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Wicked games ft. Eléo & Henri

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Elle accepta ma main, venant ensuite contre moi. Je la serrai donc contre mon corps et finalement, lâcha dans un soulagement :

« Ne t'excuses pas Eléo... je... j'veux pas être trop dur envers toi, pas aujourd'hui... Mais »

Je pris son visage entre mes mains chaudes, pour la regarder dans le fond de ses yeux, pour qu'elle voit aussi clair en mois et je repris :

« Ma puce... J'attendrais le temps que tu voudras, mais... plus tu attendras et plus ça sera dur d'en parler. J'veux que ton bonheur, je veux qu'on dépasse ça alors je sais que ça ne se fera pas tout seul et que ça demandera du temps et je veux que tu sache que je serai toujours là. C'est pas ça qui me fera partir Eléo. Ce n'est vraiment pas ça. »

Je fis une pause, la serrant à nouveau contre moi, un peu plus fort, pour lui montrer que j'étais là, robuste et solide et que je ne la laisserai pas tomber. Non.

« Tu n'imagines même pas à quel point je me suis accroché à toi. Tu m'as rendu accro, toi et tes boucles blondes, ton odeur de fraise, tes yeux bleus, ton petit sourire, ton humour, ta douceur, ton courage. T'es une fille forte Eléo et tu t'en sortiras, on va s'en sortir je le sais, mais il faut que tu me fasses confiance. Tu dois me croire et écouter mes conseils. Si ça ne marche pas alors on fera à ta manière mais là... tu dois te laisser guider. »

Je jouais avec une mèche de cheveux caressant son visage, la plçant derrière son oreille, je continuais :

« Tu dois me croire, tu dois dormir, te forcer à manger un tout petit peu, te forcer à penser à des choses futiles aussi. Oui, tu viens de vivre quelque chose de dramatique et je ne sais même pas de quoi je parle, mais tu es là, vivante, tu es en vie, tu as cette chance, tu dois continuer à vivre, même si pour le moment ça te paraît abstrait et flou.

Et moi je serai là, je vais t'aider comme je peux, je te soutiendrai, je t'aiderai à te relever de tout ça, je t'en fais la promesse Eléo, je crois en toi, tu vas y arriver. Il ne faut plus que tu ai peur. Tu ne dois pas vivre dans la peur. On peut refaire le monde avec des "si", oui, il peut se passer un tas de trucs, mais tant que tu seras avec moi, je laisserai rien ni personne te faire du mal. »

Suite à quoi, je lui pris la main pour l'emmener dans la chambre, après avoir éteintes les lumières. On se coucha dans le lit, elle sur le côté et moi collé à son dos, plaçant mon bras sous sa tête et le second sur ses hanches, laissant ma main trouver la sienne pour mêler nos doigts les uns aux autres. J'avais laissé la lumière de sa table de nuit allumée, pour la rassurer un peu plus. Puis, je lui murmurais dans la nuit :

« N’aie pas peur, je suis là. »
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Il continuait de me parle, à essayer de me réconforter, de me promettre qu'il serait toujours là pour moi. Je ne sais pas si au bout d'un mois de relation, on peut ressentir de tel chose, mais pour moi c'était le cas. Je n'étais pas capable de lui exprimer aujourd'hui ou même un autre jour, j'avais beaucoup de mal à dévoiler mes sentiments à cause de du premier homme dont j'étais tombé amoureuse. J'avais toujours au fond de moi cette peur de me retrouver du jour au lendemain seul. Mais avec lui, à ses coté, et en l'écoutant me parler, et me faire des éloges que je ne méritée pas vraiment, à vouloir me protéger, et vouloir faire mon bonheur, je ne pouvais que l'aimer et tomber amoureuse un peu plus chaque jour.

