Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityare you feeling good? | ft. skyler - Page 2
Le Deal du moment :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 ...
Voir le deal
29.99 €


are you feeling good? | ft. skyler

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Attention Markov. Tu vas choper la galle à trop m’approcher comme ça. Ok. Mais elle voulait quoi, en fait? Elle était pas contente, qu'tu t'approches autant d'elle que ça? Si elle continuait à être aussi compliquée, tu t'énerverais, puis tu disparaîtrais comme t'étais apparu en premier lui. Tu n'aurais pas dû lui apporter du café, mais bien une bouteille de vodka, quoi. Elle serait plus clémente à tes approches. Des approches que tu ne fais que parce qu'elle a quelque chose que tu veux, dans un endroit qui te plaît : ses seins, quoi. Qu'elle ne s'imagine pas que tu veux plonger ton nez, ou tes mains là, parce qu'il s'agit d'elle. Tu aurais fait pareil avec n'importe quelle femme accessible et déprimée. Celles qui sont en peine d'amour sont toujours plus fragiles d'esprit, il faut dire... Et elle te semblait l'être. Mais tu restais son agent, putain. Bon.. normal que tu veuilles voir ces textes, non? "J'attraperai la galle, mais au moins j'sentirai la menthe. Chut.", dis-tu en maugréant, alors que tes doigts sont sur ses cuisses dénudées. De belles cuisses, hein. "J'fais pas les choses qu'à moitié. Tu ne l'as jamais appris, ça?" Le truc, c'est que c'était vrai. Tu lui souris en coin. Elle remonte tes mains au niveau de ses hanches, juste un peu en bas. Tu prends appui. Ta tête se penche vers sa poitrine, ta respiration chaude doit se ressentir contre sa peau. C'est l'appel du corps, l'appel de la peau douce d'une femme. "Depuis que j'ai mes responsabilités envers mes employés.", dis-tu sèchement. Tu hésites à aller là. L'une de tes mains sur sa hanche remonte. Jusqu'à atteindre le tissu de son débardeur. Tes doigts glissent sous celui-ci, remontant contre sa peau, son ventre juste assez musclé. Tu le sens, c'est assez palpable. Tu souris en coin, fier de ton cou, comme si tu lui prouvais que tu ne mentais pas, quelques instants plus tôt. Et que tu irais chercher ton dû. Ta main curieuse atteint son soutif. Tu remontes les yeux vers les siens, tu la fixes, comme ta main empoigne avec fermeté sa poitrine. Bah quoi, il faut palper, pour trouver où se trouve le morceau de papier. À un moment, tu le trouves. Et tout fier, tu l'extirpes de son soutif, le passant sous son débardeur, pour le sortir à l'air frais, sous tes yeux. "Voilà. Maintenant, je peux lire." Et tu te recules, retournant à l'endroit où tu te trouvais quelques instants plus tôt, afin de lire ses textes. Ha-ha.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 are you feeling good?
SKYLER & VIKTOR

Ce mec me fascine quand même un peu.  Même carrément j’l’avoue. Il est mystérieux, sexy et inaccessible. J’adore tellement ça enfaîte. C’est quand même relativement chiant de devoir ramer pour pénétrer la coquille de quelqu’un mais je crois que quand s’est fait… c’est magique. Enfin je m’égare. J’suis juste là avec mon « patron », ses mains sur mes cuisses dénudées. Un frisson m’a parcouru le corps, j’ai pensé ma lèvre inférieur en sentant sa main mains passer sous mon débardeur pour rejoindre mon sous vêtement. J’ai rien dit, j’lai juste regarder faire. Ho j’pourrais très bien me débattre. Genre essayer de faire en sorte qu’il n’atteigne pas mes seins aussi rapidement. Mais j’suis comme bloquée. Charmée par son regard marron foncé, profond, puissant. Sa main qui se balade sur ma poitrine, son visage tout près de celle ci.. J’ai tellement l’envie irrésistible de lui sauter dessus à cet instant. Mais no.. J’dois me contrôler.. Faut que je me contrôle. J’peux pas lui sauter dessus et lui arracher ses fringues comme j’en rêve juste à l’instant. J’ai de la chance d’avoir un patron aussi pris par ses responsabilités alors ! Finalement il a réussi à attraper le morceau de papier dissimulé, il s’est retiré pour de nouveau s’écarter bien trop loin de moi. Déjà ? Non.. La j’voulais carrément plus. Arrache mes fringues. Si tu veux même j’me les arraches toute seule.. C’est fini j’le verrais plus pareil maintenant. Il a déplié le papier presque tout chiffonné, gravé à l’encre de quelques phrases qui forment une chanson. C’est mauvais j’sais. T’as le droit d’me virer après ça ! Surtout le fait pas.. ! Ho non putain. J’veux que ses mains reviennent se balader sur ma peau toute bouillante d’excitation. N’empêche que.. Si