Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityfouiller dans ta vie est le seul moyen de me prouver que je compte pour toi. ❖ marc&georgia - Page 4
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fouiller dans ta vie est le seul moyen de me prouver que je compte pour toi. ❖ marc&georgia

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Elle me connaissait comme sa poche, je pouvais rien lui cacher et lui dire que je parlais à Nemo, c'était une mauvaise idée, pourtant j'étais très bon comédien et très bon menteur, quelqu'un d'autre n'y aura vu que du feu mais Georgia c'était différent, j'étais un livre ouvert pour elle. Elle semblait agacée, son sourire m'en disait long puis elle arrêtait de sourire me fixant, elle voulait que je lui dise la vérité, j'avais pas le choix, plus je m'enfonçais, plus ça allait me coûter cher Mary. voilà c'était dit, et vu sa tête elle s'en doutait et autant dire qu'entre les deux filles, c'était presque la troisième guerre mondiale. C'est bon, c'est que des messages Gia. je soupirais lachant finalement mon portable parce que je savais qu'elle risquait de se barrer là. Tu va faire quoi, m'engueuler ? Partir ?.
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C'était une blague. Une grosse blague, voir même du foutage de gueule. Il parlait à Mary, la fille la plus détestable que je connaisse, une fille insupportable à laquelle j'avais envie de coller des claques dés que je la voyais et dont la proximité avec Marc me dérangeait au plus au point. Rien qu'ça, ouais. A l'entente de son prénom, j'me sentais soudainement bouillir. Je me mis à rire, très nerveusement. Oh, Mary ... ah ouais. Il fallait que j'bouge, j'pouvais pas rester sur place. C'est que des messages oui, prends-moi pour une idiote aussi. Non, ils couchaient juste ensemble quoi. Donc c'est elle qui t'fais sourire comme ça alors ? Elle doit sacrément t'manquer, non ? Sur ces paroles, j'allais pour ranger les quelques fringues qui étaient restées ici après notre nuit d'ébats lorsque Marc me demandais c'que j'comptais faire. Non, je t'engueulerais pas, j'ferais ça un autre jour, là j'ai pas envie. Mais ouais, j'me casse, j'reste pas plus longtemps ici. Appelle Mary, dis-lui que t'es tout seul et qu'elle peut venir, au moins elle t'occupera certainement un bon moment. Je me dépêchais de ramasser mes affaires et les fourrais dans un d'mes sacs, sans adresser le moindre regard au français. Il n'arriverait jamais à s'contenter d'une seule fille et c'était décevant, mais apparemment c'était ce qu'il souhaitait. 
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Pourquoi il a fallut que je prenne mon téléphone, je m'en veux là, pourquoi il a fallut qu'elle me demande qui m'écrivait ? Après un petit mensonge pour ne pas enflammer la situation, elle avait vu clair dans mon jeu, elle me connaissait par cœur et je finis par lui dire la vérité en lui avouant que c'était Mary à qui je parlais. Les deux se détestaient et elle détestait le fait qu'elle soit autant proche de moi mais c'était comme ça quoi, elle ne souriait plus, j'essayais de lui dire que c'était que des messages mais dans sa phrase j'avais vu qu'elle savait aussi qu'à part les messages il y avait le sexe et ça c'était trop pour elle Arrête Gia s'il te plait. non elle n'allait pas arrêter, la preuve elle prenait les quelques affaires qu'elle avait laissée après notre nuit d'ébats que je n'oublierai pas de si tôt, elle voulait se barrer mais moi je voulais pas Fais pas ça. je laissais mon portable sur le canapé alors que je me levais pour me rapprocher d'elle, lui prendre la main J'suis avec toi là maintenant, on es juste tous les deux c'est pas une fille qui va venir tout gâcher mmm ? fallait croire que si, j'avais eu ma crise de jalousie quand elle est revenue ce midi et là c'était son tour mais elle réagissait beaucoup plus mal que moi Ok tu déteste Mary parce qu'on couchent ensemble et que rien que ça ça te fait vomir mais je dois dire quoi moi avec le rital que tu te tape, c'est la même chose, certes tu lui parlais pas par messages mais qui me dit qu'après là justement tu va pas aller le retrouver parce que t'as besoin de penser à autre chose ? je soupirais un instant avant de prendre son visage entre mes mains La simple idée que tu puisse être avec quelqu'un d'autre que moi me révolte, t'es là princesse, avec moi, reste je t'en prie, je veux profiter de toi aussi longtemps que possible, t'es parti trop longtemps tu sais pas à quel point tu m'as manqué, s'il te plait reste, oublie Mary. je l'embrassais.
