Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEugio; instaure un froid, que je revienne vers toi - Page 2
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Eugio; instaure un froid, que je revienne vers toi

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On ne pouvait pas trop deviner qui de l'alcool ou de la joie d'être sur son petit Elio provoquait un tel effet d'euphorie chez Eugene. Il le tenait, bien serré contre lui, et il aurait fallu qu'on lui arrache les bras pour qu'on l'en sépare. il s'est tant battu qu'il a besoin de savourer un peu sa victoire. Mais Elio était dôté de ce don de faire rire alors qu'on avait toute les raisons de se sentir honteux. L'allemand avait manipulé et joué de son image afin de le rendre moins attrayant à une femme qu'il pensait in love de lui. Erreurs, erreurs, erreurs sur toute la ligne. « Elle est blonde, que veux-tu ? » soupira Eugene, faussement désespéré par ce cas. Mais l'expérience avait été enrichissante sur le point de vue humain: Eugene était crédible en hétéro, une fois son visage caché. Le Mather ne ressentait plus le froid maintenant, où il l'ignorait. Dans tous les cas, il était bien et rien ne manquait à son petit bonheur égoïste. « J'm'étais dis que comme toutes tes bimbos allaient te couvrir de cadeaux, que le mien aurait eu triste allure ou serait pas original pour deux sous » confessa-t-il, ronronnant contre l'Italien, afin qu'il ne lui en tienne pas rigueur. « Mais si tu veux un peu de tendresse, j'peux certainement faire ça bien » termina-t-il, faisant descendre son nez de haut en bas du visage du magnifique beau brun, jusqu'à ce que ses lèvres ne viennent se coller aux siennes. Il lui déposa un léger baiser, avant de recommencer. Cette fois-ci, il n'avait pas décidé de s'arrêter.
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Je n’arrivais tout de même pas à croire que Calypso ne s’est pas rendu compte que ce ne fût pas moi. J’étais plus grand que lui et puis peut-être un peu plus costaud aussi. Enfin, il faut dire qu’on ne se voit pas vraiment tous les deux donc je peux tout de même le comprendre. Je ris quand il dit que c’est une blonde, en Europe on caricature beaucoup les blondes mais heureusement elles ne sont pas toutes connes. Je rigole en revoyant son côté jaloux ressortir quand il parle des bimbos soit disant. Je n’ai pas reçu tant que cela de cadeau et je ne pense pas en avoir autant que cela. Mais j’ai pas besoin de cadeaux je t’ai dis. dis-je en caressant son dos doucement. J’eus un sourire au coin en le regardant dans les yeux quand il me propose un peu de tendresse, je ne peux pas dire non moi qui raffole de ça. Je répondis à son baiser avec douceur fermant les yeux pour pouvoir profiter au maximum de ce contact tendre. Je le serrai un peu plus contre moi pouvant sentir mon cœur battre un peu plus fort, c’était peut-être un signe nan ? Le soir du réveillon de Noël on s’embrassait pour la première fois avec tendresse. Je me décolle doucement avant d’entendre l’horloge sonner. Joyeux Noël mon gegene. dis-je avec un grand grand sourire venant reprendre ses lèvres.
