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TIMOTEI † c'est cool amuses-toi bien avec ta pouffe!

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Timoteï était devant la télévision c’était une journée comme tant d’autres depuis votre retour de la classe de neige. Tu traînais encore en pyjama alors qu’il était quatre de l’après-midi et voyant la masse de bordel dans ta chambre tu avais donc décidée de faire une lessive après avoir remis de l’ordre dans ta chambre. Sortant donc avec tes fringues sales plein les bras, tu décidais également de récupérer quelques trucs qui traînaient dans la chambre de Timoteï afin de ne pas faire une machine à vide. Tu récupérais un caleçon, une paire de chaussette, un soutif. Enfin normal quoi. Quoique le soutien-gorge n’était pas quelque chose de normal pour Timoteï. Tu lâchais toutes les autres fringues ne gardant que le soutien-gorge. Passant derrière Timoteï qui était sur le canapé tu lui mettais le soutien-gorge devant les yeux, le secouant. Tu passais ensuite à côté de lui en souriant. « Ce n’est pas le mien mes seins sont légèrement plus gros donc c’est à qui ? » Tu étais curieuse de savoir à qui appartenait ce soutien-gorge mais en même temps cela te faisait tellement chier. Au fond tu tenais vraiment à Timoteï et même plus que ce que tu ne pouvais le penser, car au fond de toi tu ressentais vraiment une douleur mais une douleur étrange. Tu avais mal aux tripes de savoir qu’il s’envoyait en l’air avec quelqu’un d’autre. Ça te faisait vraiment chier mais tu ne disais rien sauf que tôt ou tard ça se verrait.
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Depuis ta rentrée de la classe de neige, tu ne faisais plus grand-chose. À part enchaîner les soirées, l'alcool, la drogue et les demoiselles, tu glandais. Tu n'avais aucune envie de faire quelque chose pour tes études, tu profitais encore du peu de temps qu'il te restait avant les examens. Tu venais de te lever, cela faisait seulement quelques heures et pourtant tu avais l'impression d'être encore mort. Tu avais certainement encore quelques grammes de la veille, tu savais parfaitement de ce qui s'était passé. Mais, tu ne voulais pas ne parler, tu ne voulais pas que ça se sache tout comme la personne en question. Tu étais vautré dans ton canapé devant la télévision, le téléphone à tes côtés, tu repensais encore à la soirée que tu avais passée. Il est vrai que tu avais pris ton pied, et si tu pouvais, tu le recommencerais encore et encore. Tu n'avais pas honte, après tout tu étais encore célibataire, tu avais le droit de faire ce que tu voulais avec les demoiselles que tu désirais. Tu n'arrivais pas à ôter ces souvenirs de ta tête, tu n'arrivais même pas à suivre la série à la télévision, tu étais ailleurs. Tu savais que grace se promenait un peu partout dans l'appartement pour faire le ménage ou une lessive, tu étais loin de te douter de ce qu'il allait t'arriver dans peu de temps. Soudain un soutien-gorge se promenait devant ton nez, tu te pinçais la lèvre, tu savais à qui il appartenait. Tu restais de marbre, du moins tu essayais de rester calme et de ne rien montrer. « Tu es sûre . Il est là depuis longtemps. Tu as pris des seins en seulement quelques jours non ? » tu ne bougeais pas pour autant, tu préférais ne pas la regarder. Tu gardais ton téléphone sur tes jambes, comme si tu avais peur qu'elle te le prenne pour regarder tes messages et qu'elle découvre la vérité.
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Tu étais en train de faire le ménage et autant dire que l’appartement en avait grandement besoin. Timoteï vivait comme un débauché en ce moment et tu trouvais ça plutôt drôle alors pendant ce temps-là tu passais derrière pour nettoyer. Enfin, il ne foutait pas le bordel mais il avait tout le temps la tête dans le cul alors tu n’allais pas le faire chier pour si peu. Mais le ménage allait tourner bien bizarrement, car tu retrouvais un soutien-gorge dans la chambre de Timoteï. Tu avais donc été le voir pour lui demander à qui c’était mais Timoteï semblait gênait. Déjà que ça te faisais chier mais alors si en plus il te cacher l’identité de cette mystérieuse demoiselle ça risquait de vraiment t’agacer. Tu soupirais donc légèrement avant de le regarder. « Non, je reconnais mes soutiens gorges je te l’assure. » Tu riais légèrement, lui donnant un petit coup de coude. « Allez dit ! Je la connais ? » Tu regardais sa tête et vu sa tête tu la connaissais. Tu fronçais alors les sourcils réfléchissant un instant. C’était peut-être Alexys. Non n’importe quoi, ils étaient justes amis cela s’arrêtait. Mais en réalité, cela te ferait encore plus chier si c’était elle mais non tu divaguais complètement mais pour rigoler tu lui balançais quand même. « Alexys Carpenter ? » Tu rigolais de plus bel, lui lançant le soutien-gorge dessus.
