i didn't forget | OLIRREN ♥

Ça te fera toujours drôle, ça te surprendra et t'émerveillera toujours de voir ô combien un animal et son maître peuvent être étroitement liés. À l'habitude, c'est un chien et son maître. Ou bien un chat. Voire un reptile. Pourtant, là, c'est tellement différent. C'est Olive et son orque. C'est ta copine et son cadeau de Saint-Valentin. C'est son bébé à elle, son ami, son soi-même. Qui l'eut cru? Aurait-elle seulement pu espérer le retrouver ici un jour? De quoi ? Ah... fallait qu'elle le devine. C'était bien simple, pourtant. Tu lui souris, tout heureux. Ah, ça. Je ne me lasserais plus jamais de te le dire Warren, parce que je n’ai plus peur. Je t’aime. Je t’aime et je t’aimerais toujours, Cooper. C'est ce que tu espères, qu'elle t'aimera toujours. Que ce ne sera qu'elle et toi, longtemps, comme dans les films, comme à l'époque de vos arrières-grands-parents où une simple petite dispute, de simples différends ne causait pas un divorce. Tout est clair, pour toi. Tu es fou d'elle. Elle t'aime, et maintenant, tu le sais. Enfin, vraiment. C'est irréel... Et vous allez emménager ensemble. Ses yeux pétillent, ton coeur bat à l'unisson du sien. J’ai un truc pour toi aussi. L’état doit être horrible maintenant hein, mais quand même.. Joyeuse Saint-Valentin. Ton regard se durcit, par intérêt, par étonnement. Elle t'avait acheté un cadeau? Fait un cadeau? Tu ne t'y étais vraiment pas attendu, toi qui croyait que cette puissante déclaration était ce qu'elle te destinait. Tu t'en serais contenté, malgré tout. Elle sort un petit bout de papier de sa robe, tellement trempé, qu'un simple petit choc le ferait craquer en deux. Tu fronces les sourcils, intrigué par cette surprise. Et là, tu vois une maison. Une magnifique maison. Wow, c'était vraiment beau. Un truc sublime, grand, vitré, éclairé, blanc, parfait, quoi. Y'avait des petits bonhommes... vous? Qui t'fit bien rire. Wah.. Tu regardes la photo, t'attardant sur les détails. Un chien? Ah-ah! Tu souris, jusqu'à.. Et si ça devenait.. chez nous ? Tu écarquilles les yeux, ceux-ci passant de la photo à ta petite-amie... C'est plus que ta petite-amie, c'est... ton âme-soeur, comme on dit. C'est une personne que jamais tu n'arriveras à te sortir de la tête, encore moins du coeur. T'étais prêt à faire ta vie, avec elle. Et ça, tu t'en étais rendu compte lorsqu'elle avait accepté, proposé, peu importe, que vous vous trouviez un chez-vous à vous, et rien qu'à vous. Tes yeux brillent, si surpris, si ému. Tu hoches la tête. "Oh oui, que je veux." Et là, d'un coup, tout se précise dans ta tête. Vraiment, vraiment tout, rien qu'en posant tes yeux sur elle. Tu la regardes, tellement sérieux, que ça te surprend toi-même. "Tu trouves pas que Olive Bambi Shark...Cooper, ça sonne bien?", demandes-tu. Oh et puis putain, si ça n'avait pas le mérite d'être clair, tu le serais : "Épouse-moi, Olive." Au fond, c'était une question. C'était fou, vraiment fou. Tu tentais le tout pour le tout. Et si elle sortait du bassin pour te fuir? Tu serais ici, avec un Jumper qui t'gronderait d'avoir blessé, pressé sa maîtresse. Ton coeur bat tellement vite, tellement fort, tu jouais gros, là... Mais putain, qu'est-ce que t'en avais envie. Qu'elle devienne ta femme.