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C'est vrai qu'on retrouvait ici beaucoup d'ingrédients que toutes les jeunes filles mièvres aimeraient avoir lors de leur premier baiser avec celui qui sera peut-être leur moitié durant un moment. Eugene ne l'espérait pas encore, il n'osait pas se dire qu'il avait d'hors et déjà Elio dans la poche, il restait quand même sur ses gardes. Et si demain il se réveillait et se disait que c'était une erreur de conduite ? Après toutes les déceptions qu'il a pu avoir, il aurait très bien pus e dire que se réconforter avec Eugene était une bonne idée. Sur le coup. Mais chaque minute passée en sa compagnie, contre son corps tout chaud, lui faisait penser le contraire. Il aura fallu qu'il lui rendre avec tendresse son baiser et qu'il lui susurre quelques mots pour qu'Eugene en soit tout chamboulé. Il pouffa de rire doucement, avant de rattraper au vol le baiser qu'ils avaient laissé s'échapper. Il avait bien trop envie de l'embrasser avant de lui souhaiter quoi que ce soit. Une main derrière sa nuque afin de le sentir proche, toujours plus proche de lui, il apprécia la danse dans laquelle s'illustraient à merveilles leurs lèvres et leur langue. C'était doux, fruité dû à la consommation du Mather, et apaisant. Après un dernier tour de piste, Eugene dût s'écarter à son tour, en caressant toujours délicatement la nuque de son beau brun. « Joyeux Noël à toi aussi » déclara-t-il en reposant par la suite ses lèvres un bref instant. « Tu imagines ton père nous voir comme ça ? Il péterait un câble » s'amusa-t-il à mettre en action une situation qui aurait pu être possible par le passé. Ce n'était pas récent que les deux se tournaient autour, ça aurait très bien pu arrivé du temps de Papa Ferrari.
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Si on m’avait dit que je serais en train d’embrasser Eugene le soir du réveillon, juste avant les douze coups de minuit. Je répondais à son baiser avec tendresse, le serrant un peu plus contre moi. C’était tendre, comme cela ne l’avait jamais été avec Eugene quand j’y repense bien. Ce n’était pas du tout comme cela quand on était plus jeune, totalement différent. Je lui fis un sourire au coin quand il me souhaite un joyeux noël, mille ans après le mien mais je ne vais pas lui en vouloir. Je fis une grimace quand il commence à parler de mon père, il serait sûrement en train de me déshérité s’il savait cela. On va attendre un peu avant de lui dire ce genre de chose, juste le temps que je lui prépare le terrain. Je pense qu’il aurait été capable de me foutre dans un hôpital psychiatrique en pensant que je suis devenu fou. dis-je en levant les yeux au ciel. Le pire c’est qu’il est capable de faire cela. Je pense honnêtement qu’il serait sûrement en train de t’enterrer vivant. dis-je avant de pouffer de rire. Je viens poser ma tête sur l’épaule d’Eugene soupirant doucement, il faisait vraiment froid dehors mais j’étais bizarrement bien avec lui, j’avais chaud. T’as pas intérêt à faire comme si je n’existais pas une nouvelle fois, sinon je t’explose Eugene ! dis-je en levant les yeux vers lui. J’étais sérieux en plus, je ne supportais pas cela.
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Être bien trop longtemps, ça n'avait jamais été quelque chose qu'Eugene faisait souvent. A vrai dire, il aimait bien casser l'ambiance, surtout si elle était romantique, surtout si ça le concernait. Cela faisait quoi ? 10 minutes qu'ils étaient là, à se câliner et se faire des bisous ? Il fallait savoir en garder un peu pour plus tard, quand il fera moins froid par exemple. Le Mather avait du coup brillamment évoqué le père italien, au fascisme évident de son flirt. Un casse l'ambiance, à coups sûrs ! Pourtant, l'idée de se chauffer en pensant au père de son Winthrop avait quelque chose d'aphrodisiaque. « Vrai qu'il ne resterait de moi que mon nom et le souvenir de t'avoir embrassé après cela » s'amusa l'allemand, toujours aussi collé au beau brun. Il passa une main dans ses cheveu d'ailleurs. De signe d'affection, on ne faisait pas mieux. Il rit encore un peu plus au fur et à mesure qu'Elio imaginait une possible colère de son père. « Toi, il pourrait pas te tuer, t'es trop craquant, il peut pas frapper un si beau visage » décréta le Mather, en passant ses doigts le long du menton de son fauteuil moelleux. Il vint lui poser un nouveau baiser, afin qu'il oublie un peu la frayeur de se faire surprendre. « Curieusement, mon père me féliciterait presque » songea le jeune homme, ses joues non loin de celles d'Elio. « C'est vrai, avoir une entrée dans la famille Ferrari, ça promet un beau destin quoi » explicita-t-il, amusé à l'idée de voir son père un jour réjoui de l'homosexualité de son fils, après l'avoir bafoué durant des années. Aux derniers mots d'Elio, un puissant sentiment de regret vint le gagner. Il avait pas apprécié, hein ? « Je te promets, plus jamais sans raisons » jura-t-il, bien qu'il émettait un doux avertissement en instant sur le sans raisons. Bah quoi, il aura le droit de bouder comme un gosse si Elio oublie un truc important nan ? Le vent se calmait d'ailleurs, Eugene le sentait via sa main planquée sous le bonnet de son italien. « Je commence à avoir froid .. et j'suis plus vraiment bourré » regretta-t-il. Il n'y avait que lui pour tenir ces propos pendant ce genre de moments plaisants, vraiment.
