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the sound of silence. (foxhound)

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Tu lui déballais ta vie, comme ça, d'un coup. Comme on déballe un cadeau le soir de Noël, et pourtant ce cadeau, ça faisait des années que tu le cachais et ne le montrais à personne. Et là, dans ta tristesse du soir, tu déballais ce qui t'étais arrivé, ce que t'avais essuyé sans broncher et qui t'avais fais souffrir. Cette histoire avec Read qui laissait comme une plaie béante au milieu de ta poitrine, comme quelque chose à vif, comme si ça venait de se terminer alors que ça datais de l'année dernière. T'étais pas sensé juste fermer ta gueule et pleurer ? Ben non, tu causais, et dans tes paroles les sanglots avaient moins le temps de s'incruster, et ça faisait comme du bien. Lui t'écoutais aussi, il n'avait pas l'air d'en avoir rien à foutre, il n'avait pas l'air de s'ennuyer. Il te faisait un peu penser à Ëa dans ces moments là, à t'écouter sans te juger, mais là c'était pas pareil : c'était pas pareil parce que c'était Nemo. « Ou au contraire peut-être pas... On a tous notre façon de réagir, la mienne est sûrement un peu exagérée, mais c'est la mienne. » Tu concluais finalement, haussant doucement tes épaules en refermant les yeux, glissant dans les bras de Morphée.

Tu le fis monter chez toi, et il regarda autour de lui. D'abord dans cette atmosphère vide et terne, t'avais un peu honte, alors t'allumais la télé sans la regarder, juste pour que ça remplisse l'espace de voix et de bruits. Il devait se dire que la vie avec toi, ça devait être chiant à mourir. Finalement, tu lui demandas s'il ne passait pas la soirée avec sa femme, un peu surpris de le voir seul ce soir, à vrai dire. N'était-ce pas le graaaand amour entre deux ? « Oh, je vois. » Tu dis, ignorant qui était Alaska, mais te demandant si ce n'était pas le prénom de cette fille dont t'avais retrouvé le numéro de portable sur la porte des toilettes des mecs, et avec laquelle t'avais bien déliré par téléphone. « Je suppose que non, mais après tout, tu es là par choix. » Tu soufflais doucement, pour lui rappeler que tu n'avais forcé personne, et que là pour le coup, ça n'avait rien à voir avec ton caractère de cochon. Enfin, il était peut-être un peu monté par obligation aussi... Pour ne pas avoir à faire le gros connard. Dans tous les cas, il était monté, et pour un mec que t'étais sensé détester, c'était déjà beaucoup. On sonna alors à la porte et tu sursautas, contournant ton ex pour aller ouvrir. La voisine se tenait là, un petit chaton blanc dans les bras. « J'ai reconnu le bruit de votre porte, désolée de vous déranger à cette heure là, mais je me suis dis que vous seriez content de le récupérer. » Elle te tendit Rox et tu le pris dans tes bras, la remerciant avant de refermer la porte et de retourner vers Nemo, ton chaton serré contre ton torse, s'étant mis à ronronner. Tu tentas un sourire à Nemo. « J'ten pris met toi à l'aise... Tu veux boire quelque chose ? » Tu caressas le chat, ses ronronnements apaisant un peu ta tristesse, tout comme la présence de Nemo, d'ailleurs.
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Tu l'écoutais attentivement, tout simplement parce que tu avais tout de même cette impression de devoir te souvenir du moindre de ses mots, de la moindre de ses paroles alors qu'il s'ouvrait un peu à toi. Tu savais que la situation risquait d'être très éphémère, et qu'il n'en dévoilerait pas autant que tu aimerais qu'il fasse, alors tu buvais quelque peu ses paroles, retenant ce que tu pouvais et en tirant tes propres conclusions. « J'sais pas. Soucis de familles, mec qui trompe... Je sens que j'aurai perdu les pédales. » Tu répondais simplement, haussant tes épaules en le voyant qui s'endormait.

