DWIRYA ♥ I can't live without you anymore

Lun 26 Jan 2015 - 1:11

Au lendemain des récents événements qui avaient ébranlé l'université d'Harvard, ma confrérie l'Eliot House avait décidé d'organiser un voyage à Jersey pour le compte du voyage semestriel et bien sûr j'avais accepté de faire partie de l'expédition mais je n'avais guère souhaiter m'y rendre seul alors j'avais demandé à ma meilleure amie AApolynaria si elle voulait bien m'accompagner, malgré le fait qu'elle soit plâtrée elle avait accepté de s'y rendre en ma compagnie. Cependant je devais vous avouer que je ne m'étais montré très bavard pendant tout le voyage en avion et ce parce que je ne cessais de revoir les images de la prise d'otages à la cafétéria de l'université... Surtout la façon horrible dont s'était terminée la prise d'otages. je revoyais la tête de ce mec qui explosait sous l'impact de la balle qu'il venait de flanquer lui même dans la tête... J'avais envie de vomir, de pleurer... Je ne ressentais plus que de la détresse à l'heure actuelle... Je ne ressentais plus rien d'autre et d'ailleurs lorsqu'on était arrivé à destination, je m'étais posé sur le lit king size de notre suite et je regardais ailleurs sans me douter que je serais en train de verser des larmes de tristesse malgré le bonheur que j'éprouvais en passant des jours en compagnie d'Apo... que j'aimais de tout mon coeur maintenant... J'ignorais que j'allais à ce point être amoureux de ma meilleure amie...

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Lun 26 Jan 2015 - 22:45

Tu passais tes journées auprès de ton meilleur ami, depuis ton accident tu ne pouvais plus faire grand-chose seule. Il venait t'aider au maximum, mais parfois tu passais ta journée au lit. Tu n'avais pas vraiment la force d'aller dehors, de te rendre en cours, tu préférais t'isoler. Chaque fois que tu étais malade, à chaque fois que tu étais blessée, tu déprimais. Heureusement, Dwight t'avait proposé de partir avec lui à son voyage en Europe. Tu avais dit oui, tu avais accepté sa proposition malgré le fait que tu avais cette jambe dans le plâtre. Tu avais pris un grand sac de sport, celui que tu prenais pour la danse autrefois. Tu avais mis tes robes, tes jupes, tes jeans, short et bien d'autre chose. Tu avais limité pris ta maison entière dans tes bagages. Tu étais comme ça, tu ne pouvais jamais choisir de ce que tu allais mettre. Pendant le trajet tu avais fermé les yeux et tu avais attendu l'arrivée de l'avion grandement, tu n'aimais pas voyager en avion. Tu avais toujours peur de mourir, peur de se crasher. Tu te faisais toujours des centaines de films, et pourtant à ton arrivée, tu étais encore là. Belle et bien en vie et tu marchais aux côtés des autres, tu suivais ton ami sans broncher. Il était différent, et tu savais pourquoi. Mais tu ne disais rien, tu arrivais à l’hôtel, tu portais tes sacs malgré ton plâtre. Tu ne voulais pas que quelqu'un t'aide, que quelqu'un ait pitié de toi. Tu avais pris l’ascenseur comme une grande et tu te trouvais enfin dans ta chambre, ta chambre que tu partageais avec Dwight. Tu avais laissé tomber ton sac de sport au bord d'un lit, tu restais appuyé sur tes béquilles. Tu avais le regard vide, tu restais debout au milieu de la suite. Ton regard s'était posé sur lui, mais pourtant tu ne bougeais pas.

