TORRYATT ❄ Don't say nothing. Just sit next to me.

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Mise en page par dark dreams. pour ILH

En prononçant ses mots, j’eue pendant un instant, peur qu’elle me fuie. Pourtant, elle me répondit dans un baiser emplit d’amour. Répondant avec mes sentiments, je laissais mes émotions me guider. Me poussant doucement en arrière, je me retrouvais sur le dos. De sa hauteur, elle dominait tout mon être. Retirant le tissu qui barrait la vision de son corps svelte, elle m’apparaissait avec splendeur. Le clair de lune venait se refléter sur sa peau, la faisant briller de mille éclats comme si elle était faite de diamant. Eblouie par tant de luminescence, aucun mot ne franchissait le rempart de mes lèvres. Ses longs cheveux bruns tombaient en cascade sur son corps. Ses lèvres d’un rosé plus foncé étaient muettes de désir. Ses yeux brillaient d’une lueur hypnotisante. Me perdant dans son regard, je ne reconnaissais pas l’homme qui se projetait dans le reflet de ses iris. Ses dents blanches venaient mordiller sa lèvre inférieur, déclenchant un instinct que j’avais longtemps enfoui en moi. Seul elle arrivait à me faire cet effet. Il n’y avait qu’avec elle que je pouvais complètement être moi-même. De moi, elle avait presque tout accepté. Elle avait conscience que je n’étais pas un être tendre et qu’il m’arrivait de brutale, mais ce soir, je voulais être celui qu’elle aurait aimé avoir près d’elle durant ses longs mois d’absence. Posant mes mains sur ses hanches, elles glissaient jusqu’au haut de sa taille. Venant frôler le bas de ses seins, elles continuaient leur avancer. Caressant le bas de sa mâchoire, je finissais par me redresser lentement en contractant les abdos. Posant mes lèvres sur son ventre, je remontais délicatement jusqu’à la naissance de ses seins.

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Mon regard ne quittait plus celui de Wyatt et je sentais tout mon corps frissonner. Il ne m’avait pas dit clairement qu’il voulait que nous formions un couple à nouveau, mais il le sous-entendait et c’était largement suffisant pour moi. La simple façon dont il avait de me regarder me mettait dans tous mes états. C’était exactement comme ça qu’il avait l’habitude de me regarder avant… et putin que ça m’avait manqué. Ses mains remontèrent sur mon corps et ma peau s’alluma à son contact comme s’il laissait du feu derrière lui. Lorsqu’il se redressa, je me laissai doucement tomber sur le dos pour que ses lèvres puissent atteindre plus facilement mon ventre ce qui m’arracha un nouveau frisson. Mes mains s’agrippaient à ses épaules et je lâchai un soupir d’aise alors qu’il effleurait ma poitrine. S’il continuait ainsi, j’allais bien m’enflammer. Je me redressai donc, relevant un peu son visage pour qu’il pose plutôt ses lèvres sur les miennes. Ondulant inconsciemment du bassin, je pouvais sentir son membre qui prenait de l’expansion dans son pantalon. Je souris contre ses lèvres, fière de l’effet que j’avais toujours sur lui et le repoussai à nouveau pour qu'il s’allonge sur le lit alors que je l’embrassais amoureusement et langoureusement.

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Reculant entièrement, elle m’offrait la vue de son corps. D’une main je glissais de ses hanches à sa poitrine. Dans un geste, elle m’intimait de l’embrasser. Son bassin ondulait lascivement sur mon membre. D’une main, je tentais d’atteindre son visage, mais elle me repoussait presque brutalement. Allongé sur le lit, elle ne me laissait aucunement voir son corps. Mêlant sa langue à la mienne, elle approfondissait notre étreinte. Perdu dans mes émotions, j’encerclais sa fine taille d’un bras. Poussant de légers coups de bassin, je me redressais sans qu’elle puisse bouger. L’emprisonnant, je la retournais contre la tête de lit. Combien de temps est-ce que j’allais tenir ? Être sage n’avait jamais été l’une de mes qualités. Mordant sa lèvre inférieure, je glissais le long de sa mâchoire. Pinçant sa hanche gauche, je forçais son corps à arc-bouter à moitié. De cette façon, j’avais accès plus facilement à sa poitrine. De mon autre main, je frôlais un de ses tétons, tandis que j’embrassais son cou. C’était plus fort que moi. Il fallait que je la possède. A une époque si j’avais pu la marquer, je l’aurais fait. Je refusais de la partager avec qui que ce soit. Pas même avec son putain d’ex. Quittant sa poitrine, je glissais au cœur de son intimité. La caressant avec sensualité, je venais déposer mes lèvres sur sa poitrine, jouant avec ma langue.