Il avait la petite photo dans la main. La photo, celle qui représentait une jolie maison que tu avais vue, visité, aimé. Le coup de cœur. Tu t’étais vu dedans, aux côtés de Warren. Tu vous avait imaginé partout : dans le salon, dans la chambre, dans la cuisine, dans la piscine, sur la terrasse. Même dans le garage. T’étais tombée amoureuse de cette maison comme tu étais tombée amoureuse de Warren, en un regard. Oh oui, que je veux. Ton cœur eu un raté. Par le simple fait d’accepter, il venait de faire de toi une femme heureuse et comblée. T’allais vivre avec l’homme que t’aimais, tu aurais Jumper à quelques pas de chez toi. Putain, Cambridge était un véritable petit paradis, tu ne regrettais pas du tout d’être venue ici… C’était une virée pour échappée à Warren, et voilà que tu allais faire ta vie là, avec lui finalement. Tu trouves pas que Olive Bambi Shark...Cooper, ça sonne bien? Tes yeux pétillants mêles d’interrogation se posent sur ceux de Warren. Tu pouffes de rire, tandis qu’un sourire déchire tes lèvres délicieuses. J’me suis jamais vraiment posée la question mais.. Faux, comme n’importe qui quand t’avais compris que tu étais amoureuse de lui tu avais fait la liaison entre vos noms. Peu importe, il venait de te couper la parole. Épouse-moi, Olive. Ton sourire se fige sur tes lèvres, indélébile. Il avait vraiment dit ça ? Il venait vraiment de te demander de l’épouser ? Etait-il sérieux, du moins ? Ton cœur s’accéléra, ta vision se troubla. Oh putain, non. Des larmes. Tu lèves les yeux au ciel, pendant que ça contiendrait les larmes. Tu voulais pas qu’elles coulent, se serait ridicule parce que ça ferait vieux film romantique à l’eau de rose. Finalement, t’éclate de rire et laisse les larmes couler le long de tes joues. Ton cœur bat à tout rompre, il tambourine dans ta poitrine. Il connait la réponse, ton cœur. Tu la connais aussi. D’accord… réponds-tu alors que ton sourire se fait plus intense, plus heureux encore. Tu venais d’accepter de devenir sa femme. Il serait ton mari. Olive, toi qui t’étais promis de ne jamais te mettre en couple, tu venais d’accepter une demande en mariage. Et c’est vraiment c’que tu voulais.

Ce fut bien compliqué d'arriver à cette décision de vivre ensemble, rien que tous les deux. C'est ce que tu souhaitais, depuis qu'elle avait emménagé avec toi, dans ton appartement, suite à la fermeture des confréries. Il faut dire que tu aimais plutôt bien te réveiller chaque matin à ses côtés, elle dans tes bras, elle ronflant à t'en tenir réveillé, elle qui te souriait au réveil, elle que tu embrassais quand tu pensais à elle.. Quel bonheur. Et là... Quoi? Vous alliez vivre ensemble, dans votre maison à vous, rien qu'à vous, pas partagée avec d'autres, et contre toute attente, ça faisait ton bonheur. Cette maison était magnifique, sublime, magique, et tu t'y plairais. Vous la décoreriez à votre image, à vos goûts, vous y feriez vos souvenirs, chaque jour, vous vous l'approprierez. Tu avais déjà hâte. J’me suis jamais vraiment posée la question mais.. La demande qui suivait, tu ne l'avais pas planifiée. Tu n'avais rien préparé, contrairement à cette surprise, ce bassin et Jumper. Rien du tout, pas de bague, pas de jolies phrases toutes faites pour déclarer ta flamme, pas de chocolats, rien. Juste... Une question. Deux questions, dont une se camouflait sous une invitation, une requête, une envie. L'envie de l'épouser, d'en faire ta femme. Ça ne faisait peut-être que deux mois que vous étiez officiellement en couple, mais ça faisait plus de sept ans que vous vous tourniez autour, ou plutôt, devrait-on dire, que vous vous provoquiez. Les sentiments seront apparus au fil des années, au fil des mois, et ce fut compliqué. Tu t'imagines que ce le sera