Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWicked games ft. Eléo & Henri
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Wicked games ft. Eléo & Henri

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17 janvier 2015


Dès que j'avais su, j'avais totalement arrêté ce que je faisais. Je n'en revenais pas. J'avais tout laissé en plan pour partir au plus vite de chez moi. Nous étions installé dans notre appartement avec Angel, depuis environ une semaine maintenant, il avait de gros problèmes avec la Justice et j'étais en train de regarder les dossiers que mon père avait pu choper, pour travailler dessus. Puis, mon téléphone avait vibré. Un message d'Elle. Elle m'avait juste envoyé : « Henri, Ou est ce que tu es ? J'ai besoin de toi... »
J'avais senti mon cœur rater un battement pour venir s'effondrer. Je n'avais pas de détails, mais je savais qu'une seule et unique chose : il s'était passé quelque chose et Eléonora n'allait vraiment pas bien. Dès la lecture de ce triste sms, je laissais tout en plan, n'éteignant même pas la lumière, pour prendre mon manteau en vitesse et sortir dans la rue héler un taxi. J'avais mon coeur qui battait fort dans ma poitrine. Je ne savais pas ce qu'il s'était passé, je n'avais aucune information, mais je ne tardais pas à chercher sur internet. Il devait bien y avoir un journal qui parlait de ce qu'il s'était produit? Alors je lu. « Prise d'otage », « homme armé », « blessés », « mort ». Autant de mots qui vous glacent le sang et qui font frissonner. Non, elle n'avait pas pu vivre ça. Pas elle. Pas ce petit bout de femme si douce, innocente et pure. Elle n'avait pas pu assister à tout ça! Et si elle était blessée?! Non.. il fallait que je me calme. Je devais la rejoindre chez elle, c'était qu'elle était saine et sauve, n'est-ce pas? J'avais la peur qui me tordait le ventre, j'étais stressé et angoissé. Mes mains étaient moites. Je trouvais que le taxi ne roulait pas assez vite, mais heureusement que je n'étais pas moi même au volant, car j'aurai pu faire une connerie en roulant trop vite.

Finalement, j'arrivais près de l'appartement de la coloc' où vivait Eléo. Je pressais le pas pour composer le code d'entrée de l'immeuble et dévala les escaliers à toute vitesse, arrivant essoufflé devant la porte de la colocation. Je toquais sur cette porte en bois, sachant très bien que pour cette fois, je ne trouverai pas le sourire de ma belle derrière cette porte. J'étais très inquiet et aussi très essoufflé. Mais finalement, la porte s'ouvrit.
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Après cette après midi, après avoir quitté la librairie, je ne savais plus vraiment ou aller. J'avais pleurer, encore et encore, et j'avais marché dans les rues de Harvard Square pour finalement rejoindre mon appartement. Il était vide, je ne savais pas ou était Léo, est j’espérais qu'il n'avait pas vécu la même chose que moi. En fermant la porte, je mettait effondré sur elle et avais une nouvelle fois éclaté en sanglot. Je n'arrivais pas à m'arrêter, et les images qui tournée dans ma tête n’arrangeaient en rien les choses. Tous ce sang, tous ces visage emplie de terreur comme le miens, et les cri de la petite fille qui pleurait résonner sans fin dans ma tête. Comment une chose pareil avait -il pu se produire ? Pourquoi avait -il fait sa ? Mais je ne le saurais jamais. Cette homme, dont je ne connaissait même pas le nom était mort, une balle dans la tête et c'était fini. Nous ne serons jamais la vérité, et seront tous traumatisé par cette événement. Incapable de me relever, je pris mon portable pour envoyer un message à Henri. " Henri, Ou est ce que tu es ? J'ai besoin de toi...". Oui plus que n'importe qui, j'avais besoin de lui. Il était la seul personne que j'avais envie de voir. J'avais besoin qu'il me rassure, qu'il me dise que cela allé passer , et que tout s’arrangerait, même si je savait au plus profond de moi que, non , tout n'allé pas s’arrangeait. Je ne reçu aucune réponse de sa part, et je commençais à paniquer. Et si lui aussi avait été pris en otage ? j'avais entendu la police, lorsqu'ils m'avaient interrogée que trois autres prise d'otage avait eu lieu. Et s'il avait été blessé ? Je priais que non , pas lui.
Et soudain , me prenant par surprise la porte toqua. Mon dieu faite que se soit lui..

- Henri ...? C'est toi ? demandais-je entre mes sanglots.

