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REALLY ? SYPHILIS ? (+ leo)

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Je sortais de ma douche, attrapant une serviette afin de ne pas mourir de froid que j’enroulais délicatement autour de moi. J’avais décidé de m’occuper de ma petite personne aujourd’hui, malgré ma déprime actuelle, je ne voulais pas me laisser aller. Je devais faire face à cette maison que je détestais à présent, à ma soeur que je ne supportais pas également, et je devais le faire sans être faible. Ce n’était pas mon genre. J’enroulais mes cheveux dans une deuxième serviette et j’attrapais des bandes de cire afin de m’épiler. Je n’avais peut-être pas de partenaire dernièrement, mais ce n’était pas une raison pour avoir un Hagrid dessous la ceinture, j’allais donc m’asseoir après avoir enlevé ma serviette. Puis, je chauffais légèrement la bande de cire avant d’ouvrir les jambes afin de commencer la manoeuvre très agréable. Mais, d’un seul coup, je lâchais cette chère bande, laissant échapper un cri aigu de ma bouche. Je me penchais vers la partie de mon anatomie qui présentait… un énorme bouton rouge, un ulcère. Je faisais la grimace, c’était une blague ! J’avais seulement eu une relation depuis… au moins six mois, et je me retrouvais avec ça. J’avais envie de pleurer, vraiment. Je regardais mon reflet de le miroir, qu’est-ce que j’allais faire maintenant ? Et puis c’était quoi ce truc ? Je n’étais pas spécialiste des maladies de ce genre, j’étais vétérinaire. Je me relevais, attrapant ma culotte ainsi que mes habits que j’enfilais en vitesse. Leo, c’était sa faute… mais il devait s’en douter qu’il avait quelque chose non ? Il était pas idiot à ce point, si ? Enfin, ça se voyait ce genre de truc, mais je ne m’y connaissais pas. Il fallait que j’aille chez lui, que je lui demande des explications, même si ça ne me faisait pas mal pour l'instant, je ne savais pas du tout ce que c’était et je n’avais pas l’intention de le laisser filer comme ça. Imaginez qu’il le refile à quelqu’un d’autre… cette idée, sans vraiment y réfléchir, me dérangeait un peu, parce que ouais, ça me faisait chier s’il allait coucher avec quelqu’un d’autre. Voilà, c’était dit. Je me préparais en vitesse mais je me faisais tout de même présentable, avant de prendre ma voiture afin de me rendre chez lui. J’avais appelé l’administration de la faculté dans le but de savoir où monsieur vivait, expliquant que c’était une urgence. Une fois devant l’immeuble, j’appuyais trois fois sur la sonnette à côté de son nom de famille imprononçable. Leo ! C’est Caly, il faut m’ouvrir dis-je lorsque j’entendais sa voix demander qui c’était.
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La chose tout à fait impressionnante chez Leo – enfin l'une d'entre elles, c'est tellement un Dieu il faudrait mettre Diderot, D'Alembert et leurs potes pour tout répertorier dans une encyclopédie – c'était sa capacité à prendre la vie avec philosophie. Même s'il lui arrivait un gros pépin, il gardait le sourire, menait une vie tout à fait normale ou presque, il ne se faisait pas de soucis, de nos jours avec les progrès de la médecine, tout était soignable. C'était presque enfantin, un gosse qui tombe et s'ouvre le genou, il pleure puis il finit par se passionner par le liquide rouge qui coule le long de sa jambe, même qu'une fois qu'une croûte sera formée il la grattera pour l'enlever et voir le sang couler de nouveau. À côté t'as les parents qui paniquent, qui pleurent, qui supplient Docteur Machin ou Docteur Truc de sauver le genou de ce pauvre enfant innocent qui ne savait