Solveig ♦ Leave me alone

Solveig & Leandro
   Leave me alone

mise en page par .Stay Away

 J'ai craqué, encore une fois. Au final Solveig n'est pas la seule à blâmer dans cette histoire, car j'aurais très bien pu partir sans me retourner, je pourrais très bien refuser catégoriquement même lorsqu'elle use de chantages. Mais j'y arrive pas, et voilà où nous en sommes. Nos langues s’entremêlaient ensemble, ma main se perdait dans sa nuque alors que les siennes dans mes cheveux. Je laissais la belle rousse me pousser dans le canapé, lâchant quelques instants ses douces lèvres le temps qu'elle s'assoie à califourchon sur moi, me demandant de rester avec elle durant la nuit, j'embrassais quelques instants la jeune femme avant de reculer légèrement mes lèvres. C'est pas que je ne veux pas .. Je ne peux pas. Lui disais-je en laissant ma main glisser sous son haut, mes doigts touchants alors son dos brûlant de désir. Elle a obtenue tout ce qu'elle voulait, tout ce qu'elle pouvait obtenir de moi aujourd'hui, car oui j'ai envie d'elle. Cependant je ne peux pas rester ici ce soir, dans un premier temps parce que ça serait mal, je vais déjà m'en vouloir terriblement de dormir dans le lit de Chuck avec sa femme, mais en plus faire l'amour à Solveig dans le lit conjugal et rester avec elle toute la nuit, ça serait une plus grande trahison encore. Par contre même si je m'en veux de mentir à mon patron et d'avoir une liaison avec cette derrière, je suis juste incapable de m'arrêter aujourd'hui, alors qu'elle est assise à califourchon sur moi et qu'elle m'embrasse comme une reine. J'ai promis à Ornella que je serais chez nous ce soir pour notre fille, elle est malade. Lui avouais-je entre deux baisers, laissant ma main parcourir son dos, j'ai tellement envie de la déshabiller, que nos corps se retrouvent de nouveau ensemble, l'un contre l'autre. Mais je crains que le fait de ne pas pouvoir passer la soirée entière avec elle risque de la refroidir et qu'à cause de cela elle gâche ce moment en usant de nouveau de chantage ou tout simplement en me foutant à la porte. Mais je dois être là pour Malvina ce soir, elle a besoin de ses parents pour guérir et même si je ne suis pas le père de l'année, je compte bien faire en sorte qu'elle guérisse le plus rapidement possible. Doucement je fis basculer la belle rousse dans le canapé, dos contre ce dernier afin que je puisse m'allonger doucement sur elle, laissant mon envie dévorante prendre le dessus et nicher mes lèvres dans sa belle nuque pour quelques doux baisers. Mais on a encore deux bonnes heures devant nous. Lui avouais-je en caressant finalement sa joue, plongeant mon regard dans le lit, plaquant doucement mon front contre celui de Solveig. C'est tout ce que j'ai à t'offrir. Lui murmurais-je au creux de ses lèvres. C'est à prendre ou à laisser, je ne peux lui offrir plus et dans un sens c'est mieux ainsi. Je sais qu'une fois que nous aurons couché ensemble je vais m'en vouloir, je sais que je m'en voudrais terriblement alors si en plus de ça je passe toute la nuit dans le lit de mon patron, ça sera d'autant plus pire, alors autant rester un minimum raisonnable, même si je crains que cela ne suffise pas à la belle rousse.