Essayent de me relever, je m'appuyais sur la pogner avant d'ouvrir lentement et délicatement la porte. Et je fus soulagée lorsque je reconnu son visage, me jetant dans ses bars, le serrant fort. Je n'arrivais toujours pas à me calmer, mes dans ses bras, je me sentais déjà en sécurité.
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J'entendis tout d'abord, entre deux sanglots, sa voix tiraillée par les larmes. Cela me brisa le coeur. Puis, lorsqu'elle entendit une réponse affirmative de ma part à sa question, je pu enfin voir son visage. Elle avait les larmes qui lui coulaient le long de ses joues, rouges de chagrin. Elle semblait totalement terrifiée. Elle se jeta contre moi, même si je ne comprenais pas ce qu'il s'était passé, je sentais qu'elle avait besoin de moi. Elle m'agripait avec force et en même temps, elle semblait si fragile. Ma main vint se coller à son crâne, caressant lentement ses cheveux. Mon autre main l'encerclait, la serrant fort contre moi. Je lui murmurais des « Chuuut... » à peine audible, pour essayer d'apaiser ses angoisses. Elle avait l'air de ne pas être blessée physiquement et c'était déjà ça. Je sentais mon coeur battre aussi vite que tout à l'heure. Je ne savais toujours pas ce qu'elle avait vécu, si elle avait été dans le feu de l'action ou non. Mais elle avait juste besoin de moi à présent. D'une voix tendre, je lui murmurais à nouveau : « Je suis là ma chérie, calme toi » Je ne relachais cependant pas mon étreinte. Non. J'étais là pour elle, fort et droit. Je le serai toujours. Mon coeur était déchiré face à ses sanglots, son visage tuméfié par la peur et l'angoisse. Je sentais son corps trembler contre le miens. Puis, au bout de quelques longues minutes, je fini par prendre son visage dans mes mains, lentement, pour plonger mes yeux dans les siens. « Viens, je vais te faire un thé, ça te fera du bien ». Je ne voulais pas la brusquer à lui poser tout un tas de questions, je serai dès lors, maladroit. Il fallait que j'attende qu'elle me raconte elle même. Moi, tout ce que je savais, c'était qu'il s'était passé un attentat à l'école, que beaucoup d'étudiant avait été là. Un ami m'avait envoyé un sms pour me prévenir qu'il n'avait rien, il m'avait donc expliqué les raisons du pourquoi, puis, j'avais regardé les titres informatifs sur internet, suite au message d'Eléo. Elle avait été au mauvais endroit, au mauvais moment et je n'avais pas été là... Moi, j'étais plongé dans l'histoire d'Angel, je ne pensais qu'à ça, innocenter mon meilleur ami et à quel prix? Si j'avais été avec Eléo à ce moment là, là bas, ça aurait peut être été différent? Elle n'aurait pas vécu ça toute seule... mais en même temps, si j'avais vécu la même chose, aurais-je été capable de l'aider à surmonter ça? J'étais tiraillé, je m'en voulais d'avoir été loin d'elle à ce moment là, mais qui pouvait prévoir qu'un tel évènement se produirait? Et puis surtout pas sur le campus ! J'étais perdu.
Ma main dirigeais Eléo dans sa cuisine. Elle tremblait, je chopais donc un plaid qui était posé sur le dossier du canapé et l'enroula autour d'elle, avant de la faire asseoir à la table de la cuisine. Je retirai mon manteau et m'approcha du gaz, pour y prendre la bouilloire, y mettre de l'eau et la mettre sur le feu, préparant deux tasses, deux sachets de thé, le sucre et les cuillères. Je connaissais bien l'appartement maintenant. Mais on s'en fichait. Elle était là, le regard perdu dans le vide, tremblant d'angoisse. Je revins donc près d'elle, prenant sa main dans la mienne et l'apportant à mes lèvres pour lui souffler un peu de ma chaleur. « Tu ne crains rien ici, et je suis là... J'vais pas te laisser »