pas ce qu'il faisait en sautant du haut du toboggan. C'est donc tout naturellement que lorsqu'il aperçut un truc pas normal sur son petit bonhomme en prenant sa douche, il se dit qu'un peu de pommade – celle qui lui sert à tout de la brûlure au cinquième degrés à la petite démangeaison – suffirait amplement à soigner tout ça. S'il avait réfléchit un peu à cet instant, il aurait peut-être fait le rapprochement avec son saut du haut du toboggan ou pour faire simple ses copulations non protégées. Bah oui, le ministère de la santé passe assez du fric de nos impôts dans les campagnes de prévention pour inciter les jeunes enfants à se pas jouer les cascadeurs. Maiiis Leo s'était cru tout puissant, ce genre de choses n'arrivaient qu'aux autres, il faisait bien trop attention à ses fréquentations. La sonnerie de l'appartement sonna de quoi inquiéter le jeune homme, depuis quand on utilise une sonnerie tss. Puis trois fois c'était mauvais signe. Huissier de justice, police ou meuf en colère ? Il préférait autant voir les flics et quand il eut le malheur de demander qui c'était, dans l'mille meuf en colère et pas la plus sympa. Il la laissa entrer, pas vache le mec. Se doutant qu'il ne s'agissait pas d'une visite de courtoisie de sa part il fronça les sourcils, prêt à se battre. « C'est quoi le soucis ? »
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Leo ouvrait la porte d’entrée, je me dirigeais vers l’ascenseur afin de rejoindre son appartement. J’étais en colère, il était vraiment le roi des imbéciles, comment ne pas réaliser qu’on avait un tel problème ! Le pire, c’était que lorsqu’il ouvrait sa porte, il semblait surpris de ma visite, comme s’il ne se doutait de rien. Je ne prenais même pas le temps d’observer l’environnement dans lequel il vivait, et je réalisais au même moment que j’ignorais beaucoup de choses du petit haricot Leo Halberstam mais ce n’était pas le moment pour m’offrir une visite guidée de son chez lui. J’étais persuadée qu’il avait fait exprès de me refiler ce truc, c’était sur, il était le diable en personne. C’est quoi le soucis ? Bah j’sais pas, tu t’en doutes pas ? dis-je sur la défensive, j’hésitais entre le fait qu’il me prenait pour une idiote et le fait qu’il ne savait véritablement pourquoi j’étais là. J’avais envie de baisser ma culotte, là, d’un seul coup pour lui montrer les dégâts dont il était la cause mais je me ravisais, premièrement parce que j’avais trop de respect - et de fierté - puis, ça allait encore lui donner des idées. Oui, parce que, apparemment, ça ne le dérangeait pas de coucher avec une personne sans préservatif, malgré une maladie. Tu sais pas ce que j’ai eu la chance de découvrir ce matin en prenant ma douche ? Tu m’as refilé un truc Leo ! dis-je sur un ton clame néanmoins. J’allais trouver une solution, il fallait que j’appelle Priape d’ailleurs, même si j’étais extrêmement gênée, je me voyais mal écarter les jambes devant un inconnu. Surtout pour présenter un truc comme ça… parce que ça montrait que j’étais super Calypso l’irresponsable qui se comporte comme une gamine de quatorze ans à copuler sans protection. J’avais envie de lui dire qu’il était le roi des imbéciles - même si je me doutais qu’il en avait déjà conscience, quoique… -, non parce que ça prouvait qu’il n’était pas du genre à faire attention, et de plus qu’il était du genre à brouter un peu partout. Alala les haricots ! J’attendais des explications de la part de monsieur, et surtout, qu’il n’essaye pas de nier, parce que je n’avais couché qu’avec lui dernièrement. Bon, après, je ne le regrettais pas hein, soyons clairs sur ce point.
