Je voulais de quelqu'un. D'un sentiment d'amour, et celui de pouvoir protéger. Je trouvais ça effrayant. De vouloir tout à coup une vie plutôt monotone et sans palpitation. Enfin, à mon sens c'est ce que le couple représentait. J'avais toujours trouvé ça lassant. On s'ennuie au bout d'un moment à coucher avec la même personne, non ? Bizarrement, ça me passait au dessus à présent. J'avais juste envie de calme, de pouvoir vivre quelque chose avec elle. Je sentais que si ce n'était pas réciproque, je mettrais du temps à m'en remettre, je ne m'étais jamais attaché aussi longtemps. « J'aimerai plus bas tu veux dire. » Dis-je en la taquinant avant de rajouter « je rigole. », histoire de désamorcer le visage choqué qu'elle pourrait faire. « Un baiser ? Tu te dévergonde Briny ? » Répliquais-je en ne m'attendant pas à ce genre de mot venant de la jolie Cabot. Un baiser ? Vraiment ? On va finir à poil tout les deux si ça continue putain. « Pour le bonus, je veux que tu me lèches le torse avec de la chantilly. Au moins elle servira comme ça. » Ouais, ouais, je suis le pire profiteur de la vie mais je m'en bas les couilles. Autant tout tenté, on est là pour sauter des barrières, no ? Je montrais les deux autres cartes face, à vu de nos quatre yeux. Merde. J'ai encore rien de rien. Pourvu qu'elle est des cartes de merde que je lui fasse sauter son petit gilet. Briny montrait alors ses cartes à son tour et malheureusement pour moi, elle avait une paire. « Putain.. t'as gagné. » Dis-je en grimaçant. J'allais devoir enlever le haut.
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"Bah vazy repars avec sa femme. Genre tu sais qu'elle ne sourit jaaamais? Tu te feras bien chier avec elle, je ne savais pas que tu aimais les constipées du visage." répliquas-tu avec une pointe de jalousie dans la voix, même si tu savais pertinemment qu'il y avait très peu de chance que cela arrive. Ils étaient tous les deux hors de votre porté, fin surtout celle de Charlie parce que toi à la base tu étais une princesse donc voilà.  Tu opinais légèrement de la tête quand il t'assura qu'il ne te toucherait jamais avec de la chantilly, il faut dire que tu ne le croyais pas tant que ça. Les français ont toujours un problème avec la nourriture de toute façon c'est bien connu. "Ouai peut-être que je me dévergonde? ça te pose un problème Wilcox? Tu as peur de plus savoir comment on fait?" dis-tu avec un sourire amusé. Tu en avais profité pour lâcher une petite pique, ne voyant pas pourquoi monsieur aurait le droit de t'embêter et pas toi. Il devrait être content le petit, surtout pour une fois que c'est toi qui lui demande. Cependant, tu faillis presque t'étouffer avec le champomy quand tu entendis ce qu'il souhaitait que tu fasses pour le bonus. Le rouge montait peu à peu à tes joues. Dire qu'il y a à peine  cinq secondes il te disait qu'il ne te toucherait jamais avec de la chantilly, mais apparemment ça ne s'appliquait pas à toi. C'était un peu gênant, pas parce que tu ne l'avais jamais fait de ta vie, soyons réaliste hein, mais parce que ça allait te positionner dans une position délicate. Le faire c'était comme lui avouer que maintenant tu le considérais suffisamment proche pour lui lécher le torse, vous voyez le truc? et ça tu refusais. Si un dieu du strip poker existait tout là haut tu priais pour lui. "Dans tes rêves Wilcox." Namého tu n'étais pas une femme facile toi, puis les princesses ne faisaient pas ce genre de chose. Heureusement pour toi, tes prières semblaient avoir été entendues. Tu ne pus qu'afficher une moue de soulagement lorsque Charlie t'annonça que tu avais gagné. Il y avait une justice dans ce monde quand même. Surtout que tu allais pouvoir loucher sur ses abdos en tout impunité. Tu t'octroyais même une petite danse de la victoire, bougeant tes bras un peu dans tous les sens. Finalement il avait raison, ce jeu n'était pas complètement naze, surtout quand c'était toi qui gagnait. "Fait péter le t-shirt Wilcox et j'veux mon bisous." Il n'allait pas pouvoir y couper, toi tu le voulais. Puis c'était peut-être un peu bête comme idée, et franchement tu refusais d'y penser mais le contact de ses lèvres contre les siennes t'avaient manqué. Vous n'aviez rien fait depuis Noël et tu n'allais pas mentir, c'était vachement looong comme période. "Si ça peut te motiver, au prochain tour je joue mon string." dis-tu avec une voix rauque qui se voulait sexy. Qu'est ce qu'il ne fallait pas dire et faire pour avoir un baiser franchement.
