Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMARSHALL&ALEXYS † comme au bon vieux temps - Page 3
-43%
Le deal à ne pas rater :
-100€ Pack rééquipement Philips Hue Play : 3 barres lumineuses ...
129.99 € 229.99 €
Voir le deal


MARSHALL&ALEXYS † comme au bon vieux temps

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Jeno avait toujours détesté les Reilly et ce, depuis son histoire avec Helena par conséquent, il m'avait demandé de ne plus fréquenter Marshall. A vrai dire, il avait tendance à me surprotéger. Il ne voulait pas que je répète ses erreurs seulement, ce qu'il ne comprenait pas, c'est qu'on était pas vraiment pareil lui et moi. Je savais exactement ce que je faisais et j'étais assez grande pour savoir ce que je voulais. Avec Marshall, c'était juste pour nous amuser, c'était purement physique. On était bien pour les deux, on ne se prenait pas la tête, tout était parfait. Bref, sur un coup de tête, je lui avais littéralement sauté dessus et voilà ! Il passa ses ses mains en dessous de son débardeur pour rapidement me le retirer et s'attacher assez rapidement à ses seins tandis que je m'occupais de son pantalon. Mon souffle se faisait de plus en plus court, j'en voulais toujours plus. Faut dire que Marshall, il était loin d'être repoussant et il savait s'y prendre. Je me mordais la lèvre en essayant de contrôler ma respiration. Tant pis pour les conséquences. De toute façon, au point où j'en étais. Et puis, personne n'était au courant alors ! Je m'en fiche, je profite de mes vacances, je profite du vice président Winthrop après tout ce temps.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je n’avais qu’à voir sa poitrine se soulever rapidement et à entendre sa respiration pour savoir qu’Alexys était totalement à moi maintenant. Elle allait s’abandonner dans mes bras et je n’en demandais pas moins. Son corps était parfait et il le serait d’autant plus lorsque je m’enfouirais à l’intérieur. Mon pantalon retiré, je remontai mes lèvres de ses seins à son cou pour finir ma course sur ses lèvres et l’embrasser passionnément avant de me relever, la soulevant avec moi pour la porter jusqu’à son lit où je la déposai sans pour autant retirer mes mains de sur son corps. Mes lèvres glissèrent sur sa mâchoire et je lui caressai un sein d’une main tout en descendant vers son intimité de l’autre. Je n’avais plus qu’un but maintenant : lui faire gémir mon nom.
(Invité)