Tu ne passais pas la soirée avec Chrissy non, et il était vrai que c'était pourtant le soir le plus important pour les couples. D'une autre manière, même si t'avais été très amoureux d'elle, si un ami t'appelait – ou plutôt un ex... enfin, cet ex – t'appelait car il avait des problèmes ou comme la que ça mère venait de mourir, t'aurais surement accouru aussi. Il y avait d'autres jours que la saint valentin à passer en amoureux. « Je sais, je sais. Tu ne m'as pas mi le flingue sur la tempe, j'en suis conscient, j'ai pas dis ça comme ça. » Tu lui répondais doucement, grattant un petit peu ton crâne sous la gène. T'avais juste voulu faire une tentative douteuse d'humour, mais ouais, tu pouvais comprendre que ça tombait à plat. T'étais déjà pas très drôle en temps normal, alors quand l'aura d'une mort vous entourait, c'était bien pire. Tu tournais ta tête vers la porte quand tu entendais sonner, et tu laissais Oscar aller ouvrir après qu'il se reprenne de son sursaut. T'essayais de pas vraiment écouter – respecter l'intimité de la personne même si t'étais chez elle blablaa – et très vite la porte se refermait, et quand tu vu Oscar revenir vers toi, il avait un beau petit chat blanc dans les bras. « Il est magnifique ! » Tu disais en t'approchant doucement du chat qui ronronnait contre le torse d'Oscar. Tu approchais ta main, laissant la petite bête sentir tes doigts comme pour identifier qui tu étais, et puis tu venais ensuite caresser le pelage neige de l'animal, qui te laissait faire. Peut-être que tu aurais dû demander tout d'abord à Oscar la permission de toucher son chat, mais t'avais toujours eu un bon feeling avec les animaux, et tu te disais que tant que le chat te laissait faire et ne commençait pas à grogner ou à vouloir te griffer, tu étais sur la bonne voie et que ton désormais ami ne pouvait pas dire grand-chose contre ton initiative. « Il s'appelle comment ? Je voulais me prendre un animal moi aussi, faudra que je passe dans l'animalerie. » T'étais d'ailleurs content d'être dans ta colocation car le premier jour, Trung t'avait de suite demandé si t'avais des animaux, et le fait étant qu'il allait bientôt avoir une bête, et que tu ferais mieux de les apprécier et de ne pas en être allergique car sinon, t'allais surement devoir te trouver un autre endroit permanent pour dormir. T'avais pas encore eu le temps de savoir si tu prendrais un chien ou un chat ou un furet ou une souris, mais tu savais que t'en voulais absolument un. Il te souriait ensuite doucement, te demandant de te mettre à l'aise et si tu voulais boire quelque chose. « Je veux bien oui... T'as du coca ? A part si tu préfères te bourrer la gueule toute la nuit... » Tu demandais tout en enlevant ta veste. C'était une sorte de proposition, à vrai dire, tu ne savais pas s'il avait envie de passer ce moment en restant calme et écoutant d'une oreille distraite la télévision, ou s'il avait de boire et de boire, comme pour oublier, en sachant que ça n'allait pas marcher.

