Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTIMOTEI † c'est cool amuses-toi bien avec ta pouffe! - Page 2
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TIMOTEI † c'est cool amuses-toi bien avec ta pouffe!

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On ne pouvait pas dire que Timoteï t’avait meurtrie ou blessée parce qu’au final ce n’était pas le cas. Tu étais déçue mais tu n’étais pas meurtrie. Tu avais vécue des choses beaucoup plus destructrice que ça. Mais tu préférais t’isolais, cela était mieux pour tout le monde sinon tu risquais de dire des choses que tu ne pensais pas. De plus, tu sentais que Timoteï était vraiment très en colère et tu préférais le laisser seul aussi avant que tout ne soit gâcher par des mots ou des actes que ni toi, ni lui ne voudrait faire subir à l’autre. Tu entrais donc dans ton petit monde, tu mettais de la musique et tu te laissais porter par celle-ci. Tu décidais de rouler une cigarette, car tu n’avais pas envie de te pourrir la tête avec cette merde. Et puis, il y a quelque chose en toi qui disait que tout ce qui t’arrivait c’était de ta faute. Finalement, tu n’aurais peut-être pas du réagir comme ça. Tu risques de perdre Timoteï en tant qu’ami en le mettant au pied du mur. Tu secouais la tête ne préférant même pas y penser tellement ça te tuerais. Finissant de rouler ta cigarette, tu cherchais un briquet partout qui devait très certainement être dans le salon. Ressortant de ta chambre tu passais dans la cuisine pour aller dans le salon mais là malheur. Tu étais pieds nus et des bouts de verre venait de t’entailler les pieds. « Putain ! » Tu t’accroupissais pour récupérer la photo au sol et la remettre à sa place. Trouvant un endroit sans bout de verre, tu t’asseyais par terre pour extraire les petits bouts bloqué dans ton pied. Te relevant, tu passais ensuite un coup de balais afin d’efface tout ceci et tu allais ensuite dans le salon pour prendre le briquet quand tu vis Timoteï sur le balcon. Il s’était enfermé dehors afin que tu ne puisses pas le rejoindre et tu le regardais pendant quelques minutes. Pour la première fois, tu n’irais pas vers lui c’était à lui de venir te voir. Pas pour te dire qu’il avait décidé telle ou telle chose mais pour que tu le réconfortes. C’était à lui de faire le premier pas pour la première fois.
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Tu avais décidé de rester dehors pour respirer et surtout pour réfléchir et prendre la bonne décision. Elle te mettait une grosse pression et tu n'avais pas d'autre choix que de choisir. Rester libre et la perdre, ou arrêter de coucher avec toutes les demoiselles que tu croisais. Tu n'avais pas vraiment le choix, tu ne voulais pas la perdre, elle était une personne très importante à tes yeux. Tu ne voyais plus ta vie sans elle, c'était horrible, mais tu arrivais encore à la faire souffrir. Mais, au final de la voir souffrir, te faisait souffrir, tu devais donc prendre ta décision. Tu n'avais pas le droit de continuer sur ce chemin, tu devais réfléchir et prendre ta décision dans quelques heures maximum. Tu venais de détruire un vase ainsi qu'un cadre, tu avais fui comme souvent sur le balcon et tu étais posé sur la rambarde. Tu attendais, à croire que le vent allait te donner une réponse. Tu décidais de t'asseoir sur la chaise et tu posais ta tête contre le mur. Tu sortais de ta poche un paquet de clopes, tu avais besoin d'en fumer une. Tu n'allais pas rester là à rien faire non ? Tu tournais de temps en temps la tête pour regarder ce qu'elle faisait. Tu soupirais et tu remarquais que tu ne pouvais pas t'empêcher de l'observer, de savoir ce qu'elle faisait. Tu savais donc ce qu'il te restait à faire, tu continuais de fumer ta clope tranquillement et tu allais lui annoncer la nouvelle. Tu avais pris ta décision en seulement quelques minutes. Est-ce que ça serait la bonne décision ? Seulement toi pouvait le savoir, tu écrasais ta clope dans le cendrier et tu tournais la clé dans la serrure pour entre de nouveau à l'intérieur de l'appartement. Tu te dirigeais près d'elle, slalomant entre les bouts de verre. Tu ne disais rien et tu restais à quelques centimètres d'elle, comme si tu préférais mettre une barrière. Au final tu avançais encore quelques pas et tu attrapais son visage entre tes deux mains. Tu plongeais ton regard dans le sien et tu laissais glisser entre tes lèvres : « J'ai décidé de te garder, seulement toi. Tirer un trait sur toutes les autres. Je ne veux que toi, Grace. » tu te mordais la lèvre, tu avais peur de faire une erreur.