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« Constipé du visage peut être mais en attendant elle a un corps de rêve et vu les gamins qu'elle a, ce doit être une chaude lapine. » Répondis-je presque du tac au tac tellement j'étais sur ma lancé. Bon c'est vrai qu'elle était un peu du genre "tire la gueule" mais si Beckham est avec c'est qu'il a une bonne raison. Une très bonne. En voyant soudainement la jeune femme prendre confiance et soudainement me demander si je savais comment on faisait, je ne pouvais que rire. C'est plutôt moi qui allait lui apprendre à bien se comporter si elle continuait de me regarder ainsi, c'est de la provocation sans déconner. Comment je vais finir la soirée si elle commence à me donner envie de lui enlever le peu de vêtement qu'elle détient. Voyant que j'avais perdu ce tour, j'enlevais alors mon tee-shirt comme j'avais promis précédemment. Si j'avais su, je serai resté sur les chaussettes, merde. A croire que le dieu du poker est contre moi ce soir. J'aimais pas perdre, mais c'était plutôt bon joueur et je jouais donc le jeu sans rien rétorquer. Mais en voyant la danse de la jolie blonde, je finissais par ruminer un peu. Mais bon, j'allais l'embrasser et ça c'est vraiment vraiment le truc le plus intéressant de la soirée. Je m'en réjouissais intérieurement. D'ailleurs la jeune femme le réclamait. Faut peut être qu'elle arrête de boire, son état m'inquiète de plus en plus. « Le string ? » Répétais-je en m'étranglant presque, mais ? Oh ? Je crois que j'étais tellement étonné du comportement de la jeune femme que j'en restais bouche bée. Woaw. J'adore cette Briny. Excité par tout ça, je me penchais tout de même vers la blonde en m’exécutant pour le fameux baiser. M’allongeant carrément sur elle, je l'emportais avec moi dans mon geste. Les coudes de part et d'autre de sa tête, je posais quelques doigts sur l'arrête de sa mâchoire, l'a regardant lentement. Je profite, bien évidemment, attend! C'est pas tout les jours ce petit moment juste délicieux. Je posais alors mes lèvres sur les siennes, fermant au passage mes yeux. Transporté par notre baiser qui pour moi était totalement passionné, je laissais ma langue danser avec la sienne, savourant chaque secondes. La frustration de ne pas pouvoir l'a toucher, l'embrassé c'était évader au moment même où nos lèvres c'étaient tout deux touchés. Dans l'acte même, l'une de mes mains s'échappaient doucement de son visage pour suivre le long de son corps et s'arrêter sur sa cuisse. Charlie, calme toi. Me demandais gentiment ma conscience. Bien évidemment je l'ignorais en lui montrant mon doigt du milieu intérieurement. Lâche moi. Je désir cette femme depuis je sais pas combien de mois, qu'on me laisse profiter de mon moment. Rompant finalement le baiser afin de respirer, je regardais Briny l'air satisfait. « Je t'en supplis dis moi d'arrêter sinon c'est moi qui vais t'enlever ton string. » Dis-je d'une voix rauque. Je n'avais pas envie de lui cacher qu'elle me faisait de l'effet, après tout là, j'étais plus que grillé même. Caressant doucement sa cuisse, j'avais envie d'envoyer balader ce stupide jeu de poker mais je ne pouvais rien faire sans son accord. Merd,e la frustration refaisait surface puissance mille en attendant sa réponse. Wilcox si tu te prend un vent, ça va faire mal.