leave me alone
Leandro + Solveig

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Il m'obsède et je ne peux rien y faire, je ne peux pas résister à l'appel de ses lèvres, je ne peux pas résister à la sensation qu'il me procure quand ses doigts se posent sur ma peau brûlante du désir que j'éprouve pour cet homme. Du désir, des sentiments, de la confusion surtout, tout se mélange dans mon esprit, surtout quand il est près de moi. Quand il est près de moi, j'ai le cœur qui s'emballe, j'ai l'impressio que tout pourra aller bien, qu'il ne m'abandonnera pas pour un voyage d'affaires, il n'essaiera pas de se faire pardonner ses absences par des fleurs ou des cadeaux hors de prix. Mais je ne peux pas penser cela. C'est horrible. J'aime Chuck, je ne peux pas le nier, mais qui me dit que je ne suis pas entrain de développer des sentiments pour Leandro ? Cela expliquerait beaucoup de choses, mais je ne veux pas me rendre à l'évidence, à cette évidence. Pourquoi je ne lui demande pas simplement de partir ? Parce que je ne veux pas. Je suis pendue à ses lèvres dans tout les sens du terme, je l'embrasse et j'attend qu'il me réponde, quand il me répond qu'il ne veut pas mais qu'il ne peut pas, je sens mon cœur se serrait mais je souris. Tant pis, une prochaine fois. Fais des efforts Solveig. Ses mains se glissent sous mon haut, je frissonne et me mordille la lèvre, comme à chaque fois. Mes lèvres se déposent une nouvelle fois sur les siennes, et je réduis au maximum que je peux la distance qu'il y a entre nous. Je parsème sa mâchoire de baisers lents, de baisers doux. Puis je reprend ses lèvres pour lui démontrer tout le désir que j'éprouve pour lui.  Je comprend... Je comprend...  Je mens aussi, très bien. Arrête de mentir, tu vas le perdre. Même si les rumeurs qui courent sur lui disent qu'il est un mauvais père, j'ai la preuve du contraire, il n'était peut-être tout simplement pas prêt à le devenir mais il va le devenir. Il va devenir le meilleur père que sa fille pourra avoir et elle sera fière, quand elle sera plus grande, de dire que son papa est génial, comme l'avait pu être mon père. Profite du moment présent au lieu de penser à sa fille. Il prend les devants en me couchant sur le canapé, et instinctivement j'entoure sa taille de mes jambes, le tirant vers moi, récupérant une nouvelle fois ses lèvres. J'aime cette façon qu'il a de capter mon désir, de savoir éveiller tout les papillons qui restent endormis dans mon bas ventre quand il est loin. Mon cœur s'accélère, en sentant son souffle chaud contre ma nuque, puis mon corps est de nouveau parcouru de frissons quand je l'entend me murmurer que nous avons deux heures  Deux heures, c'est parfait. Profitons en.  Je me sens électrisée par ses yeux, et je dépose alors ma main sur la sienne, fermant les yeux pour récupérer mes esprits. Je veux plus, tellement plus Leandro... Si tu savais. « Chut .. Nous avons deux heures. » J'essaye de ne pas passer pour la méchante de l'histoire, j'essaye d'être compréhensive, mais la sonorité de ma voix est un peu plus sèche que prévu. Je l'embrasse une nouvelle fois pour le faire taire et pour lui faire comprendre que j'ai envie de lui. Mes mains se déposent sous sa chemise que je déboutonne rapidement, mordillant la peau nue de son épaule qui s'offre à moi, puis l'une de mes mains se glissent sur son entrejambe, mes doigts le caressant lentement, de façon presque tentatrice.  Alors si nous n'avons que peu de temps devant nous... Fais moi l'amour.  Un sourire en coin se dessine sur mes lèvres qui en dit beaucoup, en espérant qu'il ne regrette pas ses gestes, qu'il ne regrette rien et qu'il ne prenne pas la fuite, je veux bien être gentille, mais il y a des choses que je ne supporterais vraiment pas.