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Tu étais revenue dans le salon pour le fixait pendant un bon moment après t’être coupé à cause des bouts de verre que Timoteï avait laissé sur le sol de l’appartement après son emportement. Tu t’étais ensuite résignée à le regarder, car au final cela montrait une nouvelle fois que tu n’arrivais pas à vivre sans lui. Tu avais besoin de lui, tu avais réellement besoin de lui et tu ferais tout pour le garder près de toi. T’adossant au canapé, tu passais une main dans tes cheveux en soupirant un long moment. Mais pourquoi ? Pourquoi cela doit toujours être si compliquée avec toi ? Pourquoi quand tu étais bien il fallait que quelque chose s’emballe en toi et que tout devienne compliqué. Tu secouais doucement ta tête, fermant les yeux jusqu’à ce que ton visage soit pris entre deux mains. Tu ouvrais les yeux pour voir les yeux de Timoteï dans les tiens. Tu ne comprenais plus vraiment ce qu’il se passait, tu fronçais légèrement les sourcils en entendant les mots de Timoteï. Il ne voulait que toi. C’était sa décision ? Il était prêt à renoncer à sa vie d’avant pour toi. Mais toi étais-tu vraiment prête à ça. Tu respirais calmement avant de répéter inlassablement. « Tu ne veux que moi ? Tu ne veux que moi ? » Tu déposais une main sur la joue de Timoteï et rien que son contact faisait que cela s’emballait encore en toi. Tu approchais doucement son visage du sien, pour venir déposer un faible baiser sur ses lèvres avant de te reculer. « Je ne veux que toi. » Tu venais de renoncer à ta vie de débauche une nouvelle fois pour te mettre dans une relation d’où tu ne voyais pas encore le bout mais tu savais que cette relation ne serait pas aussi simple que les autres, Timoteï n’est pas aussi simple que les autres, ce n’est pas les autres et c’est ce que fait toute la différence pour toi.
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Tu ne savais pas si tu avais fais le bon choix, tu ne savais pas si ta vie allait changer ou non. Mais une chose était sûre, tu n'allais plus être le même. Tu n'allais plus être connu comme celui qui couchait avec toutes les demoiselles, qui avait tout le monde à ses pieds. Non, tu allais devenir un homme sérieux et fidèle, tu allais avoir du mal à ne plus poser ton regard sur ces femmes et à les draguer. Tu allais avoir du boulot, mais tu allais le faire pour elle. Tu ne savais même pas qui était-elle vraiment pour toi, tu te lançais dans cette histoire, sur une pente glissante. Était-elle ta copine ? Une simple meilleure amie ? Ta future femme ? Tu te posais tant de question, tu t'étais lancé sans vraiment te demander ce que tu allais devenir. Tu avançais tête baissée comme d'habitude, mais souvent tu faisais les bon choix et tu espérais ne pas le regretter. Tu rentrais dans l'appartement, tu fermais la porte derrière toi et tu posais ton regard sur la jeune femme. Tu t'avançais près d'elle et tu hésitais à avouer ce que tu voulais lui dire. Mais, tu devais lui en parler pour la garder près de toi. Tu laissais glisser entre tes dents, d'une voix douce que tu ne voulais qu'elle, seulement elle. Elle avait l'air plutôt surprise de tes paroles, elle répétait plusieurs fois ce que tu venais de dire, précisément deux fois. Elle posait une main sur ta joue et déposait un baiser rapide, avant de le dire elle aussi. Tu souriais légèrement, tu n'arrivais pas à sourire plus que tu ne le faisais. Tu attrapais sa main pour la serrer contre toi. Tu avais besoin de sentir les battements de son cœur, tu posais ta tête sur la sienne et tu respirais doucement. Tu essayais de te calmer et de penser à autre chose. Tu avais l'impression que ta main était tremblante, tu n'avais jamais été ainsi, du moins tu t'en rappelais pas. Tu caressais doucement ses cheveux, tu le faisais souvent et tu embrassais son front et tu relevais son menton avec ton doigt. Tu la regardais pendant un moment et tu déposais un long baiser sur ses douces lèvres. Tu arrêtais ce baiser pour souffler « J'ai fais ça car je ne voulais pas assumer ce que je ressentais pour toi. » tu n'avais pas honte, tu lui avouais tout, totalement tout.
