TG BLOCUS ∞ ELIOT HOUSE

Topic de Groupe

   

✱ QUOI : Blocus.
✱ OÙ : Dans et devant vos confréries respectives.
✱ QUAND IG : 16 Janvier 2015 à 18h.
✱ QUAND IRL : 15 Janvier 2015 jusqu'à inactivité.
✱ QUI : Les étudiants.

✱ Merci de faire entre 5 et 10 lignes dans les topics de groupes. (dans les RPs privés vous pouvez faire autant que vous le voulez.)

À vos RPs dans les topics de groupes, merci d'ajouter ceci lorsque vous venez tout juste d'entrer dans un sujet:
IN

Code:

[size=18][color=#6a9e3f][b]IN[/b][/color][/size]

et ceci lorsque vous en sortez:
OUT

Code:

[size=18][color=crimson][b]OUT[/b][/color][/size]

Comme ça, moins de chance de parler dans le vide ou oublier quelqu'un
Merci !

Description

Moins d'une heure avant que l'une des marionnettes du Doyen ne vienne prendre les clefs de chaque confrérie. Moins d'une heure avant que l'on ne soit tous que... des étudiants lambda. La plupart des étudiants tiennent à leur confrérie, au seul toit qu'ils ont au-dessus de la tête. Nous refusons de quitter ce qui nous appartient et pour cela, nous allons tout simplement rester dedans. Nous n'allons pas faire nos bagages, nous n'allons pas quitter nos confréries, nous allons rester gentiment -ou pas- entre les 4 magnifiques murs de nos maisons vertes, roses, rouges, etc... Faisons blocus, unissons-nous et ne les laissons pas nous marcher sur les pieds !

   

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Normalement, je devrais être en voyage avec mon chéri et sa troupe violette, mais j'ai décidé de rentrer plus tôt, car Phoenix m'avait mis au courant du Blocus qu'ils feront pour la fermeture des confréries. Et comme malgré tout ce qu'on pouvait dire sur la Eliot House, elle avait besoin de tous ses membres et même si j'avais un domicile en dehors de l'université et bien, je tenais quand même aux bleus. Voilà pourquoi, je voulais être auprès d'eux aujourd'hui afin de pouvoir nous rebeller et protéger notre petit bien. Je débarquais donc avec un sac de couchage, une lampe et sur mes joues, il y avait quatre traits bleus, une parfaite guerrière me direz-vous. Nous allons passer la nuit ici, ouaich et puis, ce serait l'occasion de tous nous rapprocher et nous remémorer les bons souvenirs que nous avons passés ici, histoire de donner encore en plus envie aux bizuts d'être là. J'installe mon sac de couchage et je m'assois dessus en attendant les autres. Bien évidemment, mon chéri ne voyait pas d'inconvénient à ce que je le laisse en solo pour la suite de son voyage, il comprenait que j'avais besoin d'être auprès des bleus pour leur apporter mon soutien. Ouai pas soutif ein, mon soutien moral et physique si besoin.

Tu n'avais pas le temps de chômer en ce moment, et t'avais l'impression de n'avoir jamais autant voyagé en si peu de temps. Une journée à Londres pour ton mariage avec Chrissy, une journée de retour sur les terres monégasques pour une seconde cérémonie, et c'était déjà le fameux jour du blocus, car même si tu n'étais qu'un bizut il était hors de question que les Eliots partent en fumées à cause de connards d'agresseurs. Tu ne vivais plus dans cette maison depuis cette année, mais elle avait cette petite place spéciale dans ton coeur, qui te donnait envie de te battre pour elle. Et avec un peu de chance, tu seras tellement pris dans cette soirée avec tes camarades que tu en oublieras pour quelques instants la trahison de tes parents et ton putain de mariage arrangé. Vous aviez parler un petit peu entre Eliots pour savoir comment allait se passer cette soirée, et vous aviez décidé de dormir à l'intérieur, dans des sacs de couchages, comme des aventuriers de koh-lanta dans trop de conforts. Tu avais revêtu ton onesie stitch, pour être dans le thème du bleu, et quand tu arrivais tu voyais que tu n'étais pas le premier, remarquant la belle Diamantika déjà assise dans son sac de couchage. Tu installais le tien à ses côtés, et tu venais lui faire la bise, souriant. « Tu me fais de belles joues à moi aussi ? » Tu lui demandais, en remarquant les siennes, et tu sortais un petit pot de peinture de ton sac pour qu'elle te rende magnifique toi aussi.

