TIMOTEI † c'est cool amuses-toi bien avec ta pouffe!

La vie allait changer ? Enfin ta vie allait changer ? En fait pas tant que ça et tu le savais. Tu n’allais pas enfermer Timoteï dans cet appartement, il pourrait bien faire ce qu’il voulait. Sortir, fumer, boire, ne pas rentrer de la nuit. Tu le laisserais vivre sa petite vie d’avant sauf pour le sexe ça s’est terminé et tu seras intransigeante là-dessus. Enfin normal quoi. De ton côté, tu n’allais pas non plus rester dans l’appartement, tes soirées entre copines, tes beuveries entre pote et ton petit joint de temps en temps voir régulièrement tu n’allais pas les changer non plus. Tes tenues plus sexy les unes que les autres n’allaient pas rester au placard pour autant. Et puis, ce qui était bien dans votre histoire c’est que si un jour vous vous engueuliez chacun file dans sa chambre et basta. Enfin bref, vous aviez tout pour que ça marche et vous feriez en sorte que ça marche sans étouffer l’autre pour autant. Tu étais assise sur les genoux de Timoteï face à lui alors qu’il se roulait un joint. Oh putain, il te donnait terriblement envie d’en fumer un aussi. Tu attendrais qu’il ait finit de te parler pour te barrer chercher ton matériel. Timoteï parlait de se vider les couilles et tu fronçais les sourcils. « C’est affreux de me comparer à un vide couilles quand on sait que c’est toujours moi qui va les chercher et pas le contraire. » Tu rigolais quelque peu avant qu’il ne fasse son mec distant, provocateur genre il ne deviendrait pas accroc à toi. Tu ne disais rien et l’embrassais tout simplement. Il prolongeait ce baiser en glissant une main dans ton dos et tu mettais doucement fin au baiser. Le regardant, tu souriais en coin. « On en reparlera. » Tu lui faisais un petit clin d’œil avant de te lever pour rentrer dans l’appartement. Allant vers ta chambre, tu y entrais pour récupérer ta petite boîte puis tu ressortais de ta chambre et de l’appartement pour retourner sur les genoux de Timoteï sur le balcon. Tu te mettais à nouveau assise face à lui et tu déposais tout sur son ventre avant de tout préparer. Ouvrant ta boîte tu voyais que tu n’avais plus beaucoup de quoi fumer. « A noter, envoyer un sms à Konrad pour un ravitaillement. » Tu souriais préparant ton mélange, puis ton toncar et enfin tu roulais le tout afin de donner un petit cône tout joli.

Ton visage s'était adouci, tout était devenu calme, comme auparavant, elle n'aurait pas découvert cette culotte, rien de tout ça ne se serait produit. Tu la portais doucement, tu la faisais tourner, telle une princesse. Après tout c'était ce qu'elle était à tes yeux. Une princesse, la tienne, maintenant. Elle n'était plus à ses nombreux mecs, c'était fini tout et tu le savais. Tu n'étais plus le mec aux nombreuses demoiselles, non, tu étais maintenant à elle. Même si cela n'allait pas être simple pour toi, tu allais le faire. Car après tout tu ressentais quelque chose de bien plus important que de l'amitié. Mais, tu savais que cela allait rester au plus profond de toi, tu n'allais certainement jamais lui dire ou même ne parler. Tu étais macho et surtout trop de fierté en toi, tu n'allais jamais avouer quelque chose. Tu la portais sans difficulté, elle était un poids plume, tu avais eu affaire à d'autres demoiselles largement plus lourdes qu'elle. Tu respirais doucement, tu ne forçais pas et tu te glissais sur le balcon en sa compagnie. Tu te posais sur la chaise et tu lui passais ton maillot, tu savais qu'il ne faisait pas chaud. Et vue comme elle était habillée, elle ne pouvait qu'attraper la mort. Et tu ne voulais pas la voir souffrante à peine votre premier jour. Tu rigolais à sa réponse, tu t'étouffais limite avec la fumer de ton joint. Tu posais ton regard sur elle et tu souriais pour souffler « Non je ne te compare pas une vide-couille ou un garage à bite. » Tu passais doucement ta main sur sa joue, tu la caressais tendrement. Et tu tirais une nouvelle fois sur ton joint, tu avais besoin de te libérer encore plus que tu l'étais en ce moment. Tu tirais plusieurs fois dessus, elle t'embrassait et toi tu prolongeais ce baiser comme tu le faisais à chaque fois. Elle mettait fin à tout ça rapidement, avec un petit clin d’œil, et elle partait rapidement à l'intérieur de l'appartement. Tu ne bougeais pas, tu gardais ce joint glissé entre tes deux lèvres. Tu regardais le paysage tranquillement, tu étais bien ici et si tu pouvais, tu y resterais certainement toute ta vie. Elle revenait rapidement avec son petit stock, et elle te posa le tout sur ton ventre. Tu ne disais rien, elle pouvait voir et faire ce qu'elle voulait, après tout tu faisais confiance à Konrad, quoique ça soit son ex. Tu fermais les yeux, la laissant bidouiller son matos.

