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Chassant de mon esprit l'idée de l'interrogeais comme meurt d'envie de le faire la grande psychologue qui vite en moi, j'en viens à lui annoncer que ce soir je pose mes valises. C'est presque risqué parce qu'avec les sautes d'humeurs dont il fait preuve il pourrait me tirer par les cheveux et me foutre à coup de pied au cul dehors. Mais, il faut croire que j'ai de la chance puisqu'il semble d'accord et m'offre même son lit. Je le gratifie d'un baisé sur la joue avant de lui proposer de se glisser sous les draps avec moi. Je n'ai pas d'intentions cachées, le fait qu'il soit plutôt mal ne me donne pas réellement envie de faire des sous-entendues, mais sa réponse me signale que lui semble en avoir et ça m'arrache un sourire. On ne changera jamais les hommes apparemment. J'ai entendu dire que le sexe est le meilleur anti-dépresseur du monde. dis-je en rigolant doucement. C'est une théorie que j'ai déjà mise en pratique et je dois bien avouer que cela avait plutôt bien fonctionner même si ce n'était que du sexe sauvage, pour la simple satisfaction de mes désirs. Mon, ou ma, partenaire ne représentait rien d'autre qu'un moyen de parvenir à mes envies. Ce qui n'a pas changé avec le temps d'ailleurs. Ca me rend malade de penser de la sorte parfois, mais ces pensées sont toujours balayé par le besoin. Peut-être que ça pourrait l'aider comme ça m'a aidé. A partir de là, j'pense qu'on peut me considérer comme une sorte d'infirmière tu vois. dis-je tout en jouant avec mes longs cheveux bruns.
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