(Hot) Iris & Marc - Don't you dare touch me

   Désir, envie, attraction, ces seuls mots suffisaient à résumer la situation présente, nos langues continuèrent leur ballet indécent pendant un temps, jusqu’à ce qu’il ne rompe notre baiser et que je sente ses lèvres descendre sur mon corps. Il représentait un être emplit de fourberies, qui n’avait que pour unique mission de me faire céder et de me faire perdre le contrôle de mes sens, il représentait le fourbe n’hésitant pas à faire preuve de bassesse et de coups de traitre pour tromper mon mépris et me forcer à l’expression la plus viscérale de mon désir. C’est ce qu’il était pour moi alors que ses lèvres venaient se loger sur ma poitrine. Cet acte aussi fourbe que désirable m’arracha quelques frissons, trahissant mon excitation et mon envie, mes yeux n’exprimant qu’un désir que je ne pouvais pas refouler ne le quittaient pas et alors qu’il pouvait entendre un léger gémissement ma main vint se poser sur ses cheveux que j’emprisonnais entre mes doigts de façon très légère. Une de mes jambe remonta le long de la sienne, se frottant ainsi à elle pour venir se plier et se poser sur le bas de son dos, lui offrant ainsi une prison fragile.
   

La force et a légère accélération de mon souffle trahissaient mon envie à cet instant précis, je me mordillai légèrement la lèvre inférieur lorsque la sienne quitta la mienne alors que mes yeux emplis d’envie se baissaient sur lui pendant qu’il descendait sur ma poitrine. Je fus parcouru d’un frisson léger et subtile mais tellement agréable que mes mains se posèrent sur sa tête et serraient ses cheveux doucement. Je commençais à me tortiller doucement, bombant légèrement le buste et lui offrant complètement ma poitrine ainsi. Une de mes main quitta alors sa tête pour passer derrière mon dos tentant de détacher rapidement mon soutient gorge. Il prenait son temps, il prenait le temps de laisser l’envie monter en moi, il savait exactement comme s’y prendre et il y arrivait merveilleusement bien malheureusement.  Je bougeai légèrement le bassin alors qu’il était au-dessus de moi en m’arrangeant pour que nos centre de plaisir se frôle par moment, j’avais tellement envie de lui, même si je savais qu’au finale je finirais par avoir le même mépris pour lui qu’au début.