(Hot) Iris & Marc - Don't you dare touch me

Le fourbe ! Ce regard, ce sourire … il savait, il savait bien que ce regard qu’il me portait en ce moment même ne ferait qu’attiser mon attirance pour lui. Je sentis la chaleur au niveau de ma cuisse, il m’avait prévenu mais la surprise de cette sensation me fis sourire, amusée, pas un sourire faux et insolent comme à mon habitude, juste un sourire de surprise et sincère. Je baissais légèrement les yeux avec ce sourire sur mes lèvres avant de reprendre mon petit air insolent difficilement. Je levai à nouveau les yeux vers lui, détaillant son visage. Je commençais par regarder ses yeux, son regard intense, ses lèvres attirantes, je les imaginais contre les miennes et mon souffle se faisait légèrement plus bruyant. Le bout de mon index se mit à parcourir son visage doucement, en l’effleurant à peine, commençant par son front, avant de descendre sur le coin de ses yeux, puis son nez et enfin ses lèvres. Mon doigt dessinant lentement le contour de ses lèvres, alors que mes yeux ne le quittaient du regard, un regard qui trahit mon désir envers sa personne. Contrôle toi Iris, cette voix me harcelait presque, mais peu importe, c’était trop fort … comme essayer d’empêcher un aimant de coller au métal.

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Non mon regard n'était pas de cette intensité pour rien, je sais qu'elle me méprise, pas totalement mais assez pour en avoir vite marre de moi et me sortir des piques à chaque mot qui sortent de ses lèvres et je sais aussi que je peux la rendre folle, la faire craquer et c'est peut-être pour cela que je la regarde ainsi, que je lui fais ce fin sourire, je sais qu'elle a du mal à y résister. Je continue de masser sa cuisse, elle sourit en sentant cette vague de chaleur qui la submerge, c'est l'effet de la pommade puis je sentais son regard sur moi, son index qui frôle mon front, qui frôle le coin de mes yeux, qui frôle mon nez, elle me fait frisonner, et il finit par dessiner le contour de mes lèvres, je ne la lâchais pas du regard, mes deux mains quittaient sa cuisse, mon visage se rapprochait du sien, mes lèvres frôlaient les siennes, ma main venait se poser sur sa joue, l'attirance était trop forte, et je venais déposer un léger baiser sur ses lèvres qui me faisaient de l’œil depuis qu'on étaient arrivés ici.

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Il frôlait mes lèvres des siennes, mes yeux étaient baissés sur notre échange. Il vint alors déposer un léger baiser sur mes lèvres, je répondis à son baiser du bout des lèvres avant de d’éloigner mes lèvres des siennes sans pour autant rompre totalement le contacte. Mes lèvres effleuraient encore les siennes alors que je venais de rompre notre baiser, je les bougeais légèrement sur les siennes un léger sourire se dessinant sur celles-ci. Je posai ma main sur sa nuque que je caressais du bout des ongles descendant à la naissance de sa colonne vertébrale par moment. Nos lèvres se frôlant toujours, le bout de ma langue s’extirpa de mes lèvres pour venir caresser les siennes sans que je l’embrasse pour autant. Je le désirais, il le savait, il le sentait et je m’en voulais de le désirer autant. J’avais l’habitude d’être en colère juste après, de me sentir comme l’une de ses nombreuses conquêtes, il m’insupportais, lui et son air suffisant et pourtant … pourtant à cet instant précis le bout de ma langue frôlait ses lèvres, les parcourait lentement.

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Je venais de rapprocher mon visage du sien, mes lèvres frôlaient les siennes, quelques secondes avant que je finisse par les coller aux siennes et y déposer un léger baiser auquel elle répondait. Elle éloignait ses lèvres très légèrement, rompant ce contact, toujours frôlant mes lèvres, l'attirance était là plus que jamais, elle souriait, je souriais, je sentais une de ses mains se glisser dans ma nuque, frissonnant au contact de ses ongles sur ma peau, sa langue jouait avec le contour de mes lèvres, je gardais ce petit sourire avant de reprendre ce contact, pour un baiser plus langoureux où sa langue retrouvait la mienne pour une danse de quelques instant, on cédaient tous les deux, ma main quittait sa joue pour sa cuisse, la frôlant, mon autre main se posait sur sa taille.

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Je me prêtais volontiers au jeu que nos langues avaient entrepris, la mienne allant jouer avec la sienne, ma main se resserrant sur sa nuque j’exerce une légère pression dessus afin d’attirer encore plus son visage vers et de renforcer notre baiser. Un léger frisson me parcourt alors qu’il effleure ma cuisse et que son autre main se pose sur ma taille. Ma main libre vient se saisir de son haut, l’attirant brusquement, presque violemment vers moi pendant que mon autre jambe remonte le long de sienne. Ma main s’agrippe fortement au tissu de luxe qu’il porte, le froissant sans remord, mon souffle s’accélère légèrement et devient plus bruyant alors qu’il s’écrase contre sa peau pendant l’union que nous offre le baiser. Je savais ou ça nous mènerait, je savais que j’allais perdre le contrôle, le laisser jouer et troubler mes sens et pourtant je ne le repoussais pas, mon désir étant à la hauteur du mépris que je peux avoir pour lui. A ce moment précis rien n’aurait pu me retenir, il avait cette emprise sur moi, celle de me faire ignorer mes limites et de vouloir m’abandonner à lui.