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C'était sans doute la saint valentin la plus pourrie de toute ta vie. Il n'était même pas question d'être seul à se branler devant un porno gay raté, mais il était question d'être brisé, triste, perdu. Et lui était là, ce mec que t'avais tant aimé, et tu savais pas trop quoi faire parce que tu voulais pas qu'il parte, mais tu voulais pas qu'il s'emmerde à rester s'il n'en avait pas envie. Il essayait de te faire sourire, et il y arrivait parfois. Tu savais pas trop comment il faisait, mais il y arrivait sans mal, et tu le remerciais pour ça. Tu le remerciais parce que malgré toute la haine que tu te convainquais d'avoir pour lui, lui ne te jugeait pas, ne te détestais pas, ne te rejetais pas. Il était là ce soir, et ça signifiait beaucoup. Les ronronnements du chaton contre ton torse t'appaisait lentement, et la chaleur de son poil contrastait avec tes maigres mains complètement glacées. Nemo demanda comment il s'appelait. « C'est Rox. » Tu lâchais finalement, mordillant ta lèvre. T'allais pas lui mentir, ce serait bête, ouais, t'avais appelé ton chat Rox. Et ce prénom, c'était comme un viel écho, douloureux et doux à la fois. T'avais un peu honte de lui avouer ça, mais bon. « Je l'avais pris pour ma mère au départ, dans son ancien hopital ils acceptaient les animaux... C'était avant qu'elle passe en soin attentif. » Tu soupiras longuement à cette phrase. La maladie l'avait éloigné de tout, c'était dommage, ta mère adorait les chats, et Rox n'était pas un animal pénible. Au contraire. Maintenant c'était toi qui en avait hérité, et tu ne pouvais t'en plaindre, parce qu'il était agréable d'avoir quelqu'un lors de ses longues soirées de révision où tu restais seul.

Tu lui proposas à boire et tu lui laissas le chaton dans les bras, puisqu'il semblait l'apprécier et Rox également. Tu inspiras et alla chercher une bouteille de tequila, revenant vers lui avec deux verres. « Si tu acceptes de te bourrer la gueule aussi, ça m'arrangerait. » Tu déglutis, t'approchant de lui en souriant en coin en apercevant le chaton ronronnant contre le torse du eliot. « Je crois qu'il t'aime bien. » Tu murmurais, vous servant un verre chacun avant de lui tendre le sien, et d'avaler cul sec le tien.

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Tu n'avais jamais réellement souhaité la saint valentin. Disons que tu n'étais souvent pas en couple durant ses périodes alors tu passais cette journée comme si c'était n'importe qu'elle autre journée. Tu restais au lit en regardant un disney ou un porno sur ton ordinateur, ou tu la passais avec d'autres amis seuls eux aussi, juste histoire de s'amuser tous ensemble et de montrer qu'on avait pas besoin d'être forcément en couple pour cela. Tu bouffais des bonbons et des gâteaux et des glaces et du chocolat comme si on t'en avait offert, mais par contre, tu n'étais pas encore allé jusqu'à ce que te faire livrer toi-même des fleurs. Peut-être le jour où tu te sentiras vraiment trop seul. Quand tu t'achèteras enfin un animal, tu auras au moins toujours quelqu'un avec qui être ce jour-là. Tu le regardais un peu choqué quand il t'annonça le prénom de son chat. Rox. Juste Rox. Il aurait dit l'appeler Nemo et ça aurait eu le même effet pour toi. T'essayais de ne pas y lire grand-chose entre les lignes, parce qu'après tout c'était le genre de surnom qui pouvait très bien passer chez des animaux, et tu hochais doucement ta tête, lui souriant. « Très beau prénom. Ça lui donne tout de suite plus de classe. » Tu avouais, lui faisant un petit clin d'oeil, avant de baisser tes yeux à nouveau sur la petite boule de poil. Il t'expliquait qu'il l'avait pris pour sa mère afin qu'il lui tienne compagnie à l'hôpital, et c'était triste de savoir qu'au final, elle n'avait pas pu le garder très longtemps à ses côtés. « Il vit avec toi depuis ? Ou tu l'avais laissé chez ton père ? » Tu demandais en caressant doucement le petit chat qui ronronnait de plaisir à l'attention.