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Tu avais un peu honte de laisser la jeune femme faire tout à ta place. Mais, a vrai dire tu en avais de la chance, tu n'avais plus besoin de faire le ménage. Elle faisait tout à ta place, mais tu savais qu'un jour ou l'autre, ça changerait et tu seras obligé de tout ranger et laver. Tu ne levais pas pour autant ton cul quand madame te questionnait, tu restais à ta place. Tu réfléchissais à ce que tu pouvais lui dire, tu ne savais pas tellement mentir. Tu te faisais toujours avoir, tu finissais toujours par te faire découvrir, mais cette fois-ci tu n'allais pas faire une gaffe, du moins tu espérais. Tu posais les pieds sur la table basse, tranquillement, tu continuais de faire l'innocent et de ne pas savoir à qui appartenait ce soutien-gorge. Tu la laissais venir devant toi, te regarder dans les yeux. Tu lui souriais au nez comme tu savais si bien lui faire. Tu sentais encore l'alcool, tu le savais, tu allais devoir prendre une douche pour décuver une bonne fois pour toutes. Malgré avoir dormi plus de six heures, cela ne changeait pas, tu n'arrivais pas à décuiter. « Mince, j'aurais mis ma main à couper. » tu lui faisais un petit clin d’œil, tu la provoquais. Tu étais peut-être très poche d'elle, cela ne t’empêchais pas pour la faire tourner en rond. Elle te donnait un petit coup de coude, mais tu préférais oublier sa question ainsi que sa réponse. Tu faisais comme si tu n'avais rien entendu et elle te riait au nez en te lançant le sous-vêtement. Elle avait deviné qui était la demoiselle en si peu de temps. Tu levais les yeux au ciel et posais le bout de tissu à côté de toi. « Tu es sérieuse là ? » tu essayais avec beaucoup de mal de chercher un nom dans ta tête. Malheureusement aucun prénom ne te venait à l'esprit.
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Au fond ça te gavait vraiment. Que ça soit n’importe quelle meuf ça te saoulait. Il était à toi enfin tu voulais qu’il soit à toi. Tu ne voulais pas lui montrer mais au fond c’est ce que tu voulais. Sous tes airs de je m’en foutiste tu étais un cœur d’artichaut et ce soutien-gorge te faisait vraiment mal mais tu tentais de le prendre à la rigolade jusqu’au moment où Timoteï ne rigolait pas à ta blague sur Alexys. Il s’énervait un peu enfin il se braquait et là tu comprenais tout de suite. C’était elle, c’était Alexys. Et peut-être qu’à ce moment-là tu pouvais ressentir la douleur que tu avais pu procurer à Alexys en couchant avec Jorden. La seule différence c’est que toi tu n’étais pas amoureuse de Timoteï mais tu l’aimais vraiment bien quand même. Le jeune homme posait le bout de tissu à côté de lui et il te fixait. Tu te levais, tu ne te sentais pas bien d’un coup. « Wow, c’est elle. » Ta voix était tremblante, tu étais désorientée. Tu reculais doucement. « Je crois que j’aurais préférée de rien savoir du tout, ça m’empêcher d’avoir mal. » Tu lui tournais le dos pour retourner à tes occupations. Arrivant à nouveau dans la chambre de Timoteï, tu collais un coup de poing dans sa porte. Ouais pour extérioriser ta colère tu étais un vrai bonhomme. Sauf qu’un bonhomme ça restait digne et toi tu avais mal. Mal au ventre, aux entrailles mais aussi à la main évidemment. Tu ramassais le linge et partait directement mettre la machine en route. Alors, c’était un jeu. Toi tu ne jouais plus et tu pensais que lui non plus mais en fait si. Bravo Gracie tu as encore une nouvelle fois craquée sur le mauvais garçon, congrats !