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Mer 28 Jan 2015 - 14:03

Posé sur le lit king size, je m'étais mis à penser à je ne sais quoi mais c'étaient de sombres pensées quand même... Je n'avais qu'une envie actuellement c'était de me cacher de tout et de rien parce que les récents événements m'avaient fait revivre ce que j'avais vécu lorsque j'avais perdu Kenzy pendant les attentats... J'étais vraiment triste là, je déprimais à vue d'oeil en plus je me rappelais que pendant la prise d'otages, je parlais avec une voix qui n'était pas du tout la mienne mélangeant l'anglais et le français parfois. J'avais même failli parler en Sindarin - vous savez le langage des Elfes dans l'univers de la Terre du Milieu de JRR Tolkien - et là ça aurait été folklorique quand même ! Mais il fallait que je cesse de penser parce que je me trouvais actuellement en Europe avec Apo et je comptais profiter au maximum de mon temps à ses côtés, surtout après ce qu'il s'était passé quelques jours plus tôt... Je commençais sérieusement à ressentir des trucs à son égard et quand bien même cela me faisait vachement peur, j'étais prêt à prendre le risque. J'avais rapidement senti son regard se poser sur moi alors oui je m'étais tourné pour croiser son regard et je m'approchais d'un pas. Et sans réfléchir je la prenais dans mes bras afin d'enfouir mon visage dans son cou... J'avais tellement envie de pleurer mais je restais fort, je ne pleurerais pas ! " Je suis content que tu sois là avec moi, Apo ! " murmurai-je d'une voix légèrement rauque sans lever ma tête. J'humais doucement son parfum aux senteurs délicates et qui m'enivrait petit à petit.

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Mer 28 Jan 2015 - 19:55

Tu n'arrivais pas à oublier ce fameux baiser que tu avais échangé avec ton meilleur ami. Cela était bien plus compliqué que prévu, largement plus problématique car depuis tu n'arrivais pas à savoir comment te comporter avec lui. C'était certainement pour ça que tu étais distante et que pendant tout le trajet tu avais fermé les yeux et tu avais regardé par la fenêtre du début à la fin. Tu l'avais suivi sans un bruit jusqu'à notre suite, car oui, tu allais partager la même chambre que lui. Tu ne savais pas encore si un deuxième lit se cachait dans cette suite, mais pour le moment, il n'y en avait qu'un. Tu ne disais rien, tu marchais tranquillement dans la chambre à l'aide de tes béquilles. Tu avais lancé de toutes tes forces ton sac qui était tombé sur le sol, tu avais ton ordinateur dedans en espérant que celui-ci était résistant. Tu restais là planté au milieu de la chambre, comme si quelque chose te bloquait d'avancer et c'était le cas. Ton regard vide s'était posé d'un seul coup sur le jeune homme, tu avais besoin d'une réponse. Ton cœur et toi-même tu étais perdu, totalement perdu. Tu avais cette boule au ventre depuis qu'il avait déposé ses lèvres sur les tiennes et que tu avais prolongé ce baiser. Tu t’appuyais doucement sur tes béquilles et tu fais quelques pas, tu regardais la suite du regard. Elle était magnifique, plus que magnifique, tu savais que tu allais te sentir plus que bien dans cet endroit. Tu respirais doucement et tu fermais un instant les yeux, tu entendais que ton ami bougeait. Et une fois que tu ouvrais de nouveau les yeux, il te prenait dans ses bras. Je soupirais, de soulagement bien sûr. Un poids s'échappait de ton corps, même si un restait toujours présent. « Je suis contente aussi... » laissais-tu sortir de ta bouche, tu collais ton visage contre son corps, tu fermais les yeux doucement.