Il te donnait ensuite tout naturellement le chaton, que tu essayais de prendre contre toi avec délicatesse – et il semblait tellement minuscule contre ton torse. Tu restais dans le salon pendant qu'Oscar allait en cuisine, et tu t'asseyais de nouveau sur le canapé, flattant le chat de caresser avant de relever la tête quand Oscar te parlait. « Évidement, j'allais pas te laisser boire tout seul, tu crois quoi ? » Tu lui disais, souriant en coin. Tu serais un très mauvais ami si tu laissais boire ton pote et que toi tu restais tranquillement sobre à l'écouter dépérir. Il murmurait ensuite à propos du chat, et tu riais doucement, laissant ton doigt glisser le long de la gorge du chat qui semblait apprécier. « C'est parce qu'il s'en que je ne vais pas lui faire de mal. » C'est sur que si tu venais vers lui, tronçonneuse en moi, il te kifferait moins le petite animal. Tu prenais le verre de tequila qu'il te tendait, et tu souriais un peu en regardant le brun. « A la tienne. » Tu tapais légèrement ton verre au sien, avant d'également le boire cul sec, faisant une petite grimace à la fin. T'avais vraiment pas l'habitude de ça.

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Il eut un beug lorsque tu lui confias le nom du chat, mais tu restas de marbre, le fixant droit dans les yeux sans rien ajouter de plus. Ouais, il s'appelait bien Rox, et t'avais pas vraiment d'explication à lui donner là. A l'époque où t'avais trouvé ce chaton dans une boite à chaussures sur le trottoir, t'avais juste pensé à Nemo, et ça avait été Rox. Fallait croire que ton ex t'avais hanté, et ça Nemo devait s'en douter vu le prénom du chat - qui était d'ailleurs toujours resté à sa taille de chaton. En tout cas, Rox semblait aimer celui qui avait inspiré son nom, puisqu'il ronronnait avec plaisir contre ce dernier, lui offrant quelques léchouilles sur le bout de ses doigts. Tu lui tendis son verre de tequila, mimant un petit sourire en coin malgré ta tristesse à la vue de cette scène. « Pour répondre à ta question, je l'ai récupéré dès que maman est passée en soin intensifs, papa n'aurait pas supporté la présence du moindre animal, déjà qu'il a du mal à supporter celle de son fils à part pour faire le fier en soirée. » Tu lui dis d'un ton amer, claquant doucement ton verre contre le sien avant d'avaler cul sec son contenu, grimaçant un peu sous l"acidité du liquide. Ça arrachait, pourtant tu t'en servis de suite un second verre, soupirant. « Si bourré j'me met à trop parler, passe moi sous la douche à l'eau glacée. » Tu soufflas, fixant le liquide de ton verre avec regret, et prenant enfin place à coté de lui sur le canapé. Tu savais bien que l'alcool avait le pouvoir de te faire parler, de trucs un peu intimes, de truc que tu dirais pas en temps normal... Tu voulais pas te mettre à lui dire n'importe quoi. Ouais, t'avais surtout peur de ce que tu pourrais lui dire. Tu tournas les yeux vers lui. « Oh, me regarde pas avec ces yeux là. » Tu soutins son regard. « J'vais pas me suicider, j'maime trop pour ça. » Tu lâchas en riant, mais ton rire jaune était évident. Tu avalas cul sec ton second verre, les yeux humides.

