I WANNA BE YOUR LITTLE WIFE. (emrys)

Une centaine de question me passe par la tête : et si on se laisser aller ? Et si ça dépasser le jeu ? Et si on en reste là, qu'est-ce qu'on deviendras ? Est-ce que si c'est moi qui l'embrasse, c'est pas considéré comme un détournement de mineur ? Et puis mince, je suis déjà sortir avec des mecs plus âgés, et ils m'ont déjà briser le cœur, c'est pas porter plainte pour autant. Je les ai pas envoyer en taule un par un, parce qu'ils voulaient pas m'aimer, ni encore me faire des papouilles quand j'en avait envie. Sa main se pose sur ma cuisse et une centaine de frisson me traverse, j'ai l'impression d'avoir reçue un électrochoc tellement c’était puissant. Il est si près que je sent son haleine contre ma peau, il s'avance d'ailleurs pour faire des baiser dans la nuque. ET JE VAIS MOURIR. Et puis.. ET PUIS. Sa voix rauque et sensuelle prononce avec délicatesse : Madame Zacharias. Je fond littérairement, littérairement parce que je me laisse fondre sur le canapé, pour qu'il puisse me faire des papouilles avec plus d’ampleur, je le tire d'ailleurs contre moi, pour passer mes mains autour de ses épaules, un d'un souffle lent, je murmure : « Oh, monsieur Zacharias, vous me faite fondre. » Je passait mes doigts dans ses cheveux, avant de relever sa tête pour lui faire face. « Cette journée a été particulièrement longue, et j'ai particulièrement besoin de tendresse. » dis-je avec une petite voix, tandis que je m'approchais de lui doucement. J'embrasse son front, puis son nez, et descend jusqu'à ses lèvres, j'hésite un instant, nos lèvres à quelques centimètre l'un de l'autre, son souffle dans le miens.

Et voilà ni vu ni connu, je fais basculer la petite demoiselle dans un moment d’émoi, comme si je l'avais chavirer rien que par ma voix sensuelle et ça me fait bien rire mais je n'aime pas trop ce jeu au final car putain, ouais, je suis un mec et maintenant je me suis foutu dans la merde. Ma virilité commence à me démanger et je sais clairement que ce n'est pas bien de me faire une fille de 18 ans mais bon, ... Je la regarde intensément ne pouvant cesser ce jeu et ne pouvant réprimer mon envie pourtant ma conscience moral me fait me demander si elle est assez forte et si je fais bien de me laisser tenter par ce qu'on me met sous le nez. Alors qu’elle s'amuse de la situation et répond à mes provocations par de bons signaux, je ne sais plus comment agir et quand elle me tire vers elle, je sens que je vais pas résister, non que je l'aime ou que je l'ai déjà imaginé comme une future copine mais juste parce que je suis un mec et que je veux ... enfin ... baiser. Elle embrasse mon front et je trouve ça presque trop bizarre puis elle descend, je sens son souffle près de mes lèvres, elle hésite. Notre proximité n'est plus un jeu, me fait flipper parce que j'ai peur des conséquences en fait mais d'un coté, mon coté mâle, mon coté mec qui s'en fout, veut clairement poursuivre mais le nouveau Emrys décide de reprendre la parole dans un murmure : es-tu consciente que si on continue ... ça peut aller loin, plus loin mais ne pas signifier plus ? Ouais, le nouveau Emrys prévient, le nouveau Emrys n'est pas un total goujat. Et pourtant, comme pour lui donner un avant gout, la persuader, je brise la barrière entre nos lèvres et fond dessus, dans un baiser fou, sauvage avec beaucoup de tendresse malgré tout dans mon toucher, mes mains qui glisse dans son dos.

Je sens que la tension monte entre nous et la chaleur est clairement là tant il y a de désir dans la pièce. Incompréhensible, je m'en veux déjà intérieurement mais je ne peux résister, j'ai besoin de ce corps à corps alors si, beaucoup plus respectueux, je lui demande son souhait et si elle veut que je me stoppe, je n’arrête pas et la tente à nouveau avec un baiser sauvage. Je la sens alors toute chose, tremblante de désir mais elle est troublée et cherche clairement à réfléchir. Elle se contredit, bougeant la tete étrangemment puis elle me dit qu'elle a envie de moi parlant malgré tout d'un "mais". Je grimace et j'ai déjà peur qu'elle me laisse dans cet état. Un silence s'installe et mes doigts bouge sur sa cuisse que je ne veux abandonner. Là, elle reprend son humour en me disant d'enlever mon pull qu'elle aime pas et je me contente de grogner doucement, sensuellement ; Coquine va ! Nous enlevons alors mon pull et je l'allonge doucement sur le canapé pour la surplomber et embrasser à nouveau ses lèvres, manger son cou si pale. Je profite pour lui faire quelques caresses adroites de mes mains, glissant le long de son corps fins, si petit ; j'aurai presque peur de le briser !

Je sens clairement son trouble et si cela me touche, j'ai honte de faire ce que je fais avec une aussi jeune demoiselle pourtant je ne peux stopper, je n'y arrive pas encore moins quand elle regarde avec tant de désir mes muscles saillants. Un sourire ravageur, j'embrasse son corps alors qu'elle entreprend de se déshabiller dévoilant une petite poitrine qui me tire un sourire malicieux. Je passe un doigt entre les deux d'une façon douce alors qu'elle passe ses mains sous la dernière barrière qui dévoilera son torse. Je le retire appréciant son regard sur moi et lui ordonne presque en attrapant ses mains pour les mettre sur celui-ci. Là, elle me regarde, se stoppe en me proposant d'aller dans ma chambre. Je me mord la lèvre avant de me lever, l'aider à se redresser et la prendre dans mes brzs, ses pieds ne touchant plus le sol. Montre moi ce que tu sais faire et tais toi ... Un regard malicieux et coquin, dans mes bras, je la mène à ma chambre, la jetant sur mon lit avant de glisser sur elle en parsemant son corps de baiser : oserait-elle retourner cette situation ?