Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityRoyline | lave tes caleçons comme un grand - Page 2
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Royline | lave tes caleçons comme un grand

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Ouais, ça c'était un méga point positif. Non mais parce que j'avais jamais vu un mec s'intéresser autant à ma penderie. Et entre les fois où il prétait mes affaires quand j'étais pas là et celle où il s'amusait tout simplement à fouiller dans mes sous vêtements, j'avais eu des sérieuses envie de meurtre. Sans mentir hein ? Par moment, j'avais vraiment cru que j'allais finir par lui tenir la tête de force dans les toilettes histoire de le noyer. Mais fallait croire que mon affection pour lui avait toujours finit par prendre le dessus sur mes envies digne d'une malade mentale. « Ne parlons pas d'erreur, on est même plus ensemble. » Et bam, la bombe était lancée. Il était vrai que je l'avais ma tenu au courant de ma rupture avec Phoenix mais.. C'était tout récent en même temps et puis, j'avais jamais eu pour habitude d'appeller Royce pour lui raconter mes déboires amoureux. C'était comme ça, c'était la vie. « C'est très lâche comme moyen d'esquiver la conversation. Mais je te pardonne. » J'souriais attrapant un pyjama lambda que j'enfilais presque aussitôt. Et ouais, je faisais ça devant lui. C'était pas comme si je devais avoir honte de quelque chose. Bref, j'filais me glisser sous la couette alors que mon merveilleux bipolaire faisait la même chose. « KE-WAAA ? » Ok, j'étais obligée d'éclater de rire là. Ce mec allait me tuer un jour, sérieusement. « Et si tu me prends pour Leevy, il va se passer quoi exactement ? Non mais parce que j'veux pouvoir anticiper tes mains baladeuses tu vois. »
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Je pense que si j'avais quelque chose dans la bouche, j'aurais tout recraché. Alors comme ça Charline ne sortait plus avec? Alléluia! J'avais presque envie de faire le trampoline sur le lit tellement j'étais content. Voilà enfin une bonne nouvelle qui me donnait le sourire. Mais comme j'étais cruel, comment je pouvais me réjouir d'une rupture? Charline devait être horriblement mal... sauf si c'est elle qui l'a quitté. J'ouvris grand mes oreilles pour faire l'intéressé. « Oh, je suis désolé. » je mentais tellement bien. « Il souffre j'espère? » bon ça c'était la remarque de trop et si Charline voulait me foutre une baffe, elle pouvait. Limite, je lui tendais déjà la joue. Quelques minutes plus tard, on se retrouvait dans le lit et voilà que je me confessais sur mes problèmes nocturnes. Je disais pas ça à n'importe qui. Je disais juste que ça pouvait arriver, qu'elle ne me prenne pas pour un violeur ou un mec pervers. C'était tout bonnement naturel et quand je me réveille et que je dors avec une fille, c'est sensé être ma copine, vous voyez? Le temps que mon cerveau réalise que ce n'était pas Leevy, il m'en fallait beaucoup. Charline éclatait de rire, heureusement, imaginez ma tête si elle s'était mise à pleurer, ou à crier! Je riais avec elle puis j'haussais les épaules. « Ben tu me réveilles tout simplement. N'en profite pas trop non plus. » je disais ça pour déconner. Je tournai mon regard vers elle en glissant la paume de ma main sous ma joue. « Y'a rien de plus naturel, ça veut dire que la machine fonctionne bien. » mmh, pas convaincu tout ça, si on voulait vraiment rentrer dans le sujet, on pouvait dire que ma machine fonctionnait plus puisque j'étais devenue stérile par la faute de son ex.
