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(Hot) Iris & Marc - Don't you dare touch me

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   Il était tôt assez tôt pour qu’il n’y ait pas grand monde au complexe, je m’étais diriger vers le stade, je commencerais par là avant d’aller faire un tour à la piscine.  Si je manageais mon temps correctement je devrais avoir le temps de faire 2h de sport avant mon premier cours, de quoi bien commencer ma journée. Je n’avais pas beaucoup dormi cette nuit, entre les devoirs à remettre, les questions existentielles et les péripéties familiales j’avais de quoi m’occuper. J’entrais donc dans les vestiaires commençant à me changer, j’en profitais pour relire mes cours en même temps, alors que je rangeais rapidement mon casier. Je portais juste un leggings plutôt moulant, un haut simple de sport par-dessus lequel j’avais mis mon blouson que j’avais pris soin de refermer. Il ne faisait pas chaud dehors mais j’avais appris à apprécier ces quelques minutes de labeur dans le froid.

Je sortis activement des vestiaires avant de poser mon sac dans les gradins et de commencer quelques échauffements. C’est parti ! Je commençais à monter et descendre dans les gradins accélérant peu à peu le rythme, je me mettais à penser, penser à ma famille à mes récentes découvertes, à la disparition de Joshua et plus j’y pensais plus ça me mettait hors de moi. J’accélérais de plus en plus, me défoulant, n’écoutant pas les limites de mon corps, j’étais en colère tellement en colère que rien n’aurait pu me calmer à ce moment. Mes pieds descendent et remontent les marches des gradins beaucoup trop vite pour l’échauffement que je me suis infligée. L’inévitable arriva, une douleur vive à l’arrière de la cuisse, qui me coupa presque le souffle et je m’effondre dans les gradins tombant maladroitement sur mon bras. « Et merde ! » je marmonne et grimace légèrement sous la douleur alors que je me redresse difficilement pour évaluer l’importance des dégâts.

Plus de peur que de mal visiblement, je n’ai rien de cassé mais la douleur à ma cuisse est toujours présente et je devrais m’en sortir avec quelques bleus sur le bras. Je pousse un long soupire et scrute les alentours, il n’y a … mais oui, il y a quelqu’un, j’aperçois une silhouette sur la pelouse marchant vers moi. Oh non, pas lui sur tous les mecs qui pouvaient être là à cette heure-ci il fallait que je tombe sur monsieur le tombeur de ces dames. Je lui souris faussement et de façon insolente alors qu’il s’approchait de moi « Il fallait que je tombe sur le coq de la basse court, ma journée va décidément être pourrie ». Sérieusement ! Il fallait que je tombe sur lui, ce type m’attire autant qu’il m’insupporte et s’il y a une chose que je déteste c’est perdre … et ce serait perdre pour moi que de succomber à ses charmes.
   
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Aujourd'hui j'avais décidé de faire un petit footing et pas dans la ville non, plutôt au complexe, autour du stade, me défouler, faire de l'endurance, puis le cardio était toujours bon pour le football américain. Ça faisait déjà environ vingt minutes que je cours et je vois au loin, à monter et descendre les gradins, Iris, elle se défoule aussi et j'ai un petit sourire aux lèvres, avec cette fille c'est chaud comme froid, et plutôt chaud sous les draps si vous voulez mon avis. Enfin bref, je décide d'arrêter mon footing quand je la vois s'écrouler dans les gradins, je marche vers elle et arriver à sa hauteur, je reçois sa plus grande sympathie à mon égard sort de ses lèvres Et moi sur la poule qui sait plus marcher. je lâchais un petit rire avant de m'accroupir pour voir sa cuisse Mais c'est que t'as une belle crampe à la cuisse dis-donc. je souriais levant les yeux vers elle Tu veux de mon aide ou le coq de la basse court retourne courir ? demandais-je.
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   Je fis une mimique râleuse alors qu’il s’accroupissait pour jeter un coup d’œil à ma jambe, je le suivais des yeux dans son geste, le détaillant, me délectant malgré moi de son physique si attrayant. A sa question je poussai un long soupire, ennuyée par le fait qu’à ce moment précis j’eus besoin de lui. « Le coq de la basse-cour peut surtout aller se faire voir »  allons Iris, fait un effort tu ne vas pas te trainer jusqu’à l’infirmerie, je forçai un léger sourire « désolée, la douleur tout ça … enfin tu vois, ça me fait dire des trucs qui devraient rester dans ma tête »  Le mot "désolée" manqua de m’écorcher les lèvres lorsqu’il en sorti, m’excuser auprès de lui … auprès de monsieur le tombeur irrésistible dépassait mes compétences et demandait chez moi, un effort considérable. Je devais quand même avouer, que les quelques fois ou je m’étais laisser prendre par ses charmes étaient … mémorables, pour rester dans le politiquement correcte.

Je lui fis un sourire insolent au possible avant de lui dire d’une petite voix « le coq de la basse-cour peux m’accompagner à l’infirmerie ? L’idée de pouvoir se faire l’infirmière devrait le motiver » Je me moquais clairement de lui et de sa tendance à se la tremper un peu partout, il était tellement confiant et honnêtement il avait de quoi avec ce physique.  Je le fixais alors attendant sa réponse, le même sourire insolent sur mes lèvres.
   