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La sentence était tombée et c’était un peu comme dans Koh-Lanta, car elle était irrévocable cette sentence. Timoteï était venue vers toi, il avait pris ton visage entre ses mains pour ensuite déposer un doux et long baiser sur tes lèvres. Tu étais resté sur le cul la première fois tu ne comprenais pas tout. Tu ne t’attendais pas à ça et en même temps tu étais heureuse et angoissée. C’était rapide, c’était étrange, ce n’était pas comme d’habitude. D’habitude tu couches avec le mec et tu te mets en couple avec mais là c’était différent. Là il avait couché avec une autre pour te prouver que ça te faisait chier et ça te faisait chier. Tu ne le voulais que pour toi et toi seule. Tu ne voulais qu’aucune fille pose ses mains sur lui. D’ailleurs sois dit en passant tu ne savais même pas s’il était bon au lit. Mais en même temps, pour la première fois de ta vie tu n’avais pas que cette envie de te faire du bien avec lui. Ce n’était pas que physique avec quelques sentiments entre vous. Tu savais très bien que c’était plus que ça, sinon tu n’aurais pas mis autant de temps à te décoincer. Il prenait donc ta main, il déposait son front contre le tien et toi tu le fixais sans bouger. Tu étais stressée, ton cœur s’emballait à son contact mais tu restais immobile. Il t’embrassait puis il te regardait pour tout avouer. Pour te dire qu’il ne voulait pas assumer ce qu’il ressentait pour toi. Tu le regardais, secouant doucement la tête. « On est vraiment des gros cons mais des abrutis de première ! » Tu esquissais un petit sourire. « Toi qui fait le mec elle ne m’intéresse pas et moi qui fait la connasse du genre : c’est que mon colocataire rien de plus. » Tu souriais un peu plus, rigolant quelque peu avant de déposer un baiser sur sa joue. « En tout cas, sache que quoiqu’il arrive je te laisserais un mois avant de dégager de l’appartement. » Tu rigolais, enlaçant fébrilement son coup. « Mais non je rigole ! » Tu déposais un nouveau baiser sur sa joue mais cette fois-ci sur la commissure de ses lèvres comme si maintenant tu n’osais plus l’embrasser alors que c’était ridicule.
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Tu ne savais pas tellement ce qui allait t'arriver, si tu allais devenir un mec tout mignon tout gentil qui allait devoir rester à la maison et faire la cuisine et la vaisselle. Tu ne savais pas dans quoi tu t'engageais, juste à ne pas coucher avec d'autre femmes ? Mais avec qui allais-tu te soulager ? Tu n'allais pas pouvoir tenir plus d'une semaine sans rien faire, tu étais ce mec qui couchait tout le temps avec une demoiselle, tu n'allais pas te branler pour te soulager quand même ? Rien qu'a cette idée, cela te mettait un froid, tu hésitais encore plus à pprocher la belle demoiselle. Tu hésitais à lui dire ce que tu voulais, ce que tu avais au fond de toi. Tu imaginais tant de chose, tant d'idée, tant de conneries que tu commençais sérieusement à douter. Ta liberté ? Ou tout simplement elle ? Tu avais finalement décidé, tirer un trait sur tous les seins et les fesses des autres femmes. Je devais me concentrer sur les siens maintenant. Non, plutôt sur elle, tu en perdais tes moyens, tu n'étais pas un grand romantique, tu ne savais comment tourner ta phrase. Mais, tu avançais quand même vers elle, dans sa direction. La sentence était tombée, tu venais de lui avouer, de lui balancer chaque mot dans son visage, tu avais fait preuve de courage, tu étais franc. Tu n'allais rien lui cacher, tu avais de l'attirance pour elle, tu ressentais quelque chose que tu ne ressentais pas avec les