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Je connaissais très bien Eugene et je savais que ce genre de comportement ne durait jamais longtemps, mais cela ne me dérangeais pas spécialement tant que j’avais un peu de tendresse de lui. Il me fit rire quand il parle finalement de mon père, il serait sûrement mort à l’idée que son fils aîné puisse être en couple avec un homme. Je souris à ses paroles alors que je le tenais toujours contre moi. Tu as totalement raison, tu partiras au paradis avec juste comme souvenir la douceur de mes lèvres. dis-je avant de me mettre à rire après. Je ferme les yeux doucement appréciant le contact de sa main dans ses cheveux, j’aimais beaucoup ce contact surtout que je suis très sensible aux caresses dans les cheveux, le savait-il ? Je souris à ses compliments avant d’ouvrir les yeux une nouvelle fois. N’y crois pas trop non plus, mon père me tuerait également et il n’hésitera sûrement pas à frapper au visage. Bien au contraire, il taperait dedans en premier je pense. dis-je avant de secouer la tête doucement. J’arque un sourcil quand il me dit que son père le féliciterait, sûrement parce qu’il aurait une place de choix dans la famille Ferrari comme il vient de dire. C’est sûr que si on voit de ce côté-là, il ne peut qu’approuver mais il est déjà ami avec mon père ne l’oublie pas… Manquerait plus qu’ils veuillent que tu épouses ma sœur … dis-je en fronçant légèrement les sourcils. Je m’y oppose clairement Asia est ma sœur et je ne compte pas la donner à quelqu’un de si tôt et on ne parlera pas d’Alaska non plus. Je lui fis bien comprendre que je n’accepterai plus qu’il fasse comme si je n’étais pas là, surtout pas lui en fait car je risquais de très mal le prendre. Bien sûr, tu peux bouder s’il y a vraiment une raison cela ne te rendra que plus désirable à mes yeux j’imagine, surtout si tu me fais une petite crise de jalousie. dis-je avec un sourire au coin et Dieu sait qu’il va m’en faire. Il est tellement possessif mon gegene qu’il risque de m’en faire souvent mais peu importait, j’aimais ce petit côté possessif qu’il a. Je compris rapidement que monsieur avait froid, cela voulait dire qu’il voulait rentrer n’est ce pas ? Je me lève alors le faisant se lever aussi avant de passer mon bras sur sa tête en souriant. Très bien rentrons alors, j’imagine qu’on va fêter ce réveillon tous les deux. dis-je avec un sourire au coin avant de prendre sa main dans la mienne. Je m’avance vers l’hôtel gardant toujours sa main dans la mienne en direction de ma chambre. Je ne savais pas ce qu’on était tous les deux, si on se considérait comme un couple ou si on se voyait plus comme des prétendants sans que cela soit officiel.