Solveig & Leandro
   Leave me alone

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 Je voyais bien sur son visage et au son de sa voix que ne pas rester ici toute la nuit avec elle lui posait problème, sauf que cette fois-ci ce n'était en aucun cas par manque d'envie, mais tout simplement parce que je ne pouvais pas à cause de ma fille, mais je n'avais pas envie de penser à mon bébé actuellement, non elle me donnait bien trop envie en caressant mon entrejambe avant d'enlever ma chemise et de poser ses lèvres sur mon torse. J'ai besoin de moins de deux heures pour te combler, je te connais par cœur, je sais tout ce que tu aimes. Disais-je en souriant avant de passer mes mains autour de sa taille et de lui enlever son haut, laissant la belle rousse avec simplement son soutien-gorge pour masquer sa belle poitrine. Je me penchais de nouveau vers ses lèvres pour l'embrasser, laissant mes doigts glisser sur sa peau, se nichant peu à peu dans son dos pour lui enlever son soutien-gorge, laissant cette fois-ci sa poitrine en liberté. Je lâchais doucement ses lèvres afin de me mettre à genoux sur elle dans le canapé, observant son corps nu avant d'enlever chacun de ses vêtements un à un, enlevant tout d'abord son jean, puis sa culotte afin de laisser la belle rouquine entièrement nue. J'en profitais alors pour enlever à mon tour les derniers vêtements qui me restait sur ma peau me retrouvant en tenue d'Adam et Eve avec la magnifique Solveig. Je restais quelques instants à genoux sur elle, l'observant, la dévorant du regard. Je sais que c'est mal ce que nous sommes sur le point de faire, je sais que je vais m'en vouloir vis-à-vis de Chuck, mais c'est plus fort que moi. Au-delà de ses chantages habituelles, j'ai réellement envie d'elle. Elle me plaît vraiment, je ne peux le nier. Et puis peu importe, je me détesterais très certainement après l'acte d'avoir trahi de nouveau l'homme qui me permet de nourrir ma fille, mais j'ai trop envie de Solveig pour faire marche arrière, trop envie d'elle pour rentrer chez moi sans avoir fait l'amour à la belle rousse. Cette fois-ci entièrement nu, je me couchais de nouveau sur son corps, laissant ma main caresser sa cuisse, puis ses fesses avant de l'embrasser de nouveau avec passion puis tendresse. T'es belle Solveig. Murmurais-je au creux de ses lèvres entre deux baisers avant de caresser sa partie intime avec mon entrejambe, donnant un avant goût du plaisir que nous allons avoir ensemble dans quelques petites minutes dorénavant. Je voulais la faire languir un peu, la torturer autant que je me torture moi-même à nous faire patienter de cette manière. L'envie de ne faire qu'un avec elle était bien trop présente, tellement que je n'en pouvais plus, l'envie et le désir prenaient le pas sur moi. J'ai pas de protection avec moi .. Lui disais-je, laissant doucement glisser ma main de son bassin jusqu'à la partie la plus intime de son corps pour quelques caresses, attendant sa réaction, attendant de savoir si elle avait des préservatifs chez elle, mais plus les secondes passaient, plus c'est une torture d'attendre.

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Leandro + Solveig

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Je n'aime pas la solitude, c'est ça mon problème. C'est pour ça que je cherche de la compagnie quand Chuck part en voyage d'affaires. De la 'mauvaise' compagnie mais de la compagnie quand même. J'ai l'habitude que Leandro ne reste pas après que nous ayons fait l'amour mais ce soir j'avais un infime espoir de passer toute la soirée ainsi que toute la nuit avec lui, mais sa fille est malade. Elle est tellement adorable (enfin pour le peu de fois que j'ai eu le loisir de la voir) que je ne peux pas lui en vouloir. Je sais qu'il se fera pardonner de toutes façons. Je souris quand il dit qu'il sait ce que j'aime. C'est la vérité, je n'ai plus besoin de lui dire ce que je pense, il le devine aisément, tout comme je sais quand ce que je fais le satisfait. J'ai appris à décrypter ses gestes, ses regards à chaque fois que nous nous perdons l'un dans l'autre, à chaque fois que nous succombons à la mauvaise tentation de finir dans des draps. Ses doigts le long de ma peau me tirent un frisson, et je ferme les yeux pour savourer cette sensation, tout mes sens sont en éveil, je sens mon bas-ventre qui se crispe et je réouvre les yeux pour planter mon regard dans le sien. Les mots me perdent, je ne sais pas quoi dire et je préfère le silence dans ce genre de situations. J'ai souvent eu honte de mon corps durant des années, mais depuis que le regard de certains hommes s'est posé dessus je ne me déteste plus, et le regard de Leandro à cet instant précis me donne encore un peu plus de confiance en moi. Lorsqu'il se retrouve démuni de tout vêtements, je mordille ma lèvre avant de caresser son torse de mes doigts fins. Sentant son poids sur moi, je passe mes mains le long de sa nuque et mes mains se perdent dans sa chevelure tandis que nos lèvres se cherchent, avant que nos langues ne se trouvent, donnant lieu à un baiser passionné, me donnant l'occasion de lui montrer, de lui faire sentir tout ce que je ressens pour lui. Au fond de moi, j'ai peur que ce soit la dernière fois que nos corps soient réunis, j'ai peur qu'il mette un terme à notre « relation » après cette fois. Je ne veux pas penser au pire, mais l'idée m'effleure l'esprit, je suis bien avec lui alors que je ne devrais pas, je devrais arrêter cela, je devrais mettre moi-même un terme à cela parce que je sais que Chuck ne supporte pas la trahison, mais je n'y arrive pas. Je ne peux pas. Je ne veux pas. Sa voix me tire de ma rêverie, et ces mots me réconfortent Arrête, c'est toi qui  me rend belle . La proximité de nos deux corps réveillent en moi ce désir ensommeillé. J'ai envie de lui. Maintenant. Lorsqu'il me caresse, ma respiration s'accélère et je sens mon cœur qui s'emballe. Je l'embrasse avec ardeur, lui faisant comprendre que j'ai envie de lui. Et que je n'en peux plus d'attendre. « Hm.. attend moi ici. » Je le repousse alors doucement, un sourire malicieux sur le coin des lèvres avant de me hâter jusque la salle de bain pour sortir un préservatif de mon placard avant de le rejoindre.