c’est comme ça j’vais dissimuler tous mes textes sur moi pour que tu viennes les chercher hein ! Il aura fallu juste une main baladeuse sur mon corps tout timide pour que ma vision change. Non maintenant j’le jure, j’vais louper plus souvent des aprèm aux studios. Non mais maintenant que je sais qu’il est capable d’autant de chose dans sa p’tite carapace.. Mais j’vais pas m’en priver. J’me suis levée en prenant le gobelet de café à moitié vide qu’il ma donné tout à l’heure. J’me suis mise juste devant lui en me baissant exagérément, mon shorty qui remonte généreusement le long de mes fesses. J’ai posé mon gobelet sur la table, l’air de rien. J’reviens j’vais dissimuler les autres entre mes deux fesses, peut être que avec un peu de chance t’ira les chercher elles aussi. J’me suis marrée toute seule.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’ai de la chance d’avoir un patron aussi pris par ses responsabilités alors ! Évidemment, qu'elle en a, de la chance. Toutes n'ont pas cette réjouissance de pouvoir côtoyer un homme aussi beau gosse, fort, intelligent et sensuel que tu peux l'être. Enfin, la sensualité, tu ne l'utilises que dans les moments comme ceux-ci. Dans des moments où ton charme viril est de mise. Tu avais déjà pensé la mettre dans ton lit, la Skyler. Plus d'une fois. Tu n'as pas les hormones d'un mec pour rien. Tu n'as pas une queue entre les jambes pour rien, non plus. Elle doit te servir à quelque chose, et pas pendouiller dans le vide, toute molle, pendant des semaines et des mois. Tu dois t'en servir. Oh, et tu sais t'en servir. Mais tu t'abstenais, puisque les relations professionnelles dans le genre, il était nécessaire de s'abstenir. Ton père t'avait fait part de ce conseils juste un peu avant ton départ pour Yale. Bah? Tu te changeais en homme, en vrai, à l'époque. Depuis longtemps déjà, tu connaissais les joies, les plaisirs, les bonheurs d'une partie de jambe en l'air. Avec les années, t'avais pris de l'expérience. Maintenant, tu étais non seulement un apollon, mais un dieu du sexe, aussi. Un dieu de la sensualité, de l'envie, de la maîtrise de soi, de la provocation. Skyler était ta proie, elle était ta victime. Pauvre victime affaiblie par ses émotions. Et tu profitais. Un peu, du moins. Surtout au niveau de la provocation. Tu as réussi à obtenir ton gain. Le papier tout chiffonné entre tes mains, tu poses tes yeux dessus, t'attardant sur les mots qui la recouvrent. Tu es de marbre, sans aucune expression sur ton visage. Tu l'écoutes parler à côté de toi, un très léger, presque invisible sourire se dessine sur ses lèvres. S'il fallait que tu ailles chercher ses papiers mystères comme ça chaque fois, tu n'hésiterais pas. Mais ce ne serait toujours que pour les voir. Que pour les gagner. Que pour la provoquer. Et tu la sentais faiblir. Tu sentais son regard sur toi, alors que tes yeux parcouraient la dernière phrase de son texte, son regard envieux, excité, et pressé. Tu lui faisais de l'effet. Comme à n'importe quelle femme, cela va de soi. "Et pourquoi tu ferais ça?", demandes-tu, l'air très sérieux. "Pourquoi dis-tu que c'est mauvais? Ça ferait un succès, si tu l'publiais. Si tu l'chantais." Il faut changer de répertoire, parfois. Et ça, c'était de la bombe. Tu replies le papier en quatre pour le mettre dans tes poches de jean. Un jean propre, toujours. Tu ne la laisserais pas le reprendre, de peur qu'elle le jette, le déchire, ou tu n'sais quoi encore. La fille, elle s'lève du canapé, alors qu'elle s'y morfondais quelques instants plus tôt encore. Tu l'observes du coin de l'oeil, te demandant ce qu'elle compte bien faire en attrapant son gobelet de café. Uhm.. Elle se penche dos à toi. Tu as une vue plongeant sur ses fesses. Des belles fesses musclées de femme. Miam. Tu restes pourtant sans expression, comme toujours. Sa dernière réplique te fait marrer. Ah... "Je ne compterais pas là-dessus.", souffles-tu en arquant un sourcil. Elle croyait vraiment qu'ça fonctionnerait? Ce n'était que la spontanéité, tout à l'heure, hein. Bien que ce fut plaisant, de caresser sa peau. "Là, j'saurai que tu fais exprès. Et j'me donnerai pas autant de mal." Tu t'lèves alors, comme pour changer de position, comme pour changer d'air. Tu fais quelques pas pour t'éloigner de la demoiselle. Ce n'est pas une bonne idée. "Vraiment, Skyler. J'vois pas pourquoi t'aurais honte de ce que tu as écrit..", lâches-tu, pour revenir sur une conversation plus...professionnelle.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 are you feeling good?