Après moultes tumultes avec Timoteï, vous en étiez arrivés à la même conclusion. Il fallait que vous soyez ensemble, vous ne pouviez plus vivre dans une situation de jalousie et faire comme si de rien n’était et évidemment il a fallu élément déclencheur et que tu ouvres une partie de ton cœur en premier pour que Timoteï daigne à ouvrir une partie du sien mais lui comme toi ne comptait pas trop abuser sur le sujet. Il était hors de question qu’il te dise « je t’aime » et qu’inversement tu lui dises ces mêmes mots. Tu n’avais pas envie de les entendre, car cela a tellement sonné faux pour toi entre ton père, Konrad, Emrys et tant d’autre tu ne préférais plus les dires et plus les entendre c’était mieux pour tout le monde et ça éviter les conflits. Enfin bref, vous vous étiez trouvé et c’était le principal. Pour fêter tout cela vous vous mettiez sur le balcon et Timoteï se roulait un joint. Tu le regardais faire et tu te lever pour aller toi aussi te rouler un joint. Récupérant tout ton matos, tu revenais sur le balcon et tu te rasseyais sur lui, posant le tout sur son ventre afin de confectionner ton joint. Tu restais très concentrée et faisait un chef d’œuvre comme souvent. Tu le mettais entre tes lèvres et tu l’allumais, tirant une grande latte dessus. Tu recrachais doucement la fumée en petit rond, avant de tapoter sur l’épaule de Timoteï. « Eh, eh ! Ce soir je dors avec toi et tu ne peux même plus me refuser. » Tu tirais à nouveau sur ton joint avec un petit sourire. « Ouais, ouais j’ai encore gagnée, je gagne tout le temps de toute manière et avec tout le monde. » Tu riais, tirant une dernière fois sur ton joint avant de venir poser ta tête contre l’épaule de Timoteï.

Tu tirais sur ton joint mais en même temps tu tirais un trait sur ce que tu avais retrouvée depuis qu’Emrys s’était enfui et c’est ça qui allait être le plus dur. Même si Timoteï ne t’empêcherait pas de fumer, de boire et de sortir, il t’empêcherait de baiser à tout va et même si cela peut être difficile pour toi mais que tu y arriveras, cela sera un calvaire pour les hommes que tu avais l’habitude de satisfaire. Ils devront passer à autre chose et surtout se passer de toi. Enfin bref, tu fumais sur cette petite merveille et tu interpellais Timoteï afin qu’il sorte un peu de ses pensées. Tu le prévenais que désormais tu dormirais avec lui et qu’il ne pouvait rien dire. Tu ajoutais également que comme toujours c’était toi la championne ce qui était un petit peu vrai, voir totalement vrai. Mais en même temps, tu commençais un peu à divaguer, tu supportais la weed mais très vite cela te faisait divaguer, dire n’importe quoi et surtout rigoler tout le temps. Tu le laissais donc parler en souriant jusqu’à ce que ton sourire s’efface. « Quoi ? Mais non, je ne veux pas être du côté de la porte ! Le jour où on se fait cambrioler, je ne veux pas mourir en premier. De toute façon c’est celui qui arrivera en premier dans le lit qui choisit la place. » Tu pouvais courir vite quand tu le voulais fallait pas croire. Tu recrachais doucement la fumée alors que Timoteï te disait quelque chose tout en écrasant son joint qui était terminé. Dans peu de temps il aurait ce qu’il voulait ? Tu riais doucement en y réfléchissant. « C’est-à-dire quoi ? Faire la vaisselle, le ménage et la cuisine. Ce n’est pas ce que tu as déjà ? » Tu t’approchais ensuite doucement de son oreille avec un petit sourire aux lèvres. « Mais si c’est autre chose que tu veux, c’est sûr et certain que tu l’auras enfin si tu t’y prends bien. » Tu lui faisais un petit clin d’œil déposant un baiser sur sa joue. Tu laissais ton joint sur le bord du cendrier pas fini. Te redressant tu retirais le pull du jeune homme avec un petit sourire en coin toujours. « Je suis fatiguée, je te souhaite une bonne nuit. » Tu passais derrière lui pour rentrer dans l’appartement direction sa chambre.

Wow, wow tu ne voulais pas mourir toi. Déjà que tu n’avais pas beaucoup de force en temps normal mais alors au réveil tu étais une guimauve donc quitte à ce que quelqu’un se batte si un individu envahi la maison autant que ça soit Timoteï, c’est un homme fort et vaillant. Il est comme kirikou quoi. Enfin bref, il avait encore capitulé sous tes beaux yeux et ça te plaisait. Mais il fallait pas non plus que tu abuses de trop, parce que tu savais très bien que s’il voulait te remettre en place il ne se gênerait pas et c’est aussi ça que tu appréciais chez lui. Tu embrassais sa joue pour le remerciais et tu écrasais ton joint avant de te lever. Lui rendant son pull, tu entrais alors dans la maison alors qu’il te disait qu’il t’aurait. Tu souriais en coin tout en te retournant. Tu t’approchais de lui jusqu’à le faire reculer, jusqu’à ce que son dos se colle à la baie vitrée. Posant une main sur son torse, tu le maintenais. Tu venais déposais quelques baisers dans son cou, avant de remonter jusqu’à sa bouche. Tu l’embrassais langoureusement tout en remontant sensuellement ta jambe le long de son entre-jambe. Ton petit jeu durait quelques minutes avant que tu ne t’écartes. « Peut-être ou peut-être pas. » Tu lui faisais un petit clin d’œil, avant de te retourner direction la chambre profitant bien qu’il soit derrière toi pour faire jouer ton cul tout le long du chemin jusqu’à la chambre. Tu pénétrais dans celle-ci et sans même fermer la porte, tu retirais ton haut afin de te glisser en soutien-gorge sous les draps. Tu voulais le faire languir encore et encore jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et qu’il ne désire que toi et encore toi. Tu étais vicieuse et affreuse comme fille mais cela t’amusait plutôt bien quand même.