autres. Tu commençais à l'aimer, tu le savais, ce sentiment que tu avais décidé de cacher depuis des années. Tu ne voulais plus aimer et pourtant tu recommençais la même connerie, avec cette jeune femme. Tu passais tellement des bons moments avec elle, tu ne pouvais pas vivre avec elle comme un simple ami, tu ne pouvais plus à partir de maintenant. Tu n'avais pas choisi la facilité, mais si tu devais te battre pour elle, tu allais le faire. Tu ne comptais pas la laisser seule, à un autre mec, non, elle était devenue tienne et ça depuis un bon moment. Tu rigolais à ses paroles, elle n'avait pas tort, c'était une magnifique description. Tu posais ton regard sur elle, un sourire sur tes lèvres et tu soufflais « Tu n'as pas tort. » d'une voix douce et calme. Elle déposait un bisou sur ta joue, puis un autre à la commissure de tes lèvres, tu remarquais qu'il y avait quelque chose. Mais, tu ne disais rien, tu lui laissais le temps, car après tout tu ne savais même pas ce que tu étais au fond. En couple ou non ? « Tu te rend comptes de l'effort que je fais . Avec qui je vais coucher maintenant ? » tu lançais un petit regard malicieux dans sa direction et d'un seul coup tu la soulevais, la portant. Tu attendais juste qu'elle dépose ses jambes autour de ta taille pour avancer.
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Une fois de plus tu venais de renoncer et de mettre ta vie de débauche de côté. Tu l’avais tellement fait et cela n’avait tellement pas marché mais au final tu voulais encore y croire. Tu étais prête à faire une croix sur tes parties de jambes en l’air que tu pouvais faire un peu partout dans l’appartement ou même un peu partout en général. Tu venais de donner ton corps à Timoteï et lui seule pourrait en abuser. Cela allait être dure mais tu avais su tenir par le passé mais là c’était différent il s’était passé trop de choses ces derniers temps et même si tu savais que tu voulais être avec lui, que tu voulais qu’il soit à toi tu te posais trop de questions. Tu n’avais pas envie d’être nocive pour lui comme tu avais pu l’être avec Emrys ou Konrad par le passé. Certes, ces hommes avaient leur tort mais tu as quand même un don pour tout niquer en deux-deux. Et avec Timoteï tu ne voulais pas que cela arrive, car il était avant tout un ami pas un mec qui t’avait tringler dans des chiottes que tu avais revu après c’était vraiment un ami que tu n’avais pas envie de perdre pour des conneries et encore moins pour tes conneries. Mais de l’autre côté, tu ne pouvais pas supporter le fait qu’il aille coucher avec n’importe qui, car tu savais au fond de toi que c’était plus qu’un simple ami. Tu décidais donc de te laisser aller, il fallait que tu arrêtes de réfléchir à tout et n’importe quoi. Tu allais juste profiter du moment présent avec lui et même si tu es un peu sur la retenue au début cela ne durait pas longtemps, car Timoteï venait te soulever, tu enroulais tes jambes autour de sa taille avec un grand sourire. Tu passais tes mains sur sa nuque alors qu’il venait te demandait comment il allait faire pour ne pas aller coucher à droit et à gauche. Tu rigolais doucement en le regardant. « Et bien tu feras comme moi. Pour moi aussi ça va être dur, j’avais retrouvé ma petite liberté de célibataire, j’écartais les cuisses quand je voulais ou je voulais maintenant je ne pourrais plus. » Tu le regardais en souriant avant de venir lui chuchoter à son oreille. « Mais t’en fais pas, je vais te les faire oublier les unes après les autres. » Tu déposais un baiser sur sa joue avant que ta bouche s’étire en un fin sourire sur le coin de ta bouche.