SKYLER & VIKTOR

J’ai pas couché avec beaucoup de mec dans ma vie non.. Elio. Qui lui a été ma toute première fois.. Mais j’étais bourré.. Totalement liquidé et j’en garde qu’un mince souvenir. Ensuite ca a été Konrad.. Alors lui. Il m’a fait découvrir tant de chose.. Je peine encore à penser à mon pauvre corps par moment.. Mais qu’est ce que c‘était bon quoi.. C’est Sheffield quoi.. Il a de l’expérience au lit, a on va pas le cacher mais.. Ca à toujours manqué de sensualité, de.. Quelque chose quoi. Un truc qui me fasse vibrer comme je n’ai jamais vibré. Il n’a jamais réussi à me débloquer e petit manque, impossible d’atteindre l’apogée suprême je crois. Avec Viktor.. J’ai ressentis quelques chose d’étrange, un frisson, d’excitation, d’envie.. Et pourtant j’ai réussis à me contrôler, je ne lui ai pas sauté dessus comme j’aurais très bien pu faire. C’était comme ca avant.. J’veux dire avec mon ex. On prenait pas le temps de se chercher, on se sautait dessus sans scrupule en pensant que tout ce qui est aussi sauvage et bien meilleur. Il a seulement suffit d’un p’tit bout de papier dans mes seins pour que je découvre une nouvelle sensation alors.. J’ai surement tant de chose à apprendre du coup. Je me suis redressée, un peu sonnée et agréablement surprise par tout ça. C’est donc ça sous la carapace d’un mur ? Quelque chose de spéciale… ? M’enfin peut être que je m’emballe un peu trop.. Après tout j’suis dans une phase de dépression.. J’pourrais sauter sur tout ce qui bouge pour me venger de la vie alors.. J’suis peut être un peu trop à fleur de peau là. J’ai pas envie de chanter devant des millions de gens que j’suis faible à ce point. Ca c’est bien quelque chose que je veux cacher oui. Le fait que j’sois faible, que j’ai un p’tit cœur brisé en ce moment.. Que j’ai été touché après avoir baissé ma garde avec Konrad. J’vais passer pour p’tit cœur sensible déprimé quoi. Qu’elle honte. Finalement l’idée de planquer quelques choses dans mes fesses ne fait pas autant d’effet pourtant.. C’est pas comme si je venais de lui exposer juste sous le nez, mon beau p’tit cul. Il s’est éloigné, et c’est pas vraiment choqué de cette réaction de sa part que j’arrive à le regarder un peu perplexe. C’est pas moi ça. Si peut être enfaîte.. La vraie Skyler finalement c’est cette meuf, douce, délicate, sensible.. Qui a besoin qu’on s’occupe d’elle en lui donnant quelque chose de fort. Mais j’veux pas être comme toutes ces stars qui montrent leur peine de cœur façons r’n’b mielleux. J’ai croisé les bras sous ma poitrine. En même temps j’ai réussi à rien écrire d’autre.. J’ai levé les yeux aux ciels, me tournant de dos à lui pour jeter un coup d’œil par la fenêtre. J’suis désolé Markov. J’suis pas à la hauteur en ce moment et j’pense que j’le serais plus avant.. Avant d’avoir trouver de quoi me remettre d’aplomb.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’ai pas envie de chanter devant des millions de gens que j’suis faible à ce point. Tes yeux, montrant ton exaspération, ton incompréhension, partent dans une longue exploration du plafond de son chez-elle. Ouais, vous l'aurez compris : tu roulais des yeux, assez clairement pour lui montrer qu'elle avait tord de penser ainsi. "Tu crois quoi? Que les grands chanteurs et chanteuses chantent que des mélodies du bonheur? Non.Ils vont tous puiser dans leurs démons, parfois." Tes yeux se reposent enfin sur sa silhouette élancée. Elle n'est pas grande, mais pas petit non plus. Tu préférais ses cheveux bruns et longs, mais sa nouvelle coiffure lui va bien, également. Pourquoi a-t-elle si peur de passer pour un coeur déprimé, comme elle vient de t'avouer? C'qu'il faut pour réussir, c'est de sortir d'un peu tous les répertoires, de se sortir soi-même de sa zone de confort, et tu es prêt à la soutenir, pour ça. Tu es prêt à la suivre, puisque tu es son agent, et que tu crois en son talent. Tu pousses un soupir. C'est pas elle... Tu le na connais pas assez, personnellement parlant, pour dire si elle a tord ou raison sur ce point. La seule chose que tu sais pour le moment, ou plutôt les deux seules choses dont tu as connaissance à l'instant, c'est de un : qu'elle n'est pas dans son état normal. De deux, son texte est délicieusement bon et agréable à lire. Alors, à entendre, tu ne doutes même pas du succès. Tu as repris tes distances, sagement, tu l'observes, tu es droit comme un piquet, les deux pieds ancrés au sol de son duplex. C'est silence. Un gros silence, alors que tu t'repasses en tête l'image de ses jolies petites fesses, cachées par son shorty. Miam. Mais non. C'est tout. J’suis désolé Markov. J’suis pas à la hauteur en ce moment et j’pense que j’le serais plus avant.. Avant d’avoir trouver de quoi me remettre d’aplomb. Tu réagis alors à ses dires. Elle est pas à la hauteur? C't'une déprimée, pour l'instant, normal qu'elle dise ça. Et ça