test ton couple avec siam ! • SIAM&DIAM&CODY

Ouuuuuuuuilleeeee ça piquoooouuuuilleeeeee. Siam raconta à Dia le fin mot de l’histoire, n’épargnant pas Cody d’une remarque acerbe. Au lieu de se vexer, ça le fit bien rire. Il aimait bien les nanas comme elles, qui se défendaient au lieu de se laisser marcher sur les pieds par le premier balourd de service aka le Lowell. « Oh, mais elle était drôle ma blague ! J’avais envie de te voir choquée en fait, j’pensais que ça me permettrait enfin de connaître la couleur de tes yeux … Mais pas du tout en fait. J’essayerais une autre fois ! » Ben oui, comme elle était chinoise, Cody aurait voulu la voir faire les groooos yeuuuux, mais ce n’était pas arrivé. A croire que c’était anatomiquement impossible pour une chinoise d’avoir les noenoeils exorbités, tant piiiis. « Oh, tais-toi la nymphomane. On ira en vacances en désintox ensemble. » lâcha-t-il subitement à l’égard de Diamantika, un sourire taquin sur les lèvres. Mais peut-être qu’il aurait dû moins faire le malin parce que Kovache se jeta sur lui et le força limite à tripoter Codynosaure. Ouais bon, j’sais bien qu’elle voulait juste bloquer ses mains quelque paaaarttttt, mais entre contrepartie elle étouffait la zigounette de Cody, quoi. Il se débattit en donnant des coups d’épaules dans le vide pour pousser l’Eliot. « Ouais ouaaaaaaiiiiis, c’est çaaaa, attaquez-moi et je me vengerais ! » Il s’adressa d’abord à Dia ; « Toi, pas de sexe pendant un mois. » Puis à Siam ; « Et toi … J’m’arrangerais aussi pour pas de sexe pendant un mois. OOOOOH, et ne rigole pas trop vite, j’ai le bras long ! » Et autre chose aussiiii. Bref, les menaces de merde made by Cody Bleeker.

Bon le point positif c'est que Diam ne m'en voulait pas et qu'en plus elle me soutenait face à son idiot de mec. Oui parce que je le trouvais vraiment idiot. Sans que je m'y attende elle prit ses mains pour les bloquer dans son entre-jambe. Le pauvre il a du avoir mal, non je ne devais pas compatir ! C'était n'importe quoi, surtout que lui au Summer Camp s'en fichait royalement de savoir si j'étais bien ou pas. Donc à mon tour de me venger, comme on dit la vengeance est un plat qui sa mange froid. Et j'avais prévu une vengeance très très froide. Il me menaça de me priver de sexe pendant un mois. Qu'il se rassure cela faisait un petit moment que je n'avais pas couché avec un mec, oui à mon plus grand regret, car il était vrai que cela me manquait. « Oh rassure-toi je trouverais toujours quelqu'un. » dis-je en riant, ne pouvant m'empêcher de rire face à la situation. Je pris alors quelques glaçons pour venir les introduire dans le dos de Cody. Puis devant et ensuite j'en donnais quelques uns à Diam. « Si tu veux lui en mettre quelques uns où tu veux tu peux. » dis-je avec un sourire un peu sadique sur mes lèvres. Oui je voulais le voir souffrir, et puis des glaçons cela ne faisait rien de mal. Je le voyais un peu gigoter, parce que des glaçons cela ne faisait pas non plus du bien cela faisait comment dire .... froid ? Oui voilà j'avais trouvé le mot. C'était tout de même une belle vengeance, puis j'étais contente que Diam soit complice de mon p'tit truc. En fait il devait s'estimer heureux que je n'ai pas mis des glaçons sur son sexe, déjà qu'on le voit pas beaucoup alors là il aurait été quasiment inexistant :sifle:

