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(charrys) ☆ i looked for you, even in my dreams.

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« Charlie ... » Te suppliait-il d'arrêter ? De t'éloigner ? Cette situation était étrange, complexe et plutôt bouleversante, mais pourtant tu l'embrassas quand même. Savais-tu ce que tu faisais ? Oui. Pensais-tu aux conséquences de tes actes ? Non. L'important, c'est le moment présent. Le reste, on verra en temps et lieu. Au départ le baisé était doux, timide. Comme si vous vous redécouvriez. Puis alors que tu aurais cru qu'il s'agissait du bon moment pour te reculer, lui faire face, il prit ton visage entre ses mains et poursuivit un bref instant votre doux baisé. Il se recula de lui-même, gardant toutefois un contact physique avec toi. « On fait n'importe quoi... n'aie pas pitié de moi, charlie ... je ne veux pas, je le mérite pas surtout après le mal que je me rappelle t'avoir fait ! » Certes, il n'avait pas tort, mais tu n'avais pas envie de parler de ça, de penser à ça. Tu voulais vivre le moment présent, oublier tout le reste. Il pensait au passé, à vos précédentes relations, mais toi tu n'étais plus à ce stade. Tu avais grandis, tu avais pris de la maturité. Tu étais plus fort, plus sage qu'avant. Tu étais capable de reconnaître tes limites et les appliquer, ce qui n'était clairement pas le cas l'an dernier. Tu soupiras doucement et le regarda droit dans les yeux. « Je ne suis plus le même. » dis-tu calmement. « Je connais mes limites. Laisse-moi décider quand j'en ai assez. ». Tu parlais doucement, mais quelque chose dans ta voix était sérieux, très sérieux. Tu voulais qu'il comprenne que là, tu n'étais plus le petit gamin gentil qu'on peut malmener, manipuler. Avec William, tu as apprit. Avec ta cure de désintoxication, tu as appris. Tu as appris à savoir mettre ton pied par terre et reconnaître tes limites. Point final. « Et je n'ai pas pitié de toi. » Tes souricls se fronça. Ça te faisait mal qu'il pense que tu aies pitié de lui. Tu n'es pas comme ça et il devrait le savoir. « Jamais. » Tu l'embrassa sur les lèvres avant de le prendre dans tes bras, posant ton menton dans le creux de son cou. ~

 
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Et cette proximité m'avait fait peur, m'avait fait fuir pourtant dans son regard émeraude, j'avais senti que ça ne lui plaisait guère et qu'il ne comprenait pas mes mots, il était incapable de comprendre et ne semblait pas apprécier ce que je lui disais, pas du tout. Un sourire ? Impossible. Nos regards se fondaient l'un dans l'autre et j'aurai cru mourir lorsque quelques mots lui échappèrent, détruisant la barrière de ses lèvres pour m'annoncer de son calme olympien si stimulant, si exaltant, qui m'avait toujours impressionné et beaucoup plus ; Alors comme ça , il n'était plus le meme ... j'en doutais ... n'était-il donc plus le mec adorable, gentil, sexy au point que là tout de suite j'aurai pu sans aucun remord le prendre sauvagement ? Je compris que je n'avais pas le choix quand il révéla le changement de Charlie 2.0; sa hargne et son envie de dominer, de donner son avis ; que c'est ... excitant ! Oui, sa force de conviction dans ses mots alors qu'il tentait de me faire comprendre qu'il serait le moment où il devait stopper et surtout le fait qu'il m'impose de le laisser décider me fit ouvrir les yeux si grand qu'on pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert mais pendant ce temps, il approchait et je ne sus mettre des barrières, ni fuir. Là, d'une voix certaine, plus qu'à quelques mètres de toi, il annonça n'avoir aucune pitié pour moi et je crus défaillir en entendant sa voix, sa façon de montrer qu'il m'était là tout de suite supérieur et que je ne pouvais le contredire comme je le faisais tout le temps. Je compris que tout était devenu dangereux mais surtout, qu'il n'était pas prêt de me laisser décider alors je m'abandonnais, le laissant franchir mon périmètre de sécurité, baissant la barrière que j'avais dressé autour de moi, comme imaginaire et son "jamais" me fit accepter le baiser qui suivit. Lorsque ses lèvres touchèrent les miennes cette fois là, je ne pensais pas à la repousser, juste à ce que cela ne s’arrête pas car il stimulait bien trop mon désir, me donnant milles envies à l’instant meme. Je liais sa langue à la mienne dans un ballet fou, attrapant son cou presque bien trop violemment, par l'arrière puis je changeais nos places pour le coller contre le mur contre lequel je m'étais arrêté précédemment. Je délaissais l'arrière de son cou pour venir toucher ses épaules bloquant ainsi au mieux son corps contre le mur de mes deux mains et laissant un très fin espace entre nos lèvres, je lui disais : On ne devrait pas faire ça...Soupirant de tant de désir, tant d'envie, je ne savais pas si il y avait des sentiments mais le sentiment de désir charnel, il était clairement là alors je ne priverais pas de l'embrasser encore et encore... puis si il y avait plus pourquoi pas, ça ne nous engagerai à rien. Je coupais à nouveau le baiser et faisant glisser ma main sur son torse, je reprenais : J'ai tellement envie de toi Charlie ... Je le regardais un instant avant de faire sauter un bouton de sa chemise le provoquant de mon regard. Il était encore temps de me stopper mais allait-il le faire ? J'en était plus certain et je ne saurais pas dire si je le voulais ou non, au fond, si c'était pas mieux.


