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JEAN ✮ You look like my next mistake

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Voilà déjà une semaine que tu te trouvais  en Nouvelle Zélande. Le temps passait bien trop à ton gout. Tu avais fait énormément de visites, mais aujourd'hui, c'était repos. Tu aimais beaucoup ce changement d'air radical, au revoir la neige glaciale d'Harvard, bonjour le beau soleil de Wellington. Eh oui, ici, c'était l'été, et c'était vraiment agréable de se balader sur la plage avec ta légère robe aux imprimés printaniers et un chapeau sur ta tête pour te protéger du soleil. Ta longue crinière rousse tapait au rythme du vent dans ton dos, tu regardais l'océan infini qui s'offrait à tes yeux, alors que tu tu baladais sur cette plage de sable fin. Tu étais d'heure matinale, il était à peine 9h, mais c'était le dernier moment agréable avant que les touristes viennent envahir ces étendues de sable. Tu profites des derniers instants paisibles en solitaire. Tes pieds sont mouillés régulièrement par le mouvement des petites vaguelettes et c'est agréable de sentir une eau juste assez chaude à souhait. Cela te donnait envie d'aller te baigner dans les vagues, peut-être tout à l'heure, vue que tu avais un maillot sur toi. Pour l'instant tu préférais marcher le long de cette plage face à la mer. L'esprit tranquille, l'esprit libre, sans problème à l'horizon.
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Le Spring Break le genre de truc qui commence à débarquer en France parce que c'est à la mode de faire comme les américains. Je ne ferais pas mon bon franchouillard de base en disant que les français sont les meilleurs, ni même mon anti-beauf en disant que les français ne savent plus rien faire de leur dix doigts ou de leur cerveau. Disons que je couperais la poire en deux en disant qu'il n'y a plus personne pour inventer des choses très originales et comme l'herbe est toujours plus verte ailleurs on a qu'à faire comme les autres. C'est vrai que le concept de vacances loin de la maison pour boire et serrer des filles ça vient d'être inventer. Vous n'étiez pas au courant ? Et bien je suis ravi d'avoir éclairé votre lanterne. Non mais c'est vrai reconnaissez le les journaux parlent de Spring Break comme si personne n'avait jamais connu le moindre débordement à Moncaco, Montecarlo, Ibiza, ou Barcelone. C'est vrai que tout de suite ça fait moins classe que Los Angeles, les Hamptons ou n'importe quel nom américain. Mais bon pour quelqu'un qui se plaint je dois avouer que je profite à fond de leur système de Spring Break puisque me voilà en Nouvelle Zélande à Wellington. Je dois avouer que c'est une partie du globe que je ne connais pas et que je me fais une « joie » de découvrir tous les jours, et soirs bien entendu.

En tout cas si il y a quelque dont je profite depuis les quelques jours où je suis ici c'est la plage le matin. Je suis un lève tôt, et surtout quelqu'un qui aime être seul et profiter de certains plaisirs de la vie en solitaire. Et me retrouver sur une plage déserte le matin me rappelle quelques bons jours d'étés sur la côte d'azur après des nuits courtes et agitées... C'est donc à 7h30 qu'à commencé ma journée avec un jogging sur la plage avant que le soleil soit juste trop dur à supporter pour faire autre chose que farniente et piquer quelques tête dans l'eau bleue. L'endroit est désert, et j'ai l'impression d'avoir le monde à mes pieds.
Je finis malheureusement par croiser d'autres courageux comme moi, et je me glisse à nouveau dans mon monde en passant mes écouteurs.
Le problème quand je commence à courir comme ça c'est quand s'arrêter. Je ne suis pas le plus grand des sportifs, mais ça fait des années que j'ai pris goût à courir pendant des kilomètres sans m'arrêter. Puis finalement après une longue course mes pas me guident sur le chemin du retour. Alors que je reviens vers l'endroit où je suis rentré sur la plage je suis tenté d'aller dans l'eau avant de retrouver les activités de la journée. Je ne retourne pas l'idée plusieurs fois dans ma tête avant de prendre une décision. Je retire rapidement mon tee shirt, mon I-pod, et mes chaussures que je laisse choir sur le sable avec mes clefs et mon téléphone portable. Oui je sais, il n'y a que les gens qui ne se préoccupent pas de leur argent qui abandonnent comme ça leur affaires sans se préoccuper de savoir si elles seront toujours là à leur retour. Petit 1 c'est mon cas, et petit 2 c'est encore désert...
C'est donc torse et pieds nus que je me dirige vers le bleu de l'océan.

