TRUNG ★ Santa Claus Is Coming to Town

Contente de retrouver Trung, tu lui proposes aussitôt d'aller faire un petit tour à la patinoire. Tu es bien curieuse de le voir sur des patins, va-t-il s'en sortir ou bien te faire rire? Vu sa réponse, tu optes pour... rire. Tu souris, fronçant ton petit nez, amusée "Hâte de me moquer" le taquines-tu tout en le tirant jusqu'à la patinoire. Une fois sur place, tu le vois presque stresser, tu rigoles dans ton coin, baissant la tête pour te cacher tandis qu'il semble galérer avec ses patins. "Tu n'en as jamais fait?" rigoles-tu, te levant après avoir enfilée tes patins. Tu t'avances vers lui, te baissant pour l'aider à les fermer. Tu tentes de cacher tes ricanements, te mordant l'intérieur de la joue pour t'empêcher de te moquer. Tu n'es habituellement pas méchante ni moqueuse, mais pour Trung, c'est terriblement tentant "Allez mon grand, on y va" tu lui donnes une petite tape sur les fesses avant de t'avancer vers la piste.

Elle était vilaine tout de même, elle souhaitait me voir tomber pour se moquer de moi. Je lui fis une grimace avant de lui tirer la langue comme l’aurait fait un gamin. T’es méchante en fait ! tu veux te moquer de moi ! Je suis outré. lui dis-je en faisant semblant de bouder alors que c’est moi qui me suis moqué d’elle la dernière fois. Mais j’aime me moquer d’elle, c’est ce que je faisais à ce moment précis en fait. Je l’emmène alors en direction de la patinoire et paye pour nous deux avant d’essayer de mettre ces foutus patins qui ne semblaient pas vouloir se fermer. Ben nan, je sais déjà pas faire de roller c’est pas pour en faire ici. lui dis-je en haussant les épaules. Je voyais bien qu’elle se forçait à ne pas rigoler devant moi, un « tss » sortit de ma bouche avant de secouer la tête. Be vas-y ne te force pas, rigole ! lui dis-je en grognant. Je penche la tête doucement avant de me lever pour aller en direction de la patinoire, j’avais l’air d’un con à marcher comme cela mais bon. J’eus un sourire aux lèvres quand elle vient me taper les fesses pour me faire avancer. Tu viens de me toucher les fesses, je ne rêve pas ? T’es une coquine en fait, tu touches les garçons comme cela toi. lui dis-je en rigolant. Je pose mon pied sur la glace et me laisse trainer sur le bord en tenant la barrière comme si elle était mon moyen de survie, ce qui est le cas… Mon Dieu j’ai l’air d’un con.

Pardon, mais c'est tellement tentant de rire en voyant le jeune homme faire! Et puis, tu as tout à fait le droit de te moquer pour toutes les fois où tu as été le dindon de la farce! Tu tires à ton tour la langue comme une gamine avant de venir l'aider à mettre ses patins. Tu te mordilles la joue pour ne pas exploser de rire, bien entendu, tu n'es pas du tout discrète puisqu'il te dit de rire un bon coup. Tu relèves alors ton regard vers lui, te mettant à rigoler face à-lui "Désolée, je ne peux pas résister" Ricanes-tu avant de te redresser pour te diriger en direction de la piste tandis qu'une de tes mains vint à taper les fesses de Trung rapidement afin de le faire avancer. Toi? Toucher les fesses? Meuh nan... "C'est ma main, elle est diabolique!" dis-tu en désignant ta main droite tout en remuant les doigts. Tu t'engages sur la piste, tu glisses avec aisance, tu te laisses porter par le vent, tu es une petite danseuse sur glace!! Puis ton regard se pose sur Trung qui... s'est trouvé une nouvelle femme, appelée... barrière de sécurité. Tu ne résistes pas à un nouveau fou rire "Besoin d'aide?" demandes-tu en venant à-lui, lui attrapant directement les mains.

