Je me voyais vraiment pas arriver devant la porte de sa chambre, lui faire un bisou sur la joue en mode super gênée et m'en aller. Puis j'avais l'impression que si je tentais rien maintenant, j'allais plus en avoir l'occasion. Alors je n'avais pas hésité bien longtemps avant l'embrasser. Après tout c'était le Spring Break. J'avais envie de passer les meilleures vacances de ma vie et je ne voulais me poser aucune limite. Puis on était sûrement assez matures avec Konrad pour que la prochaine fois qu'on se voit ça ne soit pas gênant ? Je n'en savais trop rien, c'était quand même la première fois que ça m'arrivait. Je voulais juste arrêter de me poser des questions et profiter de cette fin de soirée, quoi qu'il se passe après. Notre baiser fut assez passionnel et j'étais limite déçue quand il l'arrêtait, mais j'eus un sourire en coin en voyant ce qu'il faisait. Bon, je comprenais clairement qu'il voulait me faire rentrer dans sa chambre. Je le laissais donc faire et nous rentrions rapidement. Konrad refermait la porte derrière et nous n'attendions pas plus longtemps avant de s'embrasser à nouveau. Je retirais mes chaussures à l'aide de mes pieds et jetais ma pochette je ne sais où dans la pièce, avant de reculer tout en l'embrassant jusqu'à finir allongés sur le lit, lui au dessus de moi.
On avaient quittés la plage et les rues de Wellington pour retourner à l'hôtel, au moins mainteant nous étions au caud et ça devenait même chaud entre nous, sur le pas de la porte de ma chambre, on devraient se quitter en très bons amis que nous sommes, chacun retournerai dans sa chambre avec le souvenir d'une soirée parfaite mais la fin de soirée fut justement bizarre, bizarre au point qu'on arrêtaient de jouer aux amis proches qui prennent souvent des nouvelles de l'un et l'autre, qui se tapent des délires et j'en passe, on étaient passés aux sexes opposés qui se trouvaient une certaine attirance et qu'il s'étaient embrasser parce que maintenant rien ne nous en empêchaient et que c'était le Spring Break, profiter de toutes les occasions était le maître mot. On étaient devant la porte de ma chambre donc, et Lyn' agrippait mon t-shirt pour se rapprocher de moi et m'embrasser à pleine bouche, mes mains sur ses joues, on profitaient de chaque secondes de ce baiser passionnel mais j'y mettais fin malgré moi pour ouvrir la porte de ma chambre, elle comprenait vite que je ne lui laissais pas le choix et qu'elle devait rentrer. Tous les deux à l'intérieur j'eu juste le temps de refermer la porte qu'elle agrippait de nouveau mon t-shirt pour m'embrasser comme il y a quelques secondes devant la chambre, continuer où on en étaient avec ce baiser des plus intenses, elle se défaisait de ses talons, de son sac, elle me tirait même jusqu'à mon lit où elle finissait par s'allonger dessus et moi sur elle, je ne quittais plus ses lèvres, le baiser était passé de quelques secondes, à quelques minutes. Je rompais de nouveau le contact pour déposer cette fois-ci mes lèvres dans sa nuque, passer mes mains sur ses jambes dénudées, remonter sa robe centimètres par centimètres à chaque centimètres de mes mains remontant ses cuisses.
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Je me voyais vraiment pas arriver devant la porte de sa chambre, lui faire un bisou sur la joue en mode super gênée et m'en aller. Puis j'avais l'impression que si je tentais rien maintenant, j'allais plus en avoir l'occasion. Alors je n'avais pas hésité bien longtemps avant l'embrasser. Après tout c'était le Spring Break. J'avais envie de passer les meilleures vacances de ma vie et je ne voulais me poser aucune limite. Puis on était sûrement assez matures avec Konrad pour que la prochaine fois qu'on se voit ça ne soit pas gênant ? Je n'en savais trop rien, c'était quand même la première fois que ça m'arrivait. Je voulais juste arrêter de me poser des questions et profiter de cette fin de soirée, quoi qu'il se passe après. Notre baiser fut assez passionnel et j'étais limite déçue quand il l'arrêtait, mais j'eus un sourire en coin en voyant ce qu'il faisait. Bon, je comprenais clairement qu'il voulait me faire rentrer dans sa chambre. Je le laissais donc faire et nous rentrions rapidement. Konrad refermait la porte derrière et nous n'attendions pas plus longtemps avant de s'embrasser à nouveau. Je retirais mes chaussures à l'aide de mes pieds et jetais ma pochette je ne sais où dans la pièce, avant de reculer tout en l'embrassant jusqu'à finir allongés sur le lit, lui au dessus de moi.
On avaient quittés la plage et les rues de Wellington pour retourner à l'hôtel, au moins mainteant nous étions au caud et ça devenait même chaud entre nous, sur le pas de la porte de ma chambre, on devraient se quitter en très bons amis que nous sommes, chacun retournerai dans sa chambre avec le souvenir d'une soirée parfaite mais la fin de soirée fut justement bizarre, bizarre au point qu'on arrêtaient de jouer aux amis proches qui prennent souvent des nouvelles de l'un et l'autre, qui se tapent des délires et j'en passe, on étaient passés aux sexes opposés qui se trouvaient une certaine attirance et qu'il s'étaient embrasser parce que maintenant rien ne nous en empêchaient et que c'était le Spring Break, profiter de toutes les occasions était le maître mot. On étaient devant la porte de ma chambre donc, et Lyn' agrippait mon t-shirt pour se rapprocher de moi et m'embrasser à pleine bouche, mes mains sur ses joues, on profitaient de chaque secondes de ce baiser passionnel mais j'y mettais fin malgré moi pour ouvrir la porte de ma chambre, elle comprenait vite que je ne lui laissais pas le choix et qu'elle devait rentrer. Tous les deux à l'intérieur j'eu juste le temps de refermer la porte qu'elle agrippait de nouveau mon t-shirt pour m'embrasser comme il y a quelques secondes devant la chambre, continuer où on en étaient avec ce baiser des plus intenses, elle se défaisait de ses talons, de son sac, elle me tirait même jusqu'à mon lit où elle finissait par s'allonger dessus et moi sur elle, je ne quittais plus ses lèvres, le baiser était passé de quelques secondes, à quelques minutes. Je rompais de nouveau le contact pour déposer cette fois-ci mes lèvres dans sa nuque, passer mes mains sur ses jambes dénudées, remonter sa robe centimètres par centimètres à chaque centimètres de mes mains remontant ses cuisses.