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Tout adorable être qu'il était, Leo laissa la jeune femme s'exprimait librement. Vous voyez le problème c'est qu'il avait tellement l'habitude qu'elle lui gueule dessus qu'il ne la prenait pas au sérieux. Quand au final il arriva à faire un lien en l'état dans lequel Calyspo avait l'air d'être et la chose qui lui avait semblé apercevoir lors de sa propre douche, Halberstam fronça les sourcils. Il était tout à fait rare qu'il se risque à ne pas se protéger, c'était égoïste, il n'avait pas honte de le dire, mais la dernière chose qu'il voulait au monde s'était se retrouver avec un enfant non-voulu sur les bras ou une maladie. Malheureusement dans le feu de l'action, parce que la plupart de ses rapports étaient sous l'effet de l'alcool, il lui arrivait de passer outre tout ça, avec l'intime conviction que si on veut rien chopper, on choppe rien. Et visiblement Dieu Seigneur avait eu envie de lui rappeler que le seul mec qui décide c'est lui. « T'es sure que c'est moi ? » se tenta-t-il de dire. Aussi bien elle l'avait attrapé ailleurs et c'était elle qui lui avait refilé. Médiocre tentative de se rassurer. Le pire c'est qu'il était inquiet de savoir comment il avait pu chopper cette merde, ça venait pas de nul part, et allez savoir quelle fille lui avait donné ça. Il fit les cent pas, cherchant une explication logique à tout ça. « Je croyais que ça datait d'après, je m'en étais pas rendu compte avant tout à l'heure. » Il joignit ses mains, comme pour une prière, même si franchement à part assumer les conséquences de son comportement, comment il allait s'y prendre, ça s'était encore en cours de réflexion – faut pas trop lui en demander non plus, c'était pas tous les jours qu'il avait à gérer ça. Et en plus il fallait que ça tombe sur Thomspers ! Ça changeait quelque chose ? Un peu, il était pas sur de pourquoi mais il se sentait vraiment mal à l'aise, et pour la première fois en exclusivité, elle était en présence de Leo le sérieux, il ne jouait plus, son ton était sérieux, son visage exprimait son inquiétude. « Tu es allée chez le médecin ? Il faut … Je devrais peut-être t'accompagner, enfin pour payer pas à l'examen, mais si il faut payer le médecin, ou les médicaments, ou enfin s'il y a besoin de quelque chose. »
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Je me demandais quelle réaction il allait avoir, allait-il nier ? Je n'avais pas chopé cette maladie par l'opération du bon dieu quand même, donc ça n'allait pas marcher cette excuse. Mais s'il assumait complètement cela voulait dire qu'il avait conscience de ne pas toujours avoir des relations protégées, et ça franchement, ça craignait. Parce qu'il prenait le risque, premièrement, de mettre une jeune femme enceinte, et puis d'attraper des maladies. Pas de bol, il avait réussi le deuxième truc, imaginez s'il avait le sida. En fait j'avais peur à présent, parce que j'me demandais ce qu'il avait pu me refiler, ce bouton était peut-être le début d'une série de problèmes. Je fronçais les sourcils lorsqu'il me demandait si c'était bien de lui. Bah non, cela venait de kinder surprise, c'était évident. J'ai couché qu'avec toi dernièrement dis-je calmement à l'égard du jeune homme. Puis il m'expliquait qu'il avait réalisé ça tout à l'heure, comme c'était pratique ! Comme par hasard, il ne réalisait la chose qu'aujourd'hui, il me prenait vraiment pour une tomate, mais je ne faisais pas partie de la famille des légumes contrairement à lui. Puis apparemment ça datait d'après, cela voulait dire qu'il pensait l'avoir attrapé via une autre personne, super. Que ça datait d'après ? Et bien les ou la personne que tu pensais coupable, tu devrais l'appeler pour lui dire que tu lui as filé une maladie ! dis-je sur un ton sûrement déplacé, et sûrement trop révélateur de ce que je ressentais en pensant à lui avec une autre fille mais je préférais ne pas m'attarder sur ça. Mais ensuite, je l'observais, il semblait plus... sérieux, oui, voilà. Peut-être qu'il ne me prenait pas pour une idiote au final ? Je ne savais pas, j'étais perdue, comment est-ce que je pouvais le prendre au sérieux quand la plupart de nos échanges étaient... de la provocation. Je ne savais pas quoi penser, s'il se payait ma tête ou s'il s'inquiétait vraiment, cela me perturbait presque plus que le bouton rouge sur ma petite fleur. Non, je vais y aller... dis-je, évitant de préciser que j'avais décidé de demander de l'aide à mon ex, étudiant, parce que j'avais trop honte. Ça va aller Leo, j'ai de quoi payer... et je n'ai pas envie que tu me vois dans cette... position, disons. J'ai déjà super honte comme ça, tu devrais aussi aller chez le docteur, et faire des tests. Mais... j'ai un truc à te demander... Parce que je doutais trop de lui, de ses intentions et peut-être que c'était un salopard de première au final. Tu me promets que tu ne savais pas ? Ou tu as juste décidé d'éviter de m'en parler en me laissant dans la merde ?