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T'as presque cru qu'il s'était trompé quand il te confiait le nom de son chaton. Pas qu'il te faisait une vanne parce que tu voyais bien qu'après une révélation comme ça sur sa mère, le fait qu'elle soit morte il avait quelques jours à peine, ne lui donnait pas l'envie de rire ou de déconner. Mais merde, encore s'il avait dit qu'il s'appelait Rouky, t'aurais compris, c'était son surnom à lui après tout. Il était Rouky. Mais non, c'était Rox qui résonnait encore à tes oreilles, et il t'en fallait peu pour être choqué. Néanmoins il te regardait, les yeux dans les yeux, attendant peut-être de toi le moindre commentaire déplacé – qui ne vint pas, à par un petit commentaire complice, comme quoi ce nom était très classe. Tu frémissais doucement en sentant le chaton léchouiller tes doigts, ne t'y attendant pas, et ça te faisais rire doucement, le regardant avec fascination faire. « J'espère qu'il est fier de toi. J'espère qu'au fond, il se sent juste dépassé et a énormément de mal à communiquer ce qu'il ressent. » Tu répondais alors qu'il te disait que son père n'aurait jamais accepté un chat – et qu'il avait déjà du mal à accepter son fils. T'espérais que malgré le problème de l'homosexualité de son fils – dont il ne connaissait même pas l'existence – et le fait qu'ils n'aient pas les mêmes désirs d'études considérant Oscar, il soit fier de lui. Après tout, c'était son fils unique, et Oscar était loin d'être bête. Tu prenais le verre qu'il te tendait, et putain, sa brulait déjà ta gorge, t'avais vraiment pas l'habitude de ce genre de boissons. Toi t'étais plus en mode sirotage de champagne jusqu'à ce que tu te sentes pompette. Il te soufflait que s'il commençait à trop parler, il fallait que tu lui passes la tête sous la douche histoire de la saouler et de le réveiller un peu.« Et si j'ai envie de t'écouter ? » Tu disais en souriant en coin, afin de le titiller, puis tu levais tes yeux au ciel, hochant la tête. « Promis, douche et je te rajouterai même des petits glaçons, en mode Ice Bucket Challenge. » Tu te resservais un verre après lui avoir envoyé un petit clin d'oeil, et nouvelle grimace pour ta part, caressant lentement le chaton qui était désormais assis sur tes cuisses, comme s'il avait toujours vécu ici. Tu roulais le verre entre tes doigts, et ton regard se posait sur le brun que tu observais, silencieusement. Il dû le ressentir, car il soutenait son regard : et c'est vrai, t'avais un peu cette peur qu'il finisse par faire une connerie. « Me voilà rassuré » Tu répondais en levant tes yeux au ciel, parce que non, tu ne l'étais pas vraiment.

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Rox avait l'air d'avoir trouvé un nouveau maître au torse bien chaud contre lequel se serrer. A cette pensée, tu jetas un coup d'oeil en coin au torse en question, avant de détourner les yeux. T'étais con ou quoi ? A quoi tu pensais ce soir ? Ton regard divaguait d'un coup comme ça, alors que t'avais perdu ta mère il y avait moins d'une semaine. C'était juste... Qu'il était là, lui et son foutu sourire, ses mots rassurants et ses blagues de merde, et ça te faisait du bien. Tu te surpris à te confier sur la vanité de ton père, sa fausseté surtout, toi qui l'avait vu pendant si longtemps comme un héros, ton héros. Mais là, ce n'était pas pareil. Depuis la mort de ta mère, depuis qu'il avait été si froid, et que t'avais vu aucun regret ni tristesse dans son regard à la mort de sa propre femme. Tu ne doutais pas évidement, qu'il puisse s'être trouvé une nouvelle pouffe pour l'occuper, mais de là à être si froid... Etait-ce le genre d'homme auquel tu voulais ressembler ? T'en savais trop rien. T'étais plus sûr de rien maintenant. « ça m'étonnerait. » Tu disais avec regret en parlant de ton père, déglutissant. Le chaton s'était mit à ronronner contre Nemo, et tu venais doucement caresser son poil tout en echainant les verres. « Sérieusement, t'aurais envie de m'écouter ? » Tu demandes en levant un sourcil, les yeux encore dilatés mais ne pleurant plus. Tu avales ton second verre lorsque tu remarques son drôle de regard sur toi. Tu soupires. Non, tu ne va spas te suicider, sûrement pas. T'étais pas assez lâche pour ça, mais t'étais juste paummé ce soir. Tu te servis un troisième verre, fixant son liquide avec un mélange de dégoût et d'envie. Qu'est-ce que t'étais maintenant ? Une loque ? T'étais condamné à te morfondre pendant des semaines ? Tu levas les yeux, et ce fut sur les yeux de Nemo que tu tombais. Sur ces deux billes bleues, qui te regardais. Ouais, il continuait de te regarder ce con. Tu soupiras, et posas ton verre sur la table, prenant celui de Nemo pour faire de même. Devant sa mine interrogative, tu ne lui laissas pas le temps de réfléchir d'avantage, attrapant sa tête entre tes mains pour l'embrasser à pleine bouche. Tu voulais pas être un mec seul, ça t'en étais sûr désormais.