Après nous avoir pris dans les bras l'un de l'autre, moi le serrant fort, il m'invitait à le suivre jusqu'à ma chambre. Je soupirais, éteignent la lampe du salon, la pensée de retrouver mon lit ne m’exaltais pas , mais je devais le faire pour Henri. Il faisait tout ça pour moi, alors je devais faire des efforts, autant pour lui que pour moi. Nous avons regagnés le lit, moi m'installent dos à lui, et lui me serrant dans ses bras. Il avait laissé allumée la lampe de chevet pour me rassurer. La nuit aller être longue, je le sentais. « N’aie pas peur, je suis là. » M'avait-il dit, mais l'exercice était plus dur. Je fermais les yeux, essayent de respirer lentement pour me décontracter. Mais le sommeil ne vint pas et ce n'était pas faute d'avoir essayait. Alors j'avais pensée à un tas de chose, attendant que le soleil se montre, me signalent que je pourrais me lever. Henri avait du s'endormir car je sentais son emprise beaucoup moins forte.

La nuit passa, je vis la lumière filtrer dans la pièce à travers mes volets. Je regarder mon cadran de réveille qui indiquais " 8 Heure. " Il était temps pour moi de me lever. Je me dégageais de ses bras délicatement, et allait dans la cuisine afin de lui préparer le petit déjeuner. Une nouvelle journée avait commençais, et pour moi une nouvelle page c'était écrite. Les premier mot était " Le déni. "

Je m'activais énergiquement a faire un petit déjeuné parfait. Pour Henri je préparé du café avec des Pan-cakes, et pour moi des tartines avec du chocolat chaud. Il ne mit pas longtemps à me rejoindre d'ailleurs, car je le vis arriver du couloir.

- Bonjour ! J'ai préparée le petite déjeuner, installe toi.
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Je dormi plutôt bien. Le lit était confortable, je n'avais ni chaud, ni froid, j'étais bien installé, le sommeil m'agrippa facilement et ne me lâcha plus. Je ne fis pas de cauchemars, pas de rêve non plus, mais la nuit fut courte. C'est l'odeur du café et des pan-cakes qui vint me chatouiller les narines et me fit, me réveiller doucement. Je me retourna, constatant que j'étais seul et là, tout me revint en mémoire. La dure journée d'hier, Eléo en larmes, la panique, le fait qu'elle ne voulait pas dormir, avait-elle finalement réussi? J'allais le savoir d'ici peu de temps. La lumière passait au travers des volets pourtant fermés, ce qui instaurait une douce ambiance matinale. Le réveil indiquait un horaire trop tôt pour la nuit agitée que j'avais eu, mais sachant qu'elle était levée, je ne voulais pas me rendormir. Je me levais donc du lit, m'étirant comme un ours mal léché puis, j'ouvris les volets. J'enfilais ensuite mon pantalon et sorti dans le couloir, passant d'abord par les toilettes. Finalement, une fois les mains propres, j'entrais lentement dans la pièce principale. Eléo était là, toujours avec son étrange pyjama qui me fit sourire. Elle s'affairait dans la cuisine à préparer le petit déjeuner. L'odeur était délicieuse. Mais quelque chose me perturba.

« Bonjour ! J'ai préparée le petite déjeuner, installe toi. »

Elle semblait enjouée, ce qui m'étonnait beaucoup à vrai dire. Néanmoins, je m'approcha d'elle pour serrer ses hanches et déposer un tendre baiser sur ses lèvres avant de dire doucement :

« Bonjour, tu as bien dormi ? »

Je répondis à son "ordre" en m'asseyant à la table de la cuisine, ou m'attendait mon café noir sans sucre -parfait- et des pan-cakes. C'était adorable de sa part, ça me fit sourire.

« Merci pour le petit déj', c'est top. »

J'attendis qu'elle vienne me rejoindre, pour confronter son regard que je n'avais pas encore vraiment vu. Quand elle leva rapidement les yeux vers moi, je pu voir ces cernes, ses petits yeux. Elle n'avait pas du bien dormir ou alors peu dormir et moi... J'avais dormi comme une souche à côté, je n'avais rien capté. Bon...