Donc Codyyyyy venait de punir Siam et de la priver de bunga-bunga pendant un mois. Ouais vous voyez, Cody Bleeker était le dieu tout puissant qui forçait le commun des mortels à devenir abstinent. D’ailleurs, Diamantika vint le traiter de nymphomane MAIS N’IMPORTE QUOI ! Il la regarda avec sa gueule d’ahuri et répliqua ; « On peut peut-être épargner notre vie sexuelle à ta meilleure amie, non ? » Parce que Cody aussi pouvait épiloguer sur certaines pratiques de Diamantikahahahaha. Du coup, l’asiatique se vengea en allant chercher des glaçons qu’elle glissa gentiment dans le dos de Cody. Ce dernier sautilla sur place et gigota de partout en sentant cette entité froide descendre la piste de ski de sa colonne vertébrale. « OH MY GOOOOD. » geignit-il en agitant furtivement son épaule droite puis la gauche à plusieurs reprises. Et comme il ne fallait pas que ses mamelons soient jaloux, elle fit de même en mettant quelques-uns sur son torse. « SATAN EST CHINOIS ! JE LE SAVAIS. » Ou Japonais. Ou Coréen. Ou Thaïlandais. Cody n’avait jamais su distinguer l’un de l’autre à part niveau bouffe. Il a un faible pour la cuisine thaïlandaise (et les massages thaïlandais, ça c’est pour toi Dia). A son tour, Dia se vengea en posant ses grosses fesses sur ses mains. Une aubaine pour Cody qui parvint à faire glisser le bout de ses doigts d’entre ses cuisses alors que Dia le menaçait. « Si tu gèles Codynosaure, je massacre Kovagin. » Voilà voilà. Siam savait maintenant que le zizi de Cody s’appelait Codynosaure et que la zézette de sa meilleure amie s’appelait Kovagin. La vita bellaaaaaa. Bref, Bleeker, en extirpant ses doigts parvint à pincer les fesses de Diamantika pour qu’elle se lève, ce qui lui permit de s’enfuir en courant en prenant sous le bras le petit bol qui contenait les glaçons. Il s'adressa aux deux filles (ou aux deux monstres sanguinaires) ; « Je suis armé et je n’hésiterais pas à m’en servir ! » fit-il en prenant entre ses doigts un glaçon. La menace ultime.

En vérité maintenant j'étais dans la phase où j'étais gênée. Parce que de une je commençais à connaître la vie sexuelle de ma meilleure amie et de deux je venais de découvrir qu'ils donnaient des surnoms à ce qu'ils avaient entre les jambes. On va dire que ce Cody ne cesserait de me surprendre, parce que oui c'était surement une idée de Cody, il était tellement étrange que parfois j'en avais un peu peur. Peut-être que c'était un psychopathe, un fou furieux qui allait tuer Diam dans son sommeil ? Bon je devrais arrêter de regarder des séries télé. « Oui c'est vrai que je n'ai pas très envie de savoir comment Cody appelle son machin et comment Diam appelle son truc. » dis-je avec un léger sourire gêné. Sauf que sans crier gare Cody prit le bol de glaçons en mode je vais attaquer. « Tu crois vraiment me faire peur avec tes glaçons ? Tu vas pas t'en sortir comme ça ! » criais-je en prenant les coussins qui étaient sur le canapé. Je commençais à les balancer sur Cody. Ce qui devait être un repas calme et officiel se transformait en une pyjama partie et c'était vraiment n'importe quoi. « A L'ATTAQUE ! SATAN CHINOIS ENTRE EN ACTION ! » criais-je en m'approchant de Cody, je pris un autre oreiller et je lui claquais dans la face une puis deux puis trois; J'étais déchaînée et je trouvais ça plutôt drôle. C'est vrai qu'au début du repas j'étais stressée parce que il était vrai que j'étais loin de porter ce Cody dans mon coeur, mais là c'était l'occasion rêvé pour me venger. En fait je retombais en enfance pendant quelques minutes, me revoyant en famille avec mes cousins en train de me chamailler et gambader dans ma grande maison.

