DIOS MIOS, TOI, ICI. (leo)

dios mios, toi, ici.

Ouai manquerais plus que j'me fasse un tatoue avec son nom. Comme les filles vulgaire dans les films, elles ont toujours ce truc là avec des roses et des fleurs de partout et le nom de l'homme de leurs vies, qui finit toujours par être un connard vers le milieu du film. Heureusement que dans la vrais, les gens ne font pas ce genre d'erreur. « Non, je me suis carrément fait tatouer ton visage dans le dos bébé. » dis-je dans un gloussement, avant que les choses ne deviennent sérieuse. Quoi que ça existe vraiment les gens qui font ça, et je trouve ça tout aussi stupide, parce que si la personne finit par quitter l'autre (ce qui arriver 98% du temps) et qu'elle décide de sortir avec un autre gars, est-ce qu'elle va se faire tatoue la face du gars ? Et le gars entre temps, il voit le visage de l'autre gars à chaque fois qu'il veut enculer sa copine, c'est bien weird. « Je préfère quand même Jesus à Léo, je trouve ça plus dramatique et plus mystérieux. » avouai-je dans un gloussement. Il devait déjà être un peu soul, puisqu'il sent l'alcool. J'étais bien sobre pourtant, même pas le temps de boire un petit verre de vodka que j'étais déjà à la conclusion. J'enroule mes jambes et mes bras autour de sa taille et de sa nuque. Je l'embrasse sauvagement, à la limite de lui gober la bouche. Ses mains se balade le long de mes cuisses et soulève ma robe, d'un geste brusque. J'hésite un instant, décollant mes lèvres, je vais me retrouver à poil dans un coin ou des centaines de filles ce sont déjà retrouver à poil. Je le stop un instant. « Allons ailleurs, dans ta voiture ? Dans la mienne ? J'veux pas être le spectacle des gérants. » dis-je en pointant la caméra surveillance.

Leo fronça les sourcils, de quelle planète venait Kiara pour penser à ce genre de choses ? Il savait très bien qu'elle blaguait – enfin il espérait surtout pour elle – mais quand on voit combien ces portraits tatoués sont pas conformes aux originaux, il préférait autant qu'elle se passe de l'envie de l'avoir dans la peau à tout jamais. Il se réjouissait, adorable petit con qu'il était, d'avoir su détourner son attention pour qu'elle ne lui en veuille plus de l'avoir traité super mal quand ils sortaient ensemble. Lui-même était du genre à pas pardonner quand ses petites amies lui mentaient, mais il se sentait tout à fait libre de faire la même chose aux filles. Il l'avait allumée un peu, la plaqua contre le mur, l'embrassant sauvagement avant d'hocher la tête, il avait pas envie de se la jouer à la Richard non plus. Il la reposa sur ses deux jambes, la rhabillant, à moins qu'elle veuille traverser le bar en culotte c'est son problème. « T'as une limo j'espère ? Non j'déconne j'ai changé de voiture depuis la dernière fois, j'ai pas testé la banquette arrière encore. » Il prit Charlotte par la taille, se frayant difficilement un passage au milieu de la foule et une fois sur le trottoir, il regarda qu'elle avait pas été remplacée par une autre au passage. Il s'était garé dans une rue parallèle, un peu éloignée et quand elle fut en vue, il appuya sur la télécommande de la clé pour l'ouvrir. « Votre carrosse est avancé Altesse. »

dios mios, toi, ici.

Non sérieux, que c'était bon de le retrouver. Je n'ai pas eu une tonne d'amant dans ma vie, et je peut vous assurez qu'il était l'un des meilleurs. C'était peut être inconscience du moment, ou encore le faite de vivre dans une bulle éloigner du monde réel qui rendez tout ça plus existant, mais tout les cas, j'aimais retrouver ses lèvres contre les miennes, et son pouls s'affoler au rythme du mien. Je le stop dans son élan de vivacité, je m'appelle Kiara la princesse de la jungle, mais lui c'est le roi Leo, comme le dessin animé que je regardais quand j'étais gosse. Près à bondir dès qu'on lui demande. Je n'avait pas envie qu'une vidéo de la princesse Grimaldi tourne sur le net, comme la vidéo de Kim Kardashian, et qu'on m'appelle star du X dans les médias, je lui demandais donc de nous trouver un coin plus tranquille, si on rentrais chez lui ou chez moi, j'aurais le temps de changer d'avis et de me rappel quel connard il est, alors je préfère me contentais de sa voiture qui est un lieu assez rustique mais bien sauvage. On se fait un passage entre les gens encore dans leurs discussions, il me tiens par la taille et j'essaie de tenir quelque chose qui soit à lui, mais la foule est trop grande. « J'espère que t'as le chauffage au moins, dans ta bagnole. » dis-je en gloussant. On marche dans l'hiver glacer de Cambridge jusqu'à sa voiture. Il pris une voix de grand duc, et ouvrit celle-ci, je ne peut m'empêcher de rire, glissant un « crétin » en français, alors je m'assoie sur la banquette arrière. Je retire ma veste qui me semble de trop dans cette espace confinais. « Alors, on disait quoi ? » dis-je en passant mes mains sur épaules.