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Ouais ouais, je le voyais venir de loin. Il allait essayer de me tripoter dans la nuit et tout ça et j'allais me sentir vraiment con. Genre vraiment. Parce que bon, c'était pas que c'était bizarre mais j'savais pas trop comment j'pouvais réagir si d'un coup je me retrouvais avec la main de mon ancien colocataire s'baladant tranquillement sur mon corps. Enfin j'étais pour l'exploration et tout ça mais y avait des limites et j'préférais que ma poitrine reste un terrain inconnu pour lui. Histoire de préserver les terres m'voyez ? Bref. Maintenant que j'avais annoncée ne plus être avec Phoenix, il m'disait être désolé. Ahaha, hypocrite. J'savais tellement que c'était faux, d'ailleurs, son autre phrase venait le confirmer. J'secouais la tête gardant le silence quelques secondes avant de reprendre. « J'pense pas, c'est Phoenix. Il s'fous de tout. » Et surtout de moi mais c'était pas comme si j'avais jouée la petite amie exemplaire non plus donc au final, on s'en fichais tout les deux. Fallait croire que notre amour d'adolescent n'avait pas été fait pour revoir le jour et au final, à part les superbes parties de jambe en l'air, y avait rien eu d'intéressant dans notre couple. Conclusion, c'était beaucoup mieux comme ça. « J'ai envie de dire que si tu me tripote en pleine nuit, c'est plutôt toi qui en profiterais. » Après, fallait que ça me réveille pour que je puisse le réveiller sinon ça serait con. Imaginez un peu que j'pense que ça soit Nate ? On était pas dans la merde. Peut être que dormir ensemble était une mauvaise idée en fait. « Tu m'en veux si j'te demande de la faire fonctionner avec Leevy plutôt qu'avec moi ? Parce que j'émets aucun doute sur ta machine mais j'préférerais ne pas me prendre la fureur de Blondie en plein visage. »
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Ouais, il s'en foutait de tout. A croire qu'il vivait juste pour sa pomme et qu'il en avait rien à foutre des autres, suffisait de voir comment il parlait à sa soeur. Je détestais ce mec du plus profond de mon être, la prochaine fois que ça sera mon anniversaire, je soufflerais sur la bougie en faisant comme vœux que Phoenix crève atrocement. Bon j'y allais un peu fort quand même. Mais c'était mon cerveau avec mes pensées. Je me mis à rire une deuxième fois avec Charline. Ça y est on allait passer la nuit à parler de cul. Et c'était le genre de truc qui me donnait juste envie de coucher donc c'était mieux pour nous deux qu'on pense à autre chose. C'était ça quand on osait parler de tout et de rien avec une fille. « Aha, je suis réputé pour vraiment faire plaisir aux femmes, ne dis pas n'importe quoi. » franchement, en toute honnêteté, si j'étais célibataire et que Charline n'était pas la soeur d'Apple, je me serais jeté sur elle pour lui en donner la preuve vivante. Sauf que c'était pas le cas. J'étais devenu un mec bien. « T'en fais pas, je suis sure que ça n'arrivera pas... J'ai trop de choses négatives dans la tête pour avoir ce genre de réaction. » ce qui n'était pas faux. Y'avait des jours où j'arrivais pas à gérer sexuellement, il suffisait que quelque chose me prenne la tête et je ressemblais à un vieux puceau. Je venais me rapprocher de Charline pour la chatouiller puis je déposais un bisou sur sa joue. « Dors bien! Et merci de m'héberger. T'es vraiment chou. » je me remettais à ma place et je m'endormis rapidement, très rapidement car c'était toujours comme ça chez moi.