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Sa venue me réconfortait beaucoup, parce que cela voulait aussi dire qu'il n'avait pas vécu se que j'avais vécu cette après midi. Il semblait perdu, ne pas vraiment comprendre la situation, mais il ne me posa pas de question, essayent de me réconforter en me chuchotant des phrases douce, et me serrant un peu plus dans ses bras. J'enfouis mon visage dans ses bras, je ne voulais pas qu'il me voie autant pleurer, même si c'était déjà un peu trop tard pour ça. Il sentait bon, comme toujours, j'adorais cette odeur qu'il portais, et aujourd'hui elle me rassurer. Puis après un laps de temps, il me proposa de prendre un thé, ce que j'acceptais. Il m'assit sur une chaise, m’enveloppant dans une couverture lorsqu'il avait vue que je tremblais, je ne m'en était même pas rendu compte, et avait commencé à préparer le thé. J'essayais d’essuyer mes yeux des larmes qui ne cessait de jaillir. Je crois que je n'avais jamais autant pleurée de toute ma vie. Bientôt, j'aurai pleurée toute les larmes de mon corps, et il me serait plus possible de pleurer. Mon regard ce perdait dans le vide, se répétant inlassablement les scènes plus horrible les unes que les autres. Malgré la présence d'Henri, je n'arrivais pas à les effacer. Il fallait que je lui explique ce qu'il c'était passé, que je parle ! Mais serait - je capable de raconter de tel horreur ? En thérapie , ont dit souvent que lorsque l'on vie ce genre d’événement, il ne faut pas hésiter à en parler. Mais savait-il à quel point c'était dur? De prononcer ne serais-ce qu'un mot ? Et pourtant il fallait que j'essaye pour lui, pour qu'il comprenne mon comportement. " Je .. je..j'étais à la librairie " Et de nouveau sanglot. Je n'arrivais pas à placer une phrase sans de nouveau partir en sanglot. Lorsque le thé fut enfin prêt, nous nous installâmes sur le canapé du salon, posant les tasse fumante sur la table basse. J'en profitais pour à nouveau le prendre dans mes bras. Aujourd'hui était un jour ou j'avais le droit d'être exigeante en câlin, c'était la seul chose qui pour l'instant m'apaisais un peu. Je pris le mouchoir qu'y se trouvait dans ma poche et m'essuyé les joues, et fermant les yeux quelque instant. Il fallait absolument que j'essaye de me calmer. Puis je pris la tasse, et bu une gorgé du thé. Il avait raison, cela me fit du bien.
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Je n'avais jamais vu Eléonora dans un tel état, et cela ne me laissait pas indifférent. Je n'aimais pas la voir comme ça, aussi chamboulée, perturbée, triste, effrayée et dans tous ces états. J'avais envie qu'elle se sente bien, rassurée, apaisée, mais il fallait du temps. Aujourd'hui, elle avait vécu des choses terribles et peu importe ce qu'elle ferait, ce qu'elle dirait ou non, je serai là, je resterai là pour elle, pour prendre soin d'elle, je n'avais que cette idée en tête, je ne voulais rien d'autre, je ne pensais à rien d'autre. Je ne me rendais même pas compte que j'avais oublié tout le reste, qu'il y aurait pu avoir une bombe nucléaire dehors, je ne m'en soucierai pas. Le thé était prêt, versé dans chacune de nos tasses, on passa alors au salon. On s'assied sur le canapé, posant nos tasses devant nous et immédiatement, elle vint se coller contre moi. J'étais assis, elle était presque allongée sur moi, mon bras l'encercla. Je l'entendis se moucher et essuyer ses larmes. Elle avait essayé de me dire quelque chose il y a de cela quelques minutes, mais l'émotion était trop forte. Je ne pensais pas qu'elle avait besoin de parler tout de suite, elle semblait surtout épuisée. Peut être fallait-il qu'elle dorme un peu? Et que nous parlions ensuite? J'en savais rien. Je n'avais jamais vécu une telle situation, je ne savais pas quoi dire ni quoi faire, ni ce que je devais dire ou faire d'ailleurs ! J'avais peur d'être maladroit, je ne le voulais pas et encore moins avec elle. Elle bu un peu de son thé. Ses tremblements ralentirent. Je voyais bien qu'elle ne pouvait pas encore mettre de mots sur ce qui s'était produit, alors, je pris la parole, doucement :