t'fait chier, ça t'enrage. "Putain, Skyler. Ton mec, il reviendra pas vers toi. Alors compte même pas là-dessus pour que ça t'remette d'aplomb? T'as besoin de quoi? De baiser? Tu veux quoi? D'l'amour, des roses, des chocolats? Tu vas faire quoi? Gambader dans les champs, une fois que ça t'aura remis d'aplomb? La vie est comme ça. Faut que tu te remettes sur tes deux pieds, et qu'tu fasses ce que t'as à faire, merde. Et j'parle pas que de la musique.", dis-tu en te rapprochant dangereusement d'elle, un peu comme tout à l'heure, jusqu'à la coincer entre ton corps et le mur. Tu plonges ton regard sévère, presque en colère dans le sien. C'est qu'elle t'a un peu énervée, avec ses gniagnia de fille triste, même si ça arrive à tout l'monde, la peine. Les peines d'amour? Tu n'sais pas, t'as jamais connu. Mais bordel... "Si t'es prête à bosser dur, Skyler, y'a tout, vraiment tout qui peut marcher pour toi. Dis-moi. Dis-moi c'qui te remettrait d'aplomb, et j'vais te l'acheter, j'vais te le construire, j'vais te le louer, j'vais te le donner, j'sais pas. Dis-moi." Parce que Skyler, c'était l'un de tes meilleurs talents dans cette boîte que t'avais ouverte y'a quelques années, juste un peu après ton arrivée sur le campus. Donc compte même pas la perdre, car l'agence ne ferait pas longue vie longtemps encore, après ça. Enfin... à peu près, ça ressemblerait à ça.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 are you feeling good?
SKYLER & VIKTOR

J’étais faible avant. On se moquait de moi. On m’insulter parce que je n’étais pas comme les autres. J’étais un peu plus costaud que les autres niveaux morphologie. J’ia longtemps été insulté de victime. La fille qui disait rien, qui faisait rien. Qui se laissait insulter, qui pleurait toute seule. La fille qui était amoureuse du plus beau garçons de sa classe et qui lui, se moquait d’elle. Pourquoi vous pensez que j’ai toujours aimé les filles ? Pour me protéger de ses mecs que j’ai toujours trouvé trop con. Puis de toute façons j’pensais pas que ce soit possible un jour que je puisse en attirer un.. Pour moi j’ai toujours été le gros machin, le garçon manqué refoulé de tout. Maintenant je suis pas du tout pareil. Enfaîte j’essaye juste d’être absolument tout l’inverse de ce que j’étais avant. Cacher ce côté de victime que j’ai été, dont j’ai honte. Et chanter ces textes bourrés de sensibilité, de mes sentiments.. C’est trop étrange pour moi. Les écrire a été simple si.. C’est exactement tout ce que je ressens au fond de moi, transcris sur un morceau de papier. J’lai à peine regardé en prenant une p’tite voix fluette. Perdue dans mes pensées. J’ai dis non. Je ne chanterais pas ça. Même si je me dis qu’il n’a pas forcément tord. Après tout, c’est surement bien plus profond, puissant que des textes de bonheur. C’est du vécu, des filles, comme des mecs peuvent se retrouver dans ses textes, les aimes justement pour leurs tristes vérités. Mais il y a une autre barrière à traverser à partir de là.. Moi. J’me sens pas à ce niveau là. Mes yeux regardent un peu partout passant à quelques instants sur lui, son corps parfait qui se laisse facilement dissimulé sous les quelques tissus qui recouvrent sa peau dénudée. J’veux pas retourner avec mon ex.. J’veux plus de Konrad dans ma vie de cette façons.. Non il m’a fait trop de mal à m’obliger d’avorter, à ne pas vouloir avancer avec moi. La j’le déteste, je voudrais presque sa mort je crois.. Mais au final, ca reste mon ex et mes sentiments sont encore la certes mais c’est pas possible... J’l’écoute. Ma tête relevée vers lui. Les lèvres béantes.. Qu’est ce que je peux bien répondre, je ne sais même pas ce que je veux. Il s’est approché de moi, encore, bizarrement. Décidément aujourd’hui c’est craquage de slip. J’me suis retrouvée contre le mur et lui. Mes yeux plongés dans son regard. J’sais pas ce que je fous la.. J’sais pas pourquoi il se donne tant de mal pour moi. Pourquoi il est aussi proche de moi. Il veut quoi ? Que j’lui saute dessus là ? J’ai toujours la bouche entre ouverte à regarder les moindres parcelles de sa peau. Ses lèvres, sa cicatrice dont je ne connais même pas l’existence qui se trouve sur sa joue.. Mais en même temps, j’ai pas le droit. J’peux pas lui sauter dessus. C’est Viktor.. ! Mon agent, ce mec inaccessible et froid que je ne connaissais pas comme ça. J’ai légèrement secoué la tête de droite à gauche. Je.. je sais pas. Ahouais il m’a perdu là. Reprends tes esprits meuf. J’ai posé mes deux mains sur son torse, mon visage toujours en face du sien. Si t’arrives à effacer une partie d’ma vie alors.. Vas y. Efface la et fait moi revenir avant tout ça. Avant que j’couche avec un mec, que j’tombe amoureuse comme pas possible.. Avant que j’devienne aussi fragile que j’le suis maintenant. J’ai soupiré en continuant.. Remonte le temps et fait en sorte que j’ai des parents comme tout le monde rêve d’avoir. Fait en sorte que j’sois pas abandonnée aussi vulgairement que j’lai été.. Mes yeux ont commencés à tourner sur une couleur légèrement rouge. Des larmes commencent à monter aussi. Efface tout ce que les gens ont pu me dire quand j’étais jeune. Je l’ai légèrement poussé de mes deux mains sur son torse. Une larme s’est mise à couler le long de ma joue. Fruit de pleins de souvenirs qui remontent. J’me suis enlevé du mur, de son emprise. Toujours de dos à lui, j’me suis vulgairement essuyé le visage un peu honteuse de pleurer comme ça devant ce mec que je connais pas.