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Il aurait pu très vite trépasser l'allemand, à force de rire, dans cette neige et ce froid si rude. Mais il tenait bon, il avait chaud, car on lui avait fait parvenir ses affaires d'hiver qu'il avait laissé en plan à la soirée, et surtout Elio avait de quoi vous réchauffer. Suffit-il seulement de s'asseoir sur ses genoux et profiter de sa présence. L'atmosphère était déjà plus tendre et surmontable. Ils riaient les deux garçons, de leurs familles un peu conventionnels et très lourdes. Là où Eugene était gagnant, c'était que jamais on le forcerait à marier une femme de force. Qu'il soit gay ou pas, d'ailleurs cette hypothétique femme aurait certainement eu plus de chances de bonheur avec un meilleur ami gay pour mari qu'un hétéro frustré et aux couilles pleines. « Chez moi on fait encore ce qu'on veut, même si après ça fait jaser » défendit-il sa cause, en se montrant lui-même en tant qu'exemple. C'est vrai qu'Eugene jouissait de peu de présence paternel, même si des fois c'était pesant. Etre simplement contacté pour se faire engueuler et non pour demander si ça allait bien dans sa vie .. Bref, le garçon s'était résolu à tenir éloigné les inutiles et garder près de lui les braves. Comme ses amies Grace, Dixie, Swan ou son Elio. Lui, il avait réussi à se proclamer une place de choix dans le coeur du petit allemand en seulement quelques mois. « Oui, rentrons, envie de réveillonner au chaud près de toi » fit-il, de manière innocente alors qu'ils se relevaient tous les deux. Sans même avoir à dire quoi que ce soit, Elio vint placer sa main dans celle du Mather et là un sourire énorme vint s'afficher sur son visage. C'était une bonne soirée, ce réveillon.
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Eugene était sûrement un peu plus libre dans sa famille, mais il n’était pas non plus un héritier ce qui lui permettait beaucoup de laisser aller. Moi, je sais très bien que mon père est aussi chiant avec moi car je suis l’image de Ferrari même si je ne suis toujours pas à la tête de l’entreprise. Mais t’as toujours été un rebel gegene, c’est ce qui fait ton charme j’imagine. dis-je avec un sourire au coin moqueur. Je voyais bien que monsieur avait froid, il était temps pour nous de se mettre au chaud et comme je n’avais pas spécialement envie de retourner dans la salle de réception, je me suis dis que le meilleur endroit serait ma chambre. Je souris à ses paroles et lui prit la main comme pour le remercier en quelque sorte. Tu as de bonne envie mon petit. dis-je en souriant avant d’entrer dans l’hôtel. Je me dirige vers ma chambre sa main toujours dans la mienne et ouvre ma porte avec la clé que j’ai. Je lui lâche la main et retire ma veste desserrant ma cravate. Je me tourne alors vers lui et souris doucement. Tu veux boire quelque chose de chose ? J’imagine que tu ne veux pas d’alcool. dis-je avec un sourire au coin alors que je me dirige vers la petite bouillotte que j’avais emprunter à la réception faisant chauffer de l’eau. Met toi à l’aise gegene. dis-je en le regardant du coin de l’œil alors que je préparais les deux tasses de café. Quand ce fut prêt, je m’approche de lui en souriant et lui tend la tasse chaude avant de m’installer à côté de lui. Bon, j’avoue que maintenant je ne savais plus trop quoi lui dire.
