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MINNIE & CHARLES ∇ tu fous quoi chez moi ?!

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Il y a environ deux semaines j’avais appris qu’Andrea m’avait trompé, comme ça par appel, il n’avait pas eu le courage de me le dire en face. Depuis, je n’avais pas arrêté de pleurer et de me demander pourquoi il avait fait ça mais je crois que je n’avais plus de questions à me poser, je devais juste avancer et faire ma vie peu importe le prix que cela me couterait. Peu après qu’Andrea m’ai annoncé son infidélité j’avais reçu une lettre de ma grand-mère, je pensais qu’elle allait encore m’engueuler, me traiter comme une moins que rien mais au contraire. Elle me demandait d’accepter comme fiancé un prince belge. Si j’avais été bien, toujours en couple et pas au fond du gouffre j’aurais refusé évidement. Mais là…Je n’avais plus le choix. Ce mec était peut être la seule chose qu’il me restait, la seule façon d’être de nouveau proche de ma famille. Enfin proche alors que je cherchais ma place parmi eux depuis trop longtemps. J’avais accepté ces fiançailles ne sachant pas si j’irais jusqu’au mariage, me donnant le temps de réfléchir et de rebondir. Mon fils Charles-Henri avait besoin d’une présence masculine de toute façon, ce garçon pouvait peut être m’apporter l’équilibre d’une famille, je verrais. De toute façon je le connaissais pas, ou alors si peu, je l’avais croisé quoi deux ou trois fois. Je me rappelais sa tête, vite fait, il était pas mal par contre mais pas plus. Alors que j’étais entrain de dormir, vers 10 heures, et oui, je devais vivre au rythme de mon fils maintenant j’entendis du bruit dans l’une des salles de bain. Je me levais donc, j’avais un très bel appartement avec jacuzzi et salle de bain privé dans ma chambre et une autre salle de bain ainsi qu’une bibliothèque où j’avais mis un lit depuis l’arrivée de Charles-Henri qui avait pris l’ancienne chambre d’ami, j’avais aussi d’autre pièce comme un bureau, et un salon-séjour avec cuisine américaine très moderne. Bref, les mètres carrés ne manquaient pas. Réveillé par le bruit j’allais alors jusqu'à la source du bruit, la deuxième salle de bain où je vis mon soit disant fiancé habillé d’une serviette. J’étais complètement choquée, à vrai dire je ne m’y attendais pas du tout : « Hum, je peux savoir ce que tu fiches chez moi toi ? ». Super comme accueil pour notre première rencontre officielle.
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Pourquoi est-ce que ça devait tomber sur moi ? J'ai rien demandé moi, tout m'a toujours plu, sourit, enchanté, je vivais ma vie jusqu'à présent comme je l'entendais, je fais des études d'astrophysique depuis cinq ans ici, une passion depuis que je suis gamin, je suis fier chaque jour en me regardant dans la glace et en me disant que je suis prince de Belgique, je profite de ma vie étudiante du mieux que je peux et il faut que des fiançailles viennent tout gâcher. J'ai appris la nouvelle il y a deux semaines par mes parents, une nouvelle dite au téléphone, quelle classe venant de mes parents, enfin bref, la décision de me fiancer avec une quasi inconnue juste pour qu'elle redore sa petite image de princesse auprès de sa famille, j'ai pas besoin de ça, je m'en fou d'elle, je ne l'ai vu que rarement lors de soirées mondaines organisées avec sa famille, elle est mignonne mais ça s'arrête là, j'ai tout de suite été contre mais j'ai accepté pour faire honneur à mes parents et pour ne pas les décevoir, qu'est-ce que je ferai pas pour qu'ils soient fiers de moi sérieusement, je me le demande. En deux semaines j'ai pu digérer la nouvelle, à ma façon, vivant toujours ma vie depuis tout ce temps en essayant d'oublier que je suis fiancé, continuant de profiter des joies de la vie surtout des filles, et ma dernière distraction à été gâchée par Heidi qui m'a poussée une gueulante mais rien ne pouvait m'y faire