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Si le contexte avait été différent et un peu plus léger, Leo se serait probablement vanté d'avoir été le seul garçon avec qui miss casse-pieds avait couché. Limite il avait honte d'avoir continué à gambader de son côté – en même temps une princesse c'est pas pareil, si il avait refusé c'était limite un incident diplomatique. Non, il aurait été fier de lui dire qu'il n'y avait rien eu après, pourquoi, allez savoir … D'ailleurs limite il allait se faire taper sur les doigts d'avoir continué à avoir une vie au lit active. Il eut un sourire presque amusé avant de se raviser, c'était pas le moment de rigoler. « Pour une fois pense à toi, le reste je m'en occuperai plus tard. » Halberstam se sentait vraiment obligé de se proposer, il se sentait vraiment coupable, peut-être aussi qu'il ne voulait pas qu'elle se souvienne de lui comme le mec qui lui avait refilé une IST, il y avait plus glamour. Il fronça les sourcils, elle lui disait ça en mode 'va faire des tests histoire de savoir si tu es vraiment malade, vraiment je me débrouille seule' ou genre 'bas les pattes, dégage, va te faire soigner le machin petit con'. Ah les femmes, bien trop compliqué à comprendre et Calypso restait un mystère insolvable que le brun ne cherchait même pas à déchiffrer tellement le travail était titanesque. La question de Thomspers le dérouta, certes il ne lui avait pas donné beaucoup de raisons d'avoir confiance, mais quand même. « Non bien sur que non j'étais pas au courant ! Je te le promets. Je t'aurais jamais fait ça c'est trop minable. » Il détourna le regard avant de s'empresser d'ajouter. « Enfin toi ou une autre. » Au fond il se sentait coupable, il aurait du la stopper, pas prendre ce risque, sauf que à ce moment-là, son cerveau était pas l'organe qui réfléchissait le plus, qu'il pouvait pas manquer cette occasion alors que Calypso s'était montrée réticente avant, s'il avait pensé à elle un minimum ça ne se serait pas passé ainsi. « Je déconne pas, si tu as besoin de quelque chose, je sais pas trop comment ça marche, mais même si tu décides de partir trois mois à Tahiti pour t'en remettre ou de manger exclusivement des cerises, … enfin t'as compris le principe. » conclut-il en levant les yeux au ciel, avant d'ajouter finalement. « Et au fait, je suis désolé. Pour ça et pour le couloir, j'aurais pu te proposer mieux qu'un couloir. »
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Je voyais qu’il souriait légèrement lorsque je lui reprochais presque d’avoir couché avec quelqu’un d’autre, je regrettais immédiatement ma réaction. Je ne voulais pas qu’il se fasse des idées et puis… il confirmait mes soupçons, et étrangement ça m’énervait. Certes, je ne l’aimais pas, il me tapait sur le système la majeure partie du temps que je passais avec lui et il ne me devait rien, mais j’avais pensé que nos ébats dans le couloir de la dunster représentaient plus tout de même. Mais je décidais de garder mon calme parce que j’avais des problèmes plus important que mon soudain énervement non justifié auquel je ne voulais pas donner une explication. Ah mais je m’en fiche de ces filles, c’est juste pour t’apprendre la politesse dis-je en faisant la moue. De toute manière je n’arrivais pas à cacher quoi que ce soit actuellement, j’me sentais tellement dans une mauvaise position. J’essayais néanmoins de laisser sous-entendre que ça m’importait peu et que j’acceptais entièrement son côté volage. Il m’expliquait qu’il n’était pas au courant, j’essayais de le croire, de ne pas me laisser aveugler par sa petite tête de haricot et au final, je ne savais toujours pas quoi penser. Il précisait qu’il ne m’aurait pas faire ça à moi ou à une autre, super, il avait l’intention de me montrer à quel point il était un don juan qui couchait avec pleins de filles ? Vraiment, c’était nécessaire ? Non parce que de mon côté, j’étais prête à m’en passer de ses petites remarques qui me faisaient comprendre que je n’étais qu’une comme ça, parce qu’il avait eu l’occasion. Ouais super dis-je simplement en m’appuyant contre le mur de son salon. Ok bon j'vais essayer de te croire mais respecte toi un peu Halberstam, évite de sortir non couvert tout l’temps, je savais pas que c’était une habitude pour toi ! Non parce qu’il allait vraiment finir par choper un truc grave, et là, il réalisait ses conneries. J’ai les moyens de me payer des vacances puis je ne suis pas une petite chose fragile, je vais pas mourir. J’avais l’impression qu’il me prenait pour une gamine, j’allais gérer le truc, c’était limite vexant… mais en même temps mignon. J’étais partagée, comme d’habitude lorsqu’il s’agissait de Leo de toute manière. Puis, il m’arrachait un sourire avec sa dernière remarque, pfou, j’avais vraiment aucune volonté. Je m’approchais de lui, un sourire espiègle aux lèvres. Et bien une chose est sûre, dans notre situation, tu ne vas rien pouvoir m’offrir !