Je ne reste pas dans l'eau juste le temps de me raffraichir, j'aurais bien le temps d'y refaire un tour, sans doute ce soir, avant que les activités de la nuit ne recommencent quand à nouveau il n'y aura personne pour venir troubler mon calme.
Je décide donc de sortir de l'eau après deux brasses. Alors que je sors mes yeux se posent sur une silhouette qui ne m'est pas inconnue même si le nom qui y est associé met quelques secondes à venir. Ne vous détrompez pas je sais qui est la personne qui est là en face de moi et qui ne semble pas m'avoir vu. Non ce qui me choque d'avantage et crée un moment de vide dans mon cerveau c'est le moment et le lieu. Je savais très bien en venant ici que je risquais de la croiser. Ca fait quelques jours -depuis que je suis arrivé- que je la guette mais je ne l'avais pas encore vu, et je n'avais demandé à personne de toute façon.

-Lizzie?

Peut être me suis je trompé mais j'en doute fortement, la coïncidence est beaucoup trop grande pour que je me trompe.
Je finis par sortir complètement de l'eau dégoulinant d'eau salée, et je passe ma main dans mes cheveux pour les ramener en arrière puis sur mon visage pour chasser les gouttes qui y ruissellent. Je sais déjà qu'elle tête elle va faire dans ses moindres mimiques, et pourtant je suis pressé de les revoir.



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Tes yeux ne quittent pas l'infini de l'océan, ils ne quittent pas le mouvent régulier des vagues. Tu te laisses bercer par son bruit, tu avais toujours adoré l'écouter, c'était paisible et agréable. La mer, cet environnement te manquait bien trop quand tu étais à Harvard, tu étais bien contente de le retrouver aujourd'hui. Tu es perdue dans tes pensées, quand soudainement, il y avait cette silhouette qui émerge de l'eau et arrive dans ton champs de vision. Elle marche vers toi, au début, tu y fais tout simplement pas attention. Tu te dis que c'etait juste une simple personne qui retourne à sa serviette. Mais plus cette silhouette s'approche et plus ces traits deviennent précis, tu te rends compte qu'elle vient vers toi. Il te faut plusieurs instants pour réaliser la chose, tu crois rêver. Mais cette personne venait belle et bien de t'appeler par ton nom. Ton surnom même. Seul tes proches le connaissaient. Ce proche s'était pas n'importe qui, c'était pas n'importe quoi. C'était une personne de ta vie qui avait beaucoup compté, qui comptait toujours, non ? Comment tu pouvais l'oublier ? T'avais été naïve de croire que tu le pouvais l'oublier en t'éloignant loin de lui, loin de la France, loin de ton pays natal. Tu avais été jeune et naïve à l'époque. Jeune et insouciante. Ta jeunesse t'avait fait faire beaucoup trop d'erreurs. Comme coucher avec ton meilleur ami. Pourquoi t'avais fait ça ? Tu ne sais pas, t'avais été prise dans un moment de faiblesse, de souffrance extrême, il avait été le seul à être là. Le seul à te soutenir alors que Kol, lui, était parti. Cette personne c'était Jean. Oh Jean. Qu'est-ce que tu faisais ici ? Qu'est-ce que tu m'avais fait ? Ton coeur bat de plus en plus vite alors qu'il s'approche dangereusement de toi, ça en devient même incontrôlable. T'es incapable de bouger, d'émettre le moindre petit mot, de longues secondes s'écoulent. Tu secoues légèrement la tête, le dernier espoir pour vérifier que cela n'était pas un rêve. Mais l'espoir est trompeur. L'espoir est menteur. Jean est devant toi et tu te sens impuissante face à lui car il était ton passé. Tu cherchais à fuir ton passé. Quand t'étais partie de France, tu lui avais dit que c'était pour tes études, que c'était une chance unique pour toi, que tu devais la saisir. Mais officieusement, tu étais retombée dans tes vieux démons, tu voulais retrouver Kol et ne pas blesser Jean. L'amour quel sentiment affreux, quel sentiment destructeur qui avait réussi à tout détruire en vous trois. Jean. tu lui réponds doucement, d'une voix hésitante et incertaine. Qu'est-ce que tu fais ici ? minable Lizie, tu pourrais mieux faire pour des retrouvailles.
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Non je me suis pas trompé, je me trompe rarement surtout sur ce genre de sujet là. Quand on passe autant de temps avec certaines personnes que moi j'ai passé avec Elizabeth on pourrait les reconnaître même les yeux bandés et dans le noir. Sans vouloir faire de mauvais jeux de mots en rappelant certains épisodes plutôt intimes de ma relation avec Liz.
Enfin toujours est il qu'elle semble réellement surprise de me voir, oui normal après tout je n'ai prévenu personne que je venais ici, pas elle, pas Kol, personne que je connaissais avant et que je sais qu'ils sont ici. J'aurais put, ça m'aurait notamment évité de les chercher sans savoir par où commencer, mais ça aurait enlevé de l'effet de surprise. Et puis je préfère être moi préparé plutôt que l'inverse, dieu sait ce à quoi les gens ont le temps de penser quand ils sont préparés à l'avance.
Elle semble me reconnaître elle aussi, le contraire m'aurait vraiment étonné. Ses yeux tombent sur moi, et me dévisage, je ne dis rien. Plusieurs expressions passent sur son visage, tandis que sur le miens un léger sourire se place. Ca fait quelques temps qu'on ne s'est pas vu, et je me demande à quel point les choses ont put changé. Je n'ai pas vraiment eut de signe de vie depuis qu'elle est partit, ou du moins c'est pas comme avant. Loin des yeux, loin du coeur c'est ce qu'on dit. Et pourtant j'ai du mal à y croire quand je la vois en face de moi.