Cody était entouré de deux cinglées sournoises et vicieuuuuses, des diablotines, des monstres, des guismos qu’il ferait mieux de ranger bien vite dans une cage ! Le président Lowell s’était défait de l’étreinte de sa compagne. Il en était maintenant à menacer les demoiselles à l’aide de glaçons. Oui de glaçons, parfaaaaiiiiitement. « Oui tu as peur, tu as même très peuuur ! » lança Cody en agitant le glaçon sous ses yeux comme pour l’hypnotiser, style Ka dans le Livre de la Jungle. Mais ça ne marcha pas puisqu’elle lui lançait un coussin-grenade et BOUUUUM, ça explosa dans sa figure ! Cody se défendit en se parant avec ses bras mais la vérité, c’est qu’il fut vite dépassé par les évènements et ses glaçons étaient du pipi de chat à côté des oreillers. Il recula et rangea sa tête dans ses bras pour éviter de se les prendre en pleine tête, ce qui l’empêcha de voir Diamantika s’enfuir pour aller chercher une nouvelle arme. Et elle revint, l’embrassa avant de lui tartiner les joues de farine. PUTAAAAAAAAIINGGG. Cody éternua et fut même victime d’une quinte de toux fulgurante. Un nuage de poussière blanche l’entourait, l’empêchant de discerner les associées du diable qui partaient se cacher. Quand il eut fini de toussoter, elles avaient juste … Disparu. TRES BIEN ! Puisqu’il était en terrain inconnu, il ne s’amusa pas à fouiller touuut l’appartement. Au lieu de ça, il se construisit un abri ; tout d’abord, il renversa la table pour faire un grand mur qui le protégerait de toute attaque ennemie. Puis, il déplaça un fauteuil et plusieurs chaises pour les ranger toute autour de lui. Et enfin, il recouvrit son abri d’un plaide et récupéra tous les coussin-grenades pour se préparer à les lancer à son tour quand les demoiselles quitteraient leur cachette. Il était bien dans sa petite cabane, isolé de tout. Ouais, Cody déménageait le salon de la meilleure amie de sa meuf, à part ça TOUT VA BIEN.

Oui j'avais huit ans, avec les deux je me retrouvais à jouer comme une gamine de huit ans et ce n'était pas pour me déplaire. Quand j'avais huit ans au moins j'étais innocente, j'étais rêveuse ce qui n'est plus le cas maintenant. Alors que j'attaquais Cody comme une folle, Diam vint se mettre entre nous deux pour l'embrasser et au passage lui balancer de la farine dans la figure. Je pouffais de rire en voyant cette scène Elle m’entraîna à travers l'appartement pour qu'on aille se cacher sous un lit, je riais encore et encore, sauf que Diam posa une main sur ma bouche pour couvrir mes rires et je fis de même pour elle. Après quelques minutes à attendre sous le lit je fis signe à Diam de me suivre. C'était mon appartement, donc je le connaissais bien mieux que Cody. Qui lui n'était jamais venu chez moi jusqu'à présent. « Si tu veux j'ai des oeufs dans la cuisine, mais il va falloir ramper lentement et faire attention à ce qu'il ne voit pas. » dis-je en continuant à ramper, en voyant que Cody s'était construit une petite cabane, mon salon était totalement retourné c'était du grand n'importe quoi, et en même temps je me disais que cela ne pouvait qu'arriver quand il était là. Parce qu'il était complètement fou, je continuais quand même de ramper vers la cuisine très lentement, pour qu'il ne puisse pas nous entendre. Enfin je vis que mon frigo qui n'était qu'à quelques mètres de nous et je l'ouvris. C'était vraiment une opération commando qui était très risquée ! « Va-y prend tout ce que tu peux pendant que je surveille si le montre n'arrive pas. » chuchotais-je en surveillant les parages. J'avais peur qu'il arrive d'un des deux côtés, car ma cuisine était reliée au salon et il pouvait arriver par la droite ou la gauche.