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« Oui bien sur Thomspers. » Surtout la politesse c'est primordial et c'est clair qu'elle lui avait prouvé à de nombreuses reprises qu'elle était très polie comme jeune femme. La jolie menteuse, enfin pas jolie mais voilà quoi. Un sourire en coin, il finit par hausser les épaules, si elle le disait alors, il allait la croire sur parole hein ! Elle allait presque lui faire oublier qu'elle avait un machin bizarre dans sa culotte avec ses bêtises, parce qu'elle n'avait pas perdu son sens de la « répartie ». Respecte-toi Halberstam, c'était la chose la plus hilarante qu'elle avait jamais dite. « C'est pas une habitude ! Et je vais essayer de croire que tu te fous pas de ma tête. » Même si ce ne serait pas la première fois, et sûrement pas la dernière, il osait imaginer qu'une fois qu'elle serait guérie – parce que c'était pas possible autrement – elle allait trouver quelque chose pour lui faire payer, elle n'était pas innocente, elle était très très loin de l'être. Il leva les bras dans un geste désespéré avant de la regarder exaspéré. « Je dois t'appeler Monsieur Thomspers ? Accepte le fait que si là pour le coup tu es une petite chose fragile, et on sait pas si tu vas mourir. » Autant se préparer au pire de suite, après tout il savait pas ce que c'était lui, c'était pas une chose qui lui arrivait souvent, puis il avait le droit de s'inquiéter ? Elle était chiante et chieuse, mais c'est tout il s'inquiétait un minimum. Puis elle souriait, qu'elle le remballe son sourire, c'était pas le moment, du coup il souriait comme un idiot, s'approchant aussi un peu parce que c'était toujours mieux quand ils étaient proches même si elle ne put pas s'empêcher de lui rappeler gentiment que c'était niet pour ce soir et pour longtemps avec tout ça. « Arrête ça, tu peux pas t'en empêcher sérieux ? » Il soupira, avant de faire un geste de main vague, comme pour désigner la jeune femme, ou pas, pour entourer la situation. « Tu es … laisse tomber. Un truc à boire, à fumer, à taper ? Mais pas moi s'il te plaît. »
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Il se payait ma tête en me répondant tel un enfant qui essayait de satisfaire ses parents en disant amen à tout. Vraiment, il m’exaspérait parfois, en fait, c’était la plupart du temps. Je levais les yeux au ciel en décidant de ne pas répondre à sa provocation, j’y répondais déjà trop de toute manière. Il arrivait toujours à m’entourlouper dans beaucoup de domaines et je devais résister à l’appel de mon esprit de contradiction. Seulement, je n’étais pas habituée à faire ça. Il disait que ce n’était pas une habitude pour lui de coucher avec des femmes sans utiliser un préservatif, j’avais du mal à y croire puisqu’il pensait que ça datait d’après (je ne faisais que le citer), donc il avait eu d’autres rapports non protégés, donc c’était une habitude. Cela s’appelle de la déduction, pas besoin d’être mathématicien pour comprendre que tout était lié. Pourquoi tu veux que je me foute de ta tête ? dis-je en faisant la moue, ne pouvant éviter de le provoquer. Parce que c’était Leo, c’était comme ça, je ne pouvais m’empêcher, mais je restais soft. Le pire c’est qu’il me traitait comme si j’étais un oiseau sans défenses, alors que moi, j’étais un bonhomme. Je ne voulais pas lui montrer que premièrement, oui, ça m’atteignait et que oui j’étais fragile, parce qu’il allait en profiter. Comme il avait profité de moi lors d’un