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Tu t'occupais du chat contre toi qui ronronnait de plaisir, et qui commençait même à faire ses petites pattes sur ton haut, massant avec ses petits coussinets. Tu souriais tendrement en regardant la petite bête, murmurant quelques fois un petit « doucement » comme s'il allait comprendre, quand il enfonçait un petit peu trop ses griffes dans ta chair à ton goût. T'écoutais tout de même Oscar parler avec regret, et il fallait croire que les relations avec son père allaient toujours être difficiles. C'était tellement dommage que ce soit sa mère qui mourait au final : elle, elle comprenait au moins. Tu buvais ton verre, laissant également Oscar caresser son chat, et tu haussais tes épaules à sa question. « Pourquoi j'aurai pas envie ? Si t'as envie de parler je suis là. » Tu lui répondais, sans savoir vraiment où il voulait en venir avec cette question. De toute manière, t'étais quelqu'un d'assez observateur, et on pouvait en connaître des choses, rien qu'à l'écoute d'un mec totalement bourré. Évidement, le cas ici était assez différent : tu ne voulais pas l'écouter de manière malsaine afin d'acquérir des informations sur lui, mais seulement parce que tu savais que ce devait être l'une des pires nuits de sa vie. Tu ne pouvais t'empêcher de le fixer, alors qu'il continuait de boire, et tu savais qu'il devait être complètement perdu dans sa tête. C'était ça qui faisait peur aussi : t'avais pas envie de retrouver son corps mort après le laisser finir seul sa nuit. Tu le voyais soupirer – et tu pouvais comprendre que ça le fasse chier que tu le regardes de cette manière, mais tu ne pouvais juste pas ne pas avoir cette appréhension. Tu ne bougeais pas, l'observant poser son verre, avant qu'il prenne le tiens – et la, tu ne comprenais plus. N'étiez-vous pas censés boire jusqu'à ce que vous vous endormiez ivres sur son canapé ? Tu lui lançais un regard interrogatif, mais t'as jamais vraiment eu le temps de plus réfléchir à la question, car déjà il prenait ton visage en coupe et posait ses lèvres contre les tiennes. Au début t'as pas compris. Ça allait trop vite et l'information n'avait pas l'air d'être arrivée jusqu'à ton cerveau car tu répondais à ce baiser, une main venant se plaquer derrière le creux de son dos afin de l'attirer un peu plus vers toi. Tu n'étais pas difficile toi, un beau mec t'embrassait et tu répondais, point. Mais finalement, les yeux fermés, tu finissais quelques secondes trop tard par comprendre que t'allais prendre avantage d'un mec qui venait de perdre sa mère, et qui était tout retourné par la nouvelle. T'essayais de décoller tes lèvres des siennes, tentant de ne pas gémir à la perte de sensations, comme à bout de souffle. « Qu'est-ce que tu fous ..? T'es déboussolé mec... » Et c'était dur, et c'était chiant que tu doives toujours être celui qui est le plus responsable des deux lorsqu'il t'embrassait, puisqu'il avait l'air d'aimer le faire dans tous les moments où il n'était pas lui-même.