plus penser qu'un autre coup de fil de mes parents pour me dire que je devais emménager chez elle pour que nos fiançailles deviennent officielles, il manquait plus que ça mais comme toujours j'ai accepté. J'habite chez elle ok mais je garde ma chambre à la Eliot House, je vais pas la quitter comme ça alors que ça fait cinq ans que j'y suis, j'ai juste pris quelques valises pour y mettre une partie de ma garde robe et quelques autres affaires personnelles et j'ai bougé jusqu'à Central Square où se trouve le somptueux appartement de madame, du moins c'est l'impression qu'il donne vue de l'extérieur. J'aurais pu faire le fils respectueux et bien élevé qui frappe ou sonne avant d'entrer mais non, j'ai décidé de faire comme chez moi et d'ouvrir la porte, au passage je ne sais même pas pourquoi elle n'est pas fermée à clé, ça me montre déjà qu'elle est imprudente mais passons, j'ai refermé la porte et j'ai posé mes valises dans l'entrée, un silence de mort ici, bonjour accueil j'ai un peu visité l'endroit du moins le salon et la cuisine et je dois dire qu'extérieur comme intérieur, il reste classe, moderne et somptueux son appartement, c'est déjà un point sur lequel je ne vais pas me plaindre. Deux portes de l'appartement était fermées, surement deux chambres, la sienne et celle d'ami si je reste logique, autant lui faire la surprise qu'elle a un nouvel habitant ici et ne pas la réveillé, je suis entré dans cette pièce qui semblerait être la bibliothèque, pièce spacieuse c'est certain et en vu du lit qu'il y a, je présume que c'est provisoirement ma chambre, je verrai avec elle pour le 'provisoire'. J'ai pris mes valises pour les poser dans cette pièce puis j'ai décidé d'aller prendre une douche, on va dire que ce matin je n'ai pas eu le temps, le coup de fil de ma mère à huit heures du matin alors que c'est le week-end m'a un peu déréglé et surtout perturbé donc j'en profite pour prendre ma serviette et filer dans la salle de bain qui se trouve juste à côté de ma 'chambre' et j'ai bien pris mon temps sous la douche, le seul prétexte de bien me réveillé et de digérer toutes ces changements devrait suffire. Et voyez-vous qui se ramène alors que je viens juste de sortir de la douche et de m'enfiler une serviette autour de la taille ? C'est ma fiancé, qui tire une tête surprise et surtout choqué et qui me répond sans manquer d'une certaine froideur me demande ce que je fiche ici, croyez-moi que je ne me suis pas gêner pour lui sourire et lui répondre « T'es pas au courante ? J'emménage ici à partir d'aujourd'hui. » je prenais une autre serviette posée sur une petite étagère pour m'essuyer les cheveux et ne pas prêter attention à elle, clair que comme première rencontre officielle on peut rêver mieux.
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Il pensait quoi au juste ? Que ma vie était belle, que j’étais comme lui à avoir eu tout ce que je voulais. Non, je n’avais jamais été bien dans ce monde de riche, dans ce monde de noble, dans un monde qui était bien loin de mon état d’esprit. J’aimais bien le luxe, parce que j’y avais gouté dès que j’étais toute petite mais j’avais jamais demandé à Reigner, jamais demandé à ce que les gens me regardent et commentent le moindre fait et geste. D’ailleurs j’aurais certainement moins de problème parce qu’être maman célibataire c’est déjà pas simple mais alors être maman célibataire à la famille royale c’est carrément être une pestiféré. J’étais rentré dans la salle de bain et j’avais vu Charles, oui parce qu’il s’appelait aussi Charles, à croire qu’il n’y aurait que des Charles dans ma vie. Enfin je ne m’inquiète pas à mon avis celui-ci ne restera pas longtemps. Je me mis à rire quand il dit qu’il emménage. Si ma grand-mère m’avait vaguement prévenu mais de là à ce qu’il débarque comme ça. Je n’arrive pas à m’arrêter de rire, j’en reviens juste pas : « Ah oui, tu veux vivre ici, ben tu vas pas être déçu mon