« Tu n'es pas obligée de me raconter ce qu'il s'est passé tout de suite. Tu peux juste restée collée contre moi, autant de temps que tu voudras. »

Ma main caressait lentement ses longs cheveux blonds, donnant un rythme à son souffle. Je la sentais s'apaiser lentement contre moi. J'avais tout mon temps pour elle. Je pourrai rester ainsi toute la soirée, toute la nuit. Je n'en avais rien à faire. Je voulais juste être là pour elle et prendre soin d'elle. C'était tout ce qui m'importait.

« Tu veux dormir un petit peu?... Tu es épuisée... Et je pense que ça te calmerait un peu... Je resterai là, je compte pas partir tant que ça n'ira pas mieux, même si ça doit prendre des jours. J'te laisserai pas ma puce »

Là dessus, je pris son crâne -cheveux- que j'avançais vers mes lèvres pour y déposer un tendre et fort baiser. Je crispais ma machoire. M'en voulant de ne pas avoir été là bas, avec elle, pour la protéger.
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Henri était vraiment adorable avec moi. Il ne me refoulait pas, et surtout il voulait me montrer qu'il était là pour moi, et pour me soutenir dans cette dur épreuve. Il restait là, dans mes bras, pour moi, parce qu'il sentait que j'avais besoin de lui, plus que quiconque. J'avais encore le temps de lui raconter ce qu'il c'était passé, de toute façon cela ne risquait pas de s’effacer de ma mémoire, les souvenir de cette après midi était encore bien vivace. Je lui hochais la tête et me promis que lorsque je me sentirais un peu mieux , je lui en parlerais. Pour l'instant j'en était totalement incapable, mais peut être que demain, ou un autre jour , je pourrais. Il fallait que je me laisse du temps. Oui beaucoup de temps. Ses caresse m'apaiser quelque peu, et j'avais enfin réussi à me calmer, mais au moindre souvenir, je risquais de replonger. Peut être devrais-je comme il dit me reposer un peu, peut être que cela me ferait du bien. Après avoir tant pleuré , je sentais mes yeux rougis, quelque peu enflé et surtout fatiguer. Alors pour la seconde fois, j'écoutais son conseil. Il m'embrassa sur le front , signe de tendresse, et je le regardais réellement pour la première fois depuis sont arrivé. Il se sentais mal et cela se voyait, je lui faisait de la peine. Je posais une mains sur sa joue, la caressent en lui faisait un léger sourire. Aujourd’hui c'est tous se dont j'étais capable. " Merci... " Je m'allongeais le long du canapé posant ma tête sur lui et fermais les yeux, je ne mis pas longtemps à m'endormir.

" S'il vous plait, laissez l'enfant partir ! ELLE VA SE LA FERMER OUI ! Nan ne tirais pas ! PAAN"
" HAA "
Je ne sais combien de temps je suis endormis, mais lorsque je me réveil, je suis paniqué et en sueur. Je venais de re vivre la même chose que j'avais vécu cette après midi. Les même images, le sang qui coule ces gens terre... Il faut que je me calme ! Il faut que je respire ! Mais je n'y arrive pas je suffoque, comme si je ne savais plus respirer!
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Eléonora hocha la tête pour s'accorder avec mon idée. Elle devait reprendre un peu de force, car vivre un évènement aussi dur est très épuisant pour le cerveau et le corps tout entier. Je lui pris sa tasse des mains et, lorsqu'elle posa doucement sa main sur ma joue mal rasée, enfonçant ses yeux dans les miens, je sentis que mon coeur ressemblait à un iceberg, se séparant lentement d'une partie de sa glace pour qu'elle tombe violemment dans l'océan. Ses yeux étaient rouges et gonflés, mais je la trouvais toujours aussi belle et j'étais toujours autant amoureux. J'aurai tellement aimé qu'elle ne vive jamais ce genre de choses. Jamais. Elle me remercia, ce qui me fit esquisser un bref sourire, laissant ma main la caresser à nouveau. Puis, elle s'allongea sur moi et je crois qu'elle ne mis vraiment pas longtemps à s'endormir. J'entendais son souffle lent et calme. Les minutes passèrent, puis une heure, continuant toujours à dormir. Je fini alors par quitter le canapé, doucement, pour ne pas la réveiller. Puis, je décidais de la porter jusqu'à son lit, pensant qu'elle dormirait ainsi jusqu'à demain matin. Je réussi donc à la prendre sans la réveiller, dans mes bras, pour avancer jusqu'à son lit, je la déposais sur ce dernier, délicatement et la recouvris d'une petite couverture toute douce. Je restais assis au bout de son lit, à la regarder dormir. Je restais ainsi une demie-heure, puis me décida à aller ranger un peu l'appart. Je vidais nos tasses de thé -que l'on avait pas bu- et fis la vaisselle quand soudain, j'entendis un cri. Je laissais tomber la vaisselle dans l'évier et couru jusqu'à la chambre d'Eléo. Elle s'était réveillée, en sursaut, en sueur, elle semblait faire une crise d'angoisse et ne pas réussir à respirer correctement. J'arrivais et me laissais tomber près d'elle à toute vitesse, ma main dans son dos, l'autre sur son visage, je croisais son regard, j'y voyais un immense appel à l'aide, mais je ne savais pas ce qu'il fallait faire. « Eléo calme toi, je suis là, on est chez toi, tout va bien... Respire lentement, respire lentement, prends ton temps, je suis là ma chérie, il ne t'arrivera plus rien maintenant » J'essayais d'être le plus rassurant possible mais j'étais presque aussi paniqué qu'elle, la voir ainsi me fendait le coeur. Il fallait qu'elle se calme, il fallait que tout revienne comme avant, putain mais pourquoi elle? Pourquoi lui avoir fait subir ça? Je ressentais une telle colère en moi, une rage qui s'était éveillée depuis l'arrestation d'Angel, jusqu'à aujourd'hui avec Eléonora, je sentais que je pouvais la laisser filtrer à tout instant. Que je pouvais exploser. Même si cela ne m'étais jamais arrivé jusqu'à présent. Je caressais le dos de ma douce pour la rassurer et rapidement, je vins tout contre elle, la ramenant contre moi pour la serrer dans mes bras et contre mon corps. Elle commençait enfin à se calmer. Je restais ainsi de longues minutes, lui caressant le dos, formant des ronds dans son dos -il paraît que c'est apaisant chez les bébés, je ne sais pas pourquoi j'ai eu cet instinct- et caressant aussi ses cheveux. Je lui murmurais des « Je suis là », « tout va bien » et espérais juste qu'elle réussisse à se calmer pour pouvoir respirer normalement.