J'attends donc patiemment et elle finit par reprendre la parole. Qu'est que je fais ici ? Je la regarde avec une moue moqueuse. Je ne m'attendais pas à la voir aussi chambouler on dirait qu'elle a vu un fantôme.
Je passe à nouveau ma main dans mes cheveux, qu'est que je peux bien répondre à ça ? La vérité je suppose puisqu'elle est claire comme de l'eau de roche.
-Et bien comme tu peux le voir je viens de me baigner. Mais si ta question c'est qu'est que je fais en Nouvelle Zélande je suppose que la réponse c'est que je suis en plein Spring Break comme toi non ?
Je lui glisse ma dernière question avec un sourire entendu.
-Je viens de m'inscrire à Harvard en fait...

Le sourire entendu se transforme en sourire innocent. Comment va être accueillie cette dernière nouvelle ?
J'aurais espéré un accueil tout de même un peu plus chaleureux. Du genre un câlin et un "je suis contente de te voir", je préfère mettre ça sur l'état du choc pour le moment, c'est vrai que la situation est quelque peu étrange.
Les vagues claquent sur nos pieds et pour le moment c'est le seul bruit qui court puisque tout est encore assez silencieux. Pour ma part je continue de dévisager la jolie rousse désemparée qui me fait face.


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Franchement Lizie, tu n'aurais pas pu trouver mieux qu'un qu'est-ce que tu fais là ? à dire à Jean. Alors que bon c'était pas n'importe qui, c'était ton meilleur ami, que tu avais malheureusement perdu de vue, et tu t'en voulais pour ça. Mais ça avait été la seule solution que tu avais trouvé à l'époque, prendre du recul pour fuir tes problèmes. L'amour apportait bien trop de problèmes, ça te collait à la peau. T'en gardais de mauvais souvenirs, cependant c'était ton passé, et tu n'avais pas envie que cela gâche ton présent. Ton regard ne quitte pas le jeune homme, il est là dégoulinant d'eau. Il était toujours le même, il n'avait pas changé. Il t'apprend qu'il est lui aussi en vacances au Spring Break Le monde est petit.. tu réponds un fin sourire sur les lèvres. T'étais encore sous le choc, voir Jean devant tes yeux après toutes ces années, te semblait presque irréel. T'avais pu paraître un peu froide, voir distante aux premiers abords, mais il fallait pas t'en vouloir, t'avais été prise de surprise de plein fouet. C'était Jean quoi, ton meilleur ami, ton confident que tu connaissais depuis des années. Puis une surprise n'arrive jamais seule. Ton coeur loupe un battement quand Jean t'apprend qu'il va étudier à Harvard lui aussi. C'est le déclic en toi Oh mon dieu Jean ! Mais c'est super ! tu t'exclames avant de lui sauter dans les bras et le serrer contre toi. Sur le moment t'oublie tout, t'oublie tous les problèmes qu'il y avait eu entre vous, qui avait failli vous séparer. Cette nouvelle à le don de te rendre heureuse, t'es heureuse que vous soyez de nouveau réuni. T'as envie de rattraper le temps perdu, t'as envie de te rattraper auprès de lui alors que tu l'avais laissé. Tu l'espérais qu'il le voulait. T'es pas possible, t'as réussi à mouiller ma robe ! tu lâche en le taquinant, même si au fond c'était un peu de ta faute, tu lui avais sauté dessus alors qu'il venait de sortir de l'eau.
