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REALLY ? SYPHILIS ? (+ leo)

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Il pensait que je me payais sa tête, allez savoir, c'était plutôt lui qui se foutait de moi, mais il préférait inverser les rôles, c'était tellement plus facile comme ça. Genre, toi, tu as un sixième sens dis-je histoire de me moquer de lui, au moins sur ce coup-là, j'étais honnête, je me posais véritablement la question. Etait-il intelligent ou était-il un simple imbécile qui se rendait crédible avec un langage correct ? Malheureusement, il était peut-être, et sûrement d'ailleurs le roi des idiots mais je l'aimais bien. Juste un tout petit peu, sur une échelle de zéro à dix, il avait 1,5, mais c'est déjà ça non ? Ou alors un peu plus. Mais pas beaucoup. J'avais ensuite expliqué à Leo que non, je n'étais pas faible et que le fait qu'il soit un homme ne justifiait en rien qu'il soit considéré comme plus fort que moi. Mais le pire, c'était ses paroles, il me rabaissait clairement, jugeant mes actes. Oui, j'avais couché avec lui dans un couloir et alors ? C'était si humiliant que ça ? Je n'étais pas madame la princesse qui voulait coucher dans un lit avec de la dentelle et de la soie. C'était quoi ces stéréotypes. Je lui lançais un regard noir. Super merci Leo, t'essayes de me dire quoi là ? Que je vaux rien parce que j'ai couché avec toi dans un couloir ? Très classe ! J'suis pas une sainte marie nitouche, certes, mais j'assume. Je vais pas pleurer pendant quatre heures, j'suis pas ce genre de fille, j'pensais que tu l'avais compris. Il était vraiment à côté de la plaque par rapport à moi. Si j'étais malheureuse, je n'allais pas pleurer pendant une journée en mangeant de la glace, j'allais dans un bar et je buvais dix tequilas en fumant des clopes. Et accessoirement, je me bâtais. J'avais arrêté de compter le nombre de fois où j'avais terminé une soirée avec les mains abimées. Puis, je l'avais embrassé... comme ça. Il ne me rendait pas mon baiser mais ne faisait pas de réflexion à mon égard non plus comme si c'était... normal, naturel. Je garde la gifle pour plus tard dis-je en allumant ma cigarette, il faisait de même et je tirais délicatement sur ma cigarette. Tu crois vraiment que je suis désespérée toi ! dis-je en rigolant. La seule motivation que j'aurais de sauter alors, ce serait de te tuer, hm, j'dois y réfléchir. Je tirais de nouveau sur ma cigarette, jetant un coup d'oeil à la rue. Tout ce que tu veux !
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Elle confondait tout, c'était vraiment pas ce qu'il avait voulu dire ni ce qu'il pensait d'ailleurs. Il ne voulait pas être obligé de sortir les grands mots, elle n'avait décemment pas besoin qu'il lui dise qu'il l'aimait assez bien, un peu plus qu'une conquête habituelle, un peu plus qu'une autre fille, il ne l'aimait pas, il l'aimait assez bien et il n'avait pas le moins du monde pensé un jour qu'elle ne valait rien parce qu'elle avait succombé à son charme ravageur au milieu d'un couloir, ça il pouvait comprendre, même lui se faisait de l'effet quand il se regardait dans un miroir. « Tais-toi un peu le monde ne tourne pas autour de toi, je disais plus ça dans le sens où si j'avais été un minimum pas con je t'aurais au moins proposé d'aller dans un endroit plus discret, j'ai jamais dit que tu valais rien au contraire. Et comment tu veux que je sache qui tu es alors que les seuls infos que j'ai c'est la texture de ta bave, ton prénom et le nom de ta femme. » Oui c'était un