petit ! Charles-Edouard pleure tout le temps en ce moment… ». Je regarde autour de lui, il a l’air d’avoir mis quelques affaires en effet, je soupire en lui disant : « T’es arrivé aujourd’hui ? Ben à mon avis dans deux heures tu seras déjà reparti ! ». Je soupire, je me suis même pas rendu compte que je suis en nuisette, je me suis réveillé très rapidement et j’ai même pas eu le temps de m’habiller. Je repars alors dans le séjour pour prendre au moins mes habits de la veille, je prendrais ma douche tout à l’heure vu que je voudrais déjà régler mes soucis avec mon fiancé qui se trouve en face de moi. En passant devant la table du salon je vois le journal que le livreur a déposé ce matin, je fais la couverture, enfin plutôt on fait la couverte. Une vieille photo fait la couverture, on avait été pris ensemble en photo à une soirée de charité, il y avait une grande couverture ‘ils son fiancés’. Purée, ça va commencer, bonjour la galère : « T’as vu comme on est beau, le vrai couple parfait… ». J’avais dit ça avec un ton ironique, bien sûr, je ne pensais pas ce que je disais. Pas du tout même, je voulais que ça soit rapidement fini et qu’on ce sorte de cette histoire, j’étais sûre qu’il était de cet avis. Alors que j’étais déjà dans le salon j’entendis le bébé pleurer. J’avais dit que cela ne durerait pas longtemps, je lui fis un sourire avant d’ajouter : « Tu entends la superbe mélodie… ». Je vais alors prendre Charles-Edouard dans sa chambre pour regarder ce qui se passe. Je le prends dans mes bras pour le bercer un petit peu et je fais des petits bisous sur son front, je devrais peut être changé sa couche.
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Je n'aimais vraiment pas cette situation, je ne voulais pas de ces fiançailles, jusqu'à ce que mes parents me l'apprennent je baignais dans ce monde où tout m'appartenais, oui je sais que je ne reflète pas cette image parfaite et chaleureuse connue de tous sur la famille royale belge, j'ai pas tous les quatre matin des paparazzi à ma porte, je ne les vois que quand je me rend à des soirées mondaines ou autres événements avec ma famille ou quelques fois, oui, il arrive que j'apparaisse dans des journaux et magasines avec des articles croustillants plus ou moins positif, tout dépend de ce que je faisais où les flashs ont éclatés. A l'heure actuelle je suis dans la salle de bain de l'appartement où vit Minnie, oui j'ai fais comme chez moi parce que ce matin ma mère m'a appeler pour me dire que je devais emménager avec elle au plus vite, ça m'a tellement soûler de l'apprendre que j'y suis aller sur le tas. J'ai déjà posé mes affaires dans la bibliothèque où je pense loger puis j'ai foutu aussi quelques affaires dans la salle de bain pour prendre mes marques comme on dit, j'aime faire les choses jusqu'au bout, même à aller prendre une douche pour me laver, oui, je n'ai pas eu le temps ce matin, je suis directement venu ici dès que j'ai appris la nouvelle alors j'en profite, après tout je suis chez moi même si ça va lui faire une surprise, du moins plus un choc de pense de me voir ici, quasiment déjà installé. En parlant d'elle, elle vient de débarquer juste à l'entrée de la pièce alors que je venais juste de sortir de la douche, j'ai tout de même eu le temps d'enfiler une serviette autour de la taille et on peut dire que pour une première rencontre officielle, ça paye pas de mine, moi quasiment à poil et elle aussi, juste recouverte d'une petite nuisette qui la rend particulièrement sexy mais je le garde pour moi. Alors que je lui annonce que j'emménage ici dès aujourd'hui, elle rit, pendant quelques secondes, plutôt longues, elle ne trouvait pas ça drôle non, c'était nerveux, elle s'y était attendue, sa famille l'avait surement prévenu mais elle ne s'y attendait pas si tôt. « Charles-Edouard ? C'est qui Charles-Edouard ? » fallait qu'elle me fasse une petite mise à jour, j'étais pas ce mec qui tout