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Tu n'aurais pas dû te braquer, tu aurais dû rigoler au lieu de la prendre de haut et de t'énerver ainsi. Tu t'en voulais d'une force impressionnante, pourquoi tu avais fait ça ? Tu n'avais même plus de raison, tu étais seul avec elle, tu avais beaucoup trop fumé et tu en avais envie. Tu ne pouvais le renier, tu lui avais fait des avances à l’hôpital, il était tout normal que cela se passait quelque temps après. Tu soupirais, tu venais de comprendre la gaffe que tu avais faite. Tu soupirais, tu ne pouvais rien faire d'autre, tu la regardais partir, tu n'essayais même de la retenir, tu savais qu'elle était énervée. Tu baissais les yeux, tu venais de détruire ton amitié avec elle, tu venais de briser cette amitié que tu aimais tant. Cette demoiselle qui te faisait vivre, qui faisait battre ton cœur était en train de s'énerver, en train de briser ta porte. Elle s'énervait, et tu ne pouvais rien y faire, cette colère était là à cause de moi. Tu te levais du canapé pour la suivre doucement, tu posais ton regard sur la douce. Elle ramassait de nouveau le linge, et elle fonçait droit vers notre machine à laver. Tu la suivais doucement, tu t'appuyais sur la porte et tu posais de nouveau ton regard sur elle. Tu te pinçais les lèvres, tu t'en voulais et franchement... Tu ne savais plus quoi faire, plus quoi dire, tu étais mauvais, tu n'étais pas fait pour elle. « Grace. » laissais-tu sortir de ta bouche. Tu n'avais pas envie de t'en prendre pleins la gueule, mais au final tu le devais. Tu le méritais, tu t'approchais donc d'elle, attrapant sa main. « Excuse-moi, j'étais trop défoncé pour comprendre ce que je faisais. » tu essayais de te trouver des excuses, mais si tu recevais une gifle, tu ne continuerais pas.
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Ouais ça te faisait chier, ouais ça te faisait mal mais le pire dans tout ça c’est que c’était toi. C’était toi qui pensais que Timoteï t’aimait plus que bien, qu’il y avait plus que de l’amitié entre vous. Il ne t’a jamais rien dit de telle mais tu ne savais pas dans ta tête ça paraissait logique. Il était antipathique quand il le voulait, puis mignon, puis casse couille. Il t’envoyait chier, il boudait, il était plus fort que toi, il te faisait tourner la tête. Tu savais qu’au fond c’était un homme comme lui qu’il te fallait. Un râleur toujours à bougonner qui t’envoyait chier mais qui pouvait être un chaton quand il le voulait. Mais malheureusement, ça ne sera pas lui. Et vu ta réaction pathétique c’était fini pour tout. Tu avais brisé tes chances de coucher avec lui, de sortir avec lui mais aussi d’être son amie. Tu mettais donc une machine à tourner, bougonnant tel une Timoteï en puissance. Mais quand tu te retournais il était toujours là. Il te regardait et il attrapait ta main en s’excusant. Tu reculais un peu, fronçant les sourcils. « T’excuser ? Mais Timoteï tu ne m’appartiens pas. Tu es mon colocataire pas mon mec tu n’as pas à t’excuser. » Tu le fixais. « C’est moi. Moi qui pensait vraiment que tu tenais à moi plus que comme une simple amie. Toujours à me faire des scènes de jalousies, à jouer avec le feu. Au moins ça te prouve une nouvelle fois que je suis faible. » Tu tapotais légèrement son torse avant de retourner dans la cuisine pour boire un verre d’eau sans un mot de plus.