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Même si demain c'est le départ pour Jersey et que j'ai des coups de fil de dernière minute à passer, je suis décidé à faire ce blocus. J'ai prévenu Dia qui était en vacances je ne sais où avec son Lowell et j'ai bien sûr prévenu les autres Eliots. Étant devenu Président suite au départ de May, j'avais pris un dortoir à la Eliot House, même si depuis la fermeture ça ne sert plus à grand chose. Je sors de ma voiture, et prends mon sac de couchage ainsi que mon sac à dos pour me diriger vers les Eliots déjà présents. Sur le chemin, j'ai bien évidemment allumé une cigarette, un peu pour me donner du courage afin d'affronter cette nuit qui sera certainement sans répit ! Dia est là, ainsi que Nemo. Je leur fais un sourire, et dis en lâchant mes affaires sur le sol, c'est-à-dire mon sac Eastpack et mon sac de couchage. « Salut vous deux ! C'est cool d'être venus. » Je passe une main dans mes cheveux, et remonte la fermeture de mon sweat jusqu'en haut puisque mine de rien il fait froid. Vêtu d'un jogging, d'un T-Shirt et d'un simple sweat à capuche ce n'est pas vraiment étonnant. Je m'approche alors de Dia, et fais claquer mes lèvres sur sa joue, puis je sers la main de Nemo avec virilité.

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J'avais eu une excellente raison pour annuler ma participation au voyage à Paris avec les Dunsters: la fermeture des confréries. Le Doyen, même si on lui offrait un pot de vin était borné et casse-pied et refusait de céder, pour une fois, les confréries allaient fermés peut importe, il ne changerait pas d'avis ce fils de pute. J'étais remonté à bloc et la nuit allait être longue, c'est garanti. J'étais même résolu à m'enfermer dans la Eliot House, il faudrait me passer sur le corps pour me faire sortir et dans le pire des scénarios, je me trouverais des potes dans la prison du comté. J'avais sécher les cours aujourd'hui comme la moitié d'entre nous d'ailleurs pour défendre notre honneur, c'était le jour J, la fermeture des confréries étaient imminentes mais on allait se battre. Vêtu d'un jogging, un sweat-shirt underamour bleu, casque tourner à l'envers, j'étais Rambo Tate, je serais invincible avec les bleus avec mes ligns sous les yeux. J'avais profiter du fait que je faisais l'école bussionière pour aller chercher quelques armes pour nous défendre en toute légalité. Je descendais de ma chambre à la Eliot House, armé jusqu'aux dents. Je balancais quelques sacs en bas des escaliers, un oreillier, sac de couchage pour rejoindre les autres. Le coup de grâce, deux sacs de hockey énormes qui comptait mes petits trésors pour nous, les bleus. La Eliot House était une seconde famille pour moi, d'accord on avait été amochés cette année avec le départ de plusieurs de nos membres mais c'était le moment de redevenir plus fort que jamais. J'arrivais vers les autres et vit quelques visages, si mes bizuts se présentaient pas j'allais leur botter le cul personnellement. Je faisais quelques voyages aller-retour et saluais les guerriers présents. ''Dia, tu fais une superbe guerrière bleue dis donc! Tu pourrais être notre Neytiri pour ce combat.'' Je placais mon sac de couchage et quelques trucs. ''Nemo, notre poisson-clown, je ne comprends pas ce que tu portes mais heureux de te voir.'' Je venais de rapporter une poche de hockey et j'allais chercher l'autre. ''Dis Phoenix, le contact humain te va à ravir maintenant, tu peux compter sur moi.'' J'avais rapporté mes derniers trucs et saluait notre président d'une bonne poignée de main et un accolade de mec, après tout le temps qu'on se connaissait avec Leevy. Je placais les énormes sacs au centre et invitait les autres à venir voir: ''Venez voir ce que Tate Noêl a apporté pour la Eliot House. J'ai de la corde, du ruban, des gants, casques, lunettes de paintball, des fusils de paintball avec près de 20 000 balles de paintball bleus en stock pour tout le monde, comme si on allait se gêner pour tirer de la peinture. J'ai des bombes en aérosols bleu, des lampes de poches, des fusils lasers. On va s'amuser je le sens les amis.'' Je commençais à me faire un kit perso avec un fusil de paintball et l'armement, j'allais m'amuser à tirer sur n'importe quel sbire du doyen . Je regardais les autres et demandait: ''J'espère que les autres se bougent le cul pour venir ici.'' Je souriais à Diamantika et lui demandait: ''Cody a pas pleurer parce que tu venais ici défendre les bleus?''