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Le monde est petit ? Non pas tant que ça, après tout c'était bien mon but de la retrouver en venant ici. Ca fait déjà depuis le mois de janvier que je suis là mais on ne s'est pas encore croisé, et j'ai du moi même faire mon trou avant de la chercher activement. On a beau dire ce qu'on veut le temps de prendre ses marques à la fac, de retrouver un job - faire le tour des agences de mannequinat ce n'est pas ce qui m'a pris le plus de temps mais travailler oui- et puis enfin les sorties, les nouvelles rencontres... Tout ça pour moi qui suis habitué à mon monde et qui n'en est pas changé de toute ma vie et bien ça m'a pris du temps, et je dois avouer que pendant 2 mois j'ai eut d'autres priorités. Mais maintenant les choses commencent à prendre une certaine routine et je peux faire autre chose que ce que mon emploi du temps m'imposent. Oh bien sûr il y a pire que l'obligation de faire un Spring Break, m'enfin là c'était la bonne occasion je pense pour me tourner nouveau vers mon but initial retrouver LA fille qui me pose des problèmes depuis de longues années. Il y a bien des filles qui sont passées dans ma vie depuis que je connais Elizabeth et même après que j'ai compris qu'il n'y aurait sans doute pas d'autre fille qui compterait autant dans ma vie. Et je pense qu'il y aura encore des filles qui vont passés dans ma vie d'ici à ce que j'arrive à mes fins. La preuve c'est que même si je suis là à la recherche de Liz ça m'empêche pas d'être tombé sur Olympe, et sur d'autres filles plus ou moins importante... Parce que oui même si j'ai un plan final, qui finira bien entendu par se réaliser, pourquoi se priver de tout le reste ? A vrai dire je sais absolument rien sur la fidélité j'ai jamais eut besoin de savoir quoi que se soit sur le sujet, enfin je sais en quoi ça consiste, peut être que j'en serais capable, sans doute avec de la volonté on est capable de tout non ?

Elle semble sous le choc mais petit à petit les informations ont l'air de germer dans son esprit... Et là je commence à retrouver la fille que je connais depuis longtemps.
Et finalement quand je lui dit que je suis aussi à Harvard elle redevient elle même. Elle me saute dessus, et en riant je passe mes bras autour d'elle.
-Content que la nouvelle te plaise ! Ca fait depuis janvier que je suis à Boston mais je voulais te faire la surprise.