encore, et c'est tout à fait normal. Mais ton coeur sait ce que tu veux, ta tête est en accord avec lui, et c'est elle que tu veux. C'est Olive, c'est elle avec qui tu veux faire ta vie. C'est tout, rien de plus simple que ça. Ton coeur bat à tout rompre, tu paniques un peu. Et si elle refusait? Tu t'empressais peut-être trop. Déjà que d'emménager ensemble était un gros pas, un énorme pas pour elle, un saut en longueur ; jouais-tu avec le feu? Elle qui n'était pas réellement romantique, elle qui détestait être écrasée sous trop d'attentions, tu parviendrais à trouver le juste milieu, et à la combler comme il se doit, chaque jour un peu plus. D’accord… Un accord. Un "oui" parvient à tes oreilles comme une mélodie, comme un soulagement, bien que tu en sois étonné. Eh oui. Elle a dit oui. Elle veut t'épouser. Elle veut être ta femme. Elle veut être avec toi, dans votre maison, une bague au doigt. Enfin, tu ne l'obligerais même pas à porter de bague, tu voulais juste passer ta vie avec elle. Tu vois ses larmes rouler sur ses joues rouges ; elles se mélangent aux gouttes d'eau sur sa peau pâle. Tu souris, ne sachant que faire d'autre. Tu étais si heureux que tu sauterais au plafond. Mais il n'y en avais pas, là où t'étais, hum.. Tu la serres contre toi, tes lèvres agrippent les siennes, c'est un soulagement, un moment de bonheur intense et inexplicable. "Désolé d'pas avoir de bague..", dis-tu en riant. Ouais, c'tait pas planifié du tout, cette demande. "Tu sais pas comment j'suis heureux, là.. J'ai pas d'mots, j'ai plus d'mots. C'est bon, tu vas avoir un...mari muet.", finis-tu par dire, le rouge te montant presque honteusement aux joues. Oh putain.

Désolé d'pas avoir de bague.. De bague ? Est-ce que tu avais vraiment besoin d’avoir une bague là tout de suite ? Franchement, non. T’avais tout ce dont tu avais besoin : ton orque et l’homme de ta vie. Ca suffisait largement. On a tout le temps pour ça.. ris-tu également en t’accrochant à ses lèvres. Ta robe devenait de plus en plus lourde à cause de l’eau mais tu t’en foutais. Tu n’voulais pas quitter cet endroit, tu ne voulais pas quitter Warren. Tu ne voulais plus le quitter une seule seconde. Et t’allais te marier avec lui. Un jour, tu n’savais pas quand, mais tu avais dit d’accord.. oui quoi. Tu sais pas comment j'suis heureux, là.. J'ai pas d'mots, j'ai plus d'mots. C'est bon, tu vas avoir un...mari muet. Un mari. Warren serait ton mari. Tu serais sa femme. Si te mettre en couple était quelque chose que tu n’imaginais même pas il y a quelques mois, te marier était surement la chose la plus ridicule qu’il soit. Mais maintenant, tu ne voyais plus les choses de la même manière, parce qu’il y avait Warren. Il t’avait volé ton cœur depuis votre rencontre il y a des années de cela.. et aujourd’hui il te prenait aussi ta main. Alors ne dit rien, contente toi de m’aimer ! Je t’aime, Warren ! Je t’aime, je t’aime, je t’aime ! dis-tu en glissant tes mains de long de ses bras pour venir attraper les siennes. Tu donnes un coup de pied contre le bord pour te propulser vers le centre du bassin et tape deux fois de la main à la surface de l’eau. Jumper arrive immédiatement à vos côtés, fait rapidement le tour et saute par-dessus vous deux, laissant une fine pluie derrière lui. T’as profité de ce moment pour poser tes lèvres sur les siennes, les deux mains sur ses joues. A croire que tu devenais romantique, toi aussi…

