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Toi et tes putains d'hormones d'une femme tout fraîchement enceinte, qu'est-ce que ça pouvait faire, hein... Quel beau résultat ; tu avais les jointures rouges du coup que tu avais donné à Calypso y'a encore à peine quelques secondes. Et elle... Elle en profitait pour crier haut et fort parmi la foule que t'étais la salle conne des Mathers qui avait tout ruiné pour les confréries. Non mais, pour qui elle s'prenait, elle? Tu t'sens nerveuse, tout d'un coup, et pourtant tu ne regrettes pas. Tu n'es pas la seule à avoir les torts, dans l'histoire. Toutes les confréries sont fautives. Toutes, si c'est bien le cas. Et de la violence en plus de tout ça ? BRAVO LES MATHERS ! Après on s’étonne que le doyen décide de fermer les confréries si certains sont violents ! Mais vas-y, tu peux continuer Dixie, montre le vrai visage de ta maison, histoire que tout l’monde comprenne que c’est VOTRE faute ! On est là pour arranger les choses, pas les empirer, tu comprends rien toi vraiment. Tu t'rapproches d'elle pour te retrouver à quelques centimètres à peine de son visage de merde qui t'fait tant chier et que tu trouves si moche. D'un regard noir plein de haine, tu dis, d'un ton de voix tout aussi fort que le sien pour que tout le monde puisse entendre aussi, si ça leur chante : "Toi et moi, ce sont des comptes PERSONNELS. Pas confrériques. Tu fermes ta grande gueule, car le Doyen n'a pas pris la décision de fermer les confréries à cause d'une seule. C'est une accumulation. Si t'admets pas tes torts, c'est que tu n'es pas mieux placée que moi, comme tu l'prétends si bien. Fais pas ta conne, utilise ton cerveau un peu pour quelque chose d'utile, et arrête de dire des bêtises.", dis-tu, en te calmant finalement un peu. Pourtant, tu bouillais tout autant de l'intérieur, quoi.
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