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Quelques jours plus tôt j'avais fait quelque chose que je n'aurais jamais pensé faire: embrasser ma meilleure amie alors que je m'étais toujours dit de ne jamais faire ça parce qu'elle était bien trop précieuse pour que j'ose la transformer en une sexfriend... Mais en fin de compte au fil des jours, je compris ce qu'elle était devenue pour moi... Elle était bien trop importante dans ma vie à l'heure actuelle et je refusais de la perdre... Je tombais petit à petit amoureux d'elle c'était incroyable... Je n'aurais jamais cru que cela m'arriverait un jour mais il semblerait que c'était en cours d'élaboration quoi ! D'où la raison pour laquelle je l'avais invitée au voyage des Eliots mais qui serait certainement le dernier étant donné ma future décision de quitter à nouveau la maison à cause d'une certaine personne dont je tairais le nom... Qu'importe je prenais Apo dans mes bras et je m'étais mis à lui parler tendrement avant de lui relever le visage et doucement, je posais mes lèvres sur les siennes avant de me cacher dans son cou puis après une grande inspiration, je la regardai dans les yeux avant de dire: " Je sais que je suis encore marié mais je veux que tu sois ma chérie Apo... "

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Tu n'avais pas bougé de ta place, tu avais posé ton regard sur ton meilleur ami, ou ton ami ou quelque chose dans ce genre. Depuis qu'il t'avait embrassé, tu ne savais même plus quoi faire, le considérer comme quoi. Tu l'aimais, mais tu ne voulais pas l'avouer, pourquoi ? Il était marié, et tu n'étais rien comparer à sa femme, même si tu avais énormément d'argent. Même si ta famille restait connue, tu n'étais pas assez bien pour lui et surtout pour sa famille. Tu avais vite balayé cette idée, il resterait à jamais ton ami, ton confident, ton meilleur ami. Tu avais accepté son voyage, après tout tu pouvais tout de même profiter de ces rares moments avec lui. Mais durant tout le trajet, tu t'étais posé une centaine de question, pour au final t'en dégoûter. Tu avais préféré t'isoler pendant un moment et là, tu te retrouvais en face de lui et la réalité. Tu avais déposé tes affaires comme une grande, tu les avais porté puisque tu avais refusé qu'une personne te les prenne. Tu étais une tête de mule, tu étais totalement consciente de ça, tu avais avancé de quelques pas. Pour au final posait ton regard sur lui. Il te retrouvait et te prenait dans ses bras, ça te faisait du bien, mais au final il te perturbait, il te perdait. Ton cœur battait rapidement, trop rapidement, cela faisait si longtemps que tu n'avais pas ressenti ça. Tu fermais les yeux, tu le laissais faire, tu répondais vaguement. Alors que tu pensais n'avoir qu'un simple câlin, il te soulevait doucement le menton pour t'embrasser. Tu prolongeais ce baiser, un long baiser et ton cœur faisaient un bond, encore un. Des frissons parcouraient tout ton corps, tu baissais doucement les yeux. Mais celui-ci te regardait, tu ne pouvais pas l'éviter du regard. Il respirait fortement et d'un seul coup, il sortait cette phrase qui te faisait peur. Sur le fait, tu ne bougeais pas, tu tournais du regard. Tu te mordais les lèvres, tes joues devenaient légèrement rouges. « J'aimerais aussi. » laissais-tu sortir de ta bouche.

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Je ne savais pas du tout ce que je faisais actuellement, je me lançais tête baissée dans un truc qui me dépassait complètement. En effet, je n'avais jamais autant ressenti des choses pour une personne et encore moins pour ma meilleure amie alors oui c'était complètement nouveau pour moi… Mais le pire dans tout ça c'était le fait que j'étais encore marié officiellement à Ariana, ce qui voulait dire que je ne pourrais guère créer véritablement pas de relation avec Apolinarya tant que je n'étais pas officiellement divorcé… Quand bien même la procédure de divorce était en cours, cela prendrait un temps fou… Normal quoi ! Il s'agissait tout de même de l'Administration américaine! Fin bref, quand j'avais décidé d'inviter Apo à ce voyage jusqu'à Jersey c'était dans le but de passer encore plus de temps en sa compagnie parce que je voulais sincèrement me rattraper du retard qu'on avait accumulé à cause de mon départ si précipité ! Mais au final, il y avait un autre objectif dans ce voyage et c'était ce que j'étais en train d'accomplir à l'heure actuelle… En effet après avoir passé quelques petites minutes à regarder au loin par la fenêtre, je suis revenu auprès de la jeune femme que je prenais aussitôt dans mes bras afin de lui prodiguer un câlin comme on en avait tant l'habitude de faire auparavant mais aujourd'hui cela avait une toute autre signification… Alors oui sans hésiter, je lui soulevais son menton afin de l'embrasser avec tendresse… Un baiser qu'on prolongeait avant que je ne lui murmure quelques mots qui indiquaient clairement que je souhaitais sortir avec elle… Elle me répondait par l'affirmative… Je l'embrassais de nouveau passionnément avant de la prendre doucement dans mes bras pour l'emmener jusqu'au lit où je l'allongeais délicatement. « Je tiens tellement à toi Apo… Je veux vraiment construire cette relation avec toi... » murmurai-je d'une voix douce avant de cacher mon visage dans ses beaux cheveux.