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Il n'y avait plus de tensions, plus de sourires insolents, plus de piques, le péris avait fait place au désir, un désir qui se faisait entre nos lèvres qui s'unissent pour un baiser. Nos langues dansaient ensemble, pour un baiser des plus langoureux et particulièrement tendre, ce fut pendant un court instant puis que je la sentais me tirer un peu plus vers elle, appuyant sa main un peu plus contre ma nuque, son autre main agrippant mon t-shirt et tirait vers elle, tout était pour rendre ce baiser plus intense, et je n'étais vraiment pas contre, ses lèvres étaient devenu maintenant une véritable passion. Sa jambe remonte le long de la mienne, ma main sur sa cuisse glisse sur celle-ci et remonte lentement alors que je sens son souffle se faire plus intense et bruyant contre mes lèvres quand je rompt ce baiser, mon front contre le sien, je me perd dans son regard en portant mes mains à la base de son leggings, je agrippais et c'est avec un petit sourire des plus coquins que je le tirais pour qu'il rejoigne ses chevilles.

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Mon front était collé au sien, mes yeux plongés dans les siens, il souriant et à cet instant j’aimais le voir sourire. Je restai dans cette position mon front collé contre le sien quelques instants jusqu’à ce qu’il décide d’agripper mon leggings et de le faire descendre jusqu’à cheville, je levai légèrement les fesses pour l’y aider. Alors qu’il s’y attelait mon front quittait le sien, mon nez se mit à parcourir sa joue humant son odeur, me délectant de celle-ci jusqu’à ce que mon visage aille se loger de son cou ou je commençai à déposer de légers baisers qui se firent de plus en plus explicites à mesure que je lui faisais sentir ma langue sur sa peau. Ma main quittait son haut pour se glisser sous celui-ci, je le faisais remonter le caressant à même la peau, je lui mordillai doucement la peau du cou avant de le quitter et de venir déposer des baisers sur son ventre, son torse, son buste au fur et à mesure que je faisais remonter son t-shirt jusqu’à l’enlever complètement.

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Nos front se touchaient, nos regards se mélangeaient, je ne ressentais plus cette tension qu'il y avait chaque fois entre nous, elle venait de changer du tout au tout, finit ses sourires insolents, ils étaient sincères, fini ses regards hautains, ils étaient intenses, nos lèvre ne faisaient plus qu'un. Mes mains attrapait les bord de son leggings pour le tirer jusqu'à ses chevilles, elle m'aide levant ses fesses au passage, je garde mon petit sourire alors que ses lèvres venaient se loger dans mon cou, je frissonnais à chaque contact de celles-ci sur ma peau, sa langue qui glissait sur mon cou, ses mains sous mon t-shirt frôlant les parcelles de mon torse jusqu'à agripper le bout de tissus en remontant ses mains et me l'enlever pour qu'il rejoigne le sol. Depuisi qu'on étaient là, elle s'était assise sur la table mais je me collais à elle, sans quitter ses lèvres, elle s'allongeait sur la table, moi sur elle et sa petit veste et son débardeur rejoignait très vite mon t-shirt au sol.

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Je le laissai m’allonger sur la table, mais qu’est-ce que je fais ? Je n’allais pas lui céder, non je ne pouvais le laisser tourmenter mes sens. Il est hautain, prétentieux, égocentrique, vantard, sûr de lui, égoïste, narcissique, jaloux, je savais tout ça en cet instant précis mais pourtant je ne tenais compte que d’une seule de ses caractéristiques en ce moment, il était incroyablement sexy, il m’attirait tant que ça en devenait indécent, criminel, si bien que même en connaissant sa personne, ses défauts et tout ce que je peux mépriser chez lui, je ne ressentais que du désir pour lui en ce moment. Mes lèvres quittèrent son cou alors qu’il m’allongeait pour venir se lier au sienne, je les mordillais, je m’en délectais, ma langue venant forcer ses lèvres pour les pénétrer et venir entretenir avec la sienne un ballet aussi indécent qu’intime et intense. Il m’avait débarrassé de mon haut et de ma veste et mes mains venaient effleurer son bas ventre, le bout de mes doigts pensant par moment furtivement sous son bas, sans que je ne l’enlève pour autant.

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Toutes les tensions s'étaient envolées, il ne restait plus qu'une attirance, un désir qui prenait possession de tout. Nos lèvres étaient liés, nos langues dansaient sensuellement, langoureusement, c'était presque difficile de rompre ce contact mais me j'y forçais pour l'allonger sur la table, reprenant aussitôt ce contact auquel je ne peux résister. Mes mains s'agitent pour lui enlever sa veste et son débardeur, ne la laissant plus que dans ce soutif des plus excitant, relevant sa poitrine de rêve, je souriais alors que mes lèvres désormais quitter ses lèvres pour embrasser sa poitrine, j'avais tellement envie d'elle en ce moment que c'était dur de ne pas directement passer à l'étape la plus intéressant, d'entrer dans le vif du sujet mais avec elle j'ai toujours pris mon temps.

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