Assise sur mon sac de couchage, un autre Eliot pointa le bout de son nez et devinez qui ?. Rho bon aller, pas de devinette, c'était Nemo. Un mec que je considérais comme un frère. Il s'approcha de moi pour me faire la bise avant de me demander une faveur: celui de rendre ses joues aussi jolies que les miennes. « Mais avec plaisir mon p'tit Stitch !. » Je disais ça simplement à cause de la tenue qu'il portait, qui d'ailleurs était, très originale pour cette veillée. « Joli onesie en passant. » Lui complimentais-je tandis que j'attrapais le petit pot de peinture qu'il me tendait. Sans perdre de temps, je maquille ses joues de quatre traits bleus identiques aux miennes. « Et voilà frèro ! Maintenant, t'as de belles petites joues comme moi. » accompagnant mes propos avec un large sourire. Parfois je l'appelais frèro tout simplement parce que c'était un petit peu naturel entre nous, nous n'étions peut-être pas du même sang, mais peu importe, on s'en balance après tout. Ce fut autour de Phoenix de montrer le bout de sa queue. Enfin, vous avez compris quoi. Il me tape la bise avant de nous remercier d'être là. « Ellow Phoe. Non, mais c'est tout à fait normal. La Eliot House est le petit nid des bleus après tout. » Je secoue positivement de la tête pour appuyer mes propos, terminant par lui montrer le pot de peinture bleue. « Toi aussi t'veux de belles joues comme les miennes ?. » Yeux tout brillants, j'essaie de l'amadouer pour qu'il me laisse peindre ses joues également et puis, s'il refusait, j'élaborerai un plan visuel avec Nemo pour qu'on lui saute dessus afin de lui peindre de force. Mesdames et messieurs voici l'entrée toujours aussi éblouissante de Tate, premier du nom s'il vous plait. « Je serai votre Neytiri, mais en plus sexy et moins flippante alors. » Parce que la vraie avait des yeux qui m'ont toujours fait flipper. Bref, je le laissais discuter avec les gars jusqu'à ce qu'il nous interpelle pour voir quelque chose. M'approchant, je regarde dans le carton. « Toi Tate, t'seras notre soldat toujours armé jusqu'aux dents. » J'éclatais de rire alors qu'il me fit une remarque sur Cody. Rhaaaa, une vraie histoire d'amour entre ces deux-là. « Nonnnnnnnn, au contraire, c'est un petit-ami tout à fait compréhensible. Par contre, il te fait dire de garder tes mains très loin d'moi. » Je lui tirais la langue. Dia ou comment renforcer l'amour Codate.

Si c'était à cause du blocus que les liens des bleus allaient se renforcir alors qui vivra verra! J'étais content de voir que la Eliot House n'allait pas capituler aussi vite que ceux dans les autres confréries le disaient. J'étais maintenant armé et prêt à n'importe quel situation. Je trouvais sa seuper qu'un bizut comme Nemo se démèene comme sa, j'avais l'impression que cela faisait un éternité qu'il était avec nous alors que c'est un petit nouveau le nemo. J'éclatais de rire à la remarque de Dia, je l'adorais. C'était bizarre parce que on avait jamais vraiment bavarder plus qu'il le fallait mais avec le temps, j'avais l'impression qu'on se connaissait depuis toujours et pauvre elle parce que je méprisais son petit ami, je l'avais en horreur. Je répondais à sa seconde remarque et lui donna un arme de paintball dans les mains: ''Oh mais il faut toujours être prêt pour la guerre, je vais être un vrai tireur d'élite!'' J'avais passé mon adolescence à jouer au paintball avec des amis en Suisse alors aujourd'hui, cela n'allait pas faire exception à la règle. Je continuais de m'ajouter quelques effets dans les poches et conversait toujours avec la belle Kovaleski, riant de l'avertissement que Cody avait donner à Dia comme message. Je regardais Dia avec un sourire de séducteur pour jouer le jeu et dit avec un air innoncent: ''Alors si ma main effleure tes fesses par accident ca le ferait rager? J'en prends note.'' Elle était sublime notre diamant bleue mais je prévoyais pas de rapprochement pour le moment, seulement avec Dinah.

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BLOCUS ELIOT HOUSE ✩

Cpt. Nickolas Rome Archer

J'avais passé la semaine sur la base militaire de Boston à remplir des papiers et aussi à remettre mes nouvelles fonction en vigeur. Ça n'a pas durée longtemps que mon secret soit devenu la simple et pure vérité. Dire à tout le monde que j'avais pris ma retraite, s'était simplement pour éviter que l'on me pose des centaines de question, mais faut croire qu'il y en a qui adore commencer des histoires. Tout le monde ici connaissais mon père, mais moi, non. Par contre, faut croire que je me suis trompé. Aujourd'hui, j'étais convoqué au blocus de ma confrérie. Je passais rapidement au commerce de mon père -qui est mon commerce maintenant- pour régler des petites choses et j'étais encore dans mon habit de combat. Je m'en foutais bien parce que parler du fait que nos maisons étaient pour fermer leurs portes, s'était des conneries d'adolescents. Plusieurs membres avaient commencé à parler et moi, je ne faisais qu'écouter. J'étais sage et surtout très rusé. Je m'appuyais contre un mur avec les bras croisé sur mon torse et je regardais un peu partout. Mon silence peut être en gêner quelques-uns, mais mon écoute en dit très long.

electric bird.