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Charlie était comme d'habitude un gros pervers qui voyait en une femme qu'un simple objet sexuel. Tu roulais une énième fois les yeux au ciel, te demandant bien comment tu faisais pour le supporter. Dire qu'avant il te sortait complètement par les trous de nez, tu avais beaucoup de mal à comprendre ton propre changement d'attitude à son égard. À croire que tu avais découvert qu'il était un peu moins con. Enfin bref tu étais tellement contente d'avoir gagné la partie que tu bougeais tes bras dans tous les sens, mimant ta propre danse de la victoire. Il faut croire que le mot "string" semblait l'avoir réveillé, vu à la vitesse à laquelle tu te retrouvas en dessous de lui. Tu aimais ce contact soudain de ta peau contre la sienne. Le français semblait d'ailleurs prendre un malin plaisir à te faire attendre et languir de désir. Tu hurlais intérieurement à tes yeux de ne pas le regarder. Si seulement c'était aussi simple que cela, si seulement tu pouvais t'extraire à sa contemplation, si seulement tu n'étais pas envouté par ce physique divin qui ne devrait pas appartenir au commun des mortels tant il était attirant, séduisant. Ne pas le regarder. C'était un crime. Une insulte à son corps d'Apollon et son visage d'Adonis.  Tu t'entais d'oublier tes pensées, de vivre le moment. Mais tu le pensais, trop fort sans doute, tu avais l'impression que les moindres parcelles de ton corps criait cette vérité que tu n'étais plus capable de cacher. Range tes mains. Range tes caresses. Tu pensais fort, trop fort. Ce n'était pas tant le contact de ta peau contre la sienne, non, ça allait au delà de ça. C'était ces mots, ces paroles, ces yeux et ces mains.  C'était tout. Tu tentais de garder ton esprit clair et avisé, mais la main sur ta cuisse faisait surgir un désir beaucoup trop important, surgissant des abîmes du creux de ton vendre.  Vous aviez franchit les limites sans les franchir. vous étiez pourtant restez sage, mais votre étreinte ne tromperait personne. Et voilà que ses lèvres venaient s'emparer à nouveau des tiennes. Un baiser pleine de fougue. Un baiser qui t'emportait bien au delà des murs de la cabot house, bien au delà de tout, dans un monde qui n'appartenait qu'à lui et à toi. Tu n'avais qu'une seule envie, l'embrasser à nouveau, l'embrasser et gouter à ses lèvres si délicieuses et chaleureuses. Mais tu t'y refusais tout simplement. Tes yeux évitaient son regard de manière honteuse. "Charlie" susurrais-tu d'une voix douce, ne sachant pas trop comment tu devais faire pour lui annoncer la suite. "Je...je....j'ai mes rêgles tu vois, et ça pourrait devenir gênant." Okay tu ne les avais pas, mais tu préfèrais jouer cette carte pour ne pas le vexer. Parce que même si ton corps désirait le sien et que l'attirance était réciproque, tu ne voulais pas trop t'attacher à lui, et franchir le pas aurait signifié quelque chose de beaucoup trop important pour toi. "On est là pour jouer, pour le reste on verra ça un autre jour. Ou peut-être jamais." Posant ton front contre le sien, tu le repoussas ne souhaitant pas le vexer.
