Toi à l'hôtel #Abby

Toi à l’hôtel
Abby & Wesley

Lorsque Wesley avait appris qu’Abby ne vivait plus avec son mari, ce dernier s’était très vite renseigné sur les possibles lieux où elle avait pu se rendre. Demandant à des amies, des connaissances, ses collègues de promo pour enfin arriver devant l’un des hôtels du centre ville de Cambridge. Il était furieux bien entendu ! S’il avait pu retrouver la jeune femme avec autant de facilité, il ne faisait aucun doute que leur père et ses sbires pourraient en faire autant.
Deux ou trois sourires avec la jeune femme qui était à la réception de l’hôtel et le voilà devant la porte de la chambre de sa demi-sœur. Il tambourinait à la porte.
Abby, c’est Wesley je sais que tu es là ouvre !

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Je venais de rentré de la classe de neige, j'avais pris le peu d'ffaire que j'avais et j'étais aller m'installé dans un hotel du centre. Je n'avais toujours pas pu voir Elio pour des expication quans 'entendit tambouriné a la porte. Je reconnaissais la voi de mon demi frère. J'ouvris la porte je le voyais énervé, et voila j'allais me prendre un savon monumental. Bah merde j'avais bien le droit de vivre un peu.
"Si c''est pour geuler tu fais toute suite demi tour sa sert a rien!"

Abby était tout de même venue lui ouvrir. Elle aurait pu le laisser à la porte, pour le laisser se calmer mais au lieu de ça elle avait décidé de lui ouvrir. Le canadien rentrait dans sa chambre d'hôtel un peu plus calmement que comment il était arrivé. Je n'ai pas l'intention de gueuler. C'était une petite chambre ni trop délabrée ni trop douillette. Un petit sac de vêtement était posé non loin du lit. Tu vis dans un appartement je te rappelle. Si vous vous êtes disputé toi et Elio, j'ai moi même un appart' je te rappelle. Alors prend ton sac on s'en va. Wesley n'y allait pas par quatre chemins. Pour lui l'affaire était toute décidé.

J'étais dans une chambre d'hôtel limite piteuse; mais je ne voulais pas me faire remarqué j'avais largement les moyens de vivre dans un truc grande classe mais toute suite on m'urais revonnu.
Wes ne cria pas, mais me disait que je devais vivre chez lui y s'en fichais que je me sois engeuler avec Elio, je devais aller vivre avec lui. Je n'avais pas envie d'petre un boulet de quelqu'un d'autre... Je le regardais, je savais aussi très bien que je ne pouvais pas vivre seul; les cauchemars n'avaient pas disapru... JE ne savais pas je restais comme sa sans bougé et je me sentais rougir comem si j'allais pleuré.

Wesley avait cessé de regarder sa demi sœur, il s'était rapproché de son sac et avait commencé à rassembler ses affaires. Si cela ne lui plaisait pas elle le lui dirait, mais il tâcherait de la convaincre que le mieux à faire était de le suivre. Il ignorait bien ce qu'il y avait entre ce type et sa soeur, mais de toute évidence, cela avait été assez grave pour qu'elle quitte son domicile. Voilà un des grands inconvénients de la colocation.
Etonné de ne pas l'entendre lui répondre Wesley se tournait vers elle et se redressait, observant son faciès. Abby ?... Ca va ? Question stupide ! Non visiblement ça n'allait pas. Il plongeait son regard dans le sien. Allait-elle pleurer ? Wesley n'avait jamais fait ça. Réconforter sa petite amie, voilà une chose qu'il ne faisait que rarement parce qu'il était rarement en couple. Alors réconforter sa soeur ! ... En voilà une mince affaire. Qu'est ce qui s'est passé avec lui ?

J'étais perdu tout simplement je savais plus quoi dire. Il ne c'était rien passé, surtout j n'avais pas vu Elio depuis un bout de tempsmais vu qu'il ne m'avais pas contacter Alaska avait du me dire la vérité rien que de pensé a ça je ne pouvais pas m'empecher de serré les dents, j'vais une confiance aveugle en lui... J'étais loin d'avoir beson de lui pour avoir un toi sur la tête j'avais largement les moyens de me logé. JE ne voulais être le poid de personne, mais je sais aussi que j'"taos incapable de vivre seul .... JE ne voulais pas devenir le sien. Je fu tiré de mes pesé quand Wes' me demandais se qui n'allat pas et surtout se qui c'était passé avec Elio. MA reponse fu un simple
"Rien j'ai pas envie d'en parlé, pour le moment je reste la" JE préfére être seul quet flippé et ne pas dormir que vivre chez quelqu'un et être un vrai boulet pour lui .

Wesley fronçait les sourcils, cette réaction était un peu plus proche de celle à laquelle il s'était attendu. Le jeune homme levait les yeux au ciel. Si tu ne veux rien dire libre à toi mais tu ne dormiras pas ici ce soir. Wesley s'était redressé et allait maintenant vérifier si Abby n'avait rien laissé lui appartenant dans la salle de bain.
Revenant dans la chambre il ouvrit placards et tiroirs un à un. Que ça te plaise ou non pour le moment je range tes affaires. Apres nous irons chez moi. Tu ne vas pas rester à l'hôtel c'est ridicule !

Wes voulait absolument que je parte; mais il ne savait pas a quoi il s'engagait, je ne savais même pas s'il arriverais a me calmé... Je refusais de lui faire enduré sa. Je le regardais, j'attrapais mon sac a main et me cassais en le laissant la en plan je claquais la porte derrière moi, j'avais besoin d'aire, besoin dévacué. J'en avais marre de passé pour un boulet, il faisait que me pass de main en main. C'était compliqué tellement compliqué. J'étais dans les escaliers, de toute façon j'"tais sur qu'il allait me rattrapé.

Abby semblait s'être décidée à le suivre. Le canadien pinçait ses lèvres réellement peiné de l'avoir blessé. Il ne voulait pas avoir l'impression de décider pour elle, mais le jeune homme était protecteur, c'était ainsi. Claquant la porte derrière elle, Wesley la suivait plus lentement. Elle allait jusqu'à l'ascenseur qu'il dû rattraper en trottinant pour éviter que les portes ne se ferment sans lui. Je ne vois pas pourquoi tu es si triste de quitter cette petite chambre pour mon appart'... Je ne suis pas si bordélique Mais en fait, Wesley n'y était pas du tout..

Wes' n'étais pas vraiment bien placé en réalité il se connaissait depuis très peu de temps malgré le lien de sang qui les unissait. Je restais silencieuse a ses mots, je n'avais pas envie d'en parlé. J'avais l'impression de me fermer a tout. JE redevenais celle que j'étais celel que je ne voulais plus être. Nous étions dans l'ascenseur qui desendait. Je ne decrochais pas un mot, j'étais totalement perdu. Je ne savais pas quoi dire ni quoi faire ... Quand la porte de l'asenceur s'ouvris je tracais mon chemin, je n'avais pas envie d'aler chez lui je prenais la direction opposé...