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Fallait pas croire mais Leevy pouvait vraiment être terrifiante quand elle s'y mettais. Et même si on avait arrangées les choses toutes les deux, j'avais pas tellement envie de voir la tornade débarquer dans mon appartement parce que putain, c'était impossible que ça ne fasse pas de ravage. Non mais même si j'étais méchante dans mon genre, j'pouvais absolument rien faire contre les ressources de la blonde et putain, avoir deux Cartwith à dos c'était comme signer mon arrêt de mort. Merde quoi, j'étais jeune et je voulais vivre moi. « J'en aurais jamais la confirmation alors permets moi d'avoir des doutes sur tes compétences. » J'fais voler mes cheveux genre : 'bitch please' lui adressant un sourire narquois. Après fallait pas confondre hein ? J'étais pas en train de lui faire une proposition ni rien du genre. Royce c'était pas un mec pour moi. Dans l'sens où je lui parlais de tout et même de tampons alors forcément, on pouvait pas devenir intime quand on avait des conversations de ce genre. « Mais c'est parfait alors, on passera une nuit en toute innocence sans tenter de se violer l'un l'autre. J'aime ça. » Et.. AAAH. Il était sérieux ? Pas le supplice des chatouilles quoi. Je détestais ça et j'riais comme un phoque par sa faute. « Dors bien et.. » Et il dormait déjà. C'était humainement possible de s'endormir aussi vite ? Mais j'crois que le pire, c'était le fait qu'il faisait autant de bruit qu'un tracteur. Trop cool, bonne nuit Charline quoi.
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Comment pouvait-elle avoir des doutes sur mes compétences? Sérieusement, c'était presque vexant. Moi qui pensais que les soeurs se racontaient tout, que mon ex lui aurait au moins raconté nos parties de jambes en l'air. Pff, même pas. Comme c'était vexant. Non mais sur le coup, je le prenais mal, j'étais une petite précieuse. Je tirais la couverture sur mes épaules et Charline était rassurée qu'on passe une nuit sans se violer. Je ris bêtement. Putain cette conversation n'avait ni queue ni tête. On disait que de la merde et il était temps que je m'endorme. J'ai fais pas mal de cauchemars, d'horribles cauchemars même, j'étais pas rassuré. Pendant la nuit, je m'étais juste déplacé vers Charline, en prenant son épaule comme oreiller. Mais le pire ce n'était pas mes problèmes nocturnes non, c'est le fait que je lui avais bavé dessus pendant une bonne partie de la nuit. On m'appelle Monsieur Porc. D'ailleurs, je sentais qu'elle commençait à se réveiller, mais moi j'étais tellement bien que je voulais pas mes bouger, à croire que ses boobs étaient confortables haha.
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Non mais sans déconner, j'pouvais pas lui pincer le nez ? Juste histoire qu'il la ferme et tant pis s'il s'étouffait. C'était pas important. Juste un petit détail technique. Mh, non. J'allais le laisser dormir en fait. C'était peut être mieux comme ça et puis, j'avais pas envie qu'il me fouette. Bref, j'finissais par m'endormir et autant dire que ça devait être la nuit la plus étrange de toute ma vie. Premièrement, j'avais l'impression que tout était humide autour de moi. Et y avait de l'eau qui tombait sur mon épaule mais j'comprenais pas puisque j'étais à l'intérieur. Donc ouais, c'était carrément trop étrange. Et puis je me sentais oppressée aussi sauf que je savais pas pourquoi. Enfin, j'finissais par ouvrir les yeux mettant quelques minutes à m'habituer au retour à la réalité. Et c'était pas évident. Surtout quand on avait Royce totalement étalé sur sa poitrine. Donc mes seins lui avait servit de coussin, han ? J'voyais même pas comment il pouvait être bien, c'était pas comme si j'avais des obus en fait. Là, c'était l'heure de la mission : expulser Royce. J'inspirais profondément et paf, j'utilisais toute ma force pour l'envoyer bouler sur le côté. « Yeeeeurk, tu m'as bavé dessus en fait. T'es craaaaaaade. »
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J'avais mal dormis, avec tout ce que j'avais dans la tête, c'était difficile de ne pas faire de mauvais rêves. Pourtant, quand je me suis réveillée, je remarquais que j'avais bavé sur Charline, du coup, on pourrait croire que je faisais un rêve utopique. Elle me poussa assez brusquement et je roulais du lit en tombant sur le sol. Faut savoir que j'avais aucun réflexe le matin, il me fallait toujours du temps pour émerger. « Aie putaaaaaaain. » râlai-je comme un gamin. Je me levais doucement en essayant d'ouvrir mes petits yeux et j'éclatais de rire lorsque je voyais Charline complètement dégoûtée d'avoir de la bave sur elle. Sérieusement, j'étais pris dans un fou rire incontrôlable. « OH MON DIEU c'est magique! » j'avais mal aux côtes tellement c'était drôle. Puis soudain, j'avais une envie de pisser donc je m'éclipsais un moment. Quelques minutes plus tard, je revenais dans sa chambre et je prenais mes affaires pour m'habiller. Je n'allais pas la déranger plus longtemps. « Au fait, merci de m'avoir héberger. Si tu pouvais garder ça pour toi, j'sais pas, j'veux pas avoir encore plus d'emmerdes. J'ai quand même passé la nuit avec toi! » lançai-je d'un air faussement choqué. Je souris en venant poser mes fesses près d'elle. J'avais pas envie que ça se sache, même s'il ne s'était rien passé. J'imagine la tête de Leevy, de Phoenix, d'Apple surtout.