Solveig & Leandro
   Leave me alone

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 Je ne comprends pas comment une fille si belle qu'elle peut douter parfois de ses charmes. Finalement la belle me repoussa pour chercher un préservatif, j'avoue en avoir profiter pour regarder ses belles petites fesses jusqu'à ce qu'elle me rejoigne, me faisant m'allonger avant de prendre en quelque sorte le contrôle de la situation, laissant ses doigts titiller mon membre, m'avouant qu'elle avait envie de moi, envie partagée et pas qu'un peu. C'est réciproque, tu peux me croire. Murmurais-je alors que l'excitation était à son point culminant lorsqu'elle s'amusa à faire des vas-et-viens avec mon membre. Elle me rendait dingue, tellement dingue qu'une fois le préservatif parfaitement disposé et une fois la belle rousse sous moi, je n'ai pu attendre une seconde de plus pour ne faire qu'un avec Solveig. C'était tellement bon, tellement parfait. Indescriptible. Je sais que je ne devrais pas prendre autant de plaisir avec la femme de mon patron, mais je suis incapable de me résilier, j'ai beau tenter de ne plus m'approcher d'elle, c'est Solveig qui revient à la charge et lorsque je ne craque pas par moi-même, elle parvient à me faire changer d'avis en usant de subterfuge pour me faire craquer. Sauf qu'à cet instant je ne pensais à rien d'autre qu'elle, je ne pensais pas à ses chantages, je ne pensais pas à son mari, ni même la mère de ma fille, je ne pensais à rien d'autre que son plaisir et le mien, notre plaisir. Les minutes passèrent, notre échange charnel se voulait de plus en plus intense, nos corps se frottant l'un à l'autre, l'un dans l'autre jusqu'à ce que j'atteigne le point de non-retour, l'orgasme. Ce fut tellement bon que j'en perdais mes mots, son corps, ses lèvres, ses gestes, tout était parfait, je ne trouvais rien à dire. Peu à peu mon membre sortait de son intimité mais je restais tout de même contre elle. À bout de souffle, exténué mais comblé. Je collais mon front contre le sien, laissant ma main caresser son corps, remontant doucement une dernière fois jusqu'à sa poitrine pour la frôler délicatement. T'as été parfaite, comme toujours. Lui avouais-je avec un tendre sourire sur mes lèvres avant de prendre les siennes alors que mon cœur s’accélérait si vite après notre échange. J'ai besoin de reprendre mes forces j'en ai l'impression, la belle rousse m'a exténué mais je n'allais pas m'en plaindre, bien au contraire. Je mettais un terme à notre baiser avant de caresser doucement sa joue. Je me demande comment se passera la suite, je sais qu'un jour Chuck finira par l'apprendre et je risque gros .. Mais peu importe, ce qui est fait est fait dorénavant. Tu veux toujours que je reste ici cette nuit ? Je peux filer un coup de téléphone à Ornella pour voir si la petite va mieux, si c'est le cas .. Je suis tout à toi ce soir. Lui disais-je toujours mon front contre le sien. Je ne sais pas pourquoi je propose cela, une partie de moi veut rester avec elle cette nuit, mais une autre, ma conscience refuse .. C'est tellement difficile, notre relation est si complexe parfois que je me perds entre ce que je veux et ce que je suis censé faire.