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Je savais que Wyatt et moi jouions avec le feu à présent. Il nous serait bientôt impossible de nous contenter de simple baisé d’autant plus que je n’avais aucun vêtement pour réfréner son imagination. Wyatt me prit contre lui, m’obligeant à me coucher sur le lit, impuissante. Sa main emprisonnait ma hanche qu’il tenait fermement alors qu’il m’embrassait la mâchoire. Je soupirai, fermant les yeux en profitant simplement du moment. Je tendis le bassin vers lui, mon dos arquer pour venir à la rencontre de son corps. Sa main frôla mon sein au téton bien dur de par l’excitation qu’il me faisait ressentir. Mes mains trouvèrent son dos où je laissai des marques de griffure avant de descendre vers son pantalon que je descendis jusque sous ses fesses. Lorsqu’il toucha min intimité, j’eu l’impression de perdre la tête. Je suffoquai en ouvrant les yeux et cherchai son regard ainsi que ses lèvres pour l’embrasser et ainsi étouffer mes futurs gémissements. J’insinuai une main dans son boxer et sans plus attendre m’emparai de son membre d’une main ferme. J’esquissai quelques mouvements de vas-et-viens histoire de lui faire perdre un peu plus ses moyens.

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Continuant de la caresser lascivement, je relevais le visage pour croiser son regard. Ses joues étaient rougies par l’effort ; ses yeux luisaient d’un plaisir sombre. Les lèvres entrouverte, je remontais jusqu’à elle pour m’en emparer. Echangeant un nouveau baiser, j’arrêtais mes caresses intimes pour placer ma main sous son dos. De cette façon, je pressais davantage son corps contre le mien. Lâchant un râle de surprise, je sentie sa main s’emparait de mon membre. Un sourire sur les lèvres, je lâchais quelques mots. « ça te plait de me tenir » Me vengeant, je glissais mes deux mains sous ses fesses pour la redresser. A moitié assise, je la forçais d’un mouvement de main à écarté les cuisses. Me reculant assez pour qu’elle ne puisse pas m’embrasser, je reprenais avec plus d’ardeur mes caresses sur son clitoris. Puis, dans un dernier souffle, je bloquais ses deux mains, avant de descendre embrasser son intimité.  

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« Ça te plait de me tenir » Je souris malicieusement, ne répondant pas à sa question par les mots, mais plutôt en le caressant un peu plus fermement. Il passa les mains sous moi et je me retrouvai rapidement assise sur le lit. Je le dévisageai un moment, curieuse. Il écarte mes cuisses et je me mordis violemment la lèvre inférieure. Tout ça devenait terriblement chaud et excitant. Il se recula un peu, juste assez pour que je n’aie plus accès à ses lèvres et s’acharna sur mon intimité, m’arrachant des gémissements. J’haletais en tentant de l’approcher de moi, mais il plongea plutôt vers mes cuisses et je su ce qu’il s’apprêtait à faire. Je retins mon souffle et haletai à nouveau lorsque sa langue entra en contact avec mon clitoris. Je poussai mon bassin contre lui, en redemandant toujours plus alors que je me cambrais et rejetait la tête vers l’arrière.

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Caressant son intimité de ma langue, je jubilais intérieurement. Elle était complètement à ma merci. Chaque gémissement qu’elle produisait me parvenait aux oreilles. Bandant de plus en plus, je me redressais pour l’embrasser. Mêlant ma langue à la sienne, je lui faisais goûter sa propre intimité. Pressant mon sexe nu contre le sien, j’ondulais du bassin pour caresser son clitoris. Peu importe ce qu’il allait advenir de demain. Ce soir, je la voulais entièrement pour moi. Surement que si je n’aurais pas bu, j’aurais été plus doux, mais elle savait parfaitement de quoi j’étais capable dans ces moments-là. Croisant son regard, je la pénétrais d’un coup sec. Assaillis par une violente sensation, je me pinçais fortement les lèvres, alors qu’un gémissement rauque peinait à sortir de ma bouche. Je ne voulais pas réveiller les personnes qui dormaient à côté. Ses deux mains toujours entre les miennes, je la surélevais de quelques centimètres pour approfondir ma pénétration. Repliant une de mes jambes en avant pour m’aider à la soutenir. Avec plus de lenteur et de sensualité, je commençais mes vas-et-viens.  

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Impossible pour moi d’être silencieuse plus longtemps. Il était bien trop doué à ce qu’il faisait et j’avais la tête qui tournait chaque fois que sa langue entrait en contact avec mon clitoris. Lorsqu’il s’arrêta enfin pour venir m’embrasser, je l’accueillis avec plaisir, goûtant mon propre plaisir sur ses lèvres. Il pressa sa verge bien dure contre mon sexe et je poussai mon bassin vers l’avant, l’intimant silencieusement de me pénétrer tout de suite. Je n’en pouvais plus d’attendre, je le voulais en moi. Je savais aussi qu’en agissant ainsi, il ne pourrait pas résister bien longtemps. L’alcool dans ses veines le rendait sauvage et avide. Exactement comme je l’aimais. Il s’enfonça en moi d’un coup sec et je poussai un léger cri que j’étouffai du mieux que je le pu en pinçant les lèvres alors qu’il faisait de même avec le râle qui lui montait à la gorge. J’aimais l’entendre prendre du plaisir à nos actes, c’était vachement excitant et si les enfants n’avaient pas été à côté avec Nandita, je l’aurais encouragé à s’exprimer sans gêne. Me relevant un peu plus, il entreprit des mouvements de vas-et-viens un peu plus lents et plus profonds qui m’arrachèrent à chaque fois des halètements ou des gémissements. « Prend moi plus fort…. » soufflai-je près de son oreille sachant qu’il ne se le ferait pas dire deux fois.