On a tout le temps pour ça.. C'est vrai, que vous avez tout le temps pour ça. Tu te sens tout à coup si fort. Invincible. Magique. Mais rien de tout ça n'est vrai. Tu n'es que chanceux, rien de plus. Plus que chanceux, même. Vous avez tout le temps pour faire votre vie, maintenant. Jamais tu ne seras le copain - l'époux, étouffant, grotesque et chiant. Tu serais toujours celui qui prend soin de sa femme, pour l'aimer et le lui prouver, pour la protéger, sans jamais chercher à être omniprésent en permanence. Certains couples, voilà leur raison de rupture ou de divorce. Tu serais toi-même, et tu voulais, tu tenais à ce qu'elle reste elle-même. Après tout, c'est bien ça, ce truc unique qui t'avais fait tomber amoureux fou d'elle. Même toi, tu n'en reviens pas, de ta demande en mariage. Pourtant, bien qu'irréfléchie, elle reste magique, vraie, sincère. Tu n'avais rien planifié et puis... tant mieux ainsi. Alors ne dit rien, contente toi de m’aimer ! Je t’aime, Warren ! Je t’aime, je t’aime, je t’aime ! Tu fermes les yeux, prenant pleinement conscience de ces mots, si doux, si mélodieux à tes oreilles. Tu les apprécies, les chéris, profite de leur douceur. Tes lèvres s'étirent pour former un sourire heureux, un sourire radieux et satisfait d'avoir la chance de partager sa vie, maintenant jusqu'à la mort. En un rien de temps, y'a Jumper qui vous saute au-dessus, comme dans les films. En parlant de magie, en voilà la preuve. Olive, ta fiancée, elle t'embrasse, tes mains se glissent sous ses fesses, tu la retiens contre toi. On aurait dit que l'orque avait senti toute la passion qui vous submerge d'un coup, tout l'amour que vous éprouvez l'un pour l'autre. Tu l'aimes bien, cette petite - ou grosse, bête blanche et noire. "Alors je dirai rien, mais je te ferais bien des choses..", dis-tu pour plaisanter. Malgré ça, tes mains empoignent gentiment ses fesses, ses fesses qui sont tiennes aussi, hein (a). "Comme ça, tu t'attendais à ce que je sois romantique, ce soir? J'ai réussi mon coup?", demandes-tu pour la taquiner, te mordillant la lèvre inférieure en te remémorant la scène au McDonald, soudainement bien amusé, alors qu'il n'y avait rien d'amusant, tout à l'heure..

Les mains de Warren, ton fiancé, glissent sous tes fesses pour te retenir contre lui. Tes jambes s’enroulent contre sa taille. Tu l’aimes d’un amour démesuré, tu l’aimes d’un amour insoupçonnable. Tu l’aimes, un point c’est tout. Et ça te va bien comme ça. Comment avais-tu pu mettre autant de temps à admettre l’évidence, qu’il était l’homme de ta vie ? Alors je dirai rien, mais je te ferais bien des choses.. Et hop, il te tâta le derrière avant de rire de bon cœur. Surprise, tu l’accompagnes dans son rire communicatif. Avais-tu seulement été plus heureuse qu’aujourd’hui ? Tu sais que j’aime quand tu es démonstratif, comme ça. dis-tu en nichant ta tête contre son cou. Qu’il te touche, que tu le touches, qu’il se passe toute votre petite affaire.. t’aimais ça, t’adorais ça ! Comme ça, tu t'attendais à ce que je sois romantique, ce soir? J'ai réussi mon coup? Tes joues virent au rouge. Tu te remémores rapidement la scène que tu lui as faite devant le McDo parce que tout ça n’était pas romantique. T’avais même pris sur toi, t’étais partie de démaquiller, t’attacher les cheveux.. t’avais tout gâcher, finalement. J’m’étais foutue la pression j’crois. Trop même. J’voulais que tu m’trouves parfaite, sexy et féminine pour une fois. Skyler m’a aidé. D’ailleurs, j’crois bien que sa robe est fichue. J’m’étais préparée psychologiquement aux fleurs, aux chocolats, aux poèmes… tout ces trucs romantiques dont j’ai horreur habituellement. Du coup, j’suis tombée de haut quand.. McDo quoi. Et tu éclates de rire rien qu’en pensant à ça. Tu te sentais tellement ridicule maintenant que tu savais son plan. Si seulement tu avais su que tout ça était élaboré depuis le début.. Mais t’as réussi. Tout ça là, c’est dingue ! Ca a du te couter une fortune, Cooper. Je t’interdis de dépenser à nouveau autant d’argent pour moi, compris ? le menaces-tu de ton index, amusée.