Hého elle se croyait où ? Il avait pas une limousine, mais quand même bien sur qu'il avait le chauffage. Il riait intérieurement, Kiara était loin d'être la fille précieuse qu'on attendait qu'elle soit. Princesse, elle ne l'était pas par choix, ni dans sa démarche, ni dans ses tenues vestimentaires, elle l'était de naissance, simplement. Au fond, Leo savait qu'elle disait ça juste pour dire quelque chose mais qu'elle se contenterait de moins que ça. C'est pas comme s'il lui avait payé un palace durant leur relation. « Non pas besoin de chauffage t'inquiète pas pour ça. » La brune entra, qu'est-ce qu'ils étaient en train de faire, très bonne question. Il croisa les bras en la regardant, les sourcils à moitié froncés. « Je sais pas je crois qu'on voulait faire une partie de belote au calme. » dit-il avant de quitter sa veste, histoire d'être un peu plus libre de ses mouvements. Non mais franchement ! Il la regarda, attendant de voir ce qu'elle avait effectivement prévu de faire, si ça se trouve elle projetait encore de le tuer et elle voulait faire ça posée, dans sa voiture, on sait jamais, elle lui avait prouvé plus d'une fois qu'elle était sauvage.

dios mios, toi, ici.

J'arque un sourcil, avant de gloussais à sa phrase. Parce que monsieur Halberstam compte faire monter la température ? Je me colle tout de même à lui, après qu'il ai virée sa veste. Passe mes bras, autour de sa nuque et plonge mes yeux dans les siens. J'aurais pue le tuée, prendre la voiture, et me casser à Chinatown en accusant une prostituer ivre qui traîner dans le coin, mais la haine que j'ai eu envers lui avait disparue. Parce que je suis ce genre de fille qui en marre de se faire douiller, alors peut être qu'il serais temps que je douille à mon tour. « Tu sais qu'un jour, je devrais me venger de tout ce que tu m'as fait ? » dis-je dans un murmure. Mes lèvres se baladent à se présent le long de sa nuque, je sent ses mains se serais autour de ma taille. Avec douceur, je le fait pencher pour avoir plus d’appui, et plus de surface à recouvrir. Je passe à ses lèvres, que je colle au mienne, dans une tendre caresse. Mes doigts toujours sur sa nuque pour la maintenir. Je pense qu'à l'instant, ma vengeance est reporter, bien sûr que je me vengerais, mais il me faut du temps et un plan bien élaborer. Le retrouvais dans un bar pourris entourer de pouffe, n'était pas le bon endroit. « T'aurais pue juste m’appeler, c'est pas la mer à boire non ? » dis-je en me mettant assise sur son pénis.

Il espérait bien qu'elle se vengerait un jour ou alors il commencerait à se poser un tas de questions. Non seulement sur la mentalité de Kiara, elle n'avais pas l'air très équilibrée mais alors si elle commençait à lui pardonner toutes ses crasses comme ça, trop vite, il ne comprendrait pas franchement. Puis lui aussi, il ne pouvait pas avoir toute cette influence sur les filles, sérieux. C'était abusé. « J'espère que tu le feras, ça me fait un peu peur que tu laisses aller comme ça, je te comprends pas. » Elle l'embrassa tendrement, trop tendrement ? Avant de s'asseoir à califourchon sur son entrejambe comme pour le provoquer. Automatiquement, Leo posa ses mains sur la taille de la brunette, hochant la tête avant de remonter sa main jusqu'à sa poitrine. « Je sais, j'ai déconné, mais je pensais pas que tu comprendrais tout ça, j'avais tellement honte si tu savais. » dit-il en se mordant la lèvre. Ok, sur le coup il n'avait pas du tout honte, mais alors vraiment pas.

dios mios, toi, ici.

Est-ce qu'il se croit vraiment super sexy avec ses lèvres pâteuse et son odeur constante de bière et de donut ? On dirait Homer Simpson le gars, toujours entrain de picoler. Au début, j'étais partante pour une v,2 de keo, mais plus je suis dans cette voiture, plus je m'imagine combien de filles on dû transpirer les fesses contre le siège en cuire de cette voiture, plus ça me donne la gerbe. « T'as envie qu'on aille chez moi ? Et qu'on joue à cinquante nuance de grimaldi ? » dis-je en passant mes doigts sous son tee-shirt, tandis que ses doigts à lui saisit mes hanches. Je me penche pour l'embrasser à nouveau, ça me répugne, combien de nana qui porte du glosse ont embrasser ce truc là ? Je lui fait retirais son tee-shirt, et recouvre sa nuque de baiser. Bon il faut avouer qu'il n'est pas si répugnant que ça, Halberstam, c'est juste son personnage, ce gars complètement accros à la gente féminine qui aime vivre dans le danger, un vrais personnage de série, genre le matchos, genre Barney Stinson. Au fond, il devait avoir un gamin de quinze ans qui s'est trop branler, et qui découvre qu'il fait un effet pas possible sur les jeunettes de son âge. Je le tire contre moi, pour qu'on se retrouve tout les deux assis et embrasse ses lèvres avec fureur. « On va chez moi ? Tu sais conduire au moins ? » dis-je dans un petit gloussement de bêtasse.

