DWIRYA ♥ I can't live without you anymore

Qu'est-ce que j'étais en train de faire en fin de compte ? Une relation des plus interdites qui pourrait me coûter bien plus que ma réputation qui n'était plus à faire d'ailleurs mais plutôt à changer tellement elle était mauvaise. Cependant je me foutais royalement des on dit parce que j'étais aux côtés de la fille de mes rêves, de celle que j'aimais depuis presque toujours en fait. J'en venais à regretter mon mariage avec Ariana mais c'était obligé ce fameux mariage de septembre 2014, et ce afin d'accomplir les derniers souhaits d'un mourant, le père d'Ariana… Qui venait de rendre l'âme d'ailleurs quelques jours plus tôt, ce qui voulait dire que nous pouvions désormais meubler pour obtenir notre divorce mais ça demandait énormément de paperasse etc.… Comment mettre fin à un mariage aussi publique, aussi important ? Eh bien c'était juste mais totalement compliqué et je me demandais comment Apo allait tenir mais je ne voulais qu'elle alors j'allais tout faire pour y mettre un terme à ce fichu mariage qui avait ruiné ma vie en fait… Nous étions tranquillement sur le lit et je lui promettais avec conviction que je mettrais tous mes moyens de mon côté afin de réussir… Je continuais à lui donner des baisers dans le cou et pendant ce temps, elle venait mettre ses mains dans mes cheveux. Je revenais doucement à ses lèvres pour l'embrasser passionnément avant de lui murmurer tout contre ses lèvres : « On est bien là tous les deux ? Loin de tout… »

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Il t'avait déposé doucement, comme une fleur dans un vase. Tes yeux pétillaient, pour une fois qu'on pouvait les voir, vu que tu n'étais pas défoncé ou bourrée. Tu étais normale, tu étais totalement lucide et c'était devenu bien rare depuis un moment. Ta tête reposait sur la couette en soie, délicat et surtout doux, tu étais si bien là, en ce moment même. Tu ne ferais rien pour échanger ce moment, au contraire, tu aimerais que celui-ci dur encore longtemps. Tu fermais doucement tes yeux quand tu sentais que le jeune homme commençait à t'embrasser le long de ta nuque. Tu te mordillais la lèvre et tu passais tes doigts dans ses cheveux. Tu le caressais, le laissant faire ce qu'il voulait de toi. Après tout, tu lui appartenais, même s'il portait toujours cette bague venant de son épouse. Tu n'y pensais plus, tu préférais te changer les idées, avec lui. Tes jambes se tendaient doucement, ton corps se raidissait comme souvent. Tu respirais tranquillement, et tu le laissais revenir près de tes lèvres. Tu prolongeais ce baiser, posant tes mains sur son visage que tu caressais avec ton pouce. Tu étais si bien, que tu pouvais faire ça pendant des heures et des heures, d'ailleurs il n'y avait rien de prévu puisque nous venions d'arriver. Un peu de repos ne ferait pas de mal, surtout à ses côtés. Ou tu pouvais passer encore du temps contre lui, à l'embrasser et autres. Tu ouvrais délicatement tes yeux, pour poser ton regard dans le sien. Ton front s’appuyait contre le sien. « Oui tellement bien. » un petit sourire sur tes lèvres, tu ne bougeais plus.

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J'avais envie de hurler à tout bout de champ que j'étais assurément l'un des hommes les plus heureux du monde en ce jour mais je ne pouvais pas tellement le faire parce qu'il se trouvait que je suis également un homme marié, qui plus est j'étais médiatiquement très demandé ! Non seulement à cause de ma famille très présidentielle donc très médiatisée, qui n'avait de cesse de se retrouver dans les journaux à scandale due à mes putains de conneries de jeune homme mais aussi parce que j'étais également un acteur de Hollywood qui commençait à se faire de plus en plus un nom dans le métier ! Donc oui je vais devoir garder ma relation avec Apo vraiment secrète mais comme j'étais complètement amoureux d'elle – ouais je n'osais pas prononcer les fameux mots mais j'en avais profondément envie – j'allais certainement avoir de mal à accepter de devoir cacher tout cela plus longtemps… Je lui faisais clairement comprendre que j'allais me battre pour obtenir ce fichu divorce. J'étais contre la jeune femme et je lui murmurais qu'on était bien ainsi et elle me répondait par l'affirmative, ce qui me faisait sourire. « Tu veux faire quoi ? » lui demandai-je doucement en la regardant longuement dans les yeux avec un joli sourire.