 
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Vous étiez là, si près l'un de l'autre. C'était excitant, enivrant. Une sensation que tu n'avais pas ressenti depuis très longtemps. Depuis William, sans doute. Et même encore... Là c'était différent. Bien différent. Bien que les mots et les explications manquaient, c'était passionné, enflammé. Un peu comme si deux âmes-sœurs se retrouvaient pour reformer un tout à nouveau. Il n'était pas encore question d'une relation stable, d'une relation exclusive. Il n'était question de rien et pour l'instant, tu te moquais bien de toute ces formalités. Emrys était là. C'est tout ce qui comptait, après tout. Il était là près de toi et ses douces lèvres t'embrassaient à nouveau. Bon Dieu qu'il t'avait manqué. Sous tout ses coutures, sous tout les angles. Emrys restera à tout jamais ton âme-sœur, parce que contrairement à ce que tu avais pu vivre avec les autres, c'était toujours plus fort avec lui. Et c'est peut-être aujourd'hui que tu le comprenais réellement. « On ne devrait pas faire ça... » Chut. Ne parle pas. Pas maintenant. Tu secouas la tête, reprenant son visage entre tes mains. « Ne parle pas. » Ça ne sert à rien de parler. Vivez le moment présent. Le reste on s'en chargera plus tard. Sa langue dansa à nouveau avec la tienne alors que tes mains passa contre son dos, se frayant un chemin jusqu'à sa chemise que tu retiras de ses pantalons. Tu l'attira contre toi, plaquant alors tes mains dans son dos, sous son vêtement. « J'ai tellement envie de toi Charlie ... » Chut. Ne parle pas. Pas besoin de parler. Ses doigts habiles défirent le premier bouton de ta chemise. Et puis merde, quoi ! Tu enlevas tes mains d'où elles étaient et en moins d'une seconde, tu te retrouvais torse nu devant lui. « Te gêne pas. » Un regard de défi se lisait dans tes yeux. Pendant un bref instant tu restas là à soutenir son regard, mais après tu en eus marre et plaqua tes lèvres contre les siennes, l'attirant vers toi. Avec férocité, tu lui enlevas sa chemise à lui aussi. Tu en avais envie, toi aussi. Et depuis longtemps, si ça se trouve. ~