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Tu te tenais face à elle, tu étais pour la première fois, sérieux. Bien trop sérieux, puisque tu faisais limite peur. Tu avais pris ta décision et tu n'avais plus qu'à t'y tenir. Tu savais que rien n'allait être simple, mais pourtant tu allais faire l'effort, un énorme effort. Tu allais oublier chaque femme qui venait te voir juste pour une partie de jambe en l'air. Tu n'avais pas tellement choix, c'est comme si tu avais un couteau en dessous de la gorge. Dès que tu allais porter un regard à une jeune femme, elle allait vite te rappeler qu'elle était là. Tu le savais parfaitement et tu n'avais pas le droit de foutre en l'air ce que tu avais commencé à construire avec elle. Bref, tu commençais vraiment à devenir un loveur, c'était vraiment de trop. Tu n'étais jamais comme ça, c'était limite drôle. Tu avais pris la demoiselle dans tes bras, tu l'avais soudainement soulevée. Elle entourait ta taille avec ses jambes et tu posais tes mains juste au-dessus de ses fesses. Il marchait tranquillement, à la recherche de son briquet, ben oui il fallait bien fêter ça non ? C'était le premier jour que tu ouvrais enfin ton cœur à quelqu'un et que tu avouais tes putains de sentiments. Tu souriais, tu avais ce sourire sur tes lèvres, tu étais heureux et ça se voyait. Tu allais commencer une toute nouvelle page, tu savais qu'il y allait avoir des emmerdes car tu n'avais pas pris la plus moche, au contraire, Grace était une bombe. Tu savais qu'il y avait de nombreux mecs à son cul et que tu allais devoir la surveiller, du moins les surveiller. Tu étais jaloux et possessif, mais tu savais faire la différence entre l'amitié et l'amour, même si parfois tu avais du mal. Mais, cela ne faisait quelques minutes que tu étais avec elle, tu devais arrêter de penser à ça. Tu rigolais à sa phrase, tu n'en revenais pas qu'elle pouvait passer pour une fille si facile. Tu attrapais ton paquet de clopes, du moins il n'y avait pas que des clopes dedans. Et tu reposais de suite ton attention sur la jeune demoiselle et tu soufflais « maintenant tu devras écarter tes cuisses que devant moi. » Un petit clin d’œil et tu venais déposer tes lèvres au coin des siennes. Tu ne voulais pas la bousculer, ni précipiter les choses. Tu arrivas à ouvrir la baie vitrée pour te glisser dehors avec la demoiselle. Tu te posais enfin sur une chaise, Grace sur tes jambes. Tu enlevais ton pull pour te retrouver en simple t-shirt et tu lui tendais. Il ne faisait pas forcément chaud et tu n'avais pas forcément envié qu'elle attrape la mort. « J’attends de voir ça, tu comptes t'y prendre comment ? » un sourire en coin.
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Wow c’était un peu comme une secousse pour lui comme pour toi. C’était étrange ce que vous veniez de faire. Ce n’était pas habituel chez toi mais finalement ça te rendais heureuse quand même. Timoteï avait mis sa fierté et son égo de côté pour la première fois, car c’était lui qui était venue vers toi, c’était lui qui t’avait tout avoué et autant dire que pour un homme comme lui c’était un effort incroyable de se jeter dans l’inconnu, de se dire que niveau sexe il devra avoir une vie rangée alors que ça faisait bien longtemps qu’il faisait ce qu’il voulait sans rien demander à personne, sans rendre de compte à personne non plus mais désormais tout cela allait changer. Il n’allait plus être seul dans sa vie et tu n’allais plus être seule dans la tienne non plus. Tu ne pouvais plus te casser comme ça habillée comme une pute pour aller draguer en boîte de nuit. Et le pire dans tout ça c’est que tu ne savais même pas si Timoteï pouvait te satisfaire au lit et ça c’était vraiment un truc impensable pour toi. Ne pas savoir si ton copain était bon ou pas c’était affreux mais tu ne doutais pas de prouesses sexuelles de Timoteï pour autant sinon il ne serait pas suivi par une tonne de filles en chaleur. Enfin bref, il venait de te prendre dans ses bras pour ensuite te soulever, tu entourais sa taille de tes jambes et tu le laissais prendre le contrôle. Il déposait un baiser sur le coin de tes lèvres comme pour ne pas te brusquer. Tu souriais quelques peu, car au fond il était mignon et peu à peu il se transformer en lover. Timoteï n’avait jamais été comme ça, il s’en fichait d’habitude de brusquer les gens ou quoi que ce soit mais là c’était différent apparemment. Tu lui faisais remarquer que tu ne pourrais plus écarter tes cuisses comme tu le voulais et il affirmait ceci. Tu rigolais doucement en le regardant alors qu’il se baladait dans la maison pour attraper son paquet de cigarette, toi tu restais accrocher à lui telle un bébé singe accroché à sa maman. « Je te laisse aller le dire à tous mes prétendants que tu es la cause de leur perte de vie sexuelle. » Tu rigolais de plus bel alors que Timoteï sortait sur le balcon. Un petit frisson te traversait le corps mais ton homme, ouais, ouais tu pouvais le dire maintenant. Ton homme venait te donner son pull. Tu le souriais et l’enfiler directement parce qu’il ne faisait vraiment pas chaud et étant donné que tu étais en débardeur et minishort il faisait encore moins chaud mais heureusement que Timoteï était là. Tu lui avais ensuite dit que tu lui ferais oublier toutes les autres filles et il te demandait comment tu t’y prendrais. Tu souriais en coin en le regardant. « Une fois que tu auras goûté à mon corps ça sera terminé, ils en tombent tous accrocs. » Tu lui faisais un clin d’œil avant d’approcher doucement tes lèvres des siennes. Tu prenais son visage entre tes mains pour venir déposer un doux et langoureux baiser sur les lèvres de Timoteï.