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T'avais la tête qui te tournait un peu, et tu savais que c'était pas la faute de l'alcool. Tu t'étais laissé tomber juste à coté de lui, et tu t'étais mis à le fixer sans bouger. Tu sirotais d'abord sagement ton verre, avec les pensées d'un mauvais garçon qui s'apprête à s'amuser. Mais en vérité, ce n'était rien de pervers. Ca te venais, juste comme ça. T'étais mal, mal comme jamais, et la seule chose à laquelle tu pensais, c'était pas le corps de ta mère enterré six pieds sous terre, mais aux lèvres à ta portée de Nemo. T'étais complètement taré ou quoi ? Tu t'en voulais de penser à une chose pareille, à ce moment critique. Mais peut-être que c'était simplement une façon pour toi d'affronter les choses, de penser à ce qui pourrait s'améliorer dans ta vie. Et là, sans aucune explication possible, c'était Nemo que tu voulais. Alors tu posas ton verre, et tu fis de même avec le sien. Tu vis ses yeux s'agrandirent et tu tentas un petit sourire, venant prendre son visage au creux de tes mains, et venant plaquer tes lèvres contre les siennes. C'était intense, doux, ça te rappelait de vieux souvenirs qui bouillonnaient en toi depuis des siècles. Tu poussas un grognement d'excitation en le sentant répondre, te disant que c'était exactement ce qu'il te fallait. Mais t'arrachant un nouveau grognement, il s'éloigna, te repoussant doucement. Quoi, mais pourquoi ? « écoute je m'en fou, je suis mal et tout ce que je veux là, c'est toi. J'suis complètement paumé ouais, mais là j'ai juste envie de toi, s'il te plait Nemo... Ca me ferait du bien là. Vraiment. » Tu murmurais en le voyant inquiet, secouant la tête. Tu venais coller ton front au sien. Tu n'étais pas ivre, ni drogué, t'étais juste toi même et tu le voulais. « Je sais que t'en as envie aussi, laisse toi tenter... » Tu murmuras, le regardant dans les yeux, soufflant un souffle brulant sur ses lèvres.
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Pourquoi te faisait-il toujours cela ? T'avais l'impression que le but de sa vie, c'était de te tenter quand tu ne t'y attendais pas. Alors déjà que sobre t'étais pas quelqu'un qui savait très bien résister aux avances à part si vraiment le mec était dégueulasse ou que t'étais en couple, mais si en plus tu venais un peu de boire et qu'il te prenait par surprise... Tu commençais juste très mal pour ce qui était question de droiture et de volonté d'être respectueux envers lui. Merde, tu venais d'arriver il y avait de ça une trentaine de minutes à ce qu'il accepte de faire un essaie d'amitié avec toi, et tu foutais tout en l'air parce que tu répondais à ce foutu baiser. Tu ne pouvais même pas lui en vouloir – il était mal, il n'était plus lui-même, il serait prêt à tout tenter pour aller mieux – mais toi, t'étais celui qui devait arrêter ça avant que ça ne devienne n'importe quoi. Et c'était dur. Alors c'est ce que tu fis, tu le repoussais doucement, lui montrant qu'il était déboussolé, mais comme d'habitude, monsieur Oscar ne semblait que se foutre de tout et de faire toutes les bêtises du monde sans penser aux conséquences. Il collait son front au sien, et tu lâchais un soupire tremblant, parce que t'avais quand même 1) l'impression que t'allais finir de toutes les manières par abuser de lui ce soir, et 2) qu'il te demandait ouvertement de faire la prostituée pour lui parce que ça lui ferait oublier ses malheurs. Ouah. Putain, t'osais même pas réfléchir à l'état de ta conscience demain matin. T'étais en tout cas en plein dilemme, et le bien et le mal se combattait étroitement dans ta petite cervelle de moineau. Et puis son murmure chaud contre tes lèvres faisait le reste. « Putain... » Tu murmurais presque dégouté parce qu'il gagnerait à chaque fois à ce jeu s'il te tentait comme ça. Mais maintenant, c'était à ton tour de vouloir oublier la connerie que t'allais faire, de vouloir oublier ses paroles de mec paumé qui ne sait pas ce qu'il fait ni ce qu'il dit, alors tu l'embrassais à nouveau langoureusement – pour oublier. Tes mains venaient déboutonner sa chemise avec hâte alors que tu retrouvais avec bonheur la sensation de ses lèvres sur les tiennes, brûlantes et demandeuses. Tes mains glissaient sur son torse une fois la chemise à terre, que tu redécouvrais sous tes doigts : c'était sûr, il avait bien grandi et s'était bien musclé, le jeune homme de dix-sept ans que tu avais autrefois aimé.

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