caprice un vrai, avec la tête qui va avec et la voix qui part dans les aigus, et il aurait très bien pu à se mettre à bouder si elle ne lui avait pas détourné l'esprit en l'embrassant. Il fut presque rassuré de son état mental lorsqu'elle confia garder la claque pour plus tard. Ouf, il avait eu peur. Il sourit, tapotant distraitement pour faire tomber la cendre. « Tu t'ennuierais trop, tu peux dire ce que tu veux, tu es toujours là alors que tu aurais pu partir, mais tu es restée, simple observation. Et tu m'as embrassé aussi. » Il était tout fier, sourire aux lèvres. Une chose l'intriguait entre autres, parce que s'il s'y mettait il aurait pas mal de choses à demander à Calypso, ça prendrait trop de temps, il userait sa salive à des choses bien moins agréables que celles qu'il avait l'habitude de faire avec elle et qui demandaient la même quantité de bave. « Pourquoi tu es venue jusque là ? Déjà comment t'as eu mon adresse et à ta place je me serai demandé de venir à l'hôpital pour me faire flipper un bon coup. »
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Il marquait un point : au final, il ne savait pas grand-chose de moi, et je ne savais pas grand-chose sur lui également. Juste qu'il embrassait bien, qu'il était chaud comme la braise, et qu'il était... débile. Avec un égo surdimensionné, c'était déjà pas mal non ? Et j'oubliais le détail le plus important par rapport à cet individu : il avait une IST qu'il m'avait bien évidemment, refilé. Il était généreux le petit Leo que voulez-vous ? Il regrettait de ne pas avoir eu l'intelligence de me proposer un endroit plus discret pour nos premiers ébats, je souriais. Ça ne me dérangeait pas vraiment d'avoir copuler avec le jeune homme dans les couloirs parce qu'au moins ce n'était pas prévu, c'était dans le vif de l'action et c'était sûrement mieux comme ça. De toute manière, tout ce qu'il pouvait se passer avec lui était une surprise, je ne prévoyais rien et ça finissait la plupart du temps avec un échange de bave. C'est pas grave, ça m'a pas dérangé de faire ça dans un couloir... en revanche, que tu me refiles une IST, ça, c'est plus problématique. Puis tu as jamais cherché à en savoir plus non plus alors c'est pas ma faute si tu m'connais pas dis-je. Voilà, remettre la faute sur lui, histoire de faire le culpabiliser, c'était la tactique que j'avais décidé d'établir, tant pis si ce n'était pas très fairplay de ma part. Il ne pouvait s’empêcher de se lancer des fleurs et par la même occasion de me provoquer, je lui lançais un regard désespéré avant de tirer une nouvelle fois sur ma cigarette. Puis, je gardais la fumée quelques secondes avant de lui souffler dessus. Un fier sourire aux lèvres je commençais à parler. Oui je t’ai embrassé, et je viens de recracher ma fumée sur toi, alors, ta conclusion ? J’assumais complètement d’avoir décidé de poser mes lèvres sur les siennes, j’avais juste succomber à une envie. Ce n’était pas la peine d’en faire toute une histoire non plus. Il semblait fier comme un pape de mon geste néanmoins. Puis, il m’avait demandé mon autorisation pour me poser une question, je m’attendais à quelque chose de super grave pour qu’il prenne autant de pincettes, mais non. Pour être honnête, sa question me déroutait un peu. J’ai eu ton adresse grâce à l’université, ne va pas penser que je t’espionne. Puis, je sais pas, t’étais le fautif dans l’histoire et j’voulais des explications, ça doit faire un mois que j’vis avec ce truc, il peut attendre une ou deux heures… pourquoi tu me demandes ça ?