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Tout se brouillait dans ta tête, absolument tout. Tu avais l'impression qu'il prenait petit à petit ton cœur, comme s'il te l'arrachait. Une douleur immense, mais à la fois enivrante s'emparait de mon cœur, de mon corps. Tes yeux se fermaient sous le baiser du jeune homme. Tes mains étaient venue se poser sur ses joues sans même que ton cerveau puisse te dire quelque chose. Tes joues rougissaient doucement, c'était bien la première fois que tu étais angoissée, ou même mal à l'aise. Tu repenses à sa femme, si parfaite, tu comprenais pourquoi son père du moins ses parents l'avaient choisi. Elle, un corps parfait et sans imperfections, sans tatouage ni de piercing. Elle était une femme avec les cheveux toujours bien coiffés, un maquillage plus que simple. En gros, elle était totalement ton opposé et tu te demandais comment tu pouvais l'attirer, lui. Ton esprit se remplissait de question, suffoquait de plus en plus tellement les questions se chargeaient. Mais, tu préférais ne pas mettre le doute, tu préférais pas mettre ce moment en danger. Non, tu l'avais tellement attendu, tu avais tellement envie d'être là, dans cet endroit, dans cette position. Son regard, son visage te faisait craquer de plus en plus, te faisait fondre doucement, mais sûrement. Tu posais ton regard dans le sien, tu passais doucement tes mains sous son haut, caressant son torse. Un petit sourire en coin, tu soufflais tendrement « Tout dépend de ce que tu veux faire. » Tu ne bougeais plus tes mains, elles restaient là sur son torse.

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Je me demandais depuis quand exactement j'avais eu conscience de ce que je pouvais véritablement ressentir à l'encontre de ma meilleure amie d'enfance. Eh bien je pourrais presque assurer sur le fait que cela datait des jours où je me trouvais dans cet établissement de malheur, c'était tellement horrible et je ne cessais de penser à elle… Je me demandais quand est-ce que je pourrais retrouver ma meilleure amie, la fille que j'aimais le plus au monde après ma petite sœur voire même autant que ma sœur quoi ! Ce qui montrait à quel point j'étais attaché à la jeune femme et j'ai vraiment accepté de croire à mes sentiments que le fameux jour où on s'était retrouvés nus dans le même bain… Ce fameux jour où j'avais décidé de goûter à ses lèvres si douces… Je n'avais pu résister plus longtemps à la tentation de poser les miennes dessus donc oui je l'avais embrassée avec tendresse et aujourd'hui, je pourrais vraiment l'embrasser. Je n'aurais plus peur de le faire maintenant même si comme je ne cessais de me le rappeler, j'allais devoir garder cette relation secrète le temps que mon divorce soit réellement déclaré. J'allais certainement y perdre beaucoup de choses dont la confiance absolue de mes parents mais ça c'était vraiment le cadet de mes soucis quoi ! J'avais la personne que je voulais le plus depuis quelques temps donc le reste était futile : de toute façon, même si mes parents décidaient de me couper les vivres et tout, j'étais encore assez riche pour vivre sans leur aide financière. Qu'importe, je demandais à la jeune femme ce qu'elle souhaitait maintenant et sa réponse me fit sourire légèrement avant que je ne réponde d'une voix légèrement amusée : « Je crois que si on pouvait, je resterais à vie dans ce lit juste avec toi ! Loin de tout ! » Je me penchais pour lui prendre de nouveau les lèvres avant d'enfouir ma tête dans son cou et la serrer contre moi.