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Leandro + Solveig

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Craquer, ne pas craquer ? Faire chanter, ne pas le faire ? Je ne peux pas me dire que je fais du mal à Chuck indirectement. Je sais que ses deux anciens divorces sont liés à la tromperie, et je n'ai pas envie que cela lui arrive avec moi. Je m'en voudrais beaucoup et ma mère me tuerait. Elle apprécie beaucoup Chuck, et je crois que cela lui ferait un choc de savoir que sa petite fille parfaite trompe son mari avec un étudiant, son collègue qui plus est. La tension est palpable entre nous, je sens le désir de la racine de mes cheveux jusqu'à la pointe de mes pieds. Il m'électrise, me rend folle. Lorsque je pars chercher un préservatif, je sens son regard sur moi et je sens mon visage prendre cette couleur vive qu'elle adopte quand il me regarde. Je me sens belle, je me sens désirable quand je suis avec lui, encore plus qu'avec Chuck. J'aime ses caresses, j'aime cette passion interdite qu'il y a entre nous. Lorsque nous ne faisons qu'un, les papillons qui dansent dans mon ventre explosent. Lorsque notre ébat est terminé, je reprend mon souffle et ma respiration redevient normal, je sens le rythme de mon cœur ralentir et je ferme les yeux pour reprendre mes esprits. Je ne peux pas m'empêcher de penser à Chuck. J'ai l'impression d'être une vraie garce. Je ne veux pas être responsable du malheur de quelqu'un. Je sais ce que cela fait de souffrir à cause de quelqu'un. Alors pourquoi est-ce que je fais tout ça ? Chuck ne me mérite pas, mais pourtant, je ne peux pas lui dire que je couche avec Leandro. Parce qu'il le virerait. Et je ne veux pas qu'il le vire à cause de moi. Je m'en voudrais tellement. Ses doigts le long de ma poitrine me tirent de ma rêverie. « C'est toi qui a été parfait... Seulement toi... » Ses lèvres sur les miennes, je prolonge le baiser d'une manière passionnée, comme si ce baiser allait être le dernier. Je ne veux pas l'imaginer. Pas un dernier baiser. Je pose une main délicate sur la sienne avant de fermer les yeux. Je ne sais pas quoi faire. Je ne sais pas quoi dire. Je laisse le silence s'imposait entre nous deux, laissant uniquement le bruit de nos souffles qui s'apaisent se faire entendre. C'est lui qui brise le silence, et ce que j'entend me faire sourire.  Fais comme tu veux, mais j'aimerais vraiment que tu restes la cette nuit... J'arrive pas à me passer de toi...  Je pense qu'il l'a compris mais j'ai besoin de le dire. Ma main se dépose sur sa joue et je dépose un baiser furtif sur ses lèvres avant de me glisser sur le côté pour me lever avant de lui piquer sa chemise, dansant d'un pas guilleret. M'asseyant sur la table en face deu canapé, je fixe Leandro d'un œil lointain Tu me rend dingue. Tu le sais ça ?  Pourquoi est-ce que je lui dis ça ? Je n'en sais rien. J'espère vraiment qu'il va rester cette nuit. J'aimerais profiter de lui le temps que nous le pouvons encore. Le temps que Chuck ne soit pas dans les parages.