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Je sais pas du tout ce qui m'avais pris. Pourquoi j'avais été aussi loin pour seulement un baiser ? J'étais pas sensé garder une limite ? Chose que je venais de franchir à grand pas, sans prendre de gant pour le coup. Je profitais d'un moment juste intime que j'avais envie de partager avec elle. Je devenais juste fou. Une sensation que je ne connaissais pas vraiment. Bien sûr, on m'avait déjà mis des vents, j'étais pas dieu tout puissant avec une beauté impeccable plaisant à tout le monde. Je savais très bien tout ça, mais là, c'était plus fort. Parce qu'au fond j'espérai qu'elle ressente ce que j'étais entrain de nourrir pour elle. Et n'ayant part pour habitude de garder tout ça pour moi aussi longtemps, il m'arrivait de faire quelques conneries, comme celle de l'embrasser fougueusement et de lui caresser doucement la cuisse. D'entrer en contact avec elle, peau à peau, le bas de mon torse collant tout contre le tissu de sa robe. J'avais vraiment envie d'elle. Plus que n'importe qui. Mais à ma question stupide, alors que je croyais naïvement que j'allais enfin pouvoir coucher avec elle ce soir, la jeune femme me mit un gros et bien rouge stop dans la face. Et en parlant de couleur, c'était plutôt le thème puisqu'elle avait soit disant ses règles. Pour le coup, ça avait eu l'effet sur moi de revenir automatiquement au point de départ ; c'est à dire sur mes fesses en face d'elle. J'avais envie de lui faire l'amour, mais pas à ce point là comme même. Non cette limite c'est comme celles de Christian Grey, y'en a certaines qui sont pas franchissable. Même pas besoin d'essayer. C'est dégueulasse sans déconner ce genre de connerie. J'ai eu deux soeurs et mon dieu qu'elles sont insupportables quand elles les ont. Je l'a regardais alors en plissant légèrement les yeux. La honte venait enfin à moi. Je m'étais tout de même pris un putain de gros vent, non ? Je rêve où j'arriverai jamais à l'avoir ? J'avais envie de prendre les jambes à mon cou sur le coup mais pour une fois, j’essayais de me persuader que c'était à cause de ses menstruations. « On va s'arrêter là pour le jeu.. Si t'as tes règles, j'ai pas envie que tu te déshabille d'autant plus. » Répondis-je en prenant la bouteille de champomy en regrettant que ce ne soit pas de l'alcool, j'aurai tellement adoré, ça m'aurait fait du bien dans ce moment de solitude. « T'aurais du me le dire avant, je t'aurais demandé de venir un autre jour. Ça va pas être pratique si tu les as. » Woaw, j'étais plus que refroidis, j'avais atteint la calotte glacière. Je digère très mal les vents, même pour raison évidente. J'avais pas l'habitude de ressentir autant de sentiments négatifs, j'étais perdu là. Forcément j'étais vexé, mon égo avait été touché de plein fouet, et c'est loin d'être agréable comme sensation.
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Malgré ce doucereux moment de plénitude, où  vous aviez tous les deux succombé à un désir non dit, tu avais décidé d'y mettre fin malgré le visage de Charlie était si près du tien. Tu avais du mal à assembler tes pensées, tes yeux beaucoup trop concentré sur ses lèvres. Tu ne souhaitais que pouvoir les retoucher à nouveau. Néanmoins ta raison semblait de plus en plus reprendre le dessus sur ton coeur, ou une féroce bataille était en train de se mener. Tu en voulais plus, mais au fond tu savais que c'était impossible. Tu ne pouvais pas vraiment l'expliquer, surement par peur d'être déçu, de voir que finalement vous étiez tous les deux beaucoup trop différent. L'excuse de tes règles étaient sorti naturellement. C'était la seule idée qui t'était venu à l'esprit, et au moins tu savais que cette excuse allait pouvoir calmer les ardeurs du jeune homme. Tu opinais donc de la tête, faisant mine d'être gêné. Ce n'était généralement pas le truc que disait une fille à un garçon pour le mettre dans son lit hein. Mais ce fut surtout sa réaction qui t'énerva le plus. Toujours allongé sur le lit, tu te redressas vivement, le visage soudainement glacial.  "Attends...tu es en train de me dire que parce que j'ai mes règles tu ne veux pas me voir?  Donc en gros si tu ne peux pas me peloter ça sert à rien que je sois là c'est ça?" commençais-tu à dire avec une voix qui montait de plus en plus dans les aiguës, ce qui était généralement un mauvais signe. Tu lui lançais un regard noir, l'air de lui dire qu'il avait plutôt intéret à faire attention à sa prochaine réponse. Tu te sentais sale, comme d'avoir été utilisé. Tu savais très bien qu'une très forte attirance physique vous attirait l'un et l'autre comme des aimants, mais pour une fois tu pensais être tombé avec un mec doux, patient, drôle et qui ne pensait pas complètement avec ses bijoux de famille mais apparemment tu t'étais trompé. "J'te jure Wilcox parfois tu es vraiment trop con." Tu te levais du lit tout en lui donnant un petit coup sur l'épaule pour lui montrer que s'il n'avait toujours pas compris tu étais énervé. Wesh tu n'étais pas un objet toi.