Elle se moquait de moi la vilaine et pour montrer mon mécontentement, je la boudais comme j’avais l’habitude de le faire avec elle maintenant. Je claque des dents quand elle me tire à son tour la langue lui montrant bien que si elle ne la rentrait pas rapidement, j’allais la lui mordre. Elle se foutait de moi parce que je n’arrivais pas à mettre mes patins, j’ai bien compris qu’elle se forçait à ne pas le montrer mais je lui dis bien qu’elle pouvait rire. Pff tellement cruelle les femmes ! dis-je en grommelant tout en la laissant mettre mes chaussures comme il faut. Elle venait de me toucher le cul la coquine et elle n’osait même pas l’avouer reposant la faute sur sa main. Tu n’avoueras pas le fait que tu voulais simplement toucher mes fesses n’est ce pas ? lui dis-je avec un sourire au coin moqueur. J’étais à moitié en train de mourir sur la glace alors qu’elle dansait avec grâce sur la glace. Très bien, j’avais l’air d’un gros con pourquoi j’ai accepté de venir ? Puis elle se foutait de ma gueule en plus, je grogne de mécontentement quelque peu vexé et essaye de me redresser pour avancer et finalement me ramasser la gueule sur la glace. Nan j’ai pas besoin d’aide, j’ai juste plus de cul ! lui dis-je en essayant de me relever mais ce n’était pas facile. Je veux rentrer chez moi !

Oui, tu te moques de lui, gentiment bien évidemment, c'est pour toutes les fois où il a ri de toi, comme on dit, chacun son tour. Pour rire, en passant, tu lui donnes une légère tape sur les fesses pour le faire avancer, ses répliques ont le don de t'amuser et pourtant tu rejettes la faute sur ta petite main diabolique. Tu glisses sur la glace, pendant que Trung semble ne pas s'en sortir de son côté. Tu rigoles en le voyant accroché à cette barre, un peu moins lorsqu'il se retrouve les fesses par terre. Tu t'avances aussitôt vers lui afin de l'aider à se relever. Il semble râler, peu étonnant. "Je t'aurais bien proposé un massage, mais c'est à un endroit inapproprié" dis-tu dans un ricanement, faisant référence à ses fesses endolorie. Tu rigoles bien évidemment. "Tiens toi à-moi et ne regarde pas tes pieds" dis-tu en lui prenant les deux mains tout en tentant d'avancer avec lui, faisant en sorte qu'il ne se retrouve pas une nouvelle fois les fesses par terre.

Nan mais je ne voulais plus jamais monter sur ce genre de chose, je préférais nettement faire du ski plus qu’autre chose. Je venais de me retrouver sur le cul, mon cul allait sûrement souffrir. Je grogne de mécontentement en pestant contre cette putain de glace. Lydia vient finalement m’aider à me relever parce que j’étais con et je n’arrivais pas à tenir convenablement sur des patins ! Je rigole en l’entendant dire qu’elle aurait pu me faire un massage mais c’était tout de même mes fesses. En sachant que tu n’hésites pas à les toucher généralement, je ne vois pas pourquoi cette fois tu ne pourrais pas. lui dis-je avec un sourire moqueur. N’empêche que j’avais tout de même mal au cul. J’essaye d’avancer du mieux que je pouvais, je souris doucement en essayant de ne pas tomber. si je tombe, c’est de ta faute on est d’accord hein ! dis-je en ayant une nouvelle fois peur de me défoncer les fesses en tombant sur la glace. C’est que c’est dure tout de même.