les matins regardait les journaux pour savoir ce qui était d'actualité et vu la façon dont elle m'en parlait, j'émettais clairement l'hypothèse que ce soit son fils. « Surement, je dois repasse à la Eliot House pour récupérer quelques autres affaires. » je comptais revenir les déposer ici bien entendu, elle n'avait pas le choix, me foutre à la porte serait une erreur, surtout que ces fiançailles c'est pour elle. Elle disparaissait quelques instants pour faire je ne sais quoi, je profitais de son absence pour finir de m'essuyer et m'habiller et à son retour je voyais qu'elle avait fait la même chose, on était tout de même plus présentable qu'à moitié nus. Elle allait au salon, prenant le journal pour me dire qu'on faisait un couple parfait, je m'approchais d'elle pour prendre le journal de mes mains et regarder cette photo de nous prise il y a quelques temps lors d'une soirée mondaine, 'ils se sont fiancés' disait le titre en gras juste au dessus de la photo mise en première page et je ne prenais même pas la peine de lire les commentaires sur l'article « Comme si c'était pas assez chiant comme ça, faut que ce soit officiel maintenant. » ça veut dire que devant les journalistes, les caméras, les événements officiels et même sur le campus, on va devoir jouer les amoureux parfaits tout ça pour certifier qu'on est tellement bien ensemble et que nos fiançailles sont justifiées ? J'ai tellement pas envie de jouer la comédie. J'entends tout comme elle des pleurs, ça doit être ce fameux Charles-Edouard « Oh ça oui. » dis-je d'un air relativement soûlé mais je l'accompagne jusqu'à la chambre pour vérifier mes hypothèses et j'avais vu juste, c'est un bébé, son fils qu'elle prend dans ses bras pour le bercer et le délivrer de baisers, je suis resté à l'entrée de la chambre « Attend ça implique aussi que je dois me faire passer pour le père du gosse ? » fallait vraiment qu'elle me dise tout ce que ces foutus fiançailles impliquait dans nos vies communes, sinon j'allais finir pas péter un câble.
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Je me mis à rire de nouveau quand il me demandait qui était Charles Edouard, parce qu’autant ses fiançailles étaient drôles mais qu’il ne sache pas que j’étais maman c’était succulent. Il allait bien lui pourrir la vie mon bébé à force de pleurer tout le temps et je suis sûre qu’il voudrait se casser rapidement, en même temps ce n’était pas vraiment la faute de ce Charles…Il avait accepté pour ses parents. D’ailleurs les miens avaient du donné beaucoup d’argent, je suis sûre qu’ils ont donnés une île anglaise au Belge pour sauver la réputation de ‘Victoria, la pauvre princesse’. Je le regardais alors, le fixant presque étonné avec de lui répondre comme si c’était une évidence : « Enfin, Charles-Edouard c’est mon fils… ». Pour pas me compliquer la tache il avait fallut qu’ils s’appellent tous les deux pareils. Il me dit qu’il doit aller chercher des vêtements à la eliot house, je hoche la tête, au moins un point positif on est dans la même confrérie sauf que moi je ne suis pas un modèle chez les bleu. Je suis souvent en soirée et souvent ivre en ce moment mais malheureusement c’est parce que je souffre, je suis toujours pareil quand je souffre. Et là c’est mon cœur qui saigne à cause de la tromperie d’Andrea, si seulement il ne m’avait pas trompé, je ne serais pas avec cet idiot entrain de lui faire des cours de rattrapage sur ma vie depuis mon arrivée à Harvard. « Tu reviendras pas à mon avis. Mais tu fais comme tu veux… ». Pour moi cette vie devait être insupportable, vivre chez une fille qu’il ne connaissait pas avec en plus un gosse qui hurlait pas loin…Je me mis à rire lorsque je vis la tête qu’il faisait en découvrant le magasine. Et je voyais bien qu’il était énervé mais moi j’en étais vraiment contente, ça me rendait presque heureuse même que ça le fasse chier autant que moi, je lui répondis en lui faisant un