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Elle disait ça mais s'il lui avait laissé le choix entre le couloir et la suite présidentielle du Plaza, elle aurait peut-être été un peu plus difficile. De toute façon même en se contentant d'un couloir, elle l'était, difficile. Elle assura que s'il devait s'en prendre à quelqu'un de ne pas la connaître dans les moindres détails c'était sa faute. « J'ai pas fait exprès, je savais pas voilà, c'est pas volontaire, ça l'a jamais été et ça le sera jamais. Et excuse-moi mais quand on se voit j'ai pas franchement le temps d'apprendre à te connaître ! Alors vas-y je t'écoute, là je prends le temps, qu'est-ce que je dois savoir de toi ? Me répond pas 'rien' ça compte pas. » Il se foutrait lui-même des gifles considérables de temps en temps, parce qu'au lieu de l'énerver, avec son petit air fier, son sourire d'hydre de Lerne et après trois ans de latin je peux vous dire que j'ai jamais vu une mosaïque de l'hydre de Lerne avec un beau sourire, ses cheveux blonds de Cruella et sa petite phrase à la Maléfique, il avait simplement une irrésistible envie de l'embrasser. Alors, pour l'instant il songeait à sauter du balcon de son plein gré, abréger ses souffrances, il valait mieux. « Ma conclusion … hum … je sais pas, tu me perturbes Caly. » Il fronça les sourcils, se concentrant sur sa cigarette qui se consumait lentement, il y avait un truc qu'il ne comprenait pas dans la logique de la jeune femme, il la trouvait trop gentille, trop mignonne, trop plein de choses, ça venait peut-être pas d'elle, mais de lui, mais c'était surtout trop troublant. Elle était trop posée, sage, à entretenir une relation presque normale avec lui, il manquerait plus qu'elle lui propose de faire la paix au terme de tout ça, de devenir amis. Il ne voulait surtout pas être son ami. « T'es censée m'en vouloir, on sait pas ce que je t'ai refilé, j'ai peut-être gâché ta vie, tu m'embrasses, je comprends pas ton raisonnement, même s'il est clair que tu n'en as aucun. J'espère vraiment que tu es pas en train de te foutre de ma gueule, que tu as vraiment quelque chose de grave que tu m'utilises pas et que ton but n'est pas d'aller raconter à tout le campus ce qu'il arrive, et que c'est pas une blague de très mauvais goût. »
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Je regardais Leo du coin de l'oeil m'expliquer que me repasser une maladie n'avait jamais été son intention et qu'il était désolé. Je commençais à le croire, mais je restais tout de même sur mes gardes, avec un numéro pareil il fallait s'attendre à tout, rester sur ses gardes. C'était le mieux. Puis, il me mettait dans une situation délicate en retournant mes propres paroles contre moi, qu'est-ce qu'il pouvait savoir ? Est-ce que j'étais prête à dévoiler mon existence à monsieur ? Pas vraiment. Je me voyais mal lui sortir, « Oh bah tu sais je suis orpheline depuis mes treize ans, je suis allée en prison et j'ai un oncle fou qui veut me marier à un inconnu, ah, et oui, il y a un an j'ai fait une dépression et j'ai voulu avoir un enfant dans le dos de mon mec, mais avant celui-ci je suis sortie avec un imbécile qui me bâtait. Aussi, j'ai tendance à vouloir me battre trop facilement. » Ça le faisait pas hein ? On est d'accord. Je devais pour l'instant lui avouer des choses moins personnelles, ça m'embêterait qu'il parte en courant en découvrant qui j'étais réellement. J'espère bien que ce n'était pas volontaire. Je marquais une pause, me mordant une nouvelle fois la lèvre. Tant mieux, on aurait loupé quelque chose si on avait décidé de faire la causette la dernière fois. Et pour en revenir à ce que tu devrais savoir... Je sais pas. Je suis allergique aux kiwis, je suis née à Athènes... Je suis allée en prison, je suis orpheline... dis-je regrettant immédiatement mes paroles. Mais je ne pouvais me contenter de détails, parce que ce n'était pas moi, ce n'était pas mon histoire. Mais c'était suffisant, je n'avais pas l'intention d'en dire plus, même s'il essayait de me tirer les vers du nez. Monsieur n'avait pas de conclusion, un sourire espiègle se dessinait sur mon visage. Voyez-vous ça, je perturbe monsieur Halberstam, j'ai le droit à une médaille ? dis-je en rigolant. Je t'ai embrassé, ce n'est pas la peine d'en faire toute une histoire, c'est pas comme si c'était la première fois, mais si tu veux je ne le ferais plus dis-je calmement. Bon, j'espérais que ce n'était pas la dernière non plus. Apparemment, savoir si je me payais sa tête l'inquiétait vraiment, je fronçais les sourcils, tirant une nouvelle fois sur ma cigarette. Tu veux quoi ? Que j'sois en colère ? Que je commence à crier ? Ça ne va rien changer. J'ai pas envie d'être en colère contre toi Leo. Et j'suis sincère en disant ça. Puis je ne vais pas raconter à tout le campus que j'ai attrapé une maladie, j'ai super honte, juste à mes proches parce que ça me semble normal, donc arrête de stresser là, je te préfère calme.