 
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Et soudain, Charlie fonça sur mes lèvres encourageant alors notre tendre moment pourtant devenu bien vite sauvage. J'aimais les sensations qu'il m'offrait et puis, mon dieu, que c'était excitant de se trouver face, coller contre un Charlie si sur de lui, de ces envies, de ces décisions et qui nous ... mon dieu, oui, me dominer. Je sentais une drôle de chaleur monter en moi devenant incontrôlable et si je me sentais gêné, j'oubliais très vite cette sensation débile grâce à son baiser déroutant. Dans ma tete, ses quelques mots revenaient me hanter pour au final m'exciter car j'entendais son ton, ce ton si dominant, si mâle, si viril et ça ne faisait qu'aider un peu plus mon sexe à former une bosse dans mon pantalon alors lorsqu'il vint tirer ma chemise hors de mon pantalon, je laissais échapper un grognement d'excitation. J'avais l'impression de ne plus rien contrôler tant il prenait les devants, presque trop vite, trop violemment enfin je devais avouer que ça m'avait plus ce qui se sentait au vue de la bosse que je venais coller bien plus encore contre mon amant. Je laissais alors une de mes mains glisser sur la bosse de son pantalon, exerçant quelques pressions circulaires, avec finesse tout en embrassant son cou tenant celui-ci avec poigne. Ma respiration se faisait réellement plus saccadé qu'au début, au moment du premier baiser qui me fit tomber encore plus dans ses bras, et je sentais que j'étais au point de non retour.


 
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Tout se passait désormais à une vitesse folle. Vous étiez désormais torses nus, ayant de la difficulté à respirer tellement l'émotion, l'excitation vous montait au coeur. C'était si bon de ressentir cette frénésie, cette euphorie. Ce sentiment où on est intouchable et qu'à tout moment, on peut atteindre le nirvana. Emrys savait comment si prendre pour te faire prendre ton pied. Il le savait parce que ton corps n'était plus un terrain inconnu. Le sien non plus, d'ailleurs. Il posa sa main sur ton entre-jambe, pressant avec agilité ton membre bien excité. Vos baisés étaient moins doux, moins timide que précédemment. Ils étaient devenus féroces, avare. Tu en voulais plus. Beaucoup plus. Tu le laissas caresser ton pantalon pendant un instant, savourant ce moment si enivrant. Après quoi tu allas empoigner ses fesses avec tes mains. Ses lèvres dévoraient ton cou et toi tu essayais de lui mordre l'oreille. Les sensations se multipliaient par deux, par trois. C'était si bon. Mais tu voulais plus. Beaucoup plus. Avec une force incontrôlée, tu le plaquas contre le mur de cette si petite chambre. Heureusement qu'elle était à toi toute seule ce soir, sinon tu n'osais même pas imaginer le scandale. Tes mains s'emparèrent de ses avants-bras, faisant pression pour le retenir au mur sans toutefois lui faire mal, pendant qu'avec tes lèvres tu l'embrassais un peu partout, n'ayant aucun schéma cohérent. Tu embrassas son nombril et tes mains finirent par venir balayer son torse, ses côtes... Tu détachas la boucle de sa ceinture pendant que ta bouche caressait son membre par dessus son pantalon. Après l'avoir libéré de sa ceinture, tu descendis d'un seul coup les derniers vêtements qu'il lui restait avant de pouvoir tout voir, tout avoir. Tu pris sa verge dans ta bouche, enroulant les doigts de ta main gauche autour, laissant ceux de la droite masser sa fesse gauche. C'était bon. Incroyablement bon. Mais tu en voulais plus. Encore plus. ~

