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Attention Markov. Tu vas choper la galle à trop m’approcher comme ça. Ok. Mais elle voulait quoi, en fait? Elle était pas contente, qu'tu t'approches autant d'elle que ça? Si elle continuait à être aussi compliquée, tu t'énerverais, puis tu disparaîtrais comme t'étais apparu en premier lui. Tu n'aurais pas dû lui apporter du café, mais bien une bouteille de vodka, quoi. Elle serait plus clémente à tes approches. Des approches que tu ne fais que parce qu'elle a quelque chose que tu veux, dans un endroit qui te plaît : ses seins, quoi. Qu'elle ne s'imagine pas que tu veux plonger ton nez, ou tes mains là, parce qu'il s'agit d'elle. Tu aurais fait pareil avec n'importe quelle femme accessible et déprimée. Celles qui sont en peine d'amour sont toujours plus fragiles d'esprit, il faut dire... Et elle te semblait l'être. Mais tu restais son agent, putain. Bon.. normal que tu veuilles voir ces textes, non? "J'attraperai la galle, mais au moins j'sentirai la menthe. Chut.", dis-tu en maugréant, alors que tes doigts sont sur ses cuisses dénudées. De belles cuisses, hein. "J'fais pas les choses qu'à moitié. Tu ne l'as jamais appris, ça?" Le truc, c'est que c'était vrai. Tu lui souris en coin. Elle remonte tes mains au niveau de ses hanches, juste un peu en bas. Tu prends appui. Ta tête se penche vers sa poitrine, ta respiration chaude doit se ressentir contre sa peau. C'est l'appel du corps, l'appel de la peau douce d'une femme. "Depuis que j'ai mes responsabilités envers mes employés.", dis-tu sèchement. Tu hésites à aller là. L'une de tes mains sur sa hanche remonte. Jusqu'à atteindre le tissu de son débardeur. Tes doigts glissent sous celui-ci, remontant contre sa peau, son ventre juste assez musclé. Tu le sens, c'est assez palpable. Tu souris en coin, fier de ton cou, comme si tu lui prouvais que tu ne mentais pas, quelques instants plus tôt. Et que tu irais chercher ton dû. Ta main curieuse atteint son soutif. Tu remontes les yeux vers les siens, tu la fixes, comme ta main empoigne avec fermeté sa poitrine. Bah quoi, il faut palper, pour trouver où se trouve le morceau de papier. À un moment, tu le trouves. Et tout fier, tu l'extirpes de son soutif, le passant sous son débardeur, pour le sortir à l'air frais, sous tes yeux. "Voilà. Maintenant, je peux lire." Et tu te recules, retournant à l'endroit où tu te trouvais quelques instants plus tôt, afin de lire ses textes. Ha-ha.
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