Solveig & Leandro
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  Sans que je sache pourquoi, j'ai proposé à Solveig de passer le restant de la soirée en sa compagnie et je me doutais bien que cette idée allait lui plaire puisqu'au départ se fut son souhait. Finalement elle déposa de nouveau ses lèvres contre les miennes avant de se lever d'un seul coup en volant ma chemise. Je me suis alors mis à rire, me levant à mon tour alors que la belle rouquine s'était assise sur la petite table devant moi. Je m'approchais d'elle, posant mes mains sur ses joues pour lever son regard vers le mien, ne répondant rien au faut que je la rendes dingue, car au final je n'arrive pas à m'enlever Chuck de la tête. Je rêve ou tu prends ma chemise en otage belle rousse ? Bouges pas, j'arrive .. Lui disais-je en souriant avant d'embrasser une dernière fois ses douces lèvres en allant rapidement remettre mon boxer et mon jean, attrapant mon portable pour appeler Ornella. Je ne sais pas comment elle va réagir, je ne sais même pas comment lui dire que je comptais passer la soirée avec Solveig, la femme de mon patron. La mère de ma fille se fait de plus en plus jalouse depuis quelques temps, alors je vais simplement lui dire que je passe la soirée avec des potes. Elle m'engueula tout de même, m'expliquant que Malvina allait tout de même mieux, ça me rassurait. Je rejoignais alors la belle rousse dans le salon, enroulant mes bras autour de sa taille, laissant mes mains caresser légèrement ses fesses. La petite semble aller mieux, bon sa mère m'a engueulé en sachant que je passe la soirée ailleurs, mais tu vas quand même devoir me supporter toute la soirée. Lui disais-je en souriant, sachant qu'au fond c'est mal, qu'on ne devrait pas passer la soirée ensemble ne serait-ce que pour Chuck, mais tant pis, je viens en quelque sorte de lui promettre que j'allais rester ici toute la soirée, dorénavant je n'ai plus qu'à tenir ma parole, même si une partie de moi sait que ça sera probablement la dernière fois, il faut que ce soit la dernière fois qu'on passe une soirée ensemble, qu'on fasse l'amour ensemble ..Ça doit se terminer, ne serait-ce que pour son mariage et aussi mon boulot dont j'ai extrêmement besoin. Alors, c'est quoi le programme de la soirée ? J'imagine que t'as déjà planifiée tout ça depuis un petit moment. Lui demandais-je sans la lâcher, sachant très bien qu'elle devait avoir quelques petites idées derrière la tête, au pire des cas nous trouverons quelque chose à faire ensemble.

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Leandro + Solveig

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Craquer une fois de plus, de toutes façons qu'est ce que c'est ? On a déjà fait l'maour plusieurs fois, je ne vois pourquoi craquer une fois de plus serait mal. Quand il me propose de rester chez moi,ma cosncience danse mais me rappelle que c'est mal. Tant pis. C'est peut-être mal mais je m'en fous. Je veux rester avec Leandro. Je n'aime pas être loin de lui. J'aime le taquiner, j'aime quand nous sommes complices. Parfois c'est des regards, parfois c'est des petites piques gentilles, et des fois, c'est des blagues que nous seuls comprenons. Comme des enfants.  Bien sûr que je la prend en otage, attend, mais je préfère te prendre toi c'est plus intéressant.  Je lui tire la langue avant qu'il dépose mais quand il s'éloigne, le goût le laisse faire mais quand il s'éloigne, le goût de ses lèvres, la douceur de sa peau me manque déjà. Mon cœur se serre à cette remarque. J'essaye d'écouter ce qu'il dit à sa colocataire, son ex, la mère de sa fille ou que sais-je encore. Me dirigeant vers le bar, je me serre un verre de soda et le boit d'un traite. Regardant mon téléphone qui était sur le bar, je vois un message de Chuck. Oh non. Il me dit qu'il m'aime et qu'il a hâte de rentrer. J'ai les larmes aux yeux quand je vois ce foutu message, je ne le mérite pas. Je lève les yeux au ciel pour chasser mes larmes et je lui répond que moi aussi, j'ai hâte qu'il revienne et que je l'aime aussi. Ca sonnerait presque comme un mensonge.  Te supporter ? Oh nooooon, mince, moi qui croyait pouvoir faire ma mamie dans le canapé, avec mon chat et mon thé...  Je fais une mine déçue avant de le rejoindre, pour entourer sa nuque de mes bras. On dirait une adolescente de quinze ans qui vit ses premiers instants amoureux. Digne d'une série à l'eau de rose. Ma main caresse doucement sa joue. J'ai peur de la suite. Je n'aime pas cette sensation qui est présente dans mon esprit, la peur, l'appréhension. Toutes ces choses qui ne devraient pas être ici. Je ne devrais même pas être dans ses bras. Je ne devrais pas avoir envie de l'embrasser. Je ne devrais pas avoir envie de lui faire l'amour encore une fois. Hum... Oui, j'ai quelques petites idées...  Je souris en déposant de léger baiser sur son épaule nue, et les remontant jusque son cou. Mes mains parcourant son torse du bout des doigts.  Mais il faut que tu me rejoignes la-haut...  Je souris en coin avant de déposer un baiser léger et rapide sur ses lèvres avant de monter rapidement à l'étage, et je rentre dans ma chambre, inaugurant la nouvelle lingerie que je viens d'acheter. Attendant impatiemment qu'il me rejoigne. Je n'ai pas envie de lui en vérité, j'ai besoin de lui. Inlassablement. Malheureusement.