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’ai dis non. Je ne chanterais pas ça. C'est sidéré que tes yeux se posent sur son visage sévère. Sa décision te semble définitive, reviendra-t-elle dessus? Pourquoi refuse-t-elle? Tu n'y comprends rien, elle qui aime tant écrire, elle qui aime tant chanter, elle qui aime tant s'offrir en spectacle. Tu l'as toujours connue sous ce jour, et jamais avant, jamais autrement. Là, tu assistes à un truc tout autre qui te laisse perplexe, et qui a le don de te stresser un peu, toi, jeune homme qui parvient toujours à contrôler ses émotions, allant des plus faibles aux plus puissantes. Rares sont les filles qui se laissent aller devant toi, niveau sentimental, niveau émotionnel. À l'exception des nunuches qui pleurent toutes les larmes de leur corps le lendemain matin d'une soirée unique, si elles se réveillent avant que tu n'aies eu le temps de prendre la fuite. "D'accord.", finis-tu par dire, cédant à ses caprices de jeune femme en peine d'amour pour la première fois. Tu ne vas tout de même pas lui tourner le poignet pour lui forcer la main et l'obliger à publier un texte qu'elle ne veut pas montrer à tout un peuple. Tu n'es pas cette sorte d'agent. Tu es l'agent cool, sexy, spontané, sympathique, malgré les distances qu'il prend pour des raisons mystérieuses, qui prend soin de ses employées. Enfin, tout dépend de qui il s'agit. Tu attends. Tu attends patiemment les requêtes de la demoiselle, sur ce qu'il lui faut, sur ce qu'il est nécessaire pour la remettre d'aplomb. Malgré les apparences, malgré ton tempérament, tu es prêt à tout et n'importe quoi, c'est vrai. Et tant pis si elle ne te croit pas, tu es habitué à ce qu'on doute de ta sincérité. Tu t'es rapproché d'elle, pour rompre une distance que tu contrôles encore parfaitement bien. Tant que tu as le contrôle de la situation, aucun problème n'a besoin d'être réglé au plus vite. Tes yeux d'un noir d'encre plongent dans les siens, ils sont plongeants, ils sont envoûtants, hypnotisants. Tu lui souris en coin, un très faible sourire, qui se remarque à peine, mais dont elle peut voir la pointe au coin de ta bouche. Le truc, c'est que tu fais ça. Tu as l'air d'une statue de marbre, tu es sans expression, à l'exception de ce sourire presque invisible, et elle te répond qu'elle ne sait pas. Elle est sérieuse, là? Comment ne peut-elle pas savoir c'qu'elle veut? Toi, tu sais toujours tout ce que tu veux, tout ce dont tu as besoin pour te combler, pour combler tes besoins urgents ou pas, pour te faire vivre, pour t'amuser. Tout, dans les moindres détails. Elle pose ses deux mains sur ton torse. Tu grimaces presque, mais tu la laisse faire, tu crois qu'elle va parler, peut-être te dira-t-elle ce qu'elle veut, enfin? Mais non, c'est tout autre chose. Et ça te rend encore plus mal à l'aise... Vraiment plus que tout à l'heure. Tu la laisses faire. Tu la laisses sortir son sac. Un sac trop plein pour un petit bout de femme comme elle. Elle est trop joyeuse tout l'temps, il fallait bien que ça arrive un jour ou l'autre. Mais tu n'es pas doué avec les mots réconfortants. Tu es doué avec la distance, avec la froideur. Elle s'éloigne de toi, te repoussant de ses mains sur ton torse. Tu respires un coup, comme délivré d'une emprise à peine brutale. Tu te passes une main nerveuse contre ta barbe naissante de deux-trois jours. "J'suis pas le Génie d'Aladdin, Skyler..", finis-tu par lâcher, lorsque le silence se fait sentir pensant, lourd. Tu te reprends. "Je ne peux rien effacer de tout ça. Oh, tu sais.. On a tous nos démons. On vit tous des trucs horribles. Et je ne doute pas de la vérité, de la puissance de tes mots... Skyler, tu pleures?" Tu t'approches d'elle, mais elle a déjà essuyé ces quelques larmes qui pendaient au bout de ses yeux. Pourtant, les signes ne trahissent pas : ses yeux sont rouges, elle se retient. Tu viens lui faire face, tu prends ses épaules, la dirigeant vers le canapé, pour l'y installer. "Putain, j'suis pas bon avec les mots, Skyler." Tu lui souris légèrement. Elle t'en demande beaucoup, d'être compatissant... "J'vais te demander des trucs plus simples.. Tu veux un chocolat chaud? Une couverture? Tu veux dormir? Regarder la télévision, un film? Tu veux quoi, là, tout d'suite?"
