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New Divide
~ Némésis & Colton~
C’est fou cette manière qu'on a de se renvoyer la balle sans arrêt. D'après lui je ne serais pas assez maligne pour lire entre ses lignes. C'est vrai, pour la simple et bonne raison que j'ai cru chacune de ses paroles, que je crois ce qu'il a dit, simplement parce que parfois je fais si facilement confiance que pour moi, s'il ne dit c'est qu'il le pense, un peu au moins. Donc je ne relève pas ce détail sur mon intelligence, je sais ce que je suis et ce dont je suis capable, l'intelligence n'a jamais rien eu avoir avec les ressentiments. Par contre d'après lui je suis la seule fautive, je l'ai sorti de ma vie. C'est la drogue et les addictions que j'ai sortis de ma vie. Lui, il s'est sorti tout seul le soir où il m'a dit que je ne comptais pas et que je n'étais pas mieux que les filles qu'il mettait dans son lit. C'est lui qui a passé ma porte, lui qu'on a vu trainer avec des tas de filles, lui qui n'a jamais reprit contact, ni cherché à me croiser... C'est un peu gratuit et facile cette manière qu'il a de m'accuser. Attends, tu as franchi la porte et tu m'as jamais revu. Je pense que je suis pas la seule fautive dans ta sortie. On force pas les gens a rester près de vous s'il décide de s'en aller... Et là je dis franchement ce que je pense si au moins il avait tenté de me croiser mais, rien, il était bien trop occupé ailleurs.
Dans le fond, je ne sais même pas pourquoi je tente d'avoir une explication avec Colton. Je n'ai jamais su exactement ce qu'était notre relation un peu tordue, tantôt on se repoussait, parfois on s'attirait et il y avait ce coté néfaste aussi. Il pouvait m'accuser d'avoir lâché l'affaire, il en avait autant voir plus. Puis là il n'avait de cesse de se répéter pourquoi est-il encore là à me retenir, trois fois qu'il le dit déjà. Ben effectivement j'en sais rien. Vient alors son histoire de toilette et je sais parfaitement ce qu'il sous-entend, ni une ni deux mon adrénaline fait un pic dans mes veines. Je me recule un peu. T'es vraiment pervers Bradford. lâchais-je alors qu'il s'était levé pour me passer à coté, mon regard le suivit alors que de plus en plus j'avaisbesoin de sortir de cet endroit bondé et de mes envies de me mettre à boire. Si seulement il n'y avait que des rumeurs mais, j'ai aussi des yeux pour voir et l'avoir vu en galante compagnie non pas une mais, plusieurs fois m'avait vraiment piquée au vif.
Je suis prête à le laisser s'enfuir à nouveau lorsque je sens sa main se poser sur mon bras en une légère pression. C'est l'esprit ailleurs que je l'entends vaguement dire quelque chose avant de me sentir entrainée vers la sortie de la boite de nuit. Je le suis machinalement sans même opposer de résistance. Une fois la porte franchie, je reprends mes esprits à cause de l'air froid qui vient s'apposer à moi. Je me mets à frissonner largement et d'un geste rapide, je mets ma veste sur mes épaules, fermant la fermeture éclair assez vivement et posant mes bras autour de moi, je sautille presque d'un pied à l'autre pour me réchauffer. Heu... Oui je pense enfin non, il fait carrément froid en fait. Je peux voir de la vapeur s'échapper de ma bouche rien qu'en respirant, il fait sombre, froid. Je me sens moins étourdie et plus claire dans mon esprit ça oui par contre dans cette tenue je ne vais pas tenir dix minutes dehors. Ma main plonge dans mon blouson et j'en retire un paquet de clopes, seule addiction dont je n'ai pu me défaire encore. La main tremblante, je tente d'allumer mon briquet qui lui refuse de coopérer. Tiens allume là moi j'y arrive pas... dis-je en lui tendant le briquet récalcitrant et ma cigarette.
Dans le fond, je ne sais même pas pourquoi je tente d'avoir une explication avec Colton. Je n'ai jamais su exactement ce qu'était notre relation un peu tordue, tantôt on se repoussait, parfois on s'attirait et il y avait ce coté néfaste aussi. Il pouvait m'accuser d'avoir lâché l'affaire, il en avait autant voir plus. Puis là il n'avait de cesse de se répéter pourquoi est-il encore là à me retenir, trois fois qu'il le dit déjà. Ben effectivement j'en sais rien. Vient alors son histoire de toilette et je sais parfaitement ce qu'il sous-entend, ni une ni deux mon adrénaline fait un pic dans mes veines. Je me recule un peu. T'es vraiment pervers Bradford. lâchais-je alors qu'il s'était levé pour me passer à coté, mon regard le suivit alors que de plus en plus j'avaisbesoin de sortir de cet endroit bondé et de mes envies de me mettre à boire. Si seulement il n'y avait que des rumeurs mais, j'ai aussi des yeux pour voir et l'avoir vu en galante compagnie non pas une mais, plusieurs fois m'avait vraiment piquée au vif.
Je suis prête à le laisser s'enfuir à nouveau lorsque je sens sa main se poser sur mon bras en une légère pression. C'est l'esprit ailleurs que je l'entends vaguement dire quelque chose avant de me sentir entrainée vers la sortie de la boite de nuit. Je le suis machinalement sans même opposer de résistance. Une fois la porte franchie, je reprends mes esprits à cause de l'air froid qui vient s'apposer à moi. Je me mets à frissonner largement et d'un geste rapide, je mets ma veste sur mes épaules, fermant la fermeture éclair assez vivement et posant mes bras autour de moi, je sautille presque d'un pied à l'autre pour me réchauffer. Heu... Oui je pense enfin non, il fait carrément froid en fait. Je peux voir de la vapeur s'échapper de ma bouche rien qu'en respirant, il fait sombre, froid. Je me sens moins étourdie et plus claire dans mon esprit ça oui par contre dans cette tenue je ne vais pas tenir dix minutes dehors. Ma main plonge dans mon blouson et j'en retire un paquet de clopes, seule addiction dont je n'ai pu me défaire encore. La main tremblante, je tente d'allumer mon briquet qui lui refuse de coopérer. Tiens allume là moi j'y arrive pas... dis-je en lui tendant le briquet récalcitrant et ma cigarette.
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