J'allais dire "vous" en pensant à Kol, mais autant laisser ce sujet là de côté pour le moment... Je ne sais pas ce qu'il s'est passé depuis qu'elle est ici, je suppose que je saurais tout en temps voulu.
Je la laisse partir de mes bras à regret mais mon sourire parfait ne défaillit pas. Son commentaire me fait lever les yeux au ciel.
-Oh pardon ...c'est de ma faute je suis bête...

Je recule un peu dans l'eau et en me baissant rapidement je lui lance une gerbe d'eau dessus.
-Oh je suis vraiment désolé j'ai encore pas fait exprès ...

Je lui envoie encore de l'eau dessus, avant de m'approcher d'elle et de la soulever sur mon épaule et de m'enfoncer un peu plus vers l'océan.
-Tu disais quoi sur le fait d'être mouillée ?

Non hélas pour Lizzie j'ai toujours pas changé de jeux débiles...


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Tu es heureuse de le retrouver, de l'avoir auprès de toi, en chair et en os. Tu le ressens réellement lorsque tu lui fais un câlin. Jean avec toi en Nouvelle Zélande, cela ressemblait presque à un rêve. T'avais l'impression que tu l'avais quitté hier, le temps passait tellement vite. Janvier ? tu t'exclames encore plus surprise Et t'es même pas venu me voir ? Tu te cachais ou quoi ? tu dis avec une fausse mine boudeuse. Même si t'étais incapable de bouder plus de deux minutes Jean. Finalement tu te défais doucement de votre étreinte, regardant ta robe toute humide à cause de l'eau salée. Merci Jean. Tu relèves la tête vers le beau brun et... non il avait osé, oser t'éclabousser. Tu pousses un petit cri Jeaaaaaan ! par réflexe, ta main se glisse dans l'eau avant d'éclabousser ton meilleur ami à ton tour, et d'exploser de rire. Il voulait jouer à ce jeu, très bien, jouons. Tu es un très mauvais menteur. tu dis en croisant tes bras sur ta poitrine. Mais tu n'as le temps de faire un geste de plus que le brun te choppe par la taille avant de te mettre sur son épaule tel un sac de patate. Qu'est-ce que tu fooooooous !? Ma robe ! MA ROBE ! s'il te la ruinait, il allait t'en acheter une autre. Rien à foutre. Tu t'agites dans tous les sens sur ses épaules, sentant l'eau monter de plus en plus. Tu sentais peu à peu le tissus de ta robe s’imprégner d'eau, d'eau fraîche qui te glaçait le corps. Tu tambourines sur son dos dans l'espoir qui te libère. Toujours pas. Alors tu tapes sur jolies fesses, p'être que là il allait te lâcher. Saint Laurent lâche mooooooi toute de suite ! ou sinon t'allais employer les moyens forts.
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Je fais une moue que je sais d’avance adorable quand elle m’accuse de m’être caché. Le pire dans cette histoire c’est que non je ne me cachais pas j’ai même pas essayé de me faire discret. J’étais juste là et pourtant je ne l’ai pas vu. Mais tout vient à point à qui sait attendre et manigancer comme il faut. Parce qu’après tout qui m’aurait dit qu’elle aurait eut du temps pour moi pendant les cours ? Là en l’occurrence elle est coincée et elle ne peut pas s’échapper quoi qu’elle essaye de faire nous sommes sur une île, et puis nous sommes en vacances, en soit personne n’a de choses urgentes à faire et tout les problèmes sont restés au froid à Boston.
-Y’en a qui partent comme des voleuses et d’autres qui essaye de faire des entrées dans les règles de l’art que veux tu ?

Serais-je entrain de l’accuser ? Sans doute, mais rien de bien méchant. Après tout le principal c’est ces retrouvailles maintenant il n’est plus questions de partir nulle part. Du moins je ne l’espère pas.