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Avançant jusqu'au réfrigérateur, je sortais quelques conneries à manger parce que mine de rien, tout ça m'avait ouvert l’appétit. Pas les menstruations de madame bien évidemment, mais j'avais pas manger, et c'est seulement à ce moment là que mon ventre se réveillait. Plutôt bizarre comme moment d'ailleurs, où peut être était-ce pour remplir la frustration, le vide qui s'était ouvert suite à son refus total de moi ? J'allais pas tenter de si tôt, je pense que ça m'a suffit, c'est bon. On allait rester dans une relation d'amitié, à la limite de l'ambiguë ? Ok, j'avais compris le message était arrivé. J'avais de plus envie d'être seul à ce moment-là mais par respect, et parce que je l’appréciais un minimum je ne faisais rien. Ce n'est pas que sa compagnie me dérangeait, mais j'avais juste envie de rejoindre mes draps, de dormir, et de penser que la femme sur qui j'ai flashé depuis environ un an, ne venait pas de me repousser. Je crois que je vais jamais m'en remettre. Sortant des restes de plats chinois -pour changer- je les reportais dans le micro-onde afin que ce soit plus chaud. Et ouais, dans notre chambre on a un micro-onde. Juste parce que Wade l'avait demandé l'autre jour pour je sais pas quoi et comme ici, on satisfait nos moindres désirs, on a eu notre micro-onde. La classe, non ? Revenant vers elle, la jeune femme se levait précipitamment en me gueulant dessus. What ? Même en ne faisait rien, je m'en prenais plein la tête. Blessé, touché dans mon égo, je fronçais les sourcils en ne me faisant pas faire. Il manquerait plus que ça. « C'est pas ce que j'ai dis. Tu le fais exprès ou quoi ? J'ai seulement dis que pour ce genre de jeu, ouais, c'est plutôt compliqué si t'as tes règles. C'est pas du tout intéressant dans ce cas là. Arrête avec ça, je te pelote presque jamais ! » Répondis-je en insistant sur la dernière phrase comme si c'était un reproche. « Arrête de croire qu'à chaque fois je t'invite, j'ai envie de coucher avec toi, sans rire. Tu te prends pour qui ? Pour la bombe du coin ? » C'était peut être injuste mais en élevant la voix à mon tour, ça me soulageait. J'avais l'impression de respirer un peu plus, de me vider du ressentiment qui était monté en moi. « Je suis trop con ? Vraiment ? Je t'ai toujours respecté, en quoi je suis con ? Dans mes attitudes ? Dans ma manière d'être ? Et bien si ça te plaît pas, t'as une belle et grande porte en face de toi! » Ouais, j'étais énervé, très énervé même. J'en avais marre de passer pour l'idiot, et même si en général je trouve ça mignon, c'était la goutte qui faisait déborder le vase. Voulant ajouter, le bip du micro onde nous coupa dans notre dispute. Faisant volte-face, j'attrapais la nourriture et la posait sur la table de manière brutale. J'allais finalement manger seul ce soir, c'était une certitude.