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Tu finissais pas vraiment être chamboulée, tu ne voulais ressentir l'amour, ce sentiment que tu avais repoussé depuis des années. Tu t'en étais très bien sortie et plus d'une fois tu avais repoussé l'homme qui te faisait trembler de plaisir, qui faisait battre ton cœur anormalement quand tu le croisais. Mais, cette fois-ci tu avais baissé les bras, tu avais laissé tomber les armes, tu te laissais enivrer par cette douceur. Tu te laissais prendre au piège comme un petit insecte dans la toile d'araignée. Tu te laissais faire par cet homme que tu aimais temps, qui te faisait frissonner à chaque fois qu'il te frôlait ou te touchait. Tu avais ton regard planté dans le sien, et tu te collais à lui comme tu faisais souvent. Tu fermais un instant les yeux, tu te laissais porter par ce bien. Tu n'avais jamais trouvé un homme qui te correspondait, avec qui tu savais que tout allait bien se passer. Non, tu n'avais jamais réussi à trouver un homme qui pensait la même chose que toi. Il était l'unique, il était le seul à te comprendre et à te combler de bonheur en étant qu'un simple ami. Tu étais blotti contre lui et au final il t'avait relevé doucement ton menton, pour que ton regard se pose dans le sien. Il déposait ses lèvres contre les tiennes, elles étaient douces et sucré encore plus que ce que te n'avais imaginé. Tu fermais les yeux, prolongeant son baiser. Avant que celui-ci souffle quelques mots, des mots qui avaient résonné plusieurs fois dans ton cerveau avant que tu ne puisses réaliser qu'il ne rigolait pas. Il t'embrassait une deuxième fois, et tu déposais tes mains contre son torse, prolongeant se baiser. Tu te laissais totalement aller, il t'amenait doucement vers le lit. Tes cheveux s'étalaient sur le lit, tout comme toi. Il te rejoignait, du moins il était au-dessus de toi. Tu te mordillais la lèvre comme tu le faisais sans même t'en rendre compte. Tu caressais son corps, le rapprochant un peu plus de toi. Tu passais tes doigts sur son visage, caressant ses joues « Moi aussi je tiens énormément à toi et j'aimerai que tu sois totalement à moi. Que je n'ai plus à devoir partager. » un petit sourire sur tes lèvres, tu te rapprochais encore près de lui. Pour déposer un long baiser sur ses lèvres. Tu ne disais jamais le mot qui te paraissait si faux, tu ne l'avais jamais dit et ce n'était pas aujourd'hui que tu allais lui dire " je t'aime.'