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Je sais qu'elle n'est pas spécialement ravi de me voir, oh j'aurais très bien pu ne pas venir vers elle et continuer mon footing mais la voir s'écrouler au sol en grimaçant, comment dire, j'allais pas la laisser comme ça, je suis venu vers elle, prenant sur moi ses mots froids et peu sympathiques, je scrutais de plus près sa cuisse, elle s'était fait une belle crampe, son muscle était tout contracté, trop forcer pour se défouler n'est pas forcément la meilleure solution, la preuve. Je lui proposais moi aide mais j'aurais du me douter qu'elle irait m'envoyer chier, au final elle revenait sur ses mots, s'excusant, un effort qui lui avait écorché la bouche je suis sur mais bon, je souriais J'en prends compte. dis-je, elle me proposait à son tour que je l'emmène à l'infirmerie avec en fin de phrase une remarque qui laissait ce sourire sur mes lèvres Je vais pas te laisser ici, je t'emmène là-bas, et pour l'infirmière je sais pas encore. je l'aidais à se relever, elle s'appuyait sur moi et nous voilà parti quittant les gradins pour aller à l’infirmerie.
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   Je m’appuyais sur lui pendant la route jusqu’à l’infirmerie essayant de forcer le moins possible sur ma cuisse encore douloureuse. Qui aurait pu deviner que je serais dans cette situation, me reposant sur Marc. Il y avait ce petit truc inexplicable entre nous, on ne pouvait pas se voir la plupart du temps, on ne pouvait tout simplement pas se supporter et pour être honnête le seul fait de voir son petit sourire charmeur me donnait envie lui balancer une paire de claque. Et pourtant … pourtant je me sentais attirer par lui, pourtant son charme opérait sur moi et je détestais ça, je détestais le fait qu’il puisse me plaire et encore plus le fait que je puisse céder. Je levai les yeux, quelques fois vers lui alors que nous marchions vers l’infirmerie « J’étais étonnée de te voir courir ce matin … j’ignorais que tu faisais autre chose que de courir les jupons pour te maintenir en forme ». Je sais, je sais, je devrais peut être arrêté de lui lancer des piques comme ça, mais c’est plus fort que moi, je ne peux absolument pas m’en empêcher. Au final je n’arrivais à m’exprimer à lui que sur le ton de la moquerie, du mépris et de l’insolence, il le savait et ça avait toujours été ainsi, c’était l’une des raisons pour laquelle notre relation était si étrange. Nous arrivions alors à l’infirmerie et je scrutais les environs, m’appuyant toujours sur lui.
   
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Au final elle acceptait mon aide, elle a beau me lancer des tonnes de piques, elle peut me remercier d'avoir été dans les parages quand elle s'est fait cette crampe, c'est le genre de blessures à soigner rapidement sinon ça peut empirer et je sais de quoi je parle, je suis pas en sixième année de médecine pour rien. Elle s'appuie sur moi, évitant de trop poser sa jambe au sol pendant le trajet à l'infirmerie, et je souriais faiblement avançant à ses cotés la soutenant alors qu'elle venait de lancer une remarque toujours aussi insolente et piquante, mais je suis habitué avec elle, ça me passe au-dessus maintenant Je peux aussi me maintenir en forme par un jogging. Certes le sexe est vital mais pas absolument essentiel pour me maintenir en forme, le sport aussi compte. je lâchais un petit rire puis quelques minutes après environ nous arrivions à l'infirmerie, il n'y avait personne, pas d'infirmière, bon je vais devoir user de mes talents en médecine pour qu'elle se sente mieux Je sais pas où est l'infirmière mais on doit soigner ta crampe au plus vite, crois moi. je l'aidais à s'asseoir sur la table d'observation, à elle de voir si elle veut que je la soigne ou si elle préfère attendre l'infirmière qui reviendra je ne sais quand.
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   L’infirmière n’était pas là, est ce que c’était une putain de blague ?! Dieu avait vraiment décidé de tester ma patience et ma force de conviction aujourd’hui. Sérieusement, entre la blessure, le fait que je tombe comme par hasard sur Marc, qu’il m’emmène à l’infirmerie et qu’en plus par-dessous tout l’infirmière décide de se barrer juste à ce moment-là … Je me mis à rire intérieurement, je ne suis pas aimé de dieu c’est décidé et il a vraiment décidé de me tester aujourd’hui. Je le laissais m’aider à m’installer sur la table « tu ne comptes pas t’énerver avec toutes les piques que je te lance ? Je t’avoue que ça illuminerait ma journée de t’avoir emmerdé ne serait-ce qu’un tout petit peu » Je lui fis un franc sourire avant de baisser les yeux vers ma cuisse, en dehors du fait que je ne le supportais pas, je suppose qu’il savait de quoi il parlait, et qu’il vaudrait mieux que je le laisse faire au lieu d’attendre que ça s’aggrave peut être. Je relevai les yeux vers lui et lui fis un sourire un coin, un de ces sourires dont il était habitué de ma part, un sourire qui n’était ni doux ni complice mais clairement moqueur et provocateur « Tu ne vas pas en profiter pour me tuer dis-moi ? Non pas que je ne te fasse pas confiance mais … » je secouai légèrement la tête avant de sourire un peu plus « ouais c’est ça en fait je ne te fais pas confiance » Pourtant malgré mes mots déplacés j’étais disposée à le laisser me soigner, je lui montrais alors ma cuisse d’un léger mouvement de la main, signe qu’il pouvait y aller.
   