Il ne savait même pas quoi penser de Kiara. D'un côté Kiara la tigresse, qui le faisait grimper aux rideaux, celle qui le séduisait, lui plaisait, d'un autre côté il subsistait la princesse Charlotte, une Eliot, une fille à papa, une riche pleine aux as, celle qui avait qui elle voulait quand elle voulait que ce soit par son physique comme par son titre. Et ça agaçait Leo qu'elle lui se jouer de lui comme ça. Il se trouvait lui-même minable de se laisser aller comme ça. Il ne voulait en aucun cas être le joujou de Kiara une nouvelle fois, même s'il faut avouer qu'avant il menait complètement leur pseudo couple, aujourd'hui s'était différent, il était vraiment lui. « On y va quand tu veux beauté. » dit-il d'un ton mielleux, embrassant la brune qui dévorait ses lèvres, il hocha la tête, quittant la banquette arrière pour passer au volant. Il démarra le contact directement avant de partir. « Et c'est où chez toi ? Vas-y attends, Upper East Side ? Hamptons ? Je vais pas jusqu'à St Bart je te préviens ! »

dios mios, toi, ici.

Je ne suis pas rancunière, on 'ma appris à pardonner à ceux qui nous font du mal, parce que l'erreur est humaine, parce que les gens ne se rendent pas forcement compte du mal qu'ils font autour d'eux. Et pourtant, j'avais envie d'avoir ma revanche, après tout, j'ai passer une pénibles semaine à la recherche d'un mec inventer de toute pièce, et ce serais trop facile de lui donner ce qu'il veut, maintenant, tout de suite, alors que je pourrais le faire languir. « Upper East Side ! » dis-je tandis qu'il se détacher de mon emprise pour se mettre derrière le volant. Je fis de même, avant de m'attacher. Je lui filer mon l'adresse sur son gps, en m'assurant que personne ne soit à l'appartement. Arriver dans les lieux, je lui fait signe de se garer sur le parking de derrière, afin que personne ne se doute de sa présence. En arrivant dans la maison, je soupire de soulagement, en voyant qu'effectivement tout le monde est de sortit ce soir. Je l'entraîne jusque dans ma chambre. « Tu vas adorer. » dis-je l'embrassant, avant de prendre sa main pour monter les escalier en courant. Maggie a eu un moment de fascisation lorsqu'elle venait de finir de lire le troisième volet de 50 nuances de Grey, elle en devenue tellement fan qu'elle trouver ça normal d'avoir une salle de jeu ou elle mettrais tout son petit bordel, mais son copain trouver ça vraiment weird, alors elle a dû s'en débarrasser. Mais ça lui avait coûter une fortune, donc pour l'aider, j'en ai pris une partit. Des trucs basique, du style, des menottes pour les mains et les pieds, un fouet, le truc chelou qu'on met dans la bouche et les foulards par dizaine qu'elle avait acheter en masse. « J'aime pas ton tee-shirt, enlève le. » dis-je en l'aidant par la même occasion.

Kiara prit rapidement les choses en main, à peine furent-ils arrivés dans l'appartement de la jeune femme. Elle l'embrassa de nouveau, visiblement plus tellement en colère, en tout cas, il se pressa de la suivre dans sa folle course jusqu'à sa chambre. « J'en doute pas. » glissa-t-il, une main baladeuse sur son arrière-train. Il avait l'impression d'être reparti des mois en arrière, l'autre fois il remettait le couvert avec Manu et voilà que Charlotte réapparaissait pour lui offrir un nouveau tour de manège. Elle le poussa à quitter son tee-shirt, leurs lèvres restant toujours plutôt proches. Il quitta son tee-shirt sans rien dire, rapprochant la brune de lui, détachant sa robe pour lui quitter totalement, la laissant tomber à ses pieds. « C'est quoi ton plan final ? Je te croyais sensée me détester. » dit-il avec un sourire amusé, avant de l'embrasser une nouvelle fois. Kiara semblait sure de ce qu'elle faisait, elle semblait lui réserver une punition un peu particulière, d'un côté, ça l'effrayait un peu, parce que même si elle connaissait désormais sa véritable identité, il n'en restait pas un gentil garçon, pas avec elle, et le pire qui puisse arriver à la brune c'est qu'elle attende quelque chose de leurs retrouvailles.