skyler&konrad ◊ Shut up.. I think I love you.

Elle venait de me dire qu'elle me détestait, clairement c'est ce qu'elle ne pense pas vu qu'elle m'a dit qu'elle m'aimait, elle avait juste la rage pour la crasse que je lui ai fait tout simplement, mais je m'en fou je sais ce qu'elle pense réellement. Elle vient aussi me demander au passage où j'ai pu passer la nuit et je l'ai rassurer en lui disant que c'était chez des gens et évidemment sa curiosité prend le dessus et elle veut tout savoir, je la regarde en souriant Des vieux, genre la cinquantaine qui m'ont laissé manger chez eux et dormir, ils sont sympa ici. je continuais par essayer de me réchauffer la tête en la rapprochant du paumeau et je sentais ses bras enrouler ma taille, ça me faisait sourire surtout quand elle me disait que je lui faisais de l'effet, je redresais alors ma tête pour la regarder Si tu savais. oui elle aussi me faisait de l'effet là maintenant et dès que je l'ai entendu me dire de l'embrasser, c'est ce que j'ai fais, posant une main sur sa joue, l'autre sur l'une de ses hanches.

On dit que chez certaine personne la curiosité est une qualité. Sérieux ? Bah ta mère moi c’est un défaut. J’lui demande avec qui, enfin du moins chez qui il a dormis cette nuit et j’suis quand même un peu rassurer de savoir que c’est des vieux. Baaah ouis il m’aurait dit c’était v’la une bandes de jeunes, j’me serais encore imaginez des truc et tout t’sais. J’ai passé mes mains sur sa taille en arrivant à la moitié de son cul j’lui ai avoué qu’il me rend pas insensible la tout de suite. Merde on est à poil collé serré dans cette putain de douche. Moi j’ai les idées perverses qui commencent à pointer le bout d’leur gland. J’lui ai demandé de m’embrasser. J’ai laissé sa main parcourir mon p’tit bout de peau pour arriver au niveau d’mes hanches. Je surenchéris le baisé en le rendant plus fougueux, plus sauvage. Holala, ce doit être une raison pour les quelles j’ai osé développer des sentiments pour lui. Il est parfait jusqu’au bout de ses p’tains de lèvres, sa langue, sa bouche. Exactement tout. J’ai tourné sur moi même en l’faisant tourner au passage aussi, j’’lai, disons poussé, contre le mur en suivant le mouvements sans quitter ses lèvres. Les miennes sont descendues un peu plus bas de son cou. J’t’autorise à t’excuser pour m’avoir fait passer la pire nuit d’ma vie ! Le connaissant il va pas avoir du mal à s’faire pardonner.

(Invité)