(Je peux rp toute la journée ♥)
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Il faisait sombre et dans la panique je ne mettais pas aperçut que je me trouvais dans ma chambre, seul. Avais-je rêvais la venu d'Henri? À cette idée la panique monta un peu plus en moi. Que faisait ici ? Pourquoi Henri n'était plus là ? J'avais besoins de lui là, toute suite. Et comme si une de mes prières avait étaient exaucé, il apparut en courant dans ma chambre. Alors non, je n'avais pas rêvait. Mais le cauchemars que je venais de faire lui était bien réelle, et je n'arrivais toujours pas à respirer. Henri me rassura comme il pouvait, mais je voyais que lui non plus ne savait pas vraiment quoi faire. Respirer lentement, il fallait que je réfléchisse à la manière de faire. Fermant les yeux je le sentis me prendre dans ses bras, caressant mon dos et comme par magie, mon souffle se fit plus court, et j'arrivais de nouveau à respirer plus librement. J'entourais mes bras autour de lui, le serrent un peu plus contre moi. Sa présence, son odeur, tout en lui me rassurait. Aujourd'hui j'avais beaucoup de chance qu'il soit là avec moi. " Ne me laisse plus seul s'il  te plait...". Pas aujourd'hui, j'avais beaucoup trop besoin de lui, et en plus après se cauchemars , je ne risquais plus de m'endormir, ayant peur de refaire cette horrible rêve. J'ouvrais mes yeux, vide de tout sens. Je me sentais mal, et ça me tuais à petit feu, parce que je ne savais pas quoi faire pour aller mieux. Après avoir vécu une journée pareil, il est normal de ne pas se sentir dans mon assiette, mais cela m'avait beaucoup trop touchée et quelque par, je n'arrivais pas à le supportais. La fille forte têtu et obstiné avait disparu pour laisser place à une coquille vide. Une fille apeuré par ce qu'elle avait vécu, mais ce n'est pas ce que je voulais. Aujourd'hui , je devais me laisser le temps de rebondir, il faudrait d'ailleurs que j'appel mon boulot pour leur expliquer la situation. Mais demain, il faudra que je rebondisse. Je me refusais à restais terrer chez moi par la peur. Je m’éloignais ses bras afin de le regarder, jamais je ne le remerciais assez pour tout ce qu'il fait pour moi. " Merci...d'être là pour moi. " Je déposais un léger baiser sur ses lèvre, ce geste qui était devenu si simple pour nous me manquait.

HRP:
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Elle se calmait peu à peu, lentement, reprenant son souffle, ce souffle qui lui avait fait défaut. Elle tremblait moins, je l'apaisais. Elle me remercia d'être là, mais je n'avais aucune envie d'être ailleurs, depuis la lecture de son message. J'aurai voulu être dans la chambre dès son perturbant réveil, mais j'avais fait vite malgré tout. Elle m'embrassa, je souris. Je souris parce que la vie continue, parce qu'il ne fallait pas oublier les choses simples, parce qu'il fallait rebondir. Je caressais son doux visage, tuméfié par la peur. Non, je ne voulais plus lire ce sentiment sur son si beau visage. Je voulais la voir heureuse ou du moins, rassurée et c'était ma seule priorité.