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On venaient d'arriver à l'infirmerie et il semblait que l'infirmière ne soit pas présente, ça ne ravissait pas Iris, qui aurait préféré que je la quitte pour la laisser entre les mains de l'infirmière mais à croire qu'elle va devoir encore me supporter quelques instants de plus, le temps que je m'occupe de sa blessure. Je l'aidais à s'installer sur la table puis a remarque me fit lâcher un fin sourire Depuis le temps tu sais, j'ai compris que tu me portais pas dans ton cœur. mais bon toi et moi on continuaient à se voir et se parler parce que je t'attires autant que tu me détestes et tu m'attires autant que toutes ces envies de t'en coller une. Et alors que je lui disais qu'il fallait mieux que je soigne sa blessure, plutôt qu'elle attende que l'infirmière revienne, les risques pour que ça s'aggrave seraient plus important, elle n'est pas fan du tout et elle ne me faisait clairement pas confiance Tu peux penser en mal de moi mais de là à penser que je puisse te tuer, t'abuses un peu et question de confiance ou pas, faut que soigner ça rapidement donc laisse moi faire. lui dis-je, finalement elle revenait sur ses propos pour me montrer sa cuisse et m'autoriser à la soigner, je prenais un spray refroidissant que je laissais agir sur sa cuisse, histoire que le sang évite de coaguler et que la blessure ne s'aggrave puis je passais de la pommade spéciale pour tout ce qui était contractures musculaires, je l'étalais sur sa cuisse en y allant doucement histoire qu'elle n'est pas trop mal T'as pas trop mal ça va ? lui demandais-je, continuant de masser sa cuisse avec cette pommade.
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Je posai deux doigts au-dessous de son menton afin de lui relever légèrement la tête pour qu’il puisse me regarder, je souriais toujours de la même façon et je penchais alors ma tête légèrement sur le côté « Ça va chaton je rigolais  … » mon ton gardait toujours cette même insolence avec un côté légèrement joueur et amusé. Attention Iris, contact  beaucoup trop ambiguë et beaucoup trop proche, il serait mieux d’éviter ce genre de dérapage, alors que l’infirmerie est vide. J’enlevai alors mes deux doigts du dessous de son menton avant de baisser mes yeux vers ma cuisse, l’air de rien, alors qu’il la massait avec précaution. Ce n’était pas douloureux à outrance et même si ça ne me plaisait pas vraiment, je devais avouer qu’il savait s’y prendre. Je me pinçais légèrement les lèvres pendant qu’il continuait son massage, une façon pour moi d’éviter de sourire et de lui montrer qu’en ce moment il m’attirait terriblement. « Non je n’ai pas mal, c’est étonnant venant de toi ! » évidemment je mentais, ce n’étais pas étonnant mais, que voulez-vous je ne peux pouvais pas lui avouer que ce moment m’étais agréable. Je m’amusais à le regarder de temps à autres de façon furtive et discrète, autant être honnête avec moi-même, il avait un effet sur moi et je détestais ça autant que c’était incontrôlable et intense.
   
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Je sentais deux de ses doigts se poser sous mon mentons pour relever ma tête après avoir répondu à sa petite remarque rempli de piques, j'étais habitué de toute façon à ce qu'elle m'en mette plein la gueule, au début certes je lui répondais, mais maintenant ça me passe au-dessus, elle me dit qu'elle rigolait, me souriant toujours de cette façon insolente et je la regardais Si tu le dis. dis-je alors que ses doigts quittaient mon menton. Je m'occupe du mieux que je pouvais de sa cuisse, appliquant d'abord un spray puis une pommade pour masser sa cuisse sans trop forcer dessus, mes yeux restais concentrer sur sa cuisse alors que j'avais ce pressentiment que les siens me fixaient par moment, quoiqu'il en soi je m'appliquais, j'ai toujours était méticuleux et assidu dans tout ce que je faisais et c'est pas aujourd'hui que je vais déroger à mes principes. Au moins je sais te surprendre. un sourire s'affichait sur mes lèvres alors que je continuais à masser sa cuisse Je te préviens tu va sentir une vague de chaleur au niveau de ta cuisse, c'est normal, c'est la pommade qui agit, après tu sentiras une vague de froid, faudra pas t’inquiéter, faut laisser le temps à la pommade de pénétrer ta peau. mes yeux se portaient sur elle avec ce regard et ce faible sourire qui l'ont tant de foi fait craquer.
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