clin d’œil : « Oh mon amour oui, nos fiançailles officielles, ça va être une magnifique soirée… ». J’étais allée par la suite dans la chambre de mon fils et comme je le devinais je devais lui changer sa couche, il était tout rouge à force de pleurer. Je le mis alors sur la table à langer pour enlever sa couche et je passais des linges sur ses petites fesses roses. Il me demandait par la suite s’il devait se faire passer pour le père du gamin. Je ne savais pas si c’était dans l’accord en tout cas il avait l’air d’être dégouté par lui. Tant mieux, mon enfant avait déjà eu deux pères complètement nul à chier, il en avait pas besoin d’un troisième pour finir le tableau. « Alors tu vois lui c’est Charles-Edouard, un merveilleux petit bébé qui est le portrait craché du président Winthrop. Il y a maintenant j’ai perdu ma virginité avec lui. Bien sûr les médias diront que ce n’était qu’un coup d’un soir malheureusement pour moi non…C’était le premier garçon à qui j’arrivais à donner ma confiance et il m’a fait croire qu’on pourrait vivre une belle histoire. Quand je me suis réveillé le lendemain matin, Royce était parti et j’avais Charles-Edouard dans le ventre. Après bien sûr j’ai voulu avorter, j’ai pris un rendez-vous mais le jour où ça devait se faire je n’y suis pas arrivée, je suis tombée amoureuse d’un gars qui m’a dit qu’il ferait tout pour mon bébé y compris le reconnaitre comme si il était de lui…Et puis il m’a trompé. Du coup je suis toute seule, je savais pas quoi faire…J’ai accepté d’être fiancé avec toi, j’avais plus rien…Et par rapport à ta question, j’en sais rien du tout, tu devrais demander à tes parents mais pour le petit c’est sûr que ce serait mieux qu’il ai un père avec ton nom de famille que celui de son père biologique… ». A deux reprises j’avais été abandonné de toute façon.
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J'avais certes accepté de me fiancer avec elle mais je ne la connaissais pas, ou presque pas, je l'avais déjà vu oui lors de quelques soirées mondaines mais sans plus, je connais pas sa vie, ce qu'i y a eu de nouveau comme apparemment son fil, Charles-Edouard et elle continue de rire quand je lui demande qui s'est, pourquoi le besoin de rire, je trouve pas ça si drôle que ça « Heureux de l'apprendre, merci. » légèrement dit sur un ton ironique, et elle m'informait que clairement je partira sous peu tellement son fils me gonflera, je la regardais légèrement souriant en lui disant que oui j'allais partir pour aller récupérer encore quelques affaires m'appartenant à la Eliot House pour les ramener ici mais elle semblant toujours certaine ou presque que j'allais partir « Je fais comme je veux oui, je te remercie. » lui disais-je. Puis quelques minutes plus tard elle était dans le salon à critiquer la première page du magasine, je lui prenais des mains pour regarder et en effet, une photo de nous prise lors d'une soirée mondaine disant qu'on allaient se fiancer, et ça me faisait chier que maintenant ce soit connu de tous, réellement quoi et elle riait, encore et rajoutait encore une dose d'ironie « Arrête, j'trouve pas ça marrant. » et son gamin se mettait à pleurer, elle allait le voir, je reposais le magasine sur la table du salon puis je la suivais; la regardant le prendre dans ses bras et s'occuper de lui, en l’occurrence là, changer sa couche. Et alors que je lui demandais juste si j'allais devoir me faire passer pour le père du gosse, elle me déballait à moitié sa vie « Ta une vie tellement palpitante à ce que je vois. » à mon tour de lâcher un petit rire arrogant alors que je me tiens dans le cadre de la porte, adosser à un côté les bras croisés « Mes parents m'ont rien dit sur ton fils et je me vois pas me porter garant de lui, j'suis trop jeune, j'sais pas m'occuper d'un gosse merde. » je la laissais elle et son gosse et je me rendais dans le salon, pur aller à la fenêtre, l'ouvrir et me fumer une clope.