« Comment tu te sens ce matin? » Demandais-je lentement avant de commencer à boire mon café.
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Lorsque je le vis arrivé, je me sentis coupable de l'avoir surement réveillé avec le bruit que j'avais fait dans le cuisine. Il c'était dirigeai vers moi me déposant un tendre baiser avant de s'installé comme je lui avait demandé à notre table. Je lui servie son café et ses pan-cakes et m'installa à mon tour à table. Je commençais par boire mon chocolat, bien chaud. Au fond de moi je restais une enfant, qui adorait boire son petit chocolat chaud que sa maman lui faisait le matin. En repensent à elle, je me sentie quelque peu triste. Elle me manquait, mon père me manquait, ma famille me manquait. Et j'aurai aimée qu'ils soit là aujourd'hui, pour me réconforte et m'apaiser comme le faisait si bien ma mère lorsque j'étais triste ou malade. Ses tendres câlins, sa voix douce et calme, tout en elle me manquait. Je ne les avaient pas appelée et je ne le ferais pas. Je ne voulais pas qu'il s'inquiète pour moi, au risque qu'il veuille que je rentre en à Dublin. Et dans mon cas, partir c'était être faible. Hors aujourd'hui, je ne l'était plus. Je sortis de mes pensés pour tout de même répondre à sa question.

- Oui ça va merci. Je pensais allée rendre visite à Brynn et Shae cette après midi. Pour voir comme elles vont. Et puis comme ça tu ne loupera que ce matin comme cour !

Ce n'était pas pour cette raison que j'allais voir les filles. Je voulais voir comment elles allaient, si elles s'en sortait mieux que moi, ça c'est ce que j’espérais. Mais au cas ou, elles pourraient avoir besoin de moi. Et je savais aussi que nous pourrions en discuter plus librement. Et ce soir, le boulot m’appelait. Je ne pouvais pas me permettre de louper deux soir d'affilé, et puis ça me changerai les idées.

- Ce soir je suis de service. Mais si tu veux je peux venir chez toi ...? Je risque de finir tard mais je te promet de ne pas faire de bruit !
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« Oui ça va merci. Je pensais allée rendre visite à Brynn et Shae cette après midi. Pour voir comme elles vont. Et puis comme ça tu ne loupera que ce matin comme cour ! »

Ces mots sortis de sa bouche après ce qu'il s'était passé sonnèrent faux. J'avais l'impression qu'elle se voilait la face, qu'elle ne voulait pas repenser à hier, qu'elle essayait de faire comme s'il n'y avait rien eu. Cela me fit beaucoup de peine et ça me coupais l'appêtit. Je ne fis que boire mon café, rapidement et en silence.

« Ce soir je suis de service. Mais si tu veux je peux venir chez toi ...? Je risque de finir tard mais je te promet de ne pas faire de bruit ! »

Elle reprenait le travail dès ce soir? Je trouvais ça tôt, ça me faisait à la fois peur et en même temps, cela pouvait peut être lui faire du bien? Après tout, qu'est-ce que j'en savais de tout ça moi? Je me sentais impuissant, je me sentais fatigué, je me sentais incapable. Incapable de l'aider Elle. J'avais besoin d'air, parce que là, ça m'ettouffait.

« Si tu veux oui » Répondais-je à sa question.

Je ne levais plus les yeux vers elle et je me sentais con d'être là, face à elle, j'avais l'impression qu'on était devenu deux marionnettes jouant une grotesque comédie. On faisait semblant, moi, je ne pouvais plus rien dire sans la froisser et elle, ne me disait plus rien et faisait semblant. Je n'avais pas envie d'assister à ça. Je me sentais mal à l'aise.

« Je vais aller prendre une douche »
Lançais je alors doucement.