 
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Je ne savais plus quoi faire, j'en perdais la tete et la soudaine prise de confiance de Charlie ne faisait que me troubler plus encore. Ces baisers le faisaient tomber dans une transe folle et torse nu contre lui, je ne sentais que chaleur et frénésie alors quand j'osais enfin prendre un peu les rennes en embrassant son cou tout en malaxant ses parties intimes avec envie. Je ne savais plus où donner de la tete  surtout que j'allais de surprise en surprise, il me coupa dans mon élan, me faisant comprendre qui était le maitre, c'était lui moi j'étais son soumis et je devais faire ce qu'il me disait mais le pire, c'est que putain, qu'est-ce que j'aimais ça... Il me rendait fou et quand il me colla avec violence contre le mur, froid, je n'eus aucunement cette sensation glaciale car sa beauté, sa sensualité, son regard sur moi, sa violence me rendait brulant, brulant d'un fou désir. Il descendit jusqu'à pouvoir embrasser mon ventre et je regardais un point en face pour tenter de ne pas parler, de ne rien dire comme il m'avait demandé de le faire : aujourd'hui, je montrais mon obéissance non que j'avais peur de lui mais parce que... parce que... non je ne le dirais pas mais putain, qu'est-ce que je le kiffe je crois. Alors quand il défait ma ceinture, je veux le regarder faire et accéder à l'objet de son désir mais il est si rapide que la force avec laquelle il enlève les deux bouts de tissus me rendre dingue et je lève frénétiquement la tete en l'air, regardant le plafond en poussant un long râle, signe de ma satisfaction. Là, il prend ma verge en bouche et commence quelques va-et-vient pour mon plus grand plaisir. Tete levée, je passe une main dans mes cheveux transpirant de tant d'exaltation puis de ma main, je viens tenir ses cheveux pour le pousser à continuer ses douces caresses buccales qui me pousse à la folie. Je caresse ses cheveux tout en effectuant une légère pression, j'accentue alors sn rythme prenant un peu les rênes mais je sens que le désir montre trop vite, bien trop vite. Je sens mes yeux partir tout seul vers le haut, grimper tant il me fait de l'effet et rester dans ce fourreau si chaud semble impossible si je veux pouvoir tenir encore ; Charlie... Putain ! Dis-je a bout de force mais tellement satisfait. Je suis en pleine forme alors a quoi bon le stopper. Quand je sens qu'il a fait un excellent boulot, je l'engage à remonter et essaie alors de redevenir le dominant que j'ai toujours et en le tirant presque pour qu'il revienne à ma hauteur.

 
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C'était si bon. Il goûtait si bon. C'est un peu comme lorsqu'on prend goût à quelque chose, qu'on en est privé pendant un certain temps et qu'après, on retrouve ce même plaisir à le redécouvrir. C'était féroce comme sentiment, comme sensation. C'était tout sauf soft, délicat et doux. C'était plus enflammé. « Charlie... Putain ! » Il aimait ça ? Tu jouissais intérieurement face à cette réussite personnelle. C'était bon de le voir prendre son pied, de le sentir se contracter. De sentir sa main dans tes cheveux, guidant tes propres mouvements de va et vient autour de son membre. C'était excitant. Et pourtant, comme s'il en avait marre, il te força à remonter. Évidemment, la nuit était jeune et vous aviez tout le temps pour ça. Il ne fallait pas que ça s'arrête tout de suite. Il essaya d'une certaine façon de reprendre le contrôle et pourtant, tu ne voulais pas le laisser faire. Tu avais envie, tu avais besoin d'être celui qui domine pour une fois. Tu avais besoin d'être celui qui guide les choses, qui prend tout en main. Pas pour te sentir supérieur, mais plus pour lui montrer que même en étant celui qui domine la situation, vous pouvez formez un tout, une unité. Tes bras l'enlacèrent et tes lèvres retrouvèrent les siennes dans un baisé langoureux. Une de tes mains continuait de doucement masser sa verge, tandis que l'autre valsait sur son corps nu. Tes lèvres quittèrent les siennes et d'un souffle, tu pris la parole. « Retourne-toi. » dis-tu en le regardant dans les yeux. Tu n'avais pas haussé la voix. Tu ne lui avais pas ordonné - du moins pas tout à fait - et pourtant, à ta grande surprise, il s'exécuta. C'était nouveau qu'Emrys se laisse autant faire. Auparavant, il n'aurait jamais accepté l'ombre d'un ordre venant de toi et là, c'était tout autrement. Alors qu'il te faisait maintenant dos, les mains contre le mur, sachant pertinement ce qui allait se passer, tu fis glisser tes doigts jusqu'à ses fesses, les écartant doucement pour avoir plus de jeu. Tout naturellement, tu finis par prendre place en lui, collant ton torse contre son dos, plaquant ta tête dans son cou, mordant son épaule. Et la danse endiablé des va-et-vient commençait alors. ~