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 are you feeling good?
SKYLER & VIKTOR

Mais quelle conne putain. J’lui ai tout dit. Tout raconté, en gros, en gros résumé.. Le plus court que j’pouvais. C’est un peu tout ce qui me tracasse en ce moment. D’être tombée amoureuse de ce mec, de l’avoir aimé comme une folle, d’avoir pensée que j’aurais pu avoir un enfant avec lui.. Que j’aurais pu vivre avec lui. Putain j’ai tellement honte d’avoir été aussi naïve, faible.. De m’être exposée à ce point devant lui, devant tout le monde. J’ai dit à mon frère d’aller se faire foutre avec ses conseils à la con.. J’lui ai dit que j’pouvais être heureuse avec Konrad.. J’ai remballé mon frère, mon p’tit frère.. Ce mec qui est toute ma vie.  J’ai osé faire ça alors que.. Alors que maintenant j’me retrouve comme une merde à pleurer devant mon agent qui lui, est aussi froid qu’une pierre. Pourtant je sens qu’il est gêné. Je sens qu’il est pas pareil là.. en même temps j’lui ai foutue les mains sur le torse, j’me suis mise à pleurer devant lui.. Il a pas l’habitude de me voir comme ça lui. Non au studio c’est le seul endroit sur Terre où j’suis la fille la plus heureuse du monde. Là bas plus rien ne m’atteins. Mais ici, chez moi, surtout chez moi. J’suis la fille la plus vulnérable du monde. Celle qui se laisse envahir par ses émotions, celle qui pleure sans que personne ne l’a regarde.. J’lui ai demandé d’effacer des parties de ma vie. De faire une version 2.0.. La faire mieux. La faire plus belle.. Mais je sais très bien qu’il ne peut pas.. Qui pleure ? Personne ne pleure ici. Interdiction de pleurer sur mon toit. Non ca ? J’ai montré le peu de larme qui reste autour de mes yeux. J’pisse par les yeux pardis. (rpz marie) Il m’a installé sur la canapé, mes yeux essaye de ne pas croiser son regard. J’veux plus le regarder.. J’peux plus. J’ai trop honte. J’te demande pas d’être bon avec les mots Markov. Je sais pas vraiment dans quoi je voudrais qu’il soit bon.. Même si j’ai une petite idée.. C’est pas envisageable. J’ai baissé la tête pour regarder mes doigts jouer nerveusement entre eux. J’veux pas être seule ce soir. Depuis quelques temps j’arrive plus à dormir seule.. Le fait de savoir qu’il ya quelqu’un d’autre dans l’appartement me rassure.. Mais c’est quand même dur. Ce soir Ruben n’est pas là et j’ai plus Konrad contre qui me blottir pour pas avoir peur d’me faire attaquer en pleine nuit. Les images de la prise d’otage me remontent souvent.. J’ai agrippé son tee-shirt pour le tirer contre moi. Tu vois c’est ça mes soucis dans ma vie. C’est tout ça. J’suis pas la fille aussi forte qu’elle le prétend.. J’suis pas.. J’suis pas la Skyler que je montre à tout le monde. J’lai lâché en le poussant légèrement pour me relever, mes mains qui frotte les doux traits de mon visage. Laisse tomber.. Oublis tout ça. J’suis allée dans la cuisine, juste à côté, ouverte sur le salon. J’ai extirpé une bière du frigo avant de vite fait l’ouvrir pour en boire une longue gorgée.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Qui pleure? Personne ne pleure ici. Interdiction de pleurer sur mon toit. Non ca ? C’est toi qu’elle prend pour un putain de con, là. Tu n’as jamais vu de filles pleurer, puisque tu les fuyais toujours, dès qu’elles s’mettaient à ne verser qu’une seule larme. Combien de fois avais-tu dû t’éclipser en regardant Les pages de notre amour? Horrible, rien que de penser au script débordant d’amour et de p’tits cœurs constituant le film. Ça te dégoûtait. Tu étais plutôt du genre à pleurer devant de vrais films. De vrais bons films. Non, tu ne pleurais jamais. Tu ne versais même pas l’ombre d’une larme. Plutôt, tu soupirais. Et tes soupirs, devant un film, voulaient en dire long sur tes ressentis. J’pisse par les yeux pardis. (tu m’as tuée, lucie) Tu maugrées, contenant ce brin naissant d’exaspération et de colère qui grimpait en toi au mesure des secondes qui passaient. Enfin, tu le sais