Ca a quelque chose d’irréel de se retrouver ensemble ici même pour moi qui m’attendais à une rencontre de ce genre. Et pourtant c’est comme si le temps n’avait pas changé les choses entre nous. Du moins pour moi… Je suis toujours la même personne. La même personne qui en soit la poussé à fuir déjà une fois. Je ne suis pas entrain de dire que je regrette d’avoir forcé la séparation entre Kol et Lizzie, je dis simplement que si j’avais mieux joué mes cartes elle ne serait peut être partie à Harvard pour le rejoindre, et moi je ne serais donc pas ici à essayer de recoller les morceaux de ce que nous avions il y a quelques années. Enfin recoller les morceaux je ne sais pas si la situation est si désespérée, en tout cas ça n’a pas l’air d’être le cas. Mais je ne suis pas du genre à dramatiser, quelque chose me dit qu’il y a anguille sous roche. Pour une fois je me laisserais pourtant aller à l’instant présent.
Et c’est donc tout naturellement puisqu’elle m’accuse de l’avoir mouillé que je continue sur cette voie en lui envoyant de plus en plus d’eau sur elle. Elle se prête au jeu en riant… J’ai l’impression de retourner bien des années en arrière et d’avoir 14 ans à nouveau.

Cependant qu’elle commence à bouder en m’expliquant que je suis un mauvais menteur –si elle savait- je décide que le jeu a assez duré et qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.
-Ta robe ? Je t’achète un magasin si tu veux dans 10 minutes Liz, franchement tu devrais savoir que c’est pas le genre de détail qui pourrait m’arrêter.

Je fais toujours preuve d’autant de calme, et je sais que ça la met toujours en rage. Oui les gens ont du mal à comprendre cette facette de moi, ou alors c’est peut être parce que ça les dérange ou que ça leur fait peur, serais je un robot dénué d’émotions ? Non tout de même pas…
Alors je continue à m’enfoncer dans l’eau sans faire attention à la bête déchaînée qui gesticule sur mon épaule, vu comme je la tiens il y a très peu de chance pour qu’elle arrive à se libérer ou même à me faire mal… Elle a jamais réussis à me faire mal c’est pas faut d’avoir essayé.
Mais je dois avouer que sentir un cou se porter sur mon postérieur je ne m’y attendais pas, si bien que je m’arrête pour rire.
-Et pourquoi ? Qu’est que tu vas faire Elizabeth si je te lâche pas ?

A vrai dire je suis vraiment curieux de savoir ce qu’elle pourrait tenter de faire pour me faire lâcher prise. En attendant moi je continue mon bonhomme de chemin en avançant dans l’eau. Eau qui par ailleurs est bonne malgré l’heure encore matinale.




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Y’en a qui partent comme des voleuses et d’autres qui essaye de faire des entrées dans les règles de l’art que veux tu ? tu ne réponds tout simplement pas à cette remarque car tu n'as pas envie de te remémorer du passé, tu n'as pas envie de remuer le couteau dans la plaie de cette ancienne blessure. Cette blessure qui avait mis du temps à cicatriser. L'amour faisait bien des ravages, ça avait détruit votre trio infernal. Ça te foutait mal car tu savais qu'au fond, c'était de ta faute, qu'une fille entre deux garçons ça ne faisait jamais bon ménage, ça faisait toujours des étincelles. C'est bien plus tard, que tu t'étais rendue compte de la gravité de la situation. Tu t'étais rendue compte que Jean, il ressentait bien plus que des sentiments amicaux à ton égard. Tu l'avais ressenti lors de cette nuit que vous aviez passé ensemble. Pourtant tu oublies tous ces anciens problèmes quand tu te retrouves sur les épaules du jeune homme à moitié en fou rire, à moitié en train de te débattre. Même si bon, soyons réaliste tu ne fais pas le poids contre le brun. Oh ouais achète moi un magasin, j'ai toujours rêvé d'avoir plein de robes ! tu dis d'un air moqueur. C'est bon te voilà en train de rêver de tes nouvelles robes à volonté, mais tu redescends bien vite de ton petit nuage, réveillée par la fraîcheur par l'eau sur ton corps. Ça empirait plus il avançait. P'être que ton coup sur son magnifique postérieur allait le faire réagir. Toujours pas. T'avais oublié à quel point Jean était perspicace, et quand il avait une idée derrière la tête, il ne la lâchait pas. Il allait jusqu'au bout Eh bien, tu vas finir à poil Jean. tu réponds le plus naturellement du monde. Au moins là, il serait obligé de te libérer pour se rhabiller, s'il ne voulait pas que les petits poissons de l'océan se rincent l'oeil. Alors maintenant tu la trouves coincée ma Lizie ?
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Il me semble avoir touché un sujet sensible en rappelant son départ, mais elle ne relève pas, et je décide de faire de même ne cherchant pas à la contrarier alors qu’on vient à peine de retomber l’un sur l’autre. Tomber l’un sur l’autre oui c’est à peut près ce qu’on a fait, enfin ce qu’on aurait put faire à quelques secondes près alors qu’on se croisait les pieds dans l’eau, mais revenons sur terre nous ne sommes pas dans un film, ni dans un roman à l’eau de rose. Je dirais bien hélas, mais non je ne le ferais pas, il n’y a rien de plus embêtant qu’un chemin tout tracer avec des péripéties plus ennuyeuses les unes que les autres.