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Tu commençais à réellement t'en vouloir, tu ne pensais pas qu'une chose pareille pouvait t'arriver en moins de deux minutes. Tu ne comprenais pas pourquoi elle réagissait ainsi, tu ne comprenais pas pourquoi elle te faisait limite une crise de jalousie. Tu étais pourtant bel et bien célibataire non ? Elle commençait à t'embrouiller les idées, tu commençais à perdre pied, tu commençais à regretter ce que tu avais fait. C'était bien la première fois que tu regrettais d'avoir couché avec une femme pour une autre, elle arrivait à te faire culpabiliser sans le vouloir. Tu te levais de ton canapé, tu avais encore la tête qui tournait, tu avais encore du mal à tenir debout et tu te frottais les cheveux, comme si cela allait changer quelque chose. Tu levais les yeux au ciel, tu ne savais pas quoi faire pour la calmer. Elle bougonnait, elle ronchonnait, tout ce que je faisais d'habitude. Tu te laissais appuyer contre la porte de la "laverie" et tu la regardais, elle s'énervait toute seule, lançant les vêtements les uns après les autres dans la machine à laver. Elle se relevait et te faisait enfin face, tu voulais lui prendre la main, malheureusement, elle recula et fronça les sourcils. Je n'étais que son colocataire, rien de plus. Elle venait de t'envoyer une bombe en pleine gueule, elle venait de te balancer la réalité dans la gueule, tu t'attachais à elle, pour rien ? Tu gardais toujours la tête haute, tu ne voulais pas montrer que ça te blessait, qu'elle avait toucher le point sensible. Tu la laissais tapoter sur ton torse, ça ne te faisait rien, tu ne ressentais rien. Elle pouvait taper autant qu'elle désirait, je m'en fichais. Je ne méritais que ça, même si ce n'était pas une grande douleur, elle doutait de mes sentiments, elle doutait de moi tout simplement. Elle partait de nouveau pour aller dans la cuisine, tu la suivais encore et encore. Tu n'allais pas la laisser comme ça, tu devais t'expliquer avec elle. « Je ne dois pas m'excuser et pourtant tu me fais une crise, une scène. » tu ne disais rien de plus, tes paroles étaient devenu froides comme le marbre. Et tu ajoutais rapidement « Maintenant tu te mets à douter de moi et de mes sentiments. Je ne suis pas jaloux avec tout le monde, je ne fais pas des crises à toutes les meufs. Juste à toi, je suis très proche de toi, seulement de toi. » tu ne savais pas quoi dire, tu t’accoudas à une chaise et tu posais tes prunelles dans les siennes. « Si je suis là, si je dors avec toi, si je prends des avec toi, si je joue avec le feu, c'est parce qu'il y a une raison. Tu n'es pas qu'une simple meuf avec qui je couche et que je jette par la suite. Tu n'es pas qu'une simple colocataire, non, loin de là. » disais-tu méchamment, la colère commençait à monter, tu n'arrivais pas à te contrôler. Tu ne comprenais pas comment elle pouvait en venir à ses propos. « Tu es bien plus que ça. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu te relevais et plantais tes prunelles dans les siennes « Maintenant, fais bien ce que tu veux. Va baiser avec un autre connard, si tu veux te venger. » soufflais-tu ironiquement. Tu ne pensais pas à ce que tu venais de dire, tu ne voulais pas la voir avec un autre mec, mais tu ne voulais pas non plus dire ce que tu ressentais pour elle. Tu prenais ton portable et tu partais dans ta chambre te préparer, tu avais besoin d'une douche.
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C’était le bordel dans ta tête. Tu lui en voulais, tu t’en voulais, tu n’avais rien compris à la vie et pourtant tu avais vu comme un renouveau chez Timoteï. Une flamme, tu voyais en lui quelque chose qui t’appartenait, pas quelque chose d’éphémère. Ce n’était pas un type comme un autre que tu pourrais prendre pour une nuit, non il y avait bien plus que ça mais apparemment tu n’étais pas sur la même longueur d’onde que lui. Tu le rassurais avant de partir. Tu préférais être seule. Tu venais de passer une nouvelle fois pour une conne et tu préférer ne partager ça qu’avec toi mais c’est sans compter sur Timoteï qui te suivait et qui ne comptait pas lâcher le morceau. Il était maladroit mais en même temps tu ne pouvais pas lui en vouloir, tu l’avais un peu piégé avec tout ça. Il était maladroit mais surtout mal, tu pouvais le lire dans ses yeux que tout n’allait pas bien. Tu buvais tranquillement ton verre sans rien lui dire alors qu’il venait vers toi pour te parler avec une froideur énorme. Il était comme un bloc de glace qui ne fonderait jamais. Jamais il ne dirait quelque chose, jamais il ne te montrerait quelque chose. Mais tu en avais marre, marre de l’entendre parler pour dire des choses inutiles. Elle était belles, tu comprenais que tu ne t’étais pas forcément trompé mais ça te tuais qu’il n’avouait toujours rien. Posant ton verre, tu t’approchais de lui. Agrippant son t-shirt tu venais coller tes lèvres aux siennes pendant un bon moment. Après ça, tu reculais, remettant le t-shirt du jeune homme en place. « La seule différence c’est que moi je sais ce que je veux et j’arrive à l’exprimer sans avoir peur. Toi tu ne sais pas et tu as peur. » Tu caressais doucement sa joue avant de le laisser en plan dans la cuisine, partant te réfugier dans ta chambre tu allumais ta chaîne hi-fi pour écouter de la musique assez forte.