bien. Tu le vois bien, dans son visage, d’habitude si coloré, si enjoué. Il n’y a là maintenant plus que chagrin et douleur. Tu ne sais pas quoi dire. Tu ne sais pas où te mettre. Partir, peut-être? Était-ce ce qu’elle voulait? Que tu partes? Que tu la laisses gérer ses problèmes par elle-même? « Ouais, bien sûr que tu pisses par les yeux. Et moi, j’suis le Pape.» Comparaison et blague merdique, dépassée par le temps. Tu ne t’attendais pas à la faire rire, hein. Ça avait été direct, spontané. Ça te soulage de savoir qu’elle n’attend rien de toi. Que tu n’as pas besoin d’être doué avec les mots. En effet, si tu avais dû la chouchouter, la réconforter par des mots doux, tu aurais certainement pris tes jambes à ton cou. Tu ne sais pas parler, quand il s’agit d’être sérieux. Vraiment sérieux, on s’entend là-dessus. Tes épaules s’abaissent, tu te détends, d’un seul coup. Tu lui souris faiblement. Elle te paraît nerveuse. Vraiment triste. À quel point est-ce grave? Se sortira-t-elle de tous les démons qui la possèdent? J’veux pas être seule ce soir. Tu t’étonnes en la sentant agripper ton t-shirt. Tes muscles se rétractent, ils sont durs, tu ne respires plus. Pour toi, c’est mauvais à ce point, la proximité inattendue. Mais tu la laisses faire. Car elle a l’air… d’en avoir besoin? Tu plonges tes yeux noirs dans les siens. Pas d’un noir colérique, mais d’un noir adouci, calme, compatissant. C’rare, ça. «Y’a pas un ami qui puisse venir te tenir compagnie? Tu n’as pas de coloc?», lui demandes-tu, alors que sa requête te paraît pourtant évidente. La réponse à ta propre question est simple : non. Et c’est toi qui devras rester. Le pourras-tu? Laisse tomber.. Oublis tout ça. Tu ne l’avais pas vue v’nir, celle-là. Tu restes sur le cul, dans le canapé, la regardant s’éloigner. Tu pivotes la tête pour voir c’qu’elle fait. Jusqu’ici, tu n’as pas trop parlé. Tu as préféré te taire et la laisser déballer son sac. Car c’est mieux ainsi, tu n’aurais rien pu dire d’intelligent. Tu la vois prendre une bière, pour presque la caller, dès la première gorgée. Choqué, le Viktor. Tu t’lèves alors, allant vers elle, lui prenant la bière des mains, secouant la tête de gauche à droite, afin de montrer ton désaccord. «Pas question de ça, ce soir. C’est soit un chocolat chaud ou une tisane. Soit rien. Certainement pas de la bière dans ton état. Allez, reviens t’asseoir.» Tu lui souris doucement, pour l’inciter à te suivre, à t’écouter. Tu la diriges vers son propre canapé, une nouvelle fois, pour l’y installer. Tu tournes la tête dans tous les sens, perplexe, avant de dénicher une couverture bien cachée non loin de là. Tu la prends, la déroule, puis la pose sur Skyler. «J’ai saisi. Ça n’va pas. Mais ce ne sera pas toujours ainsi, Skyler. Crois-moi là-dessus. Tu es une bonne fille, tu vas t’en sortir, de ce trou, ce néant qui t’paraît si profond. Tu veux que je reste avec toi?» Regretterais-tu cette décision?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Merde.. Merde.. Mais merde. J’me fous à pleurer devant mon boss ? Ce mec putain de sexy bien plut vieux que moi.. Enfin de seulement trois ou quatre ans je crois.. Ce type mystérieux avec son côté je m’en foutiste de tout sérieusement.. Je pleure devant lui ? J’ai la honte de ma vie là. Je m’abaisse à être faible devant le gars qui ne supporte juste pas ça. C’est quoi mon problème hein ?  