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Voilà tu venais de lui avouer ce que tu pensais vraiment de cette situation, enlevant tout filtre à ta bouche. Tu l'observais toujours, le regard noir. Comme à son habitude il venait de ruiner votre moment, bon okay tu l'avais ruiner un peu avant lui en parlant de tes règles que tu n'avais d'ailleurs pas mais voilà. Tu étais tout simplement déçu par sa réaction. Tu pensais qu'il t'aimait bien, suffisamment pour vouloir rester avec toi même lors de tes périodes rouges. Bref tu étais blessé, et tu le fus encore plus lorsque le garçon éleva à son tour la voix. Et ses mots étaient encore plus tranchant que les tiens. Alors voilà ça allait se terminer comme ça? Vous deux vous engueulant? Tes yeux te brûlaient, et tu sentais déjà les larmes couler le long de tes joues. Tu étais comme ça beaucoup trop sensible, et surtout tu ne supportais pas quand on te criait dessus, surtout lui. Ça te rappelait le Charlie violent de la plage, celui qui t'avait fait un peu peur par ses réactions démesurées. Tu étais tout simplement à fleur de peau. Tu voulais t'excuser, mais ta fierté était beaucoup trop grande et puis tu n'étais pas en tort dans cette histoire. "Excuse moi de pas être une pute qui se laisserait faire." répondis-tu en balbutiement entre deux sanglots, n'osant même pas affronter son regard. Chaque paroles qu'il prononçait étaient encore plus froissantes que les précédentes. Tu ne savais tout simplement plus où te mettre, gêné, désorienté. Pourquoi il faisait ça?  À croire que vous aimiez tous les deux vous voir souffrir. "Tu ne comprends pas, tu es con, mais tu es mon con."Ta voix était tremblante, mais tu ne savais pas quoi dire d'autre pour le calmer. Et d'ailleurs tu n'avais pas forcément envie de le calmer, parce que pour une fois tu avais l'impression de voir le vrai Charlie. Préfèrant jouer la carte de l'ignorance de peur de dire des mots que tu allais regretter plus tard, tu ramassais tes affaires avant de te diriger vers la porte. Parfois les mots pouvaient faire beaucoup plus mal qu'une simple arme.  "Très bien, je m'en vais alors." Tes joues étaient maintenant qu'un immense ruisseau de tristesse et d'amertume. Maintenant tu savais qu'à l'avenir ça serait mieux de garder vos distances. Tu en avais marre de subir l'ascenseur émotionnel qu'il était, tu en pouvais juste plus. Ton coeur se serrait rien qu'à l'idée de devoir le quitter, de s'éloigner de lui, mais à quoi toute cette histoire rîmait? Ce n'était que folie et illusion rien de plus.
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Attrapant mon assiette, je l'a posais soigneusement plus loin avant que l'idée de la prendre violemment et de la jeter n'arrive. C'était tout de même mon dîner de ce soir, je ne pouvais pas le foutre en l'air à cause d'une stupide dispute parlant de menstruation sans rire. En plus commander, ça allait me coûter, et en ce moment les fins de mois étaient difficiles, je ne pouvais pas me permettre tout et encore moins de commander une fois de plus chinois. Posant mes paumes sur la table, je soupirai en l'écoutant. Elle pleurait. Merde. Qu'est-ce que t'as encore foutu Wilcox ? J'avais l'habitude qu'on me tienne tête, alors ce genre de comportement me déstabilisait. Toujours dos à elle, je grimaçais en essayent de garder mon but en tête. J'avais ma fierté d'homme, donc me retourner et l'a prendre dans mes bras pour l'a consoler c'était faible, non ? Et quand est-ce que j'ai dis que c'était une pute ? Plus on se parlait et plus j'avais l'impression que mon petit bijou de famille était passé partout alors que pas du tout. Au final, j'étais assez sage comme garçon. Enfin surtout depuis que je l'ai rencontré. Sa voix tremblante eut raison de moi, je me retournais alors en l'a regardant pleurer. Je suis sensé faire quoi à ce moment-là ? J'ai pas l'habitude de toutes ses conneries de fille moi. Voyant que la jeune femme me prenait finalement au mot, et rejoignait la sortie, j'étais mal. J'avais pas envie qu'elle parte. Mais en même temps elle m'énervait, et en même temps elle est comme même chiante et.. rha, je déteste réfléchir sur ce sujet là. Ça prend la tête. « Briny.. » Dis-je d'une voix plus douce, regrettant mes mots peut être un peu trop dur. Je réfléchis pas vraiment, et j'imagine que c'est ce qui me vaut le petit surnom de con. Son con. Je me mordillais les lèvres en fermant les yeux avant de finalement bouger mon derrière. J'attrapais alors Briny par le poignet afin qu'elle ne joigne pas la porte. Pourquoi c'est toujours les mecs qui doivent faire ce genre de chose ? J'étais obligé de passer au dessus de ma fierté et c'était.. chiant ? Ouais c'est le bon mot, mais je le faisais tout de même pour une raison que je ne comprenais pas encore très bien. Je l'as prenais alors dans mes bras en posant mon menton sur sa petite tête blonde, l'a serrant tout contre moi. Contre mon torse. « Je suis désolé, tellement, excuse-moi.. » Dis-je légèrement honteux. « Je pensais pas ce que je disais. J'ai envie que tu restes. » J'avais envie de tomber par terre et qu'on m'arrache les yeux tellement c'était humiliant de prononcer ses quelques mots, surtout après une dispute. Si je m'écoutais, je lui gueulais encore dessus à cause de la rancoeur que je détenais. Je m'attache à elle. C'était pas marqué dans le contrat, mais avec elle j'avais l'impression que rien n'était écrit à l'avance. C'est déstabilisant. Angoissant même.