« Ne me remercie pas, je suis là et je resterai là tant que ça n'ira pas. Tu n'es plus seule Eléo... »

J'aurai voulu ajouter que j'aurai aimé être là pour elle dans l'évènement qu'elle avait vécu, mais cela aurait été déplacé, au contraire, j'avais eu de la chance de ne pas y être, mais j'aurai tout donné pour qu'elle ne le vive pas non plus. Pourquoi ne l'avais-je pas invité au restaurant? Pourquoi ne pas être avec elle à cet instant? Merde. J'avais la culpabilité d'avoir failli à mon devoir de petit ami, protecteur. Je m'en voulais. Même si je savais qu'au fond, cela n'aurait rien changé. Je n'y étais pour rien.

J'allumais la lumière de son chevet, la caressant encore pour la rassurer, puis, je fini par dire :

« Tu veux prendre un bain bien chaud pour te détendre? Je vais te cuisiner un truc, même si je me doute que tu n'as pas faim, il faut que tu manges »

J'essayais de faire au mieux, mais je ne voulais pas la brusquer, mais peut être qu'elle avait besoin de ça? De quelqu'un qui prenne soin d'elle, le temps que le traumatisme vécu s'efface un peu, pour laisser la vie reprendre son cours? Moi, ça ne me dérangeait pas, car mon seul objectif depuis la lecture de son sms, c'était que je voulais qu'elle aille mieux, je voulais être là pour elle. Je me levais du lit, l'aidant aussi à se lever, pour quitter cette pièce trop sombre. Finalement, j'ajoutais :

« Je ne sais pas ce qu'il s'est passé et tu peux mettre un mois à m'en parler si tu veux, je serai là. Je serai là pour te faire à manger, pour te consoler, rester allongé près de toi si tu as peur de dormir, pour essayer de te redonner le sourire. Je serai là, quoi qu'il arrive Eléo. Je... J'aurai voulu qu'il ne t'arrive jamais rien. Mais c'est arrivé, mais c'est arrivé alors qu'on est ensemble, je vais t'aider, on y arrivera ensemble... »

Je la pris à nouveau dans mes bras, laissant mes lèvres se poser doucement sur son front, pour un tendre et amoureux baiser, avant de me reculer quelque peu.
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Oui heureusement, je n'étais plus seul, je ne surmonterais pas cette épreuve toute seul. Henri était à mes coté, prêt à faire n'importe quoi pour moi. Et s'il n'avait pas été la, je suis sur que je serai encore effondré au sol à cette heure ci, à attendre le retour de Léo. Je commençais d'ailleurs à m’inquiéter de ne pas le voir arrivé. Je priais pour qu'il ne lui soit rien arrivé, et qu'il n'ai pas eu à vivre cette enfer. Il y avait eu quatre prise d'otage dans la même journée, ce qui pouvais englober beaucoup de personne. Henri me proposa de pendre un bain, ce que j'acceptais, hochant la tête. Je pense que se serai un bon moyen de me détendre. Et j'avais besoin de me laver, je voulais enlever cette crasse, et ces vêtement qui me rappeler sans cesse se que je venais de vivre. C'était indispensable.

Il me prit à nouveau dans ses posent un baiser tendre sur mon front, comme un geste protecteur. Il s'en voulait de ne pas avoir était là, pas avoir pu me protéger. Mais il n'y pouvait rien. Personne n'aurai pu prévoir une tel chose, encore moins dans un endroit comme la bibliothèque. Il me promis d'être présent pour moi, à chaque instant. Il ne voulait plus me laisser seul, craignant pour moi et je ne souhaitais plus être seul non plus. J'étais incapable de parler, je ne savais que lui dire merci. J'aurais voulu lui répondre, lui raconter ce qu'il c'était passé, mais ma voix refusait. Elle s’éteignait à chaque fois que je voulais dire autre chose que merci.

Je quittais ses bras, voulant préparer mes affaires pour la salle de bain. Et une fois celle-ci prête, j'entrais dans la salle de bain afin de faire couler l'eau dans la baignoire et fermant la porte. Je me déshabillais avec une extrême lenteur pour ensuite entrer dans le bain ou l'eau avait déjà bien commencée à monter. Soupirant d'aise, je fermais les yeux pour me détendre et plongeais ma tête sous l'eau. Le silence, un silence total.
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