Je sèche vite mes larmes avec le dos d’mes doigts. J’essais d’éviter son regard un maximum. Je fuis ses yeux marrons cochons qui sont peut être plus noir profond qu’autre chose. Les yeux c’est un peu ma faiblesse.. C’est ce que je regarde un premier chez un mec. Il doit avoir un truc spécial dans son regard, une belle couleur.. Quelque chose qui se ressent instantanément. Ceux de Konrad était bleu.. Un bleu étrange.. un bleu peut être mitigé entre le clair et le fonçé.. J’pouvais passer des heures à tomber mon regard dans le sien. C’est con comme truc non ? Certaine regarde les p’tit culs des mecs, d’autre leur torse, d’autre leur sourire j’en sais rien.. Moi c’est les yeux et autant dire que ceux du Russe.. M’intrigue vraiment. Ils ont quelques choses d’étrange. Un noir qui fait la course avec un brun foncé. On pourrait si perdre tellement ca en rappellerait presque le vide. L’infini.. Un étrangeté sans fin. C’est bien pour ça que j’évite de le regarder dans les yeux. Surtout en ce moment, quand il est en face de moi. Finalement ce sont mes mains qui sont venus se joindre à son corps, plutôt son t-shirt. Je l’ai agrippé pour le ramener vers moi et lui parler de ce que je veux vraiment. Aussi con que ca puisse paraître encore une fois ? J’ne veux pas être seule. Non. J’veux plus être seule le soir. J’veux plus cauchemarder comme je l’ai fait ces précédents jours. J’veux plus me sentir aussi impuissante que ce jour de prise d’otage. Mais en même temps je sais que je ne veux pas être dépendante de quelque chose. J’ne veux pas être obligé de dormir avec je ne sais qui pour me sentir bien.. C’est pourquoi je me suis levée pour rompre ce contact trop prolongé entre nous deux. J’me suis frottée vulgairement le visage avant d’aller me chercher une bière que j’ai très rapidement entamée d’ailleurs. J’ai pas prêté attention à lui. Lui qui s’est encore approché de moi pour me retirer ma bouteille des mains d’ailleurs. J’ai levé un sourcil assez intrigué d’ailleurs. What ? C’est mon père ? Mon frère ? J’ai plus le droit de boire c’est ça le délire ? J’suis chez moi, merde. J’peux me bourrer la gueule autant que je veux. Devenir alcoolique si j’en ressens l’envie même. Me fumer un joint peut être aussi.. Planer.. Partir visiter des endroits bien plus sages que ce monde ci. Ca c’est moi.. C’est tout à fait moi. Et c’est aussi exactement ce que mes proches ne veulent pas que je devienne. En parlant de proche je parle de Trung. M’enfin qu’importe. C’est ma vie, mon corps. Si j’veux m’bousiller les poumons avec de l’herbe, je fais ce que je veux. J’me suis laissé de nouveau bercer par ses mouvements, il m’a remis sur le canapé, une couverture sur moi cette fois. Une bonne fille.. Vraiment.. ? J’en reste très sceptique parce que après tout.. C’est tout sauf moi ça. J’suis pas une bonne fille. J’suis la meuf qui a toujours repoussé l’amour des autres, celle qui a s’est laisser vivre un enfer étant plus jeune. Celle qui tombe un peu plus dans la drogue et l’alcool.. J’ai bouffé de rire laissant de nouveau une larme couler le long de ma joue quand il m’a demandé si je voulais qu’il reste. J’me suis levée violement en le poussant au passage.  Non dégage.. Laisse moi c’bon. La couverture qui tombe au sol, et moi qui part furax pour retrouver ma bouteille de bière avant de finir une dernière gorgée et la jeter sur le sol –tout est normal-.. Elle s’est éclatée en pleins de p’tit morceaux de verres sur le carrelages. Mes pieds nus à côtés. Mon bras s’est agité faisant tomber au sol, un grand vase, dans le genre énorme, remplis de plusieurs fleurs décoratives. C’est le bordel dans ma tête. Je ne sais plus quoi penser.. Je ne sais plus quoi dire.. Des éclats de verres un peu partout sur le sol. J’crois même que des p’tits morceaux sont venus s’frotter contre mes cuisses dénudées laissant. Tu veux que je puise dans mes démons hein ? Tu veux que j’te dise qui est vraiment Skyler ? Celle qui est cachée derrière autant de gaieté et d’enthousiasme ? Bah merde ! J’me suis mise à hurler en jetant une nouvelle bouteille de bière au sol, remplis cette fois. J’menfou. J’ne suis pas une fille bien. J’suis tout sauf ça. Je continue de m’agiter toute seule dans la cuisine. J’ai les nerfs qui lâchent.. Enfin depuis ces quelques semaines où j’ai accumulé tant de choses. J’vais te les écrire tes putains d’textes. Oh putain tu vas en ressentir des frissons ! on va puiser sur ma p'tite vie de merde pour faire du budget, let's go !
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)