Tu voulais de jolies joues toi. En mode indien guerrier des temps modernes, en mode Stitch de guerre prêt à détruire quiconque serait sur son chemin, en mode Nemo retourne en totale enfance. Et puis ce n'était pas tous les jours qu'on pouvait se ramener à la Eliot house en mode total badass plein de peinture sur le visage. Dia était d'accord pour te faire de belles joues, et tu faisais un grand sourire quand elle complimentait ton onesie. « Ah, voilà quelqu'un qui a de bons goûts ! Stitch c'est tellement le meilleur. » Tu lui disais, lui faisant un petit clin d'oeil. Tu te laissais ensuite faire, alors que ton amie faisait opérer sa magie sur ton visage, et tu embrassais l'une de ses joues qui était elle sèche pour la remercier quand elle finissait. « Merci, t'es la meilleure sister ! » Et on s'en foutait si c'était pas ta vraie soeur de sang, c'était du pareil au même pour vous. Votre président – et bizuteur chéri - était le troisième à arriver, et tu lui serrais la main, haussant un peu tes épaules. « C'est normal, on ne pouvait pas laisser passer ça. » Non, vous feriez tout pour faire vivre votre maison encore un petit peu. Dia demandait à Phoenix s'il voulait des joues comme vous pour être en raccord, et tu souriais doucement en coin, parce qu'en vrai, non n'était pas une réponse plausible pour vous. C'est ensuite Tate qui entrait, avec un regard déterminé, et il avait l'air pour le moins bien chargé, avec tous les aller et retour qu'il faisait. Par contre, quand il te disait qu'il ne savait pas ce que tu portais... Ce n'était pas possible pour toi. « Tateard ! » Tu t'exclamais, outré. Et oui, c'était ton surnom de la mer juste pour lui, comme il était également un nageur comme toi. « Eliot means Family... » Tu disais en essayant de reproduire la célèbre voix de Stitch, et t'espérais grandement qu'il connaisse un minimun, rien que le ohana means family quoi. Et puis ensuite vous vous penchiez tous pour voir les sacs de Tate et tu lâchais un rire, totalement heureux et étonné du cerveau complétement malade de ton pote. Mon dieu, paintball, bombes, lampes de poches... C'était Noël après l'heure. « Mon dieu, tu nous a dévalisé un truc là ! » Tu riais, attrapant une arme de paintball. « Awesome ! » Et puis Rome arrivait en tenue militaire, sans bonjour ni rien, allant s'appuyer contre un mur, et t'essayais de pas trop t'en offusquer, parce que ew, rude quoi. « Viens par là qu'on te rende pretty ! » Tu lui lançais en souriant.

Dia je l'adore même si à mon goût elle est toujours trop joviale, c'est certainement parce que je suis assez sombre. Je fais un sourire forcé en guise de réponse, puis en geste habituel passe une main dans mes cheveux. J'ouvre de grands yeux quand elle se propose de me mettre de la peinture. C'est une blague ou comment ça se passe ? Je l'ai fait une fois, pas deux. Tout en hochant négativement de la tête je lui réponds « Non ça ira. » J'ai parlé froidement mais on ne change pas les habitudes. Je souris alors à Nemo, mon bizut qui se montre assez heureux lui aussi, et je remarque sa tenue vraiment weird pour le coup. Je l'ai peut-être toisé, mais dans le fond ça n'avait rien de méchant m'enfin. Je vois Tate arriver de loin, avec un sac limite plus gros que lui. J'arque un sourcil perplexe, et lui sers la main lorsqu'il me tend la sienne. Nous nous entendions pas mais depuis quelques temps nos rapports sont plus sereins. Cependant sa phrase je ne la prends pas très bien, je n'aime pas le contact humain, disons qu'avec les Eliots c'est différent. « Hum, mais ne te réjouis pas trop vite. » lui répondis-je en haussant des épaules. Je l'écoute et le regarde alors faire le clown de cirque, enfin je le perçois comme ça.. Il est vraiment sérieux ? J'explose de rire et dis « C'est bien, t'as de la folie dans le sang ! » Je regarde alors Tate s'armer. C'est fun, moi je n'ai pas besoin de balles de Paintball j'ai des balles qui font plus mal. Rome arrive à son tour, et je lui fais un signe de tête en guise de salut. Je l'ai souvent connu distant avec les autres et je ne peux que le comprendre. J'attrape mon téléphone et regarde l'heure. « Tate, d'où t'es venu cette idée folle ? » Je le savais fou mais pas à ce point là, je me demande ce dont il serait capable avec une véritable arme dans les mains.