Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEugio; instaure un froid, que je revienne vers toi - Page 3
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Eugio; instaure un froid, que je revienne vers toi

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On aurait dit un gosse cet allemand, un peu potache et pas très sûr de lui au moment même où il se brûla le doigt. Un peu intimidé ? Oui, et il y avait de quoi. Il sentait que quelque chose d'important était sur le point de se dérouler, que cette soirée, ce réveillon, allait signifier beaucoup pour la suite de son aventure à Harvard. Evidemment, tout avait un rapport à Elio, et ce soir il paraissait évident qu'Eugene en était dingue. Et il le montrait, l'assumait et ça le rendait gamin. Cela devait paraître si évident pour que l'italien vienne y poser les mots exacts. Un rire s'échappa de la bouche du Mather. « Peut-être, mais en contrepartie je m'occuperai de toi si tu te fais casser la gueule ou si t'es malade » se défendit-il avec une promesse. D'eux deux, l'italien avait le plus de chance de se retrouver alité au lit, les microbes ayant toujours déserté l'organisme de Gégène. Sauf la fois de l'épidémie, mais ça, il n'y pouvait pas grand chose. Il se leva alors pour aller ajouter quelques carrés de sucre dans son café, c'est que c'était dégueulasse. Il ne buvait que du mokaccino en règle général mais il devait avouer qu'il ne pouvait pas critiquer le fait qu'Elio se préoccupe de son bien-être à essayer de le réchauffer. Ça ne le rendait que plus craquant encore. Le jeune homme se retourna et il dût tenir sa tasse fort histoire de ne pas la laisser tomber sur le sol. C'était un sourire mélangé à une absence d'émotion qui vint s'attarder sur le visage du jeune homme. Elio mettait des mots sur tout décidément. Reposant son café, l'allemand s'approcha de l'italien et l'entoura de ses bras. « Moi j'te veux toi, c'est tout ce que je sais » finit-il par lâcher en allant se poser sur le lit. « Il fait encore un peu froid, ça te dérange pas si je me mets sous la couette ? » fit-il un peu taquin, un sourire radieux illuminant la pièce à cet instant-ci.
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On comprenait tout de suite qui était le plus vieux des deux tout de même, Eugene avait ce petit côté enfantin qui lui allait plutôt bien quand on regarde bien même si très peu de personne le voyait à cause de son côté bitch. J’allais devoir prendre soin de lui dans toutes les situations, ce n’est pas comme si cette idée me déplaisait bien au contraire. Je lui fis un sourire au coin quand il me dit qu’il me soignera quant je serais blessé… Je n’étais pas du genre à me battre mais je me doutais que si je finissais vraiment avec lui j’allais devoir montrer de ma force vu tous les piques qu’il lance à tout le monde. J’allais sûrement prendre des coups. Un infirmier à domicile ? J’imagine qu’on ne peut pas demander mieux. dis-je avec un sourire au coin alors que je passe ma main dans sa nuque que je caresse doucement. La situation était assez calme entre nous, mais il fallait tout de même mettre les choses au clair tous les deux, cela ne pouvait pas continuer ainsi sans qu’on sache où tout cela nous emmène. Je le regardais dans les yeux alors qu’il vient de mettre du sucre dans son café. J’eus un sourire quand il me dit qu’il me voulait moi, c’était déjà une grande preuve d’amour venant d’Eugene. Je pose alors ma main sur sa cuisse en souriant. J’eus un rire en entendant sa requête et me lève avant de taper sur sa cuisse doucement. Va donc, mais tu sais que si tu dois entrer dans ce lit, tu n’as le droit qu’à un boxer. J’étais quelqu’un qui n’aimait pas qu’on dorme avec moi habillé, j’avais l’impression qu’on ne pouvait pas bien dormir habillé. Je finis mon café et le dépose sur la petite table avant de retirer ma chemise et mon bas de costard entrant à mon tour dans le lit. Moi aussi, je te veux toi Eugene. dis-je avec un sourire alors que je n’avais même pas posé mon regard sur lui. Est-ce que j’étais gêné ? Oui un peu je dois l’avoué…