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Je trouvais ça pourtant très drôle moi, bientôt les gens nous verraient comme le couple idéal, les petits amoureux parfait alors qu’il n’en était rien du tout. Je savais très bien que Charles n’avait pas envie de me connaitre et vu son attitude moi non plus, il était rentrée chez moi au milieu de la nuit, il c’était installé tranquillement comme chez lui et il croyait que nos fiançailles pourraient être crédibles…C’était du grand n’importe quoi. Bref. « Moi je trouve ça très marrant…Oh, vois l’avantage, on pourra boire du champagne à volonté, ça sera notre soirée… ». En fait ma vie était tellement pathétique en ce moment avec le départ d’Andrea que j’en avais plus rien à foutre de rien. Je lui racontais ma vie et franchement je pensais pas qu’il réagirait comme ça. Je pensais qu’au moins ça lui ferait de la peine, je sais pas, je trouvais ça triste de se faire avoir comme je l’avais fait. Royce avait été horrible avec moi, il m’avait maltraité mais lui ça lui faisait rien, ça le faisait rien. Tant mieux, j’avais une réplique toute trouvée pour lui : « Tu verras quand tu engrosseras une pauvre gamine à peine majeur si ça te feras rire… ». Oui, tout ce qui me concernait et concernait la vie de Charles-Edouard ne me faisait pas rire, c’était comme ça, c’était trop important pour moi. Charles-Edouard était tout ce qu’il me restait mais il ne pouvait pas le comprendre. Il voulait pas du gosse, et ben tant pis, tant mieux pour le petit il n’avait pas besoin d’un père aussi minable et con que lui. Purée, j’espère que ma grand-mère va comprendre que je ne peux pas me marier avec un gars comme ça : « Ah oui, parce que tu crois que moi j’ai aimé accoucher à vingt ans…Puis tant pis, après tout le petit n’a pas besoin d’un père qui ne veut pas de lui tu sais…Il y en a déjà deux qui l’ont abandonné alors tu sais ce qu’on dit jamais deux sans trois… ». Peut être que ça, ça va le faire réagir car après tout le bébé est innocent. Je ferme la fenêtre pour pas que le petit ai froid : « Fume pas ici et ouvre pas la fenêtre, le petit pourrait être malade à cause de toi… ». Je m’assois dans mon canapé en prenant le bébé dans mes bras et je le berce un peu, je sais qu’il va commencer à avoir faim, je le connais, il commence à faire la grimace : « Je peux lui donner à manger ici ? ». Je préférais lui demander vu que monsieur avait ses habitudes.  
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Je n'avais vraiment pas envie de ce mariage mais j'ai accepté uniquement pour mes parents et comme si ça suffisait pas, il sm'ont apprit que le but était que Minnie redore son image auprès de sa famille, et c'est moi le con charger de l'aider putain, super et ça l'a fait marrer qu'on passent pour le couple parfait, amoureux et tout le bordel, pas moi. « J'ai pas besoin qu'on se fiancent pour me payer du champagne à volonté tu sais, puis j'ai vraiment l'impression que tu t'en fou plus qu'autre chose, ça va arranger que toi dans l'histoire je te signale.  » moi fiancé ou non, rien ne changeait. Elle rejoignait son fils que venait de pleurer et elle lui changea sa couche tout en me racontant une partie de sa vie sentimentale, c'est vrai qu'elle a plutôt souffert mais sur le moment je m'en fou un peu, chacun à ses haut et ses bas dans la vie, elle c'est sur que c'est une majorité de bas mais c'est la vie et oui je fais mon air arrogant là en me tenant dans l’encadrement de la porte de la chambre du gamin « Je fais pas dans les mineurs. » j'ai mes principes tout de même puis je lui fais clairement comprendre que je suis pas prêt à assumer son fils, enfin il a rien a voir dans l'histoire, j'ai rien contre lui mais je sais même pas m'en occuper quoi et ça l'a vexer la petite princesse anglaise, elle me balance une remarque en pleine face qui je dois l'avouer, à le don de me faire réagir « Dis pas ça non plus, j'ai jamais dis que je voulais pas de lui juste que je sais pas m'n occuper. » je préférais couper court à la conversation et m'en aller juste après lui avoir dit ces quelques mots. Je me rend dans le salon où j'ouvre une des fenêtre pour m'allumer une clope et même pas après une latte de tirer la voilà qui me rejoint avec son gosse dans les bras « T'es sérieuse, tu pouvais pas rester avec lui dans sa chambre ? » bon ouais je voulais pas que le petit attrape la crève à cause de moi, du coup j'écrasais ma clope à peine entamée et je la jetais à l'extérieur, refermant la fenêtre au passage. « Je ne vais pas te dire quoi faire, tu fais ce que tu veux toi aussi. » si elle voulait le faire manger ici, qu'elle le fasse, j'allais les laisser entre mère et fils et je me rendais dans la cuisine, prenant au passage le journal pour m'asseoir sur un des tabouret et posant le journal sur le le bar américain, au passage je ne me gênais pas pour me servir un petit whisky.