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Tu voulais être détesté par tout le monde, tu ne voulais plus t'attacher à quelqu'un et tu avais donc fait du mal partout autour de toi pour au final te sentir bien. Tu ne voulais plus souffrir, tu ne voulais plus être ton ancien toi, tu voulais aller de l'avant. Tu faisais pleurer des personnes, d'autres t'engueulait et d'autres te frappais. Elles avaient toutes des réactions assez étranges, mais au final tu comprenais et tu acceptais. Tu ne voulais pas te faire du mal, tu voulais te protéger, tu avais toujours été égoïste. Tu te faisais toujours passer avant les autres, tu ne faisais jamais attention aux autres. Tu étais comme ça et tu n'allais pas changer pour quelqu'un, si tu voulais t'envoyer en l'air avec les jumelles, tu le faisais. Si tu voulais faire des gosses, tu le faisais aussi. Tant de chose qui te faisait au final du mal, tant de chose que tu préférais garder au plus profond de ton cœur. Tu ne voulais pas avouer que tu avais des sentiments, tu ne voulais pas montrer que tu étais faible et que tu pouvais te reposer avec une femme. Non, tu 'étais un mec de la nuit, un mec à diverses conquêtes. Tu ne faisais que de te répéter dans la tête que tu ne pouvais pas avoir des sentiments naissants. Tu n'avais pas le droit et pourtant, tu tombais à genoux en face de cette réalité. Tu avais beau avoir encore quelques grammes, Grace arrivait à te montrer, que tu n'étais pas insensible à son charme et que tu ne l'aimais pas comme une simple amie. C'était bien la première fois qu'en faisant du mal à quelqu'un, tu ressentais le mal que tu lui faisais. Tu avais l'impression de ressentir ce qu'elle ressentait en ce moment. Tu avais de la colère et de la tristesse, tu t'en voulais à toi-même, mais tu savais que tu ne pouvais pas faire marche arrière, que tu devais avancer malgré tout ça. Tu ne pouvais pas fuir, tu ne pouvais pas la laisser seule dans cet appartement. Pourtant, tu n'avais qu'une envie, te barrer. Prend l'air, quitter ce bâtiment, quitter cette ville et partir dans un pays étranger. Tu avais besoin de faire le point sur toi-même. Tu avais besoin de vraiment comprendre ce qu'il t'arrivait, tu avais besoin de respirer et de mettre les choses à plats. Tu ne pouvais plus continuer comme ça, tu restais en face d'elle, tu venais de répondre à ses propos avec une froideur extrême. Tu te sentais tellement mal, que tu lui parlais mal, que tu lui parlais comme si c'était ton ennemi en face de toi. Tu la laissais faire, quand elle attrapa ton t-shirt pour au final plaquer ses lèvres contre les tiennes. Chose qu'elle n'avait jamais faite, qu'elle s'était toujours refusé de faire. Elle t'avait de nouveau laissé en plan, elle retournait de sa chambre. Et ton cœur battait, il battait si rapidement que tu ne savais plus quoi penser. Tu pensais à ce qu'elle venait de te dire, tu avais peur non pas de parler de ça, mais surtout peur de t'attacher à quelqu'un comme tu l'avais fait avant. Tu retrouvais parfois des parties de ton passé, des images te revenaient en tête. Et pendant ce baiser et quelques secondes après, tu avais revu ton ancienne petite amie. Et tu te sentais mal d'un seul coup, c'était la première fois depuis ton accident que tu la voyais. Que tu voyais son visage, ses yeux et son sourire, mais tu n'avais pas vu que ça. Tu avais vu son corps en sang au milieu des gravats, tu avais vu cette femme que tu avais aimé pendant quelques années. Tu venais de poser un visage à ce prénom, tu avais besoin de sortir. Toute cette histoire te faisait vivre un cauchemar, l'amour te faisait perdre le contrôle et d'un coup tu tapais dans la coupelle ou se trouvais les fruits et celle-ci s'éclata sur le sol. Tu ne t’arrêtais pas là, un vase avait senti ta colère et était venu se briser sur le cadre de toi et ton ancienne petite amie. Brisant la glace, tu attrapais ta veste que tu enfilais et tu traversais l'appartement pour au final t'enfermer sur le balcon. Tu avais gardé la clé sur toi, tu n'avais pas envie que la jeune femme vienne près de toi. Tu ne la méritais pas, elle méritait bien mieux qu'un déchet comme toi. Tu n'avais pas fait attention, mais en tapant dans le mur, tu t'étais blessé. Tu saignais sur toute la main, tu t’accoudas sur la barrière de ton balcon et tu regardais dans le vide. Tu n'arrivais plus à faire la part des choses. Amour ou amitié ? Un terrible choix, où tu étais le seul à pouvoir choisir.
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