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Les événements de la soirée paraissaient bien loin, comme si deux heures étaient passées à tout casser. Ou comme s'il s'agissait d'un nouveau jour, où lui e Elio s'étaient décidés de se payer un petit week-end à la montagne. Tiens, visiter les quatre coins du monde avec lui, se prendre en photo en arborant lunettes de soleil et sourire éclatant, faire jalouser leurs amis de leur petit bonheur à deux, c'était quelque chose dont il avait vraiment envie. Mais déjà, quelques ombres se dressaient sur le tableau: son père, pour commencer. Celui d'Elio évidemment car il y avait fort à parier que Papa Venteiheimer soit ravi de l'union de son fils avec ce riche héritier. L'argent faisait complètement oublier à quel point il n'était plus si désagréable d'avoir un fils gay. Puis les filles, qui continueront toujours de tourner autour de lui. Et même s'il savait qu'à la fin de la journée c'est lui qu'il viendra retrouver, serrer dans ses bras, il avait du mal à ce qu'une grognasse se touche en pensant à lui. Et surtout, le gros problème Eugene lui-même. Il voulait Elio, de tout son coeur, ça avait été un tel challenge qu'une ois obtenu il a peur de se lasser. Et donc d'aller voir ailleurs. Néanmoins, sentir la main de ce beau garçon se poser sur sa cuisse, ça n'avait pas d'égal et on ne pensait à rien d'autres qu'au moment présent. « Comme si j'avais déjà eu un problème avec la nudité » rappela-t-il, en gloussant légèrement, terminant son café dans le plus grand silence. Elio retourné, il en profita pour enlever ses vêtements, ces artifices qui ne signifiaient rien à cet instant. En boxer, il attendit que son bel italien se retourne afin de surveiller l'expression sur son visage. Voir s'il salivait déjà ou si ses yeux étaient pleins d'étoiles. Sans trop avoir le temps de le contempler à cause du froid, il s'installa dans le lit fort confortable du rital. Ce dernier vint le rejoindre et déjà, sous la couette, ils paraissaient plus proches. Intimes même. Elio vint lui offrir les mêmes mots. « Viens là, j'ai encore un peu froid » se contenta de répondre Eugene, en se rapprochant en catimini de son beau mannequin. Il passa sa main sur le torse du brun, le caressant avec affection, et approcha son visage du sien. Là, là ils l'échangeaient encore ce baiser tendre qui avait fait craqué l'allemand alors qu'ils étaient dans sa chambre à la MH.
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Le temps était passé plutôt rapidement, surtout après qu’on s’est enfin expliqué tous les deux. Il m’a fait la gueule depuis le début de soirée mais maintenant c’était autre chose et je préférais nettement ce côté-là de sa personnalité. Il était pourtant temps pour nous de se foutre sous la couette sinon on ne sera pas d’attaque pour demain, enfin faut-il encore pouvoir dormir ce qui risque d’être difficile quand on sait qu’il sera à moitié nu contre moi. Je rigole en secouant la tête à ses paroles, il a toujours été le premier à se foutre à poil dans tous les cas. Je m’étais levé pour me mettre à mon tour en caleçon pour dormir parce que je n’aimais pas spécialement avoir de tissu sur moi pour dormir. Une fois en tenu qu’il fallait, je me retourne vers lui et eut un sourire en le voyant avec pour simple habit un boxer… Quand je vous dis que je vais avoir beaucoup de mal à dormir, je ne rigole pas totalement. Je viens m’installer à ses côtés tout en gardant mon sourire satisfait aux lèvres. Je le laisse se coller à moi alors que je viens caresser son épaule du bout des doigts. Tu n’aurais vraiment pas du sortir avec rien sur le dos, tu vas être malade demain. lui dis-je en remontant ma main dans ses cheveux pour les caresser comme je ne l’avais encore jamais fait avec lui, même si l’envie y était c’était tout de même assez gênant pour de simple pote de faire cela à l’époque. Je souris quand ses lèvres se posèrent sur les miennes, j’y répondis rapidement mettant toute ma douceur dans ce baiser mais également les sentiments que j’éprouve pour lui. Je me tourne un peu plus vers lui laissant ma main descendre le long de son corps, elle s’arrête bien évidemment au niveau de ses fesses que je pince légèrement alors que le baiser se faisait de plus en plus enflammé.
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