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Il sourit, c'est clair que ça aurait été fort dommage de s'arrêter pour finalement disserter sur la vie de miss Thomspers. D'un autre côté, s'ils avaient parlé, elle n'aurait pas choppé d'IST. C'était purement égoïste et Leo regretta presque aussitôt d'avoir pensé à ça mais si elle n'avait pas eu ce problème-là elle n'aurait pas non plus eu de raisons de lui reparler, elle ne serait pas venue, peut-être qu'ils n'auraient fait que se croiser par hasard, et c'était totalement idiot de penser ça. Néanmoins parler de leurs ébats, c'était rien, rien à comparer de la liste des choses qu'il devait savoir sur elle. Ok les kiwis, enfin c'est dommage, il aimait bien les kiwis même si c'est très chiant à manger, c'était peut-être que ça son allergie, couper les kiwis. Athènes c'était joli, dans les films c'était joli et très folklorique. Mais alors la prison, là il trouvait rien à dire. Il essaya d'imaginer Calypso dans une prison, c'était l'image la plus étrange qu'il avait jamais imaginé. « Comment tu t'y es prise pour aller en prison ? Je peux pas y croire ! » demanda-t-il, aller en prison c'était pas rien. « Et désolé pour tes parents, ça doit pas être facile. » Le jeune homme la regarda avant de secouer la tête, arrivant peu à peu au filtre de la cigarette, il fronça les sourcils. « Tu as pas de quoi être fière et c'est pas le baiser qui me perturbe, c'est ta façon d'agir et je veux surtout pas que tu le fasses plus. » Une façon comme une autre de l'inviter à recommencer dans un futur proche, en fait elle voulait juste la confirmation qu'il aimait bien ça, reprendre le contrôle de la situation. Niet, c'était fini ce temps-là. Il la regarda lui expliquer qu'elle ne voulait pas se mettre en colère contre lui, elle était sincère disait-elle, il avait toujours la sensation qu'elle se moquait de lui mais il avait envie de la croire. Il jeta son mégot. « Je te fais presque confiance, j'ai honte aussi, pas tant d'avoir un truc, ça je dois assumer, mais de te l'avoir refilé, t'as intérêt à guérir. » Il lui confisqua sa cigarette, enfin c'était un grand mot. Avant de s'approcher d'elle et sourit. « Tu crois que ça m'intéresse comment tu me préfères ? »
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Ça me faisait bizarre de réaliser que je venais d’avouer des éléments très personnels sur ma vie à monsieur Halberstam. J’avais l’impression que c’était une bêtise, mais en même temps, je commençais à plus le supporter… peut-être un peu trop à mon goût d’ailleurs. Seulement j’avais peur, il n’allait plus me voir comme Calypso le bonhomme, l’insupportable, mais comme Calypso l’ex taularde orpheline, et ce n’était pas du tout ce que je voulais. Je n’aimais pas être dans une position inférieure, bien au contraire, et lorsque je l’attendais s’excuser par rapport à mes parents, j’avais l’impression de retrouver cette place du maillon faible. On pouvait très bien être orpheline et survivre, sans se sentir plus malheureuse qu’une autre personne. D’ailleurs je ne pensais pas avoir une vie si mauvaise que ça et je préférais voir le côté positif par rapport à celle-ci. Bon, évidemment, il fallait oublier le fait que ma stupide de soeur venait de débarquer à Harvard. Ça, par contre, ça m’énervait. Je t’assure, je n’y suis pas restée longtemps mais j’y suis allée, en Russie. J’avais pas vraiment envie de m’expliquer sur le pourquoi du comment, parce que je n’étais pas sortie de l’auberge si je commençais à lui expliquer la complexité de ma famille. Puis s’il pensait que j’allais lui dévoiler ma petite vie sur un plateau d’argent aussi facilement, il pouvait rêver. Ça va faire dix ans Leo, je m'en suis remise dis-je calmement lorsqu’il me parlait de mes parents. Et vous alors, quels sont vos plus sombres secrets monsieur Halberstam ? demandai-je, un sourire aux lèvres. Il était égoïste de ne rien partager et j'avais bien l'intention de changer la donne. Apparemment, ma façon d'agir le perturbait, tant mieux. Je ne voulais pas qu'il essaye de me comprendre, sinon ce n'était pas drôle. Comment jouer si l'adversaire avait déjà cerné votre tactique ? Je souriais lorsqu'il me disait qu'il ne voulait que j'arrête de l'embrasser. Je sais pas si je vais continuer, si à chaque fois tu dois me poser dix mille questions sur le pourquoi du comment... Il se rapprochait de moi, jetant ma clope qui était presque terminée de toute manière. Ce n'est pas parce que je vais guérir que tu vas pouvoir essayer de nouveau de me refiler un truc aussi facilement tu sais. Le sous-entendu était plus qu'explicite. Je pense que oui, en tout cas tu devrais t'en soucier dis-je avec assurance, même si au fond, j'me doutais bien que non, c'était ma fierté qui parlait.