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C’est vrai que ça m’arrangeait, d’ailleurs je sais même pas comment il avait fait lui pour accepter parce qu’il pouvait avoir je pense n’importe quelle fille et finalement il était tombé sur moi, une jeune femme qui avait un enfant. Je le regarde avant de lui répondre gentiment : « Je sais pas comment tu as fait pour accepter…Mais tu sais, moi je n’aurais jamais dit oui si je n’étais pas au fond du gouffre, je me suis toujours opposé à ma famille et c’est pour cela qu’ils m’ont toujours mis de côté.. . ». Bon faut avouer aussi que le striptease au gala de charité ça les avaient tous achevés je crois, surtout ma grand-mère, un coup à lui faire faire une crise cardiaque. Je lui fais un petit clin d’œil avant de répondre : « Des fois, tu peux pas savoir qui est mineur et qui ne l’est pas ! ». Certaines personnes faisaient plus vieilles que leurs âges. Il me répondit finalement qu’il ne savait pas s’en occuper, c’était déjà mieux mais je n’attendais pas grand-chose de lui de toute façon, Charles-Edouard était un peu comme moi, toutes les hommes qu’il avait connu lui avait fait du mal. « Ben faut apprendre, ce n’est pas compliqué Charles ! ». Il avait le même prénom que mon fils mais j’espère qu’il ne finirait pas pareil parce qu’il avait tendance à m’irriter un peu. J’étais arrivé dans mon salon et il c’était quand même décidé à fermer la fenêtre. C’est vrai que j’aurais pu le mettre dans sa chambre mais je trouvais ça plus sympa qu’on soit tous ensemble, le petit voyait pas grand monde : « Charles-Edouard voit pas beaucoup de monde et il est souvent dans sa chambre.. ». Je fis un petit bisou sur le front de mon fils avant de le poser sur mes genoux, j’enlevais alors mon pull puis mon soutien gorge pour nourrir mon bébé. Ok, ça peut paraitre un peu étrange de se désabiller comme ça devant quelqu’un mais je donne juste à manger à mon fils, c’est normal pour moi et je ne suis pas très pudique. Je mets mes jambes sous mes bras et je trouve une position confortable pour que le bébé puisse téter. « Bon faut qu’on choisisse une date pour aller à Londres et en Belgique d’après ce que m’a dit ma grand-mère, pour une soirée avec nos familles, tu me diras ce que tu voudras…. ». Je le regardais alors, j’avais envie d’être débarrasser de ça.
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Tout ça pour elle, redorer l'image de sa famille, c'est moi qu'on choisit, j'aime pas cette situation, vraiment pas du tout, si j'ai accepté c'est uniquement pour mes parents, je peux pas les décevoir mis bon j'ai accepté et je peux pas revenir sur ma décision, j'ai qu'une parole après tout. « Jamais de la vie j'irais à l'encontre de mes parents, je suis pas le fils modèle loin de là mais si je peux tout faire pour les rendre fiers, je le ferai, d'où ces fiançailles. » lui disais-je dans la plus grande franchise alors qu'elle changeait son bébé tout en me disant après quelques paroles que je rigolerai moins s j'engrossais une mineure et elle avait raison même si ce n'était pas dans mes principes, je suis pas devin « Sur ce coup tu marques un point. » je la laissais changer son gosse et je me rendais dans le salon pour aller fumer mais bien évidemment elle venait elle aussi dans le salon, qui plus est avec son gosse et me demandait de ne pas fumer et de ne pas ouvrir la fenetre pour le gosse, je soupiras un coup avant d'aller dans son sens. « Donc tu veux qu'on soient tous les trois comme une vraie famille. » disais-je souriant légèrement me rendant dans la cuisine pour m'asseoir au bar américain, me servant un whisky au passage. Je lisais les premières pages du journal, surtout en particulier l'article nous concernant parce que oui aussi dans le journal on parlait de nous « Ah carrément, bah j'en sais rien moi, en janvier non ? » lui proposais-je buvant une gorgée de mon verre la regardant, ou plutôt regardant son fils téter son sein, c'était assez bizarre que j’assiste à ça mais question d'habitude.
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