Je me levais, portant ma tasse vide dans l'évier puis alla à la salle de bain. Je m'y enfermais. Posant les mains sur le bord de l'évier, je lassais ma tête retomber quelque peu. Merde. Qu'est ce que je pouvais faire? Qu'est ce que je devais faire? Non... Je ne devais plus rien dire, car je ne pourrai pas rester calme et je lui ferai du mal. Je dois me taire. Je dois laisser faire le temps mais je dois prendre du recul. M'éloigner. Parce que ce petit jeu des faux-semblants, je ne peux pas le faire et je ne supporte pas ça. Elle ne va pas bien, elle ne me dit rien alors à quoi je sers? Je me sentais tellement inutile, tellement nul. J'avais l'impression de retrouver tous ces mauvais sentiments qui m'avaient envahit après mon ex. Le manque de confiance en moi m'envahissait d'un coup, me prenant à la gorge.

Je fini par retirer mes vêtements pour filer sous la douche, l'eau chaude calma mes muscles endoloris par la fatigue et cela me détendit un peu. Sortant de là après quelques minutes, je me séchais puis remis mon caleçon et pantalon avant de regagner la chambre pour enfiler mon tee-shirt et mes chaussures. Je voulais échapper à cette situation que je savais mauvaise. Elle refusait mon aide, mon épaule, mes conseils, mon soutient, notre sincérité qui nous caractérisait, même si on devait s'engueuler, je voulais qu'elle me vide son putain de sac, qu'elle pleure, qu'elle crie, qu'elle me frappe ou qu'elle rigole, mais pas qu'elle garde le silence. Finalement, j'arrivais dans le salon et je fini par lancer, d'une voix un peu éteinte et froide :

« Je crois que c'est mieux si je te laisse un peu seule »
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Après lui avoir demandais si je pouvais passé, il répondis sans plus d'enthousiasme. Peut être qu'il n'avait tout simplement pas envie de ma présence. Il devait être sacrément fatiguer et surement avait-il envie d'être seul. Je n'eu aucune réponse à cette question. J'en eu pas vraiment l'occasion car il quitta la table précipitamment, prétextant se doucher. Il n'avait même pas touché au Pan-cakes que je venais de lui faire. Lorsque je l'entendis rentrer dans la salle de bain je soupirais, passant mes mains sur mon visage fatigué. Je me levais de table, débarrassent ce qu'il restait afin de le mettre dans le frigo pour moi et Léo, et lava mon bol et la tasse qu'il restait à la main.

Peu de temps après, je l'entendis sortir de la salle de bain, et à sa venu , je vis qu'il avait mis son écharpe , prêt à partir. « Je crois que c'est mieux si je te laisse un peu seule » m'avait-il dit froidement. Il m'en voulait, je le savais et le voyais sur son visage. Mais je n'avais pas le courage d'affronter ses remarque aujourd'hui. J'étais fatiguée, et s'il ne voulait pas comprendre qu'il me fallait du temps, alors je ne pouvais plus rien pour lui.

- D'accord.

Je séchais la vaisselle propre, et m’appuyais sur le comptoir un moment pour réfléchir, avant de décidais qu'il fallait que je prenne une douche.

- Je vais prendre ma douche. N'oublie pas de fermer à clé en partant s'il te plait.

Je me dirigeais vers lui pour lui donner un dernier rapide baisé.

- Merci encore pour hier..

Et je m'éloignais rapidement la salle de bain pour mi'y enfermer à clé, m'appuyant sur la porte. J'avais peut être fuis, mais je ne supportais plus ce regard plein de reproche qu'il me lançais. J'attendis d'entendre la porte d'entré claquer et être fermé à clé avant de m’effondrer lamentablement sur le sol. Tout ce que j'avais envie, c'était de pleurer, crier et de tout foutre en l'air. Mais au lieu de ça, je fis couler un bain pour m'y noyer une nouvelle fois dedans. C'était la seul chose qui m’apaisais.
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