Mais ce n’est pas le genre de chose qui m’arrête, comme d’ailleurs le fait que sa robe soit mouillée ne me fait ni chaud ni froid. Je sais pas si c’est un avantage ou un défaut –je m’en fou en fait- mais quand on a de l’argent, beaucoup d’argent comme il y a dans ma famille on en a rarement quelque chose à faire des biens matériels puisqu’après tout ça n’est rien d’irremplaçable pas vrai ?
-En y réfléchissant bien c’est pas une bonne idée, tu ferais faire faillite à des gens qui ont rien demandé…

Pas besoin d’être devin ou même d’être un génie pour savoir que les femmes et le shooping c’est une seule et même entité, surtout quand ladite femme hurle qu’il faut faire attention à sa robe.
-Et puis je préfère garder ce genre de cadeau pour plus tard, si je commence comme ça maintenant pour ton anniversaire je devrais t’offrir une ligne de vêtement, et là tu deviendras pourrie gâtée…

Ca aussi je pourrais le faire il suffirait que de quelques appels, mais comme on dit en France il faut pas pousser… Après je ne pourrais plus l’arrêter.

Je continue donc mon escapade marine avec Lizzie sur le dos, puisqu’elle ne trouve pas d’argument pour me faire arrêter d’avancer. D’ailleurs vu où on en est elle devrait se résigner à l’évidence et arrêter de se débattre, mouillée pour mouillée… Tout les gestes qu’elle fait ne servent qu’à envoyer encore plus d’eau dans toutes les directions et donc sur elle…
J’attends donc l’ultime menace tout en avançant. J’ai l’eau un peu plus haut que la taille quand elle annonce le premier argument intéressant, mais pas encore assez pour m’effrayer. Non disons que je suis assez intéressé par la tournure que pourrait prendre les évènements si jamais elle met son plan en exécution. Tout en marchant je lui réponds comme si sa trouvaille ne me faisait ni chaud ni froid.
-A poil ? Vraiment et dis moi comment tu vas faire sachant que je te tiens et que tu n’arrives pas à te dégager ? Parce que là il va t’en falloir des efforts pour arriver à faire descendre mon short… Mais je dois avouer que je suis assez curieux de voir comment tu t’y prendrais. Tiens pour  la peine je te promet de ne pas lutter quand tu essaieras de mettre ton plan en exécution, je me contenterais de te tenir comme ça.

Moi me moquer ? Jamais voyons je ne suis pas comme ça.
Puis un sourire taquin se glisse sur mes lèvres et je ne peux m’empêcher de rajouter plus doucement juste pour elle :
-Et puis il ne faudrait pas que ça soit toi qui te retrouve… A poil la première.

Ca ne servait à rien de dire ça dans un murmure puisque personne autour de nous ne doit comprendre le français, mais je sais que ça ne fait pas le même effet. Alors à avoir maintenant si elle ose, ou si elle n’ose pas. Comme je ne vois pas son visage je ne peux que deviner les traits de son visage et je m’en délecte d’avance comme un chat jouant avec sa souris.


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