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Cela faisait quelque jour que mon époux était revenu de mission et comme d'habitude, il était toujours aussi violent, méprisant et si méchant. J'aimerais tant retrouver l'homme que j'avais épousé, l'homme dont j'en étais follement amoureuse. Tout ce qu'il restait entre nous, c'est la haine et cette haine allait un jour commettre l'irréparable. Mais que pouvais-je faire ? Le dénoncer je ne pouvais pas et en parler à un proche non plus. Maxwell mettait tout le monde dans sa poche et j'avais tellement peur qu'il apprenne que j'avais osé moucharder alors je me taisais. Si seulement ce n'était que la violence physique que je subissais, mais il n'y avait pas que cela. Il y avait les chantages, les insultes, les menaces et j'en passais bien d'autre.
Alors que j'avais amené le petit Bradley à l'école primaire, que je profitais rapidement avant d'aller travailler, de donner le petit-déjeuner à mon petit garçon. Je l'avais installé sur le siège pour enfant et j'avais mis son assiette sur la petite table. Mais à peine le dos tourné pour lui chercher son biberon qu'il avait fait tomber son assiette sur le sol de la cuisine, éparpillant ainsi toute la nourriture. Je prenais assez rapidement un essuie pour essuyer le tout et pendant que je frottais, j'entendais mon époux derrière qui commençait à me balancer des injures. Il me faisait de nouveau sentir comme une moins que rien, autrement dit ; une bonne à rien. Je me relevais et la grosse erreur que j'avais commise, c'est de lui demander de baisser un ton et d'avoir un autre vocabulaire devant mon fils. Il m'avait agrippé violemment par les cheveux et me fracassait le visage contre le frigo. Ensuite, je tombais à terre et les coups suivaient. Je protégeais mon visage tant bien que mal ; tout en entendant les pleure de mon bébé.
J'ignorais combien de temps je suis restée à terre, mais, la première chose que je pensais en ayant ouvert les yeux, c'est à mon petit garçon qui pleurait toujours. D'ailleurs, tellement qu'il avait pleuré, il avait le hoquet. Je me relevais assez difficilement et je prenais mon bébé dans mes bras. Mon époux était parti et heureusement. Cependant, même si, il était parti, je ne pouvais pas rester une seconde de plus dans cette maison, alors sans réfléchir, je prenais les clés de ma voiture et j'installais mon enfant dans le siège auto. Le seul endroit où je me sentais en sécurité, c'était auprès de Read. Seulement, je ne voulais pas qu'il me voie dans cet état, alors, je me permettais de me remaquiller en vitesse dans ma voiture, avant d'aller toquer chez lui, avec Calvin dans mes bras. Voyant qu'il n'avait pas l'air très rapidement, je frappais à la porte, encore, encore et encore.
Alors que j'avais amené le petit Bradley à l'école primaire, que je profitais rapidement avant d'aller travailler, de donner le petit-déjeuner à mon petit garçon. Je l'avais installé sur le siège pour enfant et j'avais mis son assiette sur la petite table. Mais à peine le dos tourné pour lui chercher son biberon qu'il avait fait tomber son assiette sur le sol de la cuisine, éparpillant ainsi toute la nourriture. Je prenais assez rapidement un essuie pour essuyer le tout et pendant que je frottais, j'entendais mon époux derrière qui commençait à me balancer des injures. Il me faisait de nouveau sentir comme une moins que rien, autrement dit ; une bonne à rien. Je me relevais et la grosse erreur que j'avais commise, c'est de lui demander de baisser un ton et d'avoir un autre vocabulaire devant mon fils. Il m'avait agrippé violemment par les cheveux et me fracassait le visage contre le frigo. Ensuite, je tombais à terre et les coups suivaient. Je protégeais mon visage tant bien que mal ; tout en entendant les pleure de mon bébé.
J'ignorais combien de temps je suis restée à terre, mais, la première chose que je pensais en ayant ouvert les yeux, c'est à mon petit garçon qui pleurait toujours. D'ailleurs, tellement qu'il avait pleuré, il avait le hoquet. Je me relevais assez difficilement et je prenais mon bébé dans mes bras. Mon époux était parti et heureusement. Cependant, même si, il était parti, je ne pouvais pas rester une seconde de plus dans cette maison, alors sans réfléchir, je prenais les clés de ma voiture et j'installais mon enfant dans le siège auto. Le seul endroit où je me sentais en sécurité, c'était auprès de Read. Seulement, je ne voulais pas qu'il me voie dans cet état, alors, je me permettais de me remaquiller en vitesse dans ma voiture, avant d'aller toquer chez lui, avec Calvin dans mes bras. Voyant qu'il n'avait pas l'air très rapidement, je frappais à la porte, encore, encore et encore.
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