moment de faiblesse pour me refiler une maladie, j’avais fait la bêtise une fois, pas deux. D’être naïve hein, pas de recoucher avec lui… quand même. Mais ce n’était pas d’actualité. T’es vraiment très drôle Halberstam ! Tu crois quoi que juste parce que tu as une paire de couilles ça fait de toi quelqu’un de fort ? dis-je en le défiant du regard. J’avais décidé de me rapprocher de lui, l’aguichant discrètement du regard. Oui, je ne pouvais m’en empêcher, même avec un bouton en dessous, même en sachant qu’il m’avait refilé une maladie et même en ayant conscience qu’il avait beaucoup de relations. Il semblerait que non… pourquoi, toi oui ? Je me mordais légèrement la lèvre, il se rapprochait également de moi. Il se trahissait tout seul. Honnêtement, j’ai vraiment envie d’une clope mais avant j’ai envie de faire un truc dis-je avant de poser mes lèvres sur les siennes. Juste un simple baiser, pas de langues, rien de tout ça. Juste une envie, quelque chose. Puis je me retournais, un sourire aux lèvres et je partais en direction de son balcon afin de m’allumer une cigarette.
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C'était marqué sur sa face qu'elle se foutait de lui de long en large en travers diagonale, elle le prenait vraiment pour une débile profond, c'est pas comme si elle ne l'avait pas prévenu en même temps. Jouant l'indifférence il répondit simplement « Oh je sais pas un sixième sens je pense. » Il la regarda s'énerver toute seule, ou pas tout à fait parce qu'elle lui transmettait tout ça et qu'il allait s'énerver si elle continuait à lui rabattre les oreilles. Elle pouvait pas lâcher prise un peu ? Oui c'était ça, elle devait se détendre, ah ça il doutait pas qu'elle était forte fallait voir sa force physique quand il s'agissait de le plaquer contre un mur ou sa vivacité mentale quand il fallait le provoquer. Il n'avait aucun doute sur la force de Calypso. « Et c'est pas parce que tu es forte que tu peux pas avouer que ça va pas, je sais pas, tu couches avec un mec dans un couloir, ce qui est relativement humiliant, et en plus de ça tu te paies une IST, à ta place j'aurais des envies de meurtres. T'es pas normale. » La seule préoccupation de la blonde c'était de s'amuser, l'aguicher, l'allumer, même s'il lui avait fait le pire cadeau de Saint Valentin possible – en même temps si elle avait proposé peut-être qu'il aurait fait un autre cadeau, tant pis pour elle. Beurk passer la Saint Valentin avec Calypso Thomspers c'était le synopsis d'un film d'horreur ça. Enfin bon, qu'elle fume, ça pouvait lui faire que du bien. Ou qu'elle l'embrasse ? Il resta bouche bée après qu'elle l'ait embrassé, il n'allait pas se plaindre, mais il ne s'y attendait pas à ça. C'était le baiser le plus déroutant qu'elle ait pu lui donner, ça ne trahissait pas une quelconque envie de combler un manque, c'était simple et bizarre. Elle s'éloigna en souriant pour fumer tandis qu'il souriait lui aussi avant de lui lancer. « J'ai vraiment cru que t'aller me gifler au début. » Il alluma sa propre cigarette, l'observant discrètement du coin de l’œil. « Tu vas pas sauter ? Je me sentirai dans l'obligation de te suivre et j'ai pas envie de mourir. » Il s'esclaffa brusquement histoire de casser tout le potentiel romantisme de sa réplique, avant de tirer sur sa cigarette machinalement. Sourire aux lèvres il se tourna un peu plus vers elle. « Je peux savoir quelque chose ? »
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