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En fin de compte depuis tout ce temps, Apolinarya n'était pas qu'une simple meilleure amie à mes yeux parce que la preuve, elle était aujourd'hui ce qu'on pourrait appeler une petite amie même si ce n'était pas tellement officiel en raison de mon statut d'homme marié donc d'homme infidèle envers mon épouse Ariana… D'ailleurs si celle-ci me détestait, elle pourrait utiliser cela pour me réduire complètement à néant mais je la connaissais bien ma Ari et je savais mieux que personne qu'elle ne me ferait nullement mal quoi ! Qu'importe, je disais qu'Apo n'était pas une simple meilleure amie et elle ne l'avait jamais vraiment été en fin de compte, elle avait toujours représenté beaucoup de choses à mes yeux… En particulier le fruit défendu ! En effet je m'étais toujours interdit de ressentir quelque chose pour la jeune femme parce que je ne voulais nullement la faire souffrir mais aujourd'hui je me sentais prêt à prendre ce risque parce que je ne voulais pas du tout la perdre auprès des autres… Je ne vous raconterais pas à quel point je pouvais me sentir jaloux lorsque j'apprenais qu'elle voyait son Konrad… C'était horrible comme sentiment la jalousie et moi, Dwight Jefferson-Hoover, je ne pouvais éprouver ce type de sentiment… Mais il semblerait que je ne suis qu'un simple être humain en fin de compte et que je pouvais éprouver des sentiments très forts parce que sinon, je ne serais pas sur ce lit en train d'embrasser passionnément celle qui était jusqu'à présent ma meilleure amie. Je venais même lui murmurer que je voulais construire quelque chose avec elle, ce qui était bien rare de ma part ! Elle me répondait qu'elle voudrait que je ne sois qu'à elle… « Moi aussi mon coeur… Je te promets de tout faire pour obtenir le divorce ! » promis-je d'une voix calme et sereine avant de l'embrasser dans le cou.

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Un amour interdit, oui c'était ça. Tu n'avais pas le droit de l'embrasser, d'être collé contre lui, tu n'avais pas le droit de faire ça à sa femme. Tu t'en voulais, car au fond de toi tu savais qu'elle était adorable, mais tu l'avais toujours détesté. Car elle te l'avait pris, du moins ce mariage t'avait obligé de t'éloigner de lui. Tu avais perdu une moitié de lui, tu avais perdu une moitié de ton cœur, surtout quand il avait disparu du jour au lendemain. Tu avais plus que souffert, tu l'avais détesté pendant des semaines pour au final te rendre compte qu'il ne te manquait pas comme un simple meilleur ami. Il te manquait comme s'il était l'homme de toute ta vie, celui qui faisait battre ton cœur et celui que tu aimais tout simplement. Tu le savais, même si tu n'avais ressenti ce sentiment si peu de fois dans ta vie. Tu te sentais si bien en sa compagnie, ton corps tout entier bouillait quand tu étais contre lui. Ton cœur battait rapidement, et fort, tu avais même parfois cette boule au ventre quand il déposait ses lèvres sur les tiennes. Il te rendait vivante, il te rendait bien plus que vivante. Il t'embrassait, tu prolongeais ce qui pour toi était tout à fait normal. Tu recommençais plusieurs fois, si tu pouvais tu ne ferais que de l'embrasser et l'observer. Tu en crevais d'envie depuis trop longtemps, tu avais attendu des mois, avant de pouvoir le faire. Il t'allongeait doucement sur le lit, tu le laissais faire, tu appréciais sa chaleur et ses gestes. Il se mettait au-dessus de toi et tu l'observais, promenant doucement ses mains sur son corps. Caressant sa joue pour l'attirer doucement près de toi, et l'embrasser. Tu souriais doucement en entendant ses paroles, tu espérais de tout ton cœur qu'il allait venir à bout de ce divorce. « J'espère. » laissais-tu sortir, tu ne pouvais rien dire de plus et de mieux. Tu sentais ses doux baisers dans le cou, il ne le savait peut-être pas mais c'était quelque chose qui te faisait du bien et d'ailleurs des frissons te parcouraient le corps. Tu serrais donc tes mains dans ses cheveux, fermant doucement les yeux.

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