 
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Je sentais qu'il n'aimait pas du tout mon envie de prendre le pouvoir, il voulait clairement pas que je prenne ce pouvoir et c'était comme si il voulait prouver quelque chose, me prouver une chose, je le voyais dans son regard alors qu'il remontait me fixant. Il me mitrailla de son regard émeraude dans lequel je plongeais sans honte, sans peur. Un instant, je crus qu'il me laisserait faire ce que je voulais mais très vite, il reprit en main ma verge, voulant montrer encore son pouvoir sur moi, astiquant ma verge toujours bien engorgée de sang tant j'étais excité. Son autre main se baladait sur mon corps laissant mes poils se dresser et mon corps frissonnait nerveusement. Là, il embrassa à nouveau mes lèvres et je commençais doucement à passer mes mains autour de son corps mais une fois encore, il me prit de cours, me surpris en m'enlaçant en premier accentuant encore ses massages. Il s'occupa si bien de moi qu'un nouveau râle sortit de mes lèvres juste entrouverte. Il ouvrit la bouche et je ne compris pas tout de suite ce qui se passait, que disait-il ? il me demandait de me retourner et son ton me troubla fortement ; ça me plaisait, ça m'exitait alors que pourtant, me retourner signifiait me soumettre plus encore. Je savais ce que cela me signifiait et je n'avais jamais été celui qu'on prend enfin pas dans mon souvenir, surement avais-je fait cela bourré, mais pas conscient vu que j'en avais aucun souvenir mais bizarrement, si je n'avais jamais pensé cela possible, là, je voulais dire oui, à lui, oui pourtant ma peur et ma fierté me fit entreprendre une parole ; Je ne ... pas ... bredouillais-je comprenant bien vite en plongeant dans ses yeux en comprenant que j'avais pas le choix en fait. Alors je me retournais et j'inspirais, stressé. Là, je sentis sa main glisser dans mon dos. Il me tenait fermement, faisant pression sur mon corps et il vint écarter mes fesses pour s'y placer violement. Je ressentis une douleur mais dur, je serrais les poings contre le mur tout comme mes dents en poussant tout de meme un cris rauque de douleur. Je n'aimais pas vraiment ça là tout de suite mais dans son envie de sauvagerie, Charlie entama de longs va-et-vient me faisant comprendre peu à peu que c'était pas mal puis surtout au vue des bruits qu'il faisait, je sentais que ça lui plaisait et rien que cela me faisait plaisir. Pourtant, je ressentais un mélange entre douleur et plaisir fou. Je ne savais ce qui dominait le plus entre les deux. Je commençais peu à peu à participer, bougeant mes hanches pour me fondre plus et qu'on ne fasse réellement plus qu'un. Plus j'acceptais la chose, plus je donnais de violent coup de hanche : Plus... Charlie ! Oui, Emrys demandait, oui, Emrys n'était plus aussi macho qu'avant mais il fallait bien pur satisfaire Charlie. Je respirais bien trop fort et trop rapidement mais il fallait dire que le désir était à son comble à, ça montrait si fort que j'en perdais la tete fortement. Je me tenais alors à son cou, collant mon dos à son torse et là, je ne pensais meme pas au fait que ça pouvait me rabaisser d’être ainsi ou quoi, contrairement a avant, non non, là je ne pensais qu'au plaisir que ça me faisait. Je tournais lègèrement la tete pour l'embrasser à pleine bouche. Charlie, tu m'fais tellement d'effet ... avais-je tout bas presque honteux de le dire. Là, cette fois, je me retrouvais, je me sentais pas moi-meme mais bizarrement, ce que Charlie me faisait devenir n'était pas uniquement déplaisant, y avait un coté sympathique, fou, excitant, tellement MAGIQUE.