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Concrètement, là, j'étais énervée, intérieurement, j'étais en train de tout canaliser. Marc pensait qu'avec un simple arrêtes Gia s'il te plait ou encore un fais pas ça j'allais tout de suite arrêter et rester avec lui comme si de rien n'était. Bonne vanne. A croire qu'il ne me connaissait pas encore assez bien. Je rangeais rapidement toutes mes affaires - et mine de rien y'en avait pas mal - et sentis soudainement la main tiède de Marc saisir la mienne. Je ne le regardais même pas, et presque immédiatement, je repoussais son attention. Ben si, la preuve. Puis pas n'importe quelle fille en plus. Même matériellement absente, Mary arrivait à créer des embrouilles. C'est lorsque Marc commença à parler d'Umberto que je relevais les yeux vers lui. Laisses Umberto où il est, il a strictement rien à voir là-dedans ! C'est pas la même chose, comme tu le dis, moi j'parle pas à Berto quand j'suis avec toi, parce que je suis avec toi et pas avec lui, justement ! Moi j'te privilégie aux autres, contrairement à toi, là est la différence. Et alors que j'allais ranger la dernière fringue qui traînait dans mon sac, Marc prit mon visage entre ses mains. J'étais obligée d'le regarder à présent. Et voilà le discours tant attendu. Les grands et beaux mots, les trucs mignons et tout l'tralala. Je m'en fichais presque. J'avais eu ma dose de déception pour la journée. Je ... Je n'eu même pas le temps de parler puisqu'il m'embrassait tout d'suite. Ce baiser était un bel argument pour rester ... mais non. J'devais partir d'ici. Je mis fin au baiser, et choppais mon sac. J'oublierais pas Mary. Tu sais c'que c'est ton problème Marc ? C'est que tu ne te contenteras jamais d'une seule femme. Il t'en faut toujours plusieurs, t'aimes les avoir autour de toi, tout le temps. Mais t'es comme ça, j'crois qu'on y peut rien. Passes une bonne journée. Je baissais les yeux et le détournais, sac sur mon épaule, sortant au plus vite d'ici, en vérifiant que j'avais bel et bien mon téléphone sur moi cette fois.
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J'avais encore merdé sans m'en rendre compte, pourquoi j'ai pas lâcher mon portable quand Mary m'envoyait des messages ? Pourquoi il a fallut que je me préoccupe plus de ce qu'elle me racontait que de ce que Gia me disait, ça a tout foutu en l'air, résultat elle a voulu savoir qui sait et après un vieux mensonge pour éviter une futur engueulade, c'était l'engueulade vu qu'elle me connaissait par cœur et que je pouvais pas lui mentir, du coup elle savait à présent que Mary était la fameuse interlocutrice qui me faisait tant sourire. Elle ne souriait pas, son visage était neutre, je savais qu'elle bouillonnait de l'intérieur mais elle gardait son calme bien qu'elle soit énervée et énervée comme il le fallait là, elle était décider à partir, la preuve elle prenait son sac pour commencer à récupérer quelques-unes de ses affaires mais je ne voulais pas qu'elle parte, après des 'ne pars pas' et des 's'il te plait', autant dire inutile, je me levais pour la retrouver dans l'espoir de la convaincre. Mais quoique je dise elle trouvait la faille pour me faire comprendre que j'étais en tort Mais j.. elle n'avait pas eu tort, j'aurais du n’être qu'avec elle, la privilégié mais ça n'a pas été le cas en me préoccupant de quelqu'un d'autre, surtout d'une fille qu'elle déteste, j'essayais toujours et encore de surenchérir mes arguments et je finissais par l'embrasser, un baiser qu'elle ne repoussait pas, qu'elle accompagnait jusqu'au bout mais à la fin de celui-ci, ses mots étaient clairs Gia je.. je pouvais rien dire, chacune de ses parole me foutait une claque à chaque fois, la voilà qui à ouvert la porte et qui à présent marche dans le couloir de la résidence avec son sac à la main, je soupirais la regardant partir quelques instants avant de refermer la porte et au final d'appeler Mary, elle avait raison sans m'en rendre compte j'avais besoin de plusieurs femmes dans ma vie, me contenter d'une seule ne suffira jamais mais il est peut-être temps que je réalise que Georgia pourrait être cette seule et unique femme dont je peux me préoccuper mais je suis pas prêt à me l'avouer pourtant j'y pense.
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