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Tes larmes montaient à tes yeux et tu les contenais, respirant profondément, tentant de garder le peu de dignité qui te restait. Mais la tristesse était beaucoup trop présente et profonde. Finalement, peut-être qu'il valait mieux que cela se fasse maintenant, le temps aurait rendu les choses bien plus douloureuses. Tu ne savais même plus pourquoi tu te mettais dans un état pareil, après tout vous n'étiez rien l'un pour l'autre non? . Les larmes roulaient simplement sur tes joues. Tu étais décomposée et réellement dégoûtée de renvoyer une telle image de toi-même à Charlie. Celle d'une femme faible, qui a besoin de se faire réconforter par un homme. C'était tellement cliché que si tu ne pleurais pas autant ça t'aurait donné envie de vomir. Les princesses ne pleuraient pas, jamais, spécialement toi. Ces mots avaient tellement été blessant, que tu ne pouvais t'empêcher de penser qu'ils détenaient une part de vérité. Charlie avait surement raison, tu devais tout simplement être insupportable comme fille, ce qui devait expliquer pourquoi tu étais toujours seule. Tu te refusais toujours au bonheur, mais tu étais comme ça n'aimant pas les solutions de facilité. D'un revers de la main, tu balayais les larmes qui recouvraient tes joues, tu les faisais disparaître pour qu'il n'en reste aucune trace, mais c'était peine perdu, elles se déversaient dans un flot incessant. Peut-être que ce n'était pas que Charlie, mais un tout. Votre relation si particulière, la prise d'otage, ton père qui était mort, il y avait de quoi exploser de l'intérieur. Alors que tu t'apprêtais à franchir le pas de la porte, plutôt dramatiquement, le français venait de t'attraper le bras. Tu ne voulais pas de sa pitié, tu n'en avais pas besoin, la tienne te suffisait. Pourtant tu te laissais faire lorsqu'il te prit avec douceur dans les bras, le cœur serrer, les larmes ruisselant en toute liberté sur ton visage. Les cheveux recouvrant ton visage, ta tête alla se réfugier dans le creux de son épaule. "Non tu ne l'es pas..." commençais tu à dire en un murmure silencieux. "Je veux dire, lorsqu'on dit quelque chose on le pense forcément, au moins un petit peu." Tu tentais de parler plus fort, de manière plus audible pour te faire entendre mais c'était peine perdu. Il n'y avait aucune trace de reproche dans ta voix, simplement un constat. Tu redressais ton regard vers lui, le regardant de bas. Un soupire s'échappa de tes lèvres. La douceur et la tendresse avaient envelopper la rage, elle l'avait chassée. Il faut dire que l'odeur qu'il dégageait de rendait toujours toute chose. "Je...Je...ne suis pas désolé moi, j'veux dire ce sont mes hormones so c'est pas de ma faute voilà." C'était un peu ta manière de t'excuser bien à toi, mais tu étais tout simplement incapable de le dire à voix haute. Non tu ne pouvais pas.
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