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Tu venais de mettre ta fierté de côté, tu l'avais chassé d'un seul coup. Tu étais fier de toi, tu ne l'avais jamais fait et tu ne pensais pas le faire aussi tôt. Pourtant tu venais de le faire et tu avais comme une petite voix dans ta tête qui te félicitait. Tu venais de signer l'arrêt de tes soirées qui n'en finissaient plus et les coucheries avec les autres femmes. Tu l'aurais fait quelques mois avant ton accident, tu aurais signé ton arrêt de mort. Mais, là, avec cet accident, tu avais légèrement changé. Tu t'étais rendu enfin compte que tu pouvais aimer une personne sans forcément en souffrir. Qu'est-ce que tu pouvais être con auparavant, mais tu savais pourquoi tu étais ainsi et tu ne pouvais plus faire marche arrière, tu avais foiré une bonne partie de ta vie et alors ? Tu l'assumais totalement et tus avais que si Grace ne faisait pas partie de ta vie, tu serais toujours au même point. Tu serais toujours en train de coucher à gauche et à droit, avec des amies comme des inconnues. Tu étais libre comme l'air enfin tu l'étais, puisque tu ne l'étais plus à présent. Mais, si c'était le prix à payer pour l'avoir rien qu'a toi, tu allais le faire. Tu allais te priver de ce que tu aimais le plus, tu allais vivre autrement, te faire une autre santé sportive que celle du lit. Du moins un peu moins, car tu n'allais pas dès le premier jour coucher avec elle du moins c'est ce que tu disais. Tu ne savais pas ce qui se passait dans sa tête et dans la tienne, tu ne te contrôlais pas toujours surtout sur ce sujet. Tu l'avais promené dans tout le salon dans tes bras, pour attraper au final ton briquet et sortir sur le balcon comme à chaque fois pour fumer. Tu t'essayais sur une chaise et tu enlevais ton pull pour lui donner. Tu savais qu'il ne faisait pas chaud et elle n'avait pratiquement rien sur elle. Tu lui souriais et tu roulais tranquillement ton joint, ce n'était pas le premier ni le dernier. Ce n'était pas parce que tu étais maintenant en couple que tu allais t'empêcher de te rouler des sticks et surtout de les fumer. Elle en fumait aussi, elle pouvait parfaitement te comprendre non ? Tu n'avais pas répondu à ce qu'elle avait dit avant, tu relevais les yeux et tu la fixais « Ne t'inquiète pas pour ça, aucun ne va t'approcher, ils iront se vider les couilles dans une autre. » tu avais un sourire forcé, tu ne voulais même pas savoir combien il y en avait. Tu préférais jouer l'ignorance, c'était certainement le meilleur choix. Tu plaçais ton petit filtre en carton et tu le terminas enfin, tu le posais sur ta jambe le temps que tu ranges tous ton matériel. Tu souriais à sa réponse, je ne pensais pas le contraire. « On verra bien, ça se trouve je ne serais pas accroc. » un sourire moqueur, provocateur sur tes lèvres. Pourtant tu te laissais faire quand elle glissa ses mains sur tes joues pour déposer ses lèvres, sur les tiennes. Tu prolongeais ce baiser, et par réflexe tu glissas tes mains dans le bas de son dos.
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