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Ils s'étaient beaucoup cherchés au cours des dernières semaines, des derniers mois même. Ils se voyaient de plus en plus souvent et chaque fois ils se voyaient d'une manière différente. Il a fallu qu'ils aillent manger à McDo pour qu'Eugene devienne un peu accroché à cet italien. Ils s'étaient beaucoup cherchés donc, et pourtant, l'allemand ne pouvait tout à fait s'avouer victorieux, après des semaines à avoir bataillé contre vents, marées, et nanas. Siam, Calypso et Skyler avaient toute sources d'angoisses et de jalousie immense, au point de dépasser certaines limites et de se retrouver à genoux sur le trotoir. Voilà, Eugene ne se disait pas encore qu'il avait gagné, et il ne le voulait pas le savoir acquis non plus. Ils étaient juste entrain de marcher, main dans la main, un sourire béat accroché au visage en direction de la chambre d'Elio. « Je sais toujours très bien ce que je veux » confirma Eugene en un rire, sachant très bien qu'on le voyait de cette manière, le garçon qui fait des caprices lorsqu'il n'a pas ce qu'il souhaite. A la Mather House, c'était devenu chose courante de le voir piquer sa gueulante lorsque le lait était fini. Mais être avec Elio, il allait falloir un temps d'adaptation pour le croire. Déjà, il allait se blottir contre lui toute la nuit, ça allait aider à ancrer dans sa tête qu'au bout du compte, il avait ce qu'il voulait. Sur le chemin pour aller au chaud, le Mather s'amusa à visualiser ce qu'aurait été un trajet Eugio amis. D'abord, ils se seraient chamaillés, puis ils auraient initié une bataille de boules de neige avant de rentrer au chaud et se quitter. Alors qu'ils auraient passé assez de temps ensemble pour se sauter dessus, ils auraient coupé court à cette pulsion et seraient rentrés chacun de son côté en très bons termes, mais avec un goût de déception pour Eugene. Là, point de déception mais que du bonheur. L'alcool aidait généralement à apprécié les choses, et là, il appréciait d'être avec l'italien. Au chaud à l'intérieur, le brun s'attelant à leur préparer du café, Eugene observa la chambre. C'était typique d'ici, des régions du froid, avec ces rondins de bois que l'on voyait partout. Il fut coupé court à son analyse artistique lorsqu'on l'invita à se mettre à l'aise. Ah, ah. « Mauvaise idée, j'risque de me croire chez moi » partagea-t-il sa réflexion à haute voix afin d'en fare bénéficier son hôte. Mais il s'exécuta quand même, sentant déjà son bonnet comme de trop ainsi que son gros manteau. Il se dêvetit de cette grosse couche de chaleur et posa le tout sur le porte-manteau. Il fut rejoint par celui qu'il attendait sur le lit. « Merci » fit-il doucement, en se jetant sur sa tasse. Que c'était chaud ! Impatient qu'il était ! « J'me suis brûlé, merde, fait chier » pesta-t-il en passant deux doigts sur le coin qui le faisait souffrir. Voilà, là il sentait déjà la brûlure se calmer.
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Je ne saurais me rappeler comment notre relation a pu évoluer ainsi, à l’époque on ne se voyait pas tant souvent que cela mais c’était pourtant le cas aujourd’hui. C’est sûrement à cause de cette malbouffe qu’on a fini par se rapprocher ainsi et d’un côté, c’était plutôt un bon côté. Pour savoir ce qu’il voulait, il savait ce qu’il voulait et il me l’a toujours montré. Il utilise par moment des moyens que je ne comprends pas mais je me dis que c’est comme cela qu’il arrive à réussir. On finit par rentrer parce que le temps se faisait quelque peu frisquet et je n’avais pas spécialement envie qu’il attrape la crève surtout quand on sait qu’il est sorti sans rien sur le dos, il y a quelques minutes. Une fois à l’intérieur, je lui dis de se mettre à l’aise avant de me mettre à préparer du café chaud, il faut réellement que je m’occupe bien de lui. J’eus un rire en entendant ses paroles avant de me retourner vers lui avec un sourire au coin. Je reviens avec les deux tasses de café bien chaudes, mais je n’eus pas le temps de lui dire de faire attention car c’était très chaud que celui-ci se brûla comme un blond qu’il peut être. Je secoue la tête le regardant se soigner. Tu devrais faire plus attention, j’ai l’impression que je vais devoir beaucoup te materné si tu continues ainsi. lui dis-je avec un sourire au coin moqueur. Je lui fais un clin d’œil avant de boire mon café doucement, je commence à avoir des courbatures à force d’être resté dehors alors qu’il faisait froid. Je tourne la tête vers lui. On se considère comme quoi ? Comme un futur couple qui attend plusieurs rendez-vous avant d’officialisé la chose ou autre ? lui demandais-je en arquant un sourcil. Dans tous les cas, j’avais mis le sujet sur la table et ce n’était pas plus mal que j’ai réussi à lui en parler.
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