Tu sais que j’aime quand tu es démonstratif, comme ça. Évidemment, tu sais qu'elle aime ça. Ça te rappelle tant d'anciens souvenirs, cet endroit. Jumper et le bassin, en Ohio, c'est la première fois où vous vous étiez embrassés. Rien que le bassin, eh bien... c'est là où tu avais pu l'admirer à moitié nue dans tes bras, par ta faute, lors de la Pool party. Quel délice ce fut. Sa tête dans ton cou, tu en profites pour jouer gentiment avec les courbes de son corps. Ses fesses, ses cuisses, ses hanches, son ventre... Tu l'aimes. "C'est parce que je sais que tu aimes le sentir contre toi." Petite coquine. Tu rigoles, alors que ta main termine son chemin dans ses cheveux, en ayant au préalable glissé le long de sa colonne vertébrale. J’m’étais foutue la pression j’crois. Trop même. J’voulais que tu m’trouves parfaite, sexy et féminine pour une fois. Skyler m’a aidé. D’ailleurs, j’crois bien que sa robe est fichue. J’m’étais préparée psychologiquement aux fleurs, aux chocolats, aux poèmes… tout ces trucs romantiques dont j’ai horreur habituellement. Du coup, j’suis tombée de haut quand.. McDo quoi. C'est un choc. Enfin, comprenez donc que.. Qu'elle ait voulu faire autant d'efforts pour toi, alors que tu n'aurais jamais vu aucun effort à mettre de sa part, ça te touche, ça te flatte. Elle est déjà belle, déjà parfaite, déjà féminine. Au moins, ce n'est pas la Cabot gniagnia énervante qui ne pense qu'à son apparence. Tout pour te combler. Et puis.. elle avait demandé de l'aide à Skyler? Vraiment? Pour la robe? Cette magnifique robe que tu voulais lui enlever depuis le début de la soirée? Ah.. Merci, Skyler! Tes lèvres se posent sur les siennes pour partager un bref baiser rempli d'amour. "Tu es déjà parfaite et diablement sexy, Livette. Mais en t'voyant jolie comme ça, tout à l'heure, on aurait dit que j'suis tombé amoureux de toi une deuxième fois.", dis-tu le sourire jusqu'aux oreilles. Mais t’as réussi. Tout ça là, c’est dingue ! Ca a du te couter une fortune, Cooper. Je t’interdis de dépenser à nouveau autant d’argent pour moi, compris ? Fier. Fier d'avoir réussi, finalement. De lui avoir plu. Que tout ça, ça lui plaise. C'était ça le cadeau, en premier. Pas la demande en mariage, mais le bassin, l'immense endroit avec Jumper que tu faisais bâtir il y a des semaines. T'avais dû tout planifier dans les moindres détails. Tu roules des yeux en regardant la ciel, ne pouvant dissimuler ce sourire niais et fier de sur ton visage. 'Tu pourras pas m'l'interdire, chérie. Si j'ai envie d'dépenser pour toi, alors j'le ferai. La prochaine fois, j'ferai construire un McDo, tiens.", murmures-tu, en plaisant. Puis tes mains retrouvent le confort agréable des fesses de ta copine. Tu commences doucement à relever la robe qu'elle porte, qui lui colle et lui moule tout le corps depuis qu'elle a sauté dans l'eau. Tes lèvres s'approchent de son oreille droite, que tu mordilles au passage. "Et pour ce qui est de la robe de Skyler... Elle ne sera vraiment fichue que lorsque je te l'aurai arrachée.." Quel vilain provocateur.