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Pourquoi lui, était au-dessus de toi ? Ce n'était pas parce que tu avais ce foutu plâtre que tu ne pouvais pas te placer au-dessus de cet homme. Tu appréciais contrôler absolument tout, et tu voulais pouvoir glisser doucement tes mains, la ou tu le désirais. Tu le regardais tendrement, tu te laissais glisser, tu te laissais caresser et tu l'examinais toujours. Tu l'embrassais, car oui tu en avais affreusement envie. C'était bien la première fois que tu embrassais quelqu'un autant de fois. Tu avais envie d'être près de lui, d'être toujours vers lui. Tu ne voulais plus être séparé, tu ne voulais plus cacher tes sentiments. Et pourtant, tu savais que tout était impossible entre toi et lui pour le moment. Tu devais attendre, tu devais cacher tes sentiments, tu devais vivre ta vie comme avant. Sauf, que tu ne pouvais plus coucher avec les autres, les chauffer, les embrasser et tout ce genre là, tu devais oublier. Car tu étais à lui, malgré son mariage. Si tu avais le malheur d'aller voir ailleurs, tu le trompais, et tu t'en voudrais. Tu chassais ces pensées, tu chassais chaque moment qui n'avait rien à faire ici. Tu le regardais encore et encore, tu souriais à ces paroles. « C'est vrai. » laissais-tu sortir doucement de ta bouche. Tu n'avais rien a ajouter, il disait toujours tout ce qu'il fallait. Quand il t'embrassait par la suite, tu suivais chacun de ses mouvements et au moment. Ou il posait sa tête vers tes cheveux, tu le bousculais. Tu étais maintenant au-dessus de lui, tu posais doucement tes fesses au bas de son ventre, même un peu plus bas. Tu avais un petit sourire sur les lèvres, tu remontais doucement le maillot de celui-ci pour observer son corps, son torse. Tu passais tes mains doucement sur celui-ci et tu lui soufflais « Maintenant je peux faire tout ce que je veux. » Tu te penchais près de lui, tes cheveux venaient lui caresser doucement le torse. Pendant que tu l'embrassais tendrement dans le cou.

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Je la laissais me toucher avec tendresse tandis que je me perdais dans son joli regard, je me posais mille et une questions mais je ne trouvais aucune réponse parce que j'étais bien trop occupé à admirer la jeune femme qui se trouvait actuellement sous moi. C'était horrible comme sentiment quand même l'Amour parce qu'on avait l'impression qu'on ne savait plus rien faire à force mais d'un autre côté, c'était très beau aussi… Oui vous avez compris, j'ai complètement l'esprit embrouillé actuellement et je ne savais plus trop ce que je devais faire ou non ! Je ne m'étais jamais réellement retrouvé dans pareille situation mais toujours est-il que je me sentais trop bien et je ne voulais plus penser à mon putain de mariage avec Ariana ! Pour l'heure il n'y avait plus que la belle femme toute tatouée que je ne cessais d'embrasser depuis tout à l'heure, qui comptait à mes yeux. Alors que je lui avouais que je pourrais rester à vie avec elle dans ce lit, elle me souriait avant de me répondre par l'affirmative avant me bousculer pour qu'elle puisse se retrouver sur moi. Je me laissais docilement faire avec un petit sourire malicieux tandis qu'elle se mettait à m'admirer. Elle me disait qu'elle pouvait faire tout ce qu'elle voulait maintenant, ce qui eut le don de me faire rire légèrement. « Je suis tout à toi ! » lui soufflai-je doucement tout en la laissant m'embrasser dans le cou. Hum j'aimais beaucoup! Je me mis à lui caresser doucement ses cheveux, me laissant toujours faire d'un air docile