Tu apportes ton aide à Trung qui ne cesse de tomber au sol en tentant de se relever. La vue est plutôt amusante il faut bien l'avouer, mais tu t'abstiens de rire aux éclats en le voyant, c'est assez embarrassant pour lui et puis à force, il doit effectivement avoir mal au derrière "Je t'ai touché les fesses qu'une seule fois Trung!" dis-tu pour ta défense, dans un ricanement alors qu'il tenait enfin sur ses deux jambes. Tu glisses petit à petit avec lui, tu le vois bien légèrement crispé à cette façon dont il te serre les mains, tout à fait compréhensible. S'il tombe, c'est de ta faute? Ah oui? Depuis quand? Tu souris au jeune homme tandis que tu le regardes dans les yeux, du moins tu essayais vu qu'il avait tendance à regarder ses pieds par crainte de tomber une nouvelle fois "Il fallait refuser ma proposition" dis-tu en souriant toujours, c'est vrai, rien ne l'aurais empêché de te dire qu'il préférait faire une autre activité "Regarde, tu t'en sors plutôt bien" Il n'était pas tombé depuis que tu l'avais aidé à se relever.

Bon, elle m’a peut-être touché le cul qu’une fois mais c’était déjà une fois je trouve. Je penche la tête sur le côté avec un sourire au coin avant de remonter plusieurs fois mes sourcils. C’est qu’une fois peut-être mais c’est déjà beaucoup… Puis j’imagine que ça ne sera pas la dernière. lui dis-je avec un petit sourire au coin. Je m’étais mis à avancer avec elle, je faisais mon possible pour ne pas regarder mes pieds comme elle me l’avait dit, mais c’est plus facile à dire qu’à faire. Je penche la tête sur le côté doucement et souris en entendant les paroles. Je suis un homme pas une tapette, la prochaine fois on va faire du ski. dis-je en rigolant doucement. J’arque un sourcil quand elle me dit que je me débrouillais plutôt bien, autant le dire c’était grâce à elle. C’est parce que tu me tiens, sinon je serai déjà au sol. dis-je en rigolant légèrement. Autant être honnête, la glace n’est pas faite pour moi, la neige est nettement mieux.

Tu ne manques pas de rire à ses propos, peut-être pas la dernière fois que ta main vienne à se poser sur ses fesses "Peut-être bien" dis-tu tout en affichant un petit air angélique. Tu l'aides alors à patiner, lui qui ne cesse de tomber encore et encore, tu es plutôt fière de lui lorsque tu le vois tenir sur ses deux jambes. Tu lui souris alors, il n'a pas tort, il tient bien, car tu l'aides. Alors, tu prends la décision la plus stupide qu'il soit, de le lâcher lorsqu'il s'y attend le moins "Vol petit oiseau!!!" lâches-tu tout en lui lâchant les mains, il glisse alors un instant seul, comme un pro avant de ne glisser à nouveau pour atterrir au sol. Tu grimaces, stupide de l'avoir lâché, tu t'avances rapidement vers lui "Désolée, ma faute, on va arrêter là si tu préfères" Au risque qu'il ne finisse par perdre une fesse avec tout ça.

Je le savais de toute façon, elle comptait bien retoucher à mes fesses. Cela me fit rire d’ailleurs qu’elle l’accepte comme cela. J’en suis certain. dis-je avec un sourire au coin. Je penche la tête sur le côté doucement en la regardant, essayant de ne pas me ramasser la gueule sur la glace. Elle m’a surpris en me lâchant d’un coup comme elle vient de le faire, j’ai cru pouvoir m’en sortir tout seul au début mais je me retrouve rapidement la gueule sur la glace merveilleux, j’allais être trempé maintenant. J’espérais simplement ne pas avoir cassé le cadeau que je voulais lui offrir, j’attendais juste le bon moment. Je me relève grâce à son aide et grimace ayant mal à l’épaule. Disons qu’il vaudrait mieux. dis-je avec un sourire au coin. J’essaye de me trainer en direction de la sortie en manquant de me ramasser la tronche toutes les trois secondes. Je pus enfin m’asseoir sur le banc et soupire en voyant les vêtements mouillés que j’avais, alors qu’elle était niquel elle… Je passais pour un couillon maintenant.