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Et crade c'était vachement faible encore. Parce que le pire, c'est que c'était pas la petite bavouille de rien du tout. Non, le mec il avait fait une inondation de bave sur mon épaule. En gros, ça expliquait pourquoi est ce que je rêvais de fuite et d'eau. Il avait juste essayé de me noyer à coup de salive pendant la nuit. Ça m'apprendrais à vouloir être sympa en l'empêchant de dormir dehors tiens. Le seul truc qui me réconfortait un peu c'était le fait qu'il s'était magistralement ramassé par terre -mettez ça sur le compte de ma force légendaire- et que pour le coup, j'pouvais pas m'empêcher de dire. Ouais ouais, je riais et puis lui il s'foutait de ma gueule parce que j'avais encore cet air dégoutée sur le visage. En même temps, c'était sale. J'partageais pas ma bave alors il aurait pu garder la sienne pour lui. « Y a RIEN de magique. » J'étais vraiment douée pour me mettre à raler de bon matin. Et pendant qu'il allait s'vider tranquillement la vessie, moi j'attrapais un tee shirt au pif pour m'essuyer. Génial, j'avais l'impression de sentir Royce maitenant. Parce que ouais, c'est bien connu, la salive a une odeur. Breeeef. Royce is back bitches. « J'serais muette comme une tombe, tu l'sais bien. Puis au pire, c'est pas comme si on s'était envoyés en l'air toute la nuit, y a pas de quoi en faire drame. » Quoiqu'Apple et Leevy serait forcément pas du même avis. Le garder pour nous c'était bien. « Mh, t'es en train de dire que tu te casses là ? »
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Je narguais Charline en hochant positivement la tête pour affirmer que c'était magique, sisi, un point c'est tout. Cette image allait encore me rester longtemps dans la tête. N'importe qui trouverait ça dégoûtant, mais moi je n'en avais pas honte, justement, c'était comme si je marquais mon territoire sur elle, comme les chiens, sauf que moi je lui pisse pas dessus. Bref, je retournais dans sa chambre pour me rhabiller puis je venais encore squatter un peu son lit en la regardant. « Ah ouais? T'as des preuves de ce que tu dis? » répondis-je pour la taquiner encore une fois, pour pas changer. Charline voyait juste, je me cassais. J'allais pas rester plus longtemps et la déranger avec... ma bave tiens. « Ouais j'ai des choses à faire et je voudrais pas m'imposer plus. » je lui pinçais sa joue pour la faire chier et je me levais, faisant quelques pas vers la porte. « Si tu crois que je me suis habillé pour aller acheter des petits pains aux chocolats, tu peux toujours rêver. » je me regardais dans le miroir de sa chambre et je regardais tous les produits de beauté qu'elle avait, ainsi que toutes les crèmes. Sérieusement, comment les filles pouvaient se tartiner le visage autant? J'avais vraiment une sale gueule, si seulement Kova avait de l'anti-cerne puissance max.
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