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Tu étais maligne et tu ne perdais pas une minute. Non, tu ne voulais pas que faire ça, mais tu voulais au moins voir le corps de celui qui faisait battre ton cœur. Même si tu l'avais déjà fait lors de votre bain, chose que tu n'allais jamais oublier. Tu voulais recommencer, promener tes mains, l'embrasser doucement et tendrement. Profiter de chaque moment, de chaque minute, de chaque parcelle de son corps. Tu te retrouvais maintenant au-dessus de lui, tu t'ondulais doucement sur son corps. Tes cheveux tombaient en cascade le long de ta poitrine et se posaient par la suite sur Dwight. Tu déposais des petits baisers le long de son cou, tu attrapais son haut dans tes mains et tu lui enlevais doucement, le posant à tes côtés. Il était maintenant torse nu devant toi, tu souriais toujours, et tu descendais encore plus bas tes baisers au niveau de son torse. Tu promenais tes mains, balayant tes doigts le long de son jean. Tu n'allais pas aller plus loin, du moins par pour le moment. Tu te mordillais ta lèvre, il était si magnifique, tu ne l'avais jamais autant examiné. Tu remontais tes baisers jusqu'à ses lèvres et tu mordais doucement sa lèvre inférieure. Tu posais ton front contre le sien, ta respiration se faisait légèrement plus rapide. « Tu es sûr ? » lançais-je rapidement. Tu avais certainement quelque chose en arrière-pensée, mais quoi ? Il n'y avait que toi qui étais au courant. Tu descendais de nouveau ta main pour défaire le premier bouton de son jean. Tu ne le quittais pas du regard, voir chaque réaction qu'il allait faire.

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Je me sentais bien à l'heure actuelle et je ne comptais nullement pas repartir ! Moi Dwight Hoover, je n'avais pas envie de quitter une nana, c'était juste mais totalement pas logique du tout quoi ! Mais comme je ne cesse de le répéter depuis quelques temps, cette fille là, ma Apolinarya, c'était ma chérie… Et je savais que j'allais tomber amoureux d'elle de plus en plus ! Je ne pourrais plus jamais laisser cette fille tomber…. Je l'avais déjà lâchée une fois à cause de ces connards de parents qui ne servaient strictement à rien mais cette fois plus personne ne pourrait m'empêcher de rester à ses côtés – quitte à refaire une putain d'overdose de drogue – je suis un nouvel homme et cette femme était celle qui me manquait… Je la laissais faire comme je lui avais dit, et elle se mit à m'embrasser dans le cou, c'était si bon… Je me laissais toujours aussi docilement faire alors qu'elle me retirait mon teeshirt pour que je me retrouve torse nu. J'avais un petit sourire sur le visage, je l'admirais avec émerveillement. Elle était belle ma petite amie toute tatouée, elle descendait ses doigts jusqu'à mon pantalon et après avoir murmuré un petit tu es sûr auquel je ne répondis même pas, elle s'était mise à défaire les boutons de mon pantalon… Je la laissais toujours faire… « Je suis à toi désormais, tu peux tout faire de moi »

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Tu passais du bon temps avec ce jeune homme, oui du bon temps. Tu aimais le regarder, le caresser et tu t'amusais petit à petit avec lui. Il te faisait languir, il ne bougeait pas, il ne faisait rien à part te regarder. Tu lui souriais, car c'était toi qui faisais tout. Tu bougeais largement tes fesses qui se trouvaient au niveau de son sexe. Mais celui-ci ne sourcillait même pas. Tu te vexais petit à petit comme une petite gosse, mais tu n'allais pas en rester là. Non, tu n'allais pas baisser les bras, tu descendais tes baisers le long de sa mâchoire puis dans le cou. D'ailleurs tu le mordillais doucement, tirant sa peau vers toi comme un vampire. Tu faisais courir ta langue sur sa peau pour déposer de nouveau des baiser. Tu descendais petit à petit et tu arrivais au niveau de ses tétons et tu faisais des petits cercles autour deux ceux-ci qui devenaient légèrement plus durs. Un petit sourire sur tes lèvres, tu continuais ton chemin, tu étais si bien partie. Tu descendais tes baisers et ta langue sur ses abdos, tu aimais son corps, tu aimais son torse, tu l'aimais tout simplement. Tu commençais à défaire son premier bouton et tu le regardais. « D'accord. » soufflais-tu doucement entre tes lèvres. Tu enlevais le deuxième puis le troisième bouton de son jean et l'enlevais doucement. Il se retrouvait en boxer, et tu étais fière de toi. Oui très fière, tu passais tes mains douces vers ses cuisses et tu glissais tes mains en dessous de son boxer.

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