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Il fronça les sourcils, qui allait en prison en Russie ? Tout ce qu'il retenait des prisons en Russie c'était les goulags staliniens, le froid sibérien, Anastasia loin du froid de décembre et la mafia, les trucs qu'on montre dans les films quoi, donc si Calypso était en prison il y avait peu de solutions, soient elle avait vendu de la vodka illégalement soit elle était une héritière d'Anastasia et avait revendiqué le trône impérial. « Super si jamais on me demande le rapport entre la Dunster House, Athènes et les prisons russes je saurais quoi répondre. Mais t'as rien fait de grave ? » Elle lui retourna la question, il mit du temps à répondre pour la simple et bonne raison que pour trouver quelque chose d'époustouflant à comparer de ce qu'elle venait de lui sortir, il devrait se creuser la tête un moment. « Tu sais à côté découvrir que sa petite amie est une prostituée et se faire planter par sa fiancée c'est rien du tout. » Il leva les mains en l'air comme pour signaler sa bonne foi, puis c'était pas à chaque fois qu'il demandait, c'était de temps en temps, que cette fois, c'est tout, il n'était pas curieux comme garçon de toute façon, elle faisait bien ce qu'elle voulait tant que c'était pas désagréable. « J'en poserai moins alors, t'es bavarde que quand ça t'arranges c'est ça ? T'en demande trop, je sais pas si je vais supporter. » Tout de suite elle pensait à ça, elle avait l'esprit vraiment déplacé, lui qui s'inquiétait sincèrement pour sa santé, elle pensait juste à lui rappeler qu'il ne risquait pas de lui refiler autre chose, sous-entendant que ce serait ceinture. Ben tiens ! Le simple fait qu'elle le dise, il la voyait déjà débarquer une fois qu'elle serait de nouveau en état pour lui provoquer le mini-Leo. Qu'elle rêve, ça aussi c'était fini, il la laisserait plus faire, enfin après si toutes les conditions étaient réunies il verrait, ça se réfléchit. « T'emballe pas, je préfère qu'on en reparle à têtes reposées, prends pas de décisions hâtives. » Il hocha la tête même s'il ne prenait évidemment pas son avis en compte. « J'y ferai attention un jour, genre jamais. » Il la défia du regard, pas longtemps, juste ce qu'il faut, avant de l'embrasser.
