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dios mios, toi, ici.
Je revenais de la fashion week, complètement épuisée. Une semaine non-stop sur des talons hauts dans une salle chauffer comme une théière. Les paparazzi qui ne cesser de flasher et les commentaires désagréables de vache trop grosse pour défiler, et qui pense que de tenir un blog sur la mode font d'elle des fashionistas. Ça m'épuise, et c'était un délice de rentrer dans ma petite chambre du Eliot Housse, avec une paire de basket. Mais c'était tout de même vendredi soir et qui dit vendredi soir dit : sortit ! En plus, un soir de st-valentin, les bars devaient être plein de mecs en rûtes, que je me ferais un plaisir de briser en deux. C'était si drôle de les voir faire des pieds et des mains, « tu veux un verre poupée ? », « alors, tu fais quoi dans la vie ? », « comme ça, t'es comme matheuse. », « c'est quoi le jolie nom de ce jolie visage ? », et bien d'autre encore, que je casser à coup de : « désolée, je suis lesbienne. » certes, je ne l'étais pas, mais le visage de mon partenaire qui se brise en mille morceaux face à ses révélations était d'une hilarité incomparable. J'enfile donc une de mes robes de la fashion week, celle que je peut porter en public sans qu'on pense que je suis entrain de me faire bizuter, une paire de talons haut et sors dans le bar du coin. J'avais assez voyager de la semaine pour faire le tour de Cambridge. À l'intérieur, les gens sont déjà assez pétées, on a dépassé le happy hour évidemment, donc ils sont déjà dans la phase ou les prix n'existe plus sur le menu. J'me dirige vers le bar, quand je voit une putain d'hallucination. Je me frotte les yeux, parce que ce n'est pas possible, ce n'est pas vrai, ce n'est pas réelle tout ça : « JESUS NORRIS » hurlai-je par-dessus les discussions.
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