 
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Tu n'avais rien à prouver. Tu n'avais personne à impressionner. Si ce soir tu agissais ainsi, c'était simplement par envie et par choix, non pas pour dominer qui que ce soit et laisser ta marque. Tu n'es pas ce genre de mec. Tu n'es pas le genre d'homme qui prend une place folle, qui aime faire valoir son point, qui défend son honneur à tour de bras. Tu es plutôt le type qui passe partout et pourtant, ce soir ce n'était pas le cas. Emrys se laissait faire, bien que tu savais au fond de toi que ça lui prenait sûrement tout son petit changes pour ne pas se retourner et reprendre le contrôle. Il te laissait faire, pourtant. Il avait changé, oui. Et toi aussi. Peut-être que cette fois ça allait marcher ? Ne pense pas à ça, Charlie. Pas tout de suite. Pas maintenant. Tu continuais à donner des coups de bassin, le souffle court et le coeur tambourinant dans ta poitrine. Et alors que tu crus que ton charmant partenaire en aurait eu marre, il en redemanda, y mettant aussi du sien. « Plus... Charlie ! » Vous formiez un tout, là. Il n'était plus question d'actif-passif ou de dominant-dominé. C'était bien plus que ça. L'entendre t'en redemander te fit énormément plaisir. C'était comme un mélange de satisfaction inhumaine et de plaisir intense. Les mouvements de va-et-vient ne cessèrent pas et bientôt l'excitation eut raison de toi alors que tu laissas échapper quelques grognements étouffés dans le creux de son cou. Ses lèvres trouvèrent les tiennes et vous échangiez un baisé complètement fougueux. C'était si intense, si bon. Tu n'allais plus tenir longtemps, à ce rythme. « Charlie, tu m'fais tellement d'effet ... » Tu soupiras d'aise avant de lui mordre doucement le cou. « Si tu savais ! » dis-tu simplement en guise de réponse. Ça faisait tant de bien. Tu continuas encore un instant tes mouvements avant de ressortir. Instinctivement, il se remit face à toi. Tes mains caressèrent son visage un instant et tu l'embrassas férocement la seconde suivante. ~

 
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Je voulais plus, toujours plus. Là, j'étais parti bien loin et je ne pensais plus à la dangerosité de cette situation ; on n'aurait surement pas du pour le moment, je pensais pas à ça mais forcément, j'allais y penser très vite. Nous bougions à l'unisson comme formant peu à peu comme un tout, un tout si formidable que les sensations en étaient clairement décuplées. Je me faisais plaisir mais je savais qu'il y aurait un moment où je me rendrais compte de mes conneries mais là, je ne pensais qu'à soupirer, grogner, crier mon plaisir. Quelques mouvements violents furent renouvelés en moi et je regardais du coin de l’œil, montrant un souplesse méconnu à mon partenaire, celui-ci droit dans les yeux puis quand il se retira, je fis volte-face. Je plongeais dans ses yeux sans oser le toucher ou meme bouger, revenant bien sur à la réalité, peu à peu alors que lui semblait ne rien regretter. Je ne savais pas vraiment ce que j'en pensais là tout de suite. Mes bras étaient tout simplement comme deux morceaux de bois contre mes hanches, lâches. Je ne fus pas surpris quand il m'embrassa mais je ne pus qu'écourter le baiser en le poussant doucement d'un doigts. Je ne parlais pas, je ne faisais rien, je ne montrais pas forcément de tristesse ou d'énervement, j'étais juste pommé. Je me libérais de son emprise, ne voulant plus être emprisonné contre ce mur et je commençais à me rhabiller. Je vais y aller je crois ! Dis-je incertain en fermant le bouton de mon pantalon. Je cherchais ma chemise dans la chambre, passant alors une main dans mes cheveux.

 
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