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Il continuait à se foutre de mes révélations, genre, comme si j'avais envie de rigoler moi. En plus maintenant il allait penser que j'étais une criminelle ou je ne sais quoi, alors que j'avais eu l'occasion de connaître la prison juste à cause d'une vengeance de la part de mon oncle. Bah ouais on était des anges dans la famille, on aimait bien s'offrir des petits cadeaux sympathiques. T'es perspicace dit donc dis-je d'un ton sec. Puis j'hésitais à lui mentir, j'pouvais inventer que j'avais tué quelqu'un histoire qu'il flippe un peu mais je n'étais pas aussi sadique... en fait si, mais j'avais pas envie de l'être maintenant. Disons que... ce ne sont pas tes affaires ? J'veux pas te faire peur. dis-je avec fierté, et toc. Les révélations c'était terminé pour aujourd'hui ou pour toujours d'ailleurs. À son tour il me confiait des trucs sur lui, et là, j'essayais de ne pas exploser de rire. Leo... fiancé ? C'était une blague non ? Je cherchais la caméra cachée parce que ce n'était pas possible. Finalement, je ne pouvais me retenir, rire relativement fort s'échappait de mes lèvres. Genre tu ne savais pas, j'suis sûre que tu l'as fait exprès mais... toi, fiancé ? Sérieux ? Non parce que j'avais vraiment du mal à le croire. Premièrement, il fallait être fou pour accepter l'éventualité de finir sa vie avec Leo, puis c'était il avait quoi 20 ans ? C'était jeune pour se marier. Moi, je n'avais pas le choix. Décidément tu fais fuir tout l'monde ! C'était il y a longtemps ? Le pauvre quand même, mais je n'allais pas m'apitoyer sur son sort. Je t'ai jamais demandé de me supporter Halberstam, et j'fais ce que je veux. Évidemment, comme toujours, j’pouvais pas m’empêcher de faire des sous-entendus, parce que c’était Leo, l'haricot le plus sexy que je connaisse - pour un haricot hein, je ne parlais pas de gente masculine ici -, et que voilà. Puis il disait qu’il préférait y réfléchir à tête reposée, c’est vrai que c’était notre spécialisé de ne pas agir dans la précipitation, la preuve, on avait eu une relation protégée et je n’avais pas de bouton aujourd’hui. Ah non, ce n’était pas vrai ça. Tu veux que je réfléchisse à quoi à tête reposée ? dis-je en faisant l’innocente puis, comme à son habitude, il m’exaspérait, mais je défiais son regard également, je n’étais pas du genre à lâcher aussi facilement. Ah ouais t’es sûr, pourquoi est-ce que tu es plus calme alors maintenant ? Avant que je puisse continuer, il m’embrassait et j'en profitais pour passer délicatement ma mains dans ses cheveux. Puis, je m’écartais de lui, un sourire aux lèvres. Tu m’as embrassé dis-je en faisant écho à ce qu’il m’avait dit tout à l’heure.
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Oh ça y est elle était vexée, c'était ses affaires, blabla, elle voulait pas en dire plus, elle jouait les grandes, on sait jamais si elle attendrissait Leo hein, autant pas lui en dire trop. « Tu me fais déjà peur de nature. » dit-il en levant les yeux au ciel, que dalle, tout ce qui l'inquiétait c'est de voir combien ses mésaventures amoureuses avaient l'air de l'amuser. Il ne voyait pas ce qu'il y avait de drôle sérieusement, lui aussi il allait jouer les vexés et lui dire que ce n'était pas ses affaires. « Bien sur que non je t'assure que j'en savais rien. Et ma chère fiancée c'était il y a trois quatre ans je crois, elle a fui parce qu'elle était folle, je m'en suis rendu compte qu'après m'être fiancé, c'est un mal pour un bien finalement. » Et fort heureusement qu'elle n'avait pas réclamé de la supporter, ce serait bien trop catastrophique, en plus généreux et bonne pâte comme il était il aurait accepté pour pas la froisser, même si elle ne le demandait pas, elle s'imposait, il s'en plaignait pas trop non plus, juste assez pour qu'elle comprenne qu'il se moquait qu'elle soit là ou pas. Mais c'était mieux quand elle était là. « Nos destins sont liés à tout jamais, il va falloir apprendre à vivre avec cette idée. » Elle se payait sa tête, encore, une habitude, si bien que ça finissait par ne plus atteindre Halberstam, il était intouchable maintenant, voilà, elle pouvait dire ce qu'elle voulait, il ne la croirait pas, elle mentait trop souvent, et il s'en était véritablement rendu compte la fois où elle avait dit qu'il en fallait beaucoup pour la mettre dans son lit et qu'il y était arrivé. Bon après comme il fallait qu'il s'en souvienne, ils en avaient rajouté. « Réfléchir à ton abstinence. » Avant qu'elle prolonge son sermon sur ce qu'il devait faire ou ne pas faire, il l'embrassa, toujours très réceptive de toute façon, Calypso cessa enfin de parler. Il sourit, parce que quand même elle était … enfin voilà. « Quelle tragédie, j'imagine pas le drame si je recommence. » Il l'attrapa doucement par la taille avant de poser ses lèvres contre les siennes puis s'arrêta net avant de se lancer dans un mélange de bave tumultueux, finit ça aussi, finiiiit. « Faut pas que je recommence, c'est trop risqué. »
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