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Elle accepta ma main, venant ensuite contre moi. Je la serrai donc contre mon corps et finalement, lâcha dans un soulagement :
« Ne t'excuses pas Eléo... je... j'veux pas être trop dur envers toi, pas aujourd'hui... Mais »
Je pris son visage entre mes mains chaudes, pour la regarder dans le fond de ses yeux, pour qu'elle voit aussi clair en mois et je repris :
« Ma puce... J'attendrais le temps que tu voudras, mais... plus tu attendras et plus ça sera dur d'en parler. J'veux que ton bonheur, je veux qu'on dépasse ça alors je sais que ça ne se fera pas tout seul et que ça demandera du temps et je veux que tu sache que je serai toujours là. C'est pas ça qui me fera partir Eléo. Ce n'est vraiment pas ça. »
Je fis une pause, la serrant à nouveau contre moi, un peu plus fort, pour lui montrer que j'étais là, robuste et solide et que je ne la laisserai pas tomber. Non.
« Tu n'imagines même pas à quel point je me suis accroché à toi. Tu m'as rendu accro, toi et tes boucles blondes, ton odeur de fraise, tes yeux bleus, ton petit sourire, ton humour, ta douceur, ton courage. T'es une fille forte Eléo et tu t'en sortiras, on va s'en sortir je le sais, mais il faut que tu me fasses confiance. Tu dois me croire et écouter mes conseils. Si ça ne marche pas alors on fera à ta manière mais là... tu dois te laisser guider. »
Je jouais avec une mèche de cheveux caressant son visage, la plçant derrière son oreille, je continuais :
« Tu dois me croire, tu dois dormir, te forcer à manger un tout petit peu, te forcer à penser à des choses futiles aussi. Oui, tu viens de vivre quelque chose de dramatique et je ne sais même pas de quoi je parle, mais tu es là, vivante, tu es en vie, tu as cette chance, tu dois continuer à vivre, même si pour le moment ça te paraît abstrait et flou.
Et moi je serai là, je vais t'aider comme je peux, je te soutiendrai, je t'aiderai à te relever de tout ça, je t'en fais la promesse Eléo, je crois en toi, tu vas y arriver. Il ne faut plus que tu ai peur. Tu ne dois pas vivre dans la peur. On peut refaire le monde avec des "si", oui, il peut se passer un tas de trucs, mais tant que tu seras avec moi, je laisserai rien ni personne te faire du mal. »
Suite à quoi, je lui pris la main pour l'emmener dans la chambre, après avoir éteintes les lumières. On se coucha dans le lit, elle sur le côté et moi collé à son dos, plaçant mon bras sous sa tête et le second sur ses hanches, laissant ma main trouver la sienne pour mêler nos doigts les uns aux autres. J'avais laissé la lumière de sa table de nuit allumée, pour la rassurer un peu plus. Puis, je lui murmurais dans la nuit :
« N’aie pas peur, je suis là. »
« Ne t'excuses pas Eléo... je... j'veux pas être trop dur envers toi, pas aujourd'hui... Mais »
Je pris son visage entre mes mains chaudes, pour la regarder dans le fond de ses yeux, pour qu'elle voit aussi clair en mois et je repris :
« Ma puce... J'attendrais le temps que tu voudras, mais... plus tu attendras et plus ça sera dur d'en parler. J'veux que ton bonheur, je veux qu'on dépasse ça alors je sais que ça ne se fera pas tout seul et que ça demandera du temps et je veux que tu sache que je serai toujours là. C'est pas ça qui me fera partir Eléo. Ce n'est vraiment pas ça. »
Je fis une pause, la serrant à nouveau contre moi, un peu plus fort, pour lui montrer que j'étais là, robuste et solide et que je ne la laisserai pas tomber. Non.
« Tu n'imagines même pas à quel point je me suis accroché à toi. Tu m'as rendu accro, toi et tes boucles blondes, ton odeur de fraise, tes yeux bleus, ton petit sourire, ton humour, ta douceur, ton courage. T'es une fille forte Eléo et tu t'en sortiras, on va s'en sortir je le sais, mais il faut que tu me fasses confiance. Tu dois me croire et écouter mes conseils. Si ça ne marche pas alors on fera à ta manière mais là... tu dois te laisser guider. »
Je jouais avec une mèche de cheveux caressant son visage, la plçant derrière son oreille, je continuais :
« Tu dois me croire, tu dois dormir, te forcer à manger un tout petit peu, te forcer à penser à des choses futiles aussi. Oui, tu viens de vivre quelque chose de dramatique et je ne sais même pas de quoi je parle, mais tu es là, vivante, tu es en vie, tu as cette chance, tu dois continuer à vivre, même si pour le moment ça te paraît abstrait et flou.
Et moi je serai là, je vais t'aider comme je peux, je te soutiendrai, je t'aiderai à te relever de tout ça, je t'en fais la promesse Eléo, je crois en toi, tu vas y arriver. Il ne faut plus que tu ai peur. Tu ne dois pas vivre dans la peur. On peut refaire le monde avec des "si", oui, il peut se passer un tas de trucs, mais tant que tu seras avec moi, je laisserai rien ni personne te faire du mal. »
Suite à quoi, je lui pris la main pour l'emmener dans la chambre, après avoir éteintes les lumières. On se coucha dans le lit, elle sur le côté et moi collé à son dos, plaçant mon bras sous sa tête et le second sur ses hanches, laissant ma main trouver la sienne pour mêler nos doigts les uns aux autres. J'avais laissé la lumière de sa table de nuit allumée, pour la rassurer